âge, lieu de naissance ›trente-deux ans, la nouvelle-orléans. pratiquement née sur un air de jazz, sa mère a dû quitter une salle de concert avant l'entracte. c'était un samedi soir, de l'année 1987. un treize juillet pour être exact. son père sirotait de la bière au rythme des chansons qui se succédaient, quand les contractions ont débutées. mais ça ne l'a pas empêché de conduire comme un dératé jusqu'à l'hôpital. origines, nationalité ›latines, américaine. quelques racines françaises du côté paternel et la mère de sa mère qui s'est mariée à un italien, mais elle ne possède qu'un passeport américain. statut civil, orientation ›célibataire, bisexuelle. et elle rabâche sans cesse la même histoire quand elle a un petit coup dans le nez. qu'elle devait se marier, mais que son conjoint l'a quittée à quelques mois des noces pour foutre une bague au doigt d'une autre. ça fait environ deux ans maintenant que cette histoire s'est brutalement terminée, mais faut croire que ça continue de la faire marrer - jaune, et c'est assez flagrant. job, statut financier ›représentante pharmaceutique, aisé. après un master en santé publique à la louisiana state university, elle s'est faite embaucher dans l'entreprise morris & fletcher. une société pharmaceutique fondée en 1931 par richard morris, un jeune investisseur français qui émigre aux états-unis au début des années vingt, et le biochimiste dr larry fletcher, son beau-père, originaire de la nouvelle-orléans. deux hommes qui sont respectivement ses arrière et arrière arrière grands-pères. statut familial ›de retour chez papa. depuis sa rupture, elle est revenue vivre sur son domaine à garden district. dans la dépendance qu'il avait aménagé pour son seizième anniversaire, et dont elle a passé les deux dernières années à faire et refaire la décoration sans jamais s'en satisfaire. elle lui conviendra sûrement le jour où elle refera ses valises, mais si elle s'est finalement décidée à investir il y a quelques mois de ça, pour l'instant rien ne lui a semblé valoir la peine de sortir son carnet de chèques. à la nouvelle orléans depuis ›sa conception. et si les affaires les forcent régulièrement à se rendre ça et là au travers du monde, rares sont les morris qui s'en vont loin.
pétillante | revêche | empathique (et peut-être un peu débonnaire) | souvent excessive et un tout petit peu boudeuse si l'on en croit ses proches | éloquente | sensible, mais force est de constater qu'elle est solide | dépendante et moyennement épanouie | quand même débrouillarde (ou simplement intrépide) | carrément revancharde | et en prime, elle parle couramment le sarcasme
Even if I'm not here to stay.(one) son frère, kaz. kasey morris. c'est le portrait de leur maman, enfin c'est ce que tout le monde dit tout le temps. et elle les croit sur parole, parce qu’elle préfère laisser son visage s’effacer de sa mémoire plutôt que de contempler les albums. ça peut paraître étrange, mais elle ne s’en défend pas. pas envie. ni de se justifier, ni de se mettre à chialer. pas plus que d’entendre parler d’elle alors quand ça arrive, elle sort fumer une clope ou passer un coup de téléphone. qu’importe. // son seul véritable souvenir c’est le jour de la cérémonie. (maman aurait détesté ça parce qu'elle était beaucoup plus sauvage que papa, mais) la maison n'a jamais été aussi pleine de monde et de fleurs, de présents, et de bons petits plats que ce jour-là. avant de se vider complètement pour redevenir ce qu'elle était avant. sans elle, évidemment. qu'un chauffard venait de leur enlever ""pour l'instant"" (soutient papa), mais il n'a jamais su faire partager ses croyances aux enfants alors ce genre de phrases à la con, ça leur a toujours fait une belle jambe. d'elle dans la maison, il reste tout ce qui était là avant son décès. parce qu'il est hors de question de modifier quoi que ce soit. papa ne veut pas, même vingt-sept ans après. d'ailleurs tout ce qu'il a changé c'est le lit. et tous les draps. comme pour préserver la mémoire de sa défunte épouse de toutes les parties de jambes en l'air auxquelles il s'est adonné depuis. (two) ce n'est pas un saint, son père. (comme tous les hommes) il est pourvu de vices, n'en déplaise au curé du coin dont l'église tient debout grâce au pognon des morris. le cigare, le whisky. les femmes, et bien-sûr son entreprise qu'il compte léguer à ses enfants. tradition familiale. il n'empêche que ça emmerde sa fille, et que le nombre à six chiffres qu'elle déclare aux impôts lui convient. autant que le fait de n'avoir qu'un