33 ans | divorcée | reporter-photographe | straight forward
âge, lieu de naissance › trente-trois ans déjà qu'elle a vu le jour ici même à la nouvelle-orléans, un certain sept août selon ce que dit son acte de naissance. origines, nationalité › elle est américaine, du moins, pour ce qu'elle en sait. de probables origines anglaises, ou européennes à tout le moins, mais elle n'a jamais vraiment cherché à savoir malgré son esprit de nature curieuse. statut civil, orientation › divorcé, son mariage pourrait presque rivalisé avec celui de kim kardashian et kris humphries. ce n'était pas soixante-douze jours, mais presque. un fiasco, une erreur monumentale qu'elle réalise aujourd'hui, une page de sa vie qu'elle s'est empressée de tourner une fois les papiers du divorce signés. job, statut financier › son métier de reporter-photographe l'a parfois amenée au coeur de conflits, de situations périlleuses, mais c'est ce qui lui plait. il faut dire, le salaire n'est pas mauvais non plus et les avantages sont plus que bons, mais elle ne fait pas ça pour l'argent, c'est la passion qui prime. statut familial › des parents qui ont péris il y a trente-trois ans de ça, parents dont elle n'a aucun souvenir, si ce ne sont que des photos un peu jaunies avec le temps et les histoires qu'on lui a racontées depuis. puis, il y a eu ces nouveaux parents, cette nouvelle famille. peu orthodoxe, aucunement liée par le sang certes, mais cette famille qui est la sienne, au sein de laquelle elle a trouvé sa place. elle en a vu des familles avant eux, des chambres trop décorées qui ne lui ont pourtant jamais appartenues, jusqu'à celle-là. la première qu'elle a osé modifier à son goût. à la nouvelle orléans depuis › sa naissance, bien qu'elle ait passé quelques années à l'étranger, travail oblige.
Even if I'm not here to stay.(where to miss? to the stars) Elle voue un culte à Leonardo DiCaprio. Elle se souvient d’avoir vu Titanic alors qu’elle était gamine. Certains diront que ce n’est pas un film pour enfant, mais voilà, elle avait dix ans et il se trouve qu’elle avait un faible pour Leo de 1997. Quoi que, encore aujourd’hui, il reste un de ses acteurs coup de cœur. Elle a suivi sa carrière depuis, a même pris le temps de visionner les trucs les plus indie, sombres et inconnus. Et oui, elle a pleuré lorsqu’il a gagné son premier Oscar. Elle en a parlé pendant des semaines à ses collègues, elle était terrible. Mais que voulez-vous, c’est son number one man. (nobody puts baby in a corner) Elle a vu Dirty Dancing plus de fois qu’elle ne peut le compter. Romantique dans l’âme, elle est complètement tombée sous le charme de l’histoire, des personnages – si Leonardo est son number one, Patrick Swayze n’est pas bien loin derrière – et de la trame musicale. Elle s’est d’ailleurs amusée, adulte, à tenter de recréer avec des amies la scène culte de ce film sans jamais avoir de succès. C’est toujours un échec lamentable, mais ce sont des moments remplis de fous rire. (you can tell a lot about a person by what's on their playlist) Avide mélomane, elle a une playlist pour toutes ses humeurs, pour tous ses voyages, pour se mettre dans différents contextes lorsque vient le temps d’écrire, lorsqu’elle prend le temps de le faire. À chaque chanson est rattachée un souvenir, la transportant dans le passé avec une simple écoute. Elle ne saurait passer une journée sans musique. Que ce soit lors de longs vols, pour s’endormir, faire de l’exercice, la musique est toujours là dans sa vie, fidèle amie qui ne la quitte jamais. (we keep this love in a photograph) Depuis toute petite qu’elle a un appareil à la main. Elle le sait mieux que quiconque, la vie est terriblement fragile et elle a cette manie à tout vouloir garder en mémoire. Elle a cette peur que les souvenirs finissent par lui échapper sans être capable de les rattraper. Alors elle garde dans une boite, cachée précieusement, des clichés de toutes les époques de sa vie, de ses voyages, des visages marquants. Son histoire entière se retrouve dans cette boite. Elle ne la montre pourtant à personne. Elle n’existe que pour son plaisir et sa consultation personnelle. Certes, certaines images lui font maintenant mal au cœur, lorsqu’elle se revoit adolescente par exemple, le sourire aux lèvres, pendue au bras de Maverick. Elle a ce petit pincement au cœur alors elle évite de trop s’attarder, referme bien rapidement le couvercle, passe à autre chose. (transatlanticism) Jamais elle ne se serait imaginée voyager autant, Jane. L'Europe, l'Asie, l'Australie, elle aura tout vu. Elle n'avait jamais vraiment eu l'âme d'une globe-trotteur et pourtant, maintenant qu'elle a gouté aux voyages - certes, c'était pour le boulot toujours - elle se voit difficilement y renoncer. Son rêve? Un séjour en Russie. C'est sans doute là le seul pays qu'elle n'a pas encore couvert et qui est dans son top 3. (mama who bore me) Elle n'a jamais vraiment ressenti le désir d'en connaitre davantage sur sa famille, Jane. Elle a grandi entourée d'une famille aimante, heureuse. Elle a eu tout ce dont elle aurait pu avoir besoin, mais surtout l'amour inconditionnel de parents. Cependant, elle se pose des questions. Ils ont toujours été francs avec elle, ne lui ont jamais caché qui étaient ses parents, mais voilà, elle aimerait bien connaitre le reste de sa famille, ses cousins et cousines particulièrement. Qui sait, elle pourrait avoir deux familles pour le prix d'une, ce serait merveilleux, non? (tattoos and a switchblade attitude) Elle a un tatouage tout juste sous le sein gauche. on y retrouve la date de décès de ses parents ainsi que leurs initiales. Certes, elle n'a pas eu la chance de les connaitre, mais ils restent tout de même ses parents et c'est pour elle une façon de les garder avec eux. Elle aimerait bien en avoir d'autres, des tatouages. Ce ne sont pas les idées qui manquent, mais elle veut être certains que ce ne sera pas qu'une envie passagère, alors elle attend. (tell him to prepare to get impeached) Si elle est passionnée de politique et s'intéresse à tout ce qui se passe à l'international, Jane ne se fait pas prier pour dénoncer haut et fort la présente administration américaine. Certes, elle est consciente qu'il n'y a pas de système politique parfait, pas de leader qui soit irréprochable, mais elle a un dégout sans fin pour celui qui est présentement assis dans le bureau ovale et ne s'en cache pas. C'est une autre facette de son métier qu'elle aime, que d'exposer les méfaits du président, de le prendre en flagrant délit. Enfin, ce n'est pas comme s'il n'était pas capable de se mettre le pied dans la bouche lui-même. Pas besoin de clichés pour le mettre dans l'embarras, mais elle a réussi à en croquer quelques-uns qui sont assez croustillants et hilarants. De quoi amuser ses détracteurs. (they say the neon lights are bright on broadway) Elle rêve un jour de se rendre à New York et de pouvoir y voir une comédie musicale. Elle connait les classiques et est une fan inconditionnelle de Chicago - si bien qu'il existe probablement quelque part des clichés d'elle déguisée en Roxie Hart, et peut-être bien des vidéos d'elle qui performe Cell Block Tango avec quelques verres dans le corps. Définitivement pas sa plus grande performance. (history has its eyes on you) Jane raffole de l'histoire et de la mythologie. Elle possède d'ailleurs une collection importante de livres - qui sont, pour le moment, tous stockés dans un entrepôt - sur ces sujets. La mythologie grecque est sa favorite, l'histoire d'Orphée et d'Eurydice étant un coup de coeur pour elle. C'est sans doute encore là la romantique en elle qui parle, quand bien même l'histoire est tragique. Ayant voyagé un peu partout en Europe, elle en est venue à connaitre beaucoup sur l'histoire des grands pays et est, depuis des années, fascinée, toujours à la recherche de nouvelle information, désireuse de connaitre de nouveaux personnages. Il y a tellement à apprendre et c'est incroyable de voir à quel point l'histoire se répète. (anyone can speak troll. all you have to do is point and grunt.) Son amour de l'histoire s'accompagne également d'un amour des langues. En voyageant autant, elle a appris plusieurs phrases simples dans de nombreuses langues. Elle peut tenir une conversation simple en italien et en espagnol (quoi qu'elle les confond parfois). L'allemand est relativement facile puisqu'il s'apparente à l'anglais. Elle n'a pas eu grand difficulté à l'apprendre. Pour ce qui est du français, c'est sa bête noire, mais on lui pardonne ses fautes lorsqu'on entend son fort accent anglais.