virement à recevoir en début de mois et d'être encore invitée aux soirées organisées par les collègues. la paperasse ce n'est pas son truc. gérer des troupes non plus. la flemme (vraiment la flemme). contrairement à kaz, qui compte les jours restant avant la retraite du paternel. (three) et s'il ne faisait que ça, papa. non il s'entoure d'investisseurs privés et lâche du fric lui aussi, pour faire vivre diverses start-up au sein desquelles il possède des parts (que les gosses devront aussi récupérer, elle imagine). et si elle ne s'est jamais souciée de ça, encore une fois parce que devenir la reine du pétrole ne l'intéresse pas (ça aurait peut-être dû, comprendra qui pourra) elle n'a jamais aussi attentivement lu un de ces documents que l'année passée, quand elle a découvert le nom de son père et celui de son ex-fiancé, sasha, accolés au bas d'une saleté de contrat qui ne datait que de quelques mois. pas besoin d'être savant pour comprendre que ces deux-là magouillent encore depuis la séparation. mais ça ne devrait pas l'étonner, après tout c'est au sein des locaux de morris & fletcher qu'elle l'a rencontré. (four) parfois elle se demande ce que papa regrette le plus dans cette séparation. son ancien gendre, ou les litres de larmes qu'à versée sa fille. les deux, sûrement. faut dire que c'est un petit génie le sasha, et qu'il trempe jusqu'au cou dans l'oseille depuis qu'il s'est mis à monter des business. c'est l'ambition même ce gars, dix mille fois plus qu'elle, qui ne savait pas trop quoi faire de sa vie et qui n'avait pas envie de s'embêter à faire médecine comme sa mère, alors qui a choisi la santé publique (histoire d'avoir un bagage avec lequel elle pourrait se mettre à l'abris dans l'entreprise de son père). elle a toujours été comme ça. les études ce n'était pas vraiment son truc. elle a subi les années les unes après les autres en comptant sur ses soi-disant facilitées. déjà petite elle préférait troquer des billes à la récré, et durant le secondaire elle séchait régulièrement (pour rejoindre sa petite-amie sous les gradins du terrain de football) mais elle avait de bonnes notes, du moins elle faisait partie du haut du panier. alors papa fermait les yeux (sur ses absences, pas sur la petite-amie dont il n'a jamais eu connaissance) (five) cette fameuse fille, ce n'était pas n'importe qui. c'est la première pour (beaucoup de choses) laquelle elle s'est saoulée. pas qu'une seule fois, peut-être même mille en fait parce que c'est à peu près le nombre de tromperies qu'elle a encaissée. mais elle n'était pas vraiment jalouse (et elle ne l'est toujours pas) par contre elle a un gros problème avec la solitude et c'est sûrement pour ça qu'elle fermait les yeux, qu'elle faisait semblant de ne pas savoir ou de s'en foutre. juste pour l'avoir au moins une nuit de plus dans son lit (en cachette) dans la dépendance de la maison familiale que venait de lui aménager son père. si sa copine était là, elle n'était pas ailleurs. et leni n'était pas seule, alors ça lui convenait. au fond peut-être qu'elle ne l'aimait pas tant que ça cette fille, simplement sa présence et la chaleur que dégageait son corps durant les nuits d'hiver. mais ça ne l'empêchait pas de vider une bouteille de vin pétillant (de préférence) chaque fois qu'elles s'embrouillaient. (six) d'ailleurs pour se donner bonne conscience, elle a tendance à remettre ses problèmes de boisson sur cette pauvre fille. pas qu'elle soit alcoolique la morris, mais paraît que ce n'est pas vraiment banal de vider la moitié d'une bouteille de vin seule, dans son canapé devant une émission de télé-réalité de merde. pourtant ça lui arrive régulièrement. et de s'endormir devant, le verre à demi vide à côté du cendrier plein. // mais si elle le faisait dans une boite de nuit entourée de copines ça dérangerait moins, alors elle part du principe que ce n'est pas si grave. suffit d'arranger un peu l'histoire. (seven) et c'est un peu ce qu'elle fait quand elle voit cette psychologue qui la suit depuis un moment. depuis la mort de maman en fait. pas la même, mais de son avis ils sont tous à mettre dans le même panier. ce sont tous des gens un peu étrange qui la regardent bizarrement par-dessus leur paire de lunettes. et qui hochent la tête, sans qu'elle ne puisse déceler si la réponse qu'elle vient de formuler est bonne ou non. elle ne la voit pas régulièrement, mais de temps en temps. quand ça ne va pas, mais comme de ce qu'elle dit tout va toujours bien (même à cette femme, avant de passer une heure à cracher sur