one day, maybe we'll meet again. - pseudo, prénom › marie. - âge, pays › vingt-six ans, canada - avatar, crédits › keira knightley, porpentinygoldstein- type de personnage › prélien de @maverick deckard- comment as-tu connu le forum ? › bazzart m'a montré le chemin. - autres, une dédicace › hâte de faire évoluer jane parmi vous.
Spoiler:
Un lien avec un membre @Maverick Deckard(a big mess) Frère et soeur, ce n'est pourtant rien de compliqué. Pourtant, comme bien d'autres choses dans sa vie, toute cette histoire ne pouvait pas être simple. Recueillis par cette famille, ils ont tous deux grandis ensemble. Les années ont passées et de la complicité fraternelle, ils sont passés à autre chose. Quelque chose d'interdit. Des baisers échangés dans la pénombre, des promesses qu'ils n'auraient jamais du faire. Une histoire sans doute voués à l'échec, à l'encontre de tout ce que veut la société. Et pourtant, elle l'a aimé, Jane. Elle y croyait à cette histoire, qu'ils pourraient grandir et s'offrir cette vie parfaite avec la jolie maison, les enfants et le chien. Pourtant, ses espoirs se sont retrouvés anéantis le jour ou elle l'a vu embrasser un autre homme. La position des mains sur les corps, la distance entre eux, ce n'était pas un geste accidentel. S'il est le premier qu'elle ait aimé, il est également le premier à lui avoir brisé le coeur.
Deux recherches de liens (♂ou♀/famille) Ils sont les cousins et cousines qu'elle n'a jamais connu, ceux qu'elle n'a jamais tenu à connaitre d'ailleurs. Sans doute que des jeunes dans sa situation auraient cherchés à retrouver leur famille biologique, mais pas Jane. Il y avait bien en ville une tante chez qui elle est restée, mais cette dernière n'a jamais voulu d'enfants, alors encore moins celui d'une autre, même s'il s'agissait de sa soeur. Peut-être est-ce cette expérience qui lui a fait prendre conscience qu'il valait mieux ne pas creuser plus loin. Mais elle a vieilli, Jane, et elle se demande aujourd'hui si elle est passé à côté d'une autre vie, ou si, peut-être, elles auraient pu coexister. Elle se dit qu'elle devait bien avoir de la famille dans d'autres états, qu'ils n'étais peut-être tout simplement pas prêts à l'accueillir au moment du drame. Elle ne leur en voudrait pas, elle a eu une belle vie, mais elle aimerait bien les connaitre. Les rencontrer au moins. (♂ou♀/collègues) Ils travaillent tous au journal. Peut-être que les clichés de Jane accompagnent leurs articles. Peut-être est-ce son patron qui, tantôt la félicite pour avoir réussi à obtenir le cliché parfait qui saura troubler l'auditoire autant que capter son attention. Ou encore le nouveau stagiaire qui roule les yeux lorsqu'on lui demande un café parce que ce n'était pas vraiment ce qu'il avait en tête comme stage.
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(#)let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 4:08
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[ and the story begins ]
once upon a time in new orleans chapter i. i dont wanna be you anymore 17.07.1988 ; new orleans, louisiana, usa Elle était petite, Jane, lorsque ses parents ont succombés à leurs blessures. Trop petite pour comprendre ce qui se passait. Trop petite pour comprendre ce que ça voulait dire le mot orpheline, pour en comprendre les implications. Après tout, un bambin d’à peine un an n'était pas en mesure de saisir tout ça. Ce qu’elle savait par contre, c’est que certains soirs, elle dormait chez des amis de la famille, puis d’autres, jamais de stabilité. Non, il lui aura fallu des années avant de trouver ça, de savoir ce que c’était que de dormir dans une chambre qui lui appartenait, manger le repas autour d’une table avec une vraie famille, mais en attendant d’avoir accès à tout ça, elle a vécu la misère, Jane. Elle a été trimballée ici et là parce que personne ne pouvait la prendre en charge. Ç’aura finalement été la sœur de sa mère, une femme sans enfants – et elle vint à comprendre pourquoi en quelques semaines seulement – qui voyait là surtout une façon de faire un peu d’argent. Parce qu’il y avait bien des subventions qui pouvaient être octroyées par le gouvernement pour qu’on prenne en charge cet enfant. Parce que c’était elle la bénéficiaire des assurances-vie de ses parents. Parce qu’elle n’était pas en mesure de gérer les comptes elle-même alors quelqu’un d’autre devait le faire. Alors, elle a dit oui lorsqu’on lui a demandé si elle pouvait prendre en charge Jane. Personne d’autre n’était en mesure de le faire, la famille paternelle déjà bien complète, habitant trop loin, c’était le dernier recours avant qu’elle ne se retrouve dans le système. À bien y penser maintenant, elle se dit qu’il aurait sans doute mieux fait qu’elle se retrouve dans le système que de vivre avec une marâtre comme sa tante. Elle n’ose même plus le prononcer, ce mot, en parlant d’elle. En fait, elle ne veut même plus parler d’elle. Cette femme est morte et enterrée.
Elle a cru que c’était sa faute, Jane, si ses parents n’étaient plus. Comment quelqu’un pouvait avoir autant de ressentiment pour un être qu’il connaissait à peine si elle n’était pas la cause de la perte d’un être cher? Elle s’est longtemps sentie coupable, jusqu’à se détester. Jusqu’à vouloir mourir, elle aussi. Parce que peut-être, elle ne méritait pas de vivre après tout. Si ses parents n’étaient plus, il ne lui restait plus rien. Si on ne cessait de lui dire qu’elle était une moins que rien, que ses parents n’auraient jamais du faire d’enfant, qu’ils s’en seraient mieux porté, que si elle n’avait pas été là, ils serait fort probablement toujours en vie, comment pouvait-il en être autrement? Elle était la cause de ses propres malheurs, elle qui n’avait rien demandé à personne. Elle a souvent pleuré toutes les larmes de son corps, une fois la nuit tombée, à l’abri des regards. Elle a déjà essayé aussi. Une fois. La seule. Celle qui l’a envoyée à l’hôpital, qui a remis en question les qualifications de la femme qui supposément était sensé en prendre soin.