son monde) autant dire qu'elle ne prend pas rendez-vous souvent. puis elle n'en ressort jamais vraiment mieux. seulement avec une ordonnance remplie de médicaments dont la lecture des effets secondaires donne envie de se flinguer. (eight) c'est pour ça qu'elle n'en prend jamais, de médicaments. du moins rarement. et que du paracétamol généralement pour faire passer des maux de tête occasionnels. elle sait trop de quoi sont bourrés ces merdes - faut dire que c'est son travail de les vendre. d'autant plus que la société de son père est spécialisée dans les domaines de la neurologie et de la psychiatrie, alors la moitié de ce que sa psychologue lui prescrit provient sûrement de chez eux. et quand on voit ce que ça fait. sur les gens qui les prennent, mais aussi sur ceux qui bossent dans la recherche. ne le démentira l'ancienne petite-amie de son frère qui n'est plus de ce monde, et ses collègues de l'époque. (nine) elle n'était encore qu'une gamine au début des années deux mille. douze ou treize ans, elle embrassait des garçons et fumait (ou plutôt crapotait) ses premières clopes quand ses pairs tentaient d'étouffer l'affaire du siècle. trois employés de morris & fletcher ont été contaminés par un virus créé dans les laboratoire de la société. et l'une d'entre eux a développé des symptômes plus graves que ses collègues (la fameuse petite-amie de l'époque). ça a senti le roussi pendant un temps, parce qu'ils s'apprêtaient à monter un dossier pour porter plainte, mais katrina est arrivée. et a tout rasé. la ville et l'affaire qui n'est jamais sortie dans la presse, parce que l'une est décédée et que les deux autres ont accepté un (très) gros chèque. (ten) elle a suivi tout ça de son regard d'adolescente. vite fait, de loin. parce qu'elle l'aimait bien la copine de son frère, même si ce qu'elle aimait c'était plus le fait de s'être trouvé un semblant de grand-soeur, de repère féminin, plus que la fille en elle-même. et c'est de perdre tout ça qui lui a fait de la peine. le reste, c'est les affaires. et les affaires sont les affaires comme dit papa (et kaz, depuis). alors elle chiale souvent pour rien (l'autre soir elle a même versé sa larme quand la connasse s'est fait larguer dans l'émission qu'elle regardait) mais ça, cette histoire, ce scandale, ça ne lui fait ni chaud, ni froid. comme la politique en général et elle est sûrement incapable de placer la palestine sur une carte. parce qu'elle se fiche un peu de tout ce qui se passe à plus de cent bornes de chez elle. (et encore plus que morris & fletcher se retrouve un jour à l'origine d'un remake de the walking dead, elle fait le travail pour lequel on la paye et puis c'est tout) // mais à côté de ça, c'est la première à râler à propos des inégalités, à chouiner pour la veuve et l'orphelin ou à filer un billet dans la rue à tous les sans domiciles fixes qu'elle croise sur son chemin. elle a clairement un côté mère thérésa qui passe pour du foutage de gueule, surtout quand on sait d'où elle vient. parce que ça semble faux, mais c'est vrai (un peu). elle se soucie vraiment de son monde, mais comme son monde c'est celui des privilégiés, qu'est-ce qu'elle vaut vraiment cette sensibilité, hein ?
one day, maybe we'll meet again. - pseudo, prénom › jennifer. - âge, pays › vingt-six ans, france. - avatar, crédits › sarah hyland, cleogifhunts/tumblr. - type de personnage ›pré-lien de sasha. - comment as-tu connu le forum ? › je suis retombée dessus via un partenariat récemment, mais à l'origine c'était certainement par bazzart. - autres, une dédicace › de très bonnes fêtes de fin d'année à tous, et l'amour, la santé et tous ces clichés que vous n'en pourrez plus d'entendre d'ici deux jours
Spoiler:
Un lien avec un membre @sasha caldwell(ever looked at your ex and wondered “was I drunk the entire relationship?”) sûrement un brin, un peu plus sur la fin et trop souvent après. mais elle était surtout ivre de lui, et de leurs années de vie commune qui faisaient qu'elle le prenait pour acquis - sûrement la faute à ce genou qu'il a posé à terre, aussi. parce qu'à l'époque tout ce qu'ils désiraient ces deux-là, c'était une belle cérémonie et par la suite, s'acheter une maison dans un quartier tranquille. rien de bien folichon, mais c'était à l'image de leur relation. ils étaient bien, s'amusaient bien ensemble. ils étaient ce petit couple sans histoires qui se fréquentait depuis sept ou huit ans, mais qui manquait peut-être un peu de cette passion que lui partage aujourd'hui avec la femme pour laquelle il l'a quitté.