chapter ii. many fooled us, enough is enough 02.10.1996 ; new orleans, louisiana, usa Un soupire passa les lèvres de Jane. Elle n’était âgée que de dix ans, mais c’était déjà la onzième famille d’accueil qu’elle visitait. Elle n’osait même plus dire qu’elle faisait parti de ces familles parce qu’au final, elle savait, elle n’y resterait pas bien longtemps. On disait souvent qu’elle ne convenait pas. Comme si elle était un objet que l’on peut retourner au magasin parce qu’il est défectueux. Comme si elle n’avait pas de sentiment. Comme si elle ne s’attachait pas, au moins un peu, à ceux avec qui elle cohabitait. Non, elle avait appris à ne plus y croire, Jane. La famille parfaite pour elle n’existait pas. Ses rêves de gamine ne resteraient toujours que ça. « On a décoré la chambre, mais tu peux en faire ce que tu veux, tu es chez toi ici. » Toujours la même histoire. On lui disait de faire comme chez elle, parce qu’au final, c’était ça, elle était chez elle, mais jamais elle n’osait. Elle n’a pas osé là non plus. Non, elle se disait que ça finirait bien comme à chaque fois, on la renverrait de là ou elle venait, elle retournerait avec ces enfants qui attendent toujours qu’on s’occupe d’eux, qu’on les sorte du système. « Ça va aller. » Qu’elle leur avait répondu aux parents. Jamais elle ne les appelait papa et maman. Toujours elle utilisait leurs prénoms, elle avait appris au fil des années, ça l’empêchait de trop s’attacher, ça créait une distance. Mais ils ont pris le temps de l’introduire aux autres enfants qui faisaient déjà parti de la famille et trop rapidement, ils lui ont fait sentir qu’elle faisait parti de la famille, qu’elle en était un membre à part entière. Et dire qu’en dix ans d’existence, elle n’avait jamais ressenti ça, ces émotions qui accompagnent le sentiment de faire parti d’une vraie famille aimante. Elle a pleuré ce soir-là, Jane. Des larmes de joie, les premières depuis bien longtemps. « Tu vas bien? » Que lui avait demandé un des enfants qui était simplement venu s’assurer qu’elle avait tout ce dont elle avait besoin, qu’elle se sentait bien… enfin, aussi bien que possible vu les circonstances. « Oui, ça va. » Qu’elle avait simplement répondu en s’empressant de sécher les quelques larmes qui coulaient sur ses joues. « C’est simplement la première fois qu’on m’accueille de cette façon. » Il devait sans doute comprendre s’il était lui aussi issu du système. Elle ne devait pas être la seule à avoir vécu des expériences plus que désagréables. « Tu verras, ici c’est ce qui se fait de mieux comme foyer. » Il avait dit en restant appuyé contre le cadre de la porte. Parce qu’en plus d’être sympathiques, ils respectaient son espace? Wow, décidément, il avait raison. C’était la crème de la crème. Peut-être que cette fois-ci était la bonne après tout.
chapter iii. all i wanted was you 19.03.2002 ; new orleans, louisiana, usa Les regards qui se cherchent à travers la pièce, les sourires lancés ici et là tandis que l’attention de tous est portée sur ce que le plus jeune raconte, elle sait que c’est un jeu dangereux auquel ils jouent, mais elle ne peut s’en empêcher, Jane. C’est plus fort qu’elle. Et pourtant, il y a cette petite voix dans sa tête qui lui répète que c’est son frère, que même s’ils ne sont pas liés par le sang, ils n’en reste pas moins qu’ils font parti de cette famille et que, selon les normes de la société, qu’elle juge présentement stupides, ce n’est pas acceptable. Elle sait tout aussi pertinemment que si les parents venaient à savoir ce qui se passe, ils auraient sans doute une discussion avec eux. Et pourtant, rien de tout ça ne l’empêche, Jane. Il y a ce truc au fond d’elle qu’elle peine à expliquer, sur lequel elle ne peut mettre de mots. Cette attirance qu’elle éprouve, ce sentiment nouveau qui semble traverser son corps entier lorsqu’il la regarde. Puis ces promesses faites dans la pénombre lorsque la nuit tombe. Et son cœur qui bat la chamade, tellement fort, tellement rapide, qu’elle a l’impression qu’il peut l’entendre. Le sourire sur les lèvres, elle a l’impression, pour la première fois, d’être vraiment heureuse, Jane, alors qu’il est là, assis sur son lit, si près d’elle. Du bout des doigts, elle frôle sa main tandis que lui replace une mèche de cheveux derrière son oreille, les frissons parcourant son corps alors que ses doigts caressent avec une douceur infinie sa peau. Et derrière ses paupières closes, elle voit des feux d’artifices lorsque ses lèvres se posent sur les siennes. Comme si elle venait de prendre vie, comme si, depuis toutes ces années, elle avait retenue son souffle et que, finalement, elle prenait une grande bouffée d’air. Les secondes lui semble si longues, comme si le temps s’était figé, tandis que sa main vient se poser contre son torse, puis glisse jusqu’à son cou, comme s’il n’était pas assez près d’elle. Et pourtant, elle a l’impression que l’instant a été si court, trop court, lorsqu’elle ne sent plus ses lèvres contre les siennes. Et puis, il y a ces mots qui restent coincés dans sa gorge. Je t’aime. Mais non, ce serait dépasser la ligne ça. Franchir l’infranchissable. Impossible. Alors elle se tait, se plait à simplement l’embrasser à nouveau en espérant qu’il comprenne, que ses lèvres parlent pour elle, sans qu’elle n’ait à dire un seul mot.
chapter iv. dear mr. president 19.03.2010 ; bagdad, irak On ne lui aurait sans doute jamais prédit la vie qu’elle a eu, Jane. Qui aurait cru qu’un jour, elle vivrait de sa passion pour la photographie? Qui aurait pensé qu’elle puisse faire de grandes études, qu’elle serait assez passionnée par quelque chose, elle qui était bien plus souvent désillusionnée qu’autre chose, pour en faire un métier? Et pourtant, sa caméra est devenue une extension de son corps, incapable de s’en séparer. Des études en journalisme, cette facilité avec les mots, mais encore plus avec les images. Il est tellement plus facile de transmettre une émotion par un cliché que par un texte, selon elle. Et puis, les photographes sont aussi importants dans le domaine, ses enseignants n’ont cessé de lui répéter. « Tu as un don, Jane, quelque chose de particulier, de spécial. Ne le perd surtout pas. » Il était terriblement encourageant cet enseignant, le seul à avoir vu les clichés qu’elle désirait apposer aux textes qu’elle devait écrire. Elle le savait plus ouvert que les autres alors elle avait osé lui demander, un jour après un cours, si elle pouvait joindre des images à ses écrits. Il lui avait dit que ça ne lui apporterait rien de plus au niveau scolaire, ses notes ne seraient pas impactées par ce geste, mais qu’il était intéressé de voir ce qu’elle lui apporterait. Il lui a parlé de sa grande sensibilité, de sa vision artistique, de son approche, sa démarche, de la qualité de ses photographies. Il l’a également référée à un ami et ancien collègue qui pratiquait lui-même le métier de reporter photographe, homme qui est devenu un mentor pour elle, qui l’a prise sous son aile, lui a appris les rudiments du métier. Et puis les premiers contrats sont venus. Les premiers voyages aussi. Elle n’avait même pas vingt-cinq ans que déjà, elle avait visité bien des pays d’Europe, mais quelques zones de guerre. À chaque départ, il y avait l’inquiétude des parents qui avaient peur qu’elle ne revienne pas. Elle ne cessait de leur dire que son travail était essentiel, qu’elle se devait de mettre la misère humaine en avant plan, de faire prendre conscience aux gens de ce qui se passe ailleurs. Certes, elle ne montrait pas que la misère. Elle a également pris part à d’heureux évènements, Jane. Elle a couvert de tout, mais surtout l’actualité internationale, son dada. Tout ce qui relève de la politique la fascine. Les expressions des politiciens lorsqu’ils sont en grande discussion, les tensions qu’ils essaient de cacher – ou pas, le langage corporel, ils parlent tellement et rendent son travail si facile. Enfin elle a trouvé sa voie. Étrange lorsqu'on prenait conscience qu'elle se trouvait en pleine zone de combat en Iraq, à photographier des buildings en ruines, des explosions, des corps sans vie. Et pourtant, elle vit de ça, d'exposer cette réalité crue et choquante, d'espérer qu'une prise de conscience collective survienne.