Deux recherches de liens (♂/le fiasco) peu de temps après sa séparation, une amie de leni l'a inscrite sur une application de rencontre. ça a matché, alors ils se sont filé rendez-vous le lendemain soir dans un restaurant plutôt relax de la ville. dix-neuf heures qu'ils s'étaient dit, sauf qu'ils sont tous les deux arrivés avec deux heures de retard et un coup de trop dans le nez. l'avantage de la situation, c'est qu'il n'y a pas eu de malaise puisque l'alcool aidant, ils ont pris ça à la rigolade. et ils ont passé la soirée à se fendre la gueule sur la manière dont ils venaient tous les deux de se faire larguer, oubliant par la même occasion de se draguer. (♂♀) toujours la première conversation dans la partie message de son téléphone, parce que leni, elle a toujours quelque chose à lui dire, à propos de quoi râler ou un screen à envoyer. cette personne, elle connait sa vie par cœur et surtout ses déboires, et sait justement quand l'inviter à entamer la bouteille de vin pétillant qu'elle garde toujours au frai pour leni - alors que cette personne déteste ça.
/ awards session
(#)tandis que j'agonise (délai 12/01) Mar 31 Déc - 18:57
Sélia Lawrence
‹ staff ›
champ sous l'avatar :
for once i can touch what my heart used to dream of long before i knew someone warm like you could make my dreams come true
résumé du personnage
écrire ici le résumé de ton personnage / Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
statut civil : en couple avec un homme merveilleux, c'est du moins ce que sélia dit, moi... il m'exaspère.
occupation : barista pour mon plus grand malheur, mais il parait que ça attire moins l'attention...
habitation : à voir
disponibilité : open
mes trophées :
Je suis complètement amoureuse de Leni Je sais pas ce qu'en pensera Sasha, mais moi j'adopte Je vais vous stalker, même si Shiv sera sur ses gardes et va falloir se trouver un lien qui déchire, j'veux du drama entre elles Sarah est tellement sweety et si peu vu depuis un moment Bienvenue
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mar 31 Déc - 19:13
Invité
‹ Invité ›
c'est tellement rare de voir sarah, très bon choix! Bienvenue sur WLA, j'espère que tu te plairas ici. Tu as la belle pour cinq jours, hésite pas en cas de besoin :l:
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mer 1 Jan - 14:53
Invité
‹ Invité ›
bienvenue ici :)
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mer 1 Jan - 17:03
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue!!!
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mer 1 Jan - 17:11
Invité
‹ Invité ›
@siobhan caldwell ton petit message est ultra cute, merci bichette (et prépare toi à me voir slider asap dans tes dms parce que évidemment : il nous faut dU DRAMA)
@scarlett lefebvre si rare oui, et pourtant double merci pour la bienvenue, et la réservation
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Sam 4 Jan - 15:45
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue !!! Super choix de pré-lien et de vava
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Sam 4 Jan - 18:59
Invité
‹ Invité ›
Welcome à la Nouvelle-Orléans
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Dim 5 Jan - 14:17
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :l:
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Dim 5 Jan - 16:46
Invité
‹ Invité ›
Hellcome
Bonne continuation pour ta fiche
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Lun 6 Jan - 13:24
Invité
‹ Invité ›
attention, tu es en danger ! Bien le bonjour
Comme l'indique le règlement de What Lies Ahead, nous laissons cinq jours pour compléter les fiches de présentation. Cependant, ton délai est passé, ta fiche est donc déplacée dans celles en danger.
A partir de maintenant, tu as deux jours pour te manifester au risque de voir ton compte supprimé. Si tu as besoin d'un délai, n'hésite pas à nous en avertir. Cependant, tu perds quand même ta réservation d'avatar qui elle, n'est pas renouvelable.
Nous espérons te revoir vite parmi nous, Le staff.
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mar 7 Jan - 12:09
Invité
‹ Invité ›
je vais effectivement vous demander un petit délai (mes excuses pour le dérangement)
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mar 7 Jan - 16:37
Invité
‹ Invité ›
@Leni Morris tu as pas à t'excuser ! Je te laisse jusqu'au 12 ( dimanche donc) :l:
/ awards session
(#)Re: tandis que j'agonise (délai 12/01) Mar 7 Jan - 20:13