chapter v. come on skinny love, just last the year 18.11.2018 ; london, united kingdom Elle l’a rencontré deux ans plus tôt alors qu’elle couvrait le Brexit. Il était l’archétype du britannique, si bien qu’il l’a invitée à prendre un verre ce soir-là. Évidemment. Elle aurait pu boire plus que de raison, mais elle a su se contrôler. Elle ne sait pas encore ce qui l’a poussée dans ses bras. Elle se l’explique bien mal aujourd’hui. Elle n’est pas de ce genre, mais elle l’a suivi à la fin de la soirée, s’est retrouvée dans son lit, ses lèvres contre les siennes, une main glissant dans ses cheveux, ses mains à lui parcourant son corps comme s’il s’agissait de quelque chose dont il avait été privé depuis si longtemps. Ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas ressenti ça, Jane, cette ivresse qui accompagnait ce désir. Elle avait l’impression d’être précieuse entre ses mains, comme un trésor. Il lui a fait miroité de belles choses, si bien que deux mois plus tard, elle habitait avec lui. Elle en avait parlé à son patron qui avait accepté qu’elle couvre la politique britannique – et dieu sait qu’elle en a eu des sujets à couvrir depuis – devenant ainsi correspondante à l’étranger. Tout s’est passé si vite, trop. Parce que deux ans plus tard, en plein mois de novembre, elle s’est pointée à l’hôtel de ville dans une robe blanche, prête à unir sa destinée à la sienne pour le meilleur et pour le pire.
chapter vi. the ghost of you is close to me 23.12.2019 ; new orleans, louisiana, usa Si seulement elle avait su. Enfin, elle aurait du savoir parce qu’une relation fonctionne rarement lorsque tout s’enchaine de façon aussi rapide, mais elle était aveuglée. Peut-être qu’elle était en amour avec l’idée d’être en couple plus que de l’homme. Qu’importe, elle se retrouva la bague au doigt, convaincue d’être unie à la vie, à la mort à l’amour de sa vie. Un mariage qui aura duré un peu moins d’un an. Elle pourrait presque rivaliser avec Kim Kardashian et Kris Humphries, cette histoire. Enfin, ce n’est pas 72 jours, mais presque. Elle a pris la décision de le quitter le jour ou elle a vu son visage sur la couverture de tous les journaux à potins de la ville, une jolie photo de lui enlaçant une autre femme, leurs visages beaucoup trop proches pour qu’ils ne soient qu’en pleine discussion. Elle l’a confronté ce soir-là. Il n’a rien nié. Il n’a pas non plus cherché à se battre, s’excuser de son comportement. La monogamie n’était pas fait pour lui. C’était là sa seule défense. Alors, le lendemain, elle lui a présenté les papiers du divorce, qu’il a signés juste comme ça, sans plus de cérémonies, avant de retourner vers une autre pimbêche. Autant dire que ses histoires de cœur sont comme le Titanic. Elle les croit à toute épreuve, mais au premier problème, elles sombrent trop rapidement pour qu’il y ait possibilité de les sauver.
C’est l’âme en peine et le cœur en miette qu’elle est revenue à Nola, Jane, nul part ou aller. Elle n’avait pas envie de retrouver ses parents et leur dire que sa vie était un lamentable échec. Elle ne voulait pas admettre que tous les autres qui les avaient précédés avaient eu raison au final. Seule à l’aéroport dans l’aire d’arrivée, personne qui l’attendait dans la foule, elle sortit son portable et rapidement, composa un message qu’elle envoya à un collègue, lui demandant si elle pouvait monopoliser son canapé une nuit ou deux, le temps qu’elle reprenne ses esprits et qu’elle s’oriente à nouveau. Finalement, la colocation est devenue permanente, lui heureux de voir le prix de son paiement diminuer de moitié, elle heureuse de ne pas avoir à chercher plus longtemps pour trouver quelque chose de potable. Si elle le remercia abondamment en paroles, c’est pourtant surtout en gestes qu’elle lui fit comprendre à quel point elle était reconnaissante. C’est elle-même qui avait décidé de prendre en charge le ménage de l’appartement, de cuisiner les repas, de gérer les comptes. Elle voulait qu’il en ait le moins possible sur les bras. Et puis, maintenant qu’elle était de retour à Nola, elle couvrait l’actualité régionale. Dieu merci ses patrons étaient indulgents. Après tout, elle n’avait été qu’une employée exemplaire depuis son embauche et, c’était eux-même qui disaient à quel point elle faisait un bon travail, à quel point ses clichés parvenaient à émouvoir et toucher l’audience. Une perle, même, qu’ils avaient dit une fois. Elle ne sait pas si c’était pour l’inciter à rester, elle qui avait reçu une offre d’un journal plus prestigieux, mais elle avait pris le compliment droit au cœur.
Elle n’a osé revoir que bien peu de gens depuis son arrivée, trop honteuse de ses déboires pour faire face à ceux qui lui tiennent le plus à cœur. Elle sait pourtant que jamais ils ne la jugeront, qu’ils l’accueilleront à bras ouverts, mais la crainte subsiste toujours. Elle reste toujours là, dans un coin de sa tête. « Tu fais quoi pour le temps des fêtes? » Sans doute qu’elle aurait du lui répondre qu’elle le passait avec sa famille, mais voilà, elle a omis de leur mentionner qu’elle était de retour en ville. Alors, ils la croient encore tous à Londres à filer le parfait amour. Parce que le scandale ne s’est pas rendu jusqu’ici. Pas assez important pour qu’on en parle. De toute façon, la culture américaine a déjà son lot de scandales, les histoires britanniques, à moins qu’elles ne concernent la royauté, sont rarement importantes. « Je n’ai pas vraiment de plans. » Et c’est ainsi qu’elle se retrouva à célébrer Noël en sa compagnie, en mangeant de la pizza et en visionnant en rafale Greys Anatomy. Le combo idéal pour un Noël sous le signe de la joie et du bonheur.
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(#)Re: let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 4:09
Maverick Deckard
‹ staff ›
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— ⁂ —
— the sky? It was what you breathed. The lake? sky that fell as rain. I have been like you filled with worry, worry — then relief.
résumé du personnage
écrire ici le résumé de ton personnage / Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
trigger warning : warnings sexualité, blagues salaces bin quoi, on le changera pas, abandon étant enfant
triggers pédocriminalité, inceste
gif :
âge : 36 ans || 13.06.86
statut civil : les endroits insolites sont son plaisir. le cœur n'est qu'un organe servant à vivre, l'amour lui est impossible, ou plutôt, c'est lui qui a fait un trait dessus.
occupation : pilote, il fait ce qu'il aime le plus au monde, s'envoyer en l'air !
disponibilité : nothing
mes trophées :
Keira est tellement magnifique Ça fait plaisir de voir ce pl tenté !! Tu fais ma soirée avec les grammys J’aime beaucoup tu me la présente, j’ai hâte de dévorer cette fiche et pouvoir rp avec toi Bienvenue parmi nous !! Tu sais où me trouver, mais n'hésite jamais s’il y a quoique ce soit
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 4:24
Invité
‹ Invité ›
@Maverick Deckard Tout le plaisir est pour moi. Ce pl, je le redis, est une vraie perle (C'est littéralement moi quand je l'ai lu.) J'espère que ma fiche te plaira tout autant que les petites idées que je t'ai présentées par mp. :l:
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 4:39
Invité
‹ Invité ›
bienvenue :l: tu fais un heureux puis ta fiche promet déjà d'envoyer du lourd
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 8:27
Invité
‹ Invité ›
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!!
KEIRAAA *O* + ce choix de pl
Bonne chance pour ta fichette !
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Lun 27 Jan - 9:35
Rafe Wilkins
‹ the light of a real enemy ›
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a story was a form of telepathy. by means of inking symbols onto a page.
liste des rps
UC
résumé du personnage
né à sur le base miliataire de Fort Hood, Texas / Fils d'un militaire américain et d'une infirmière ukrainienne / diplômé en Computer Science de la Texas Tech University, il se spécialise dans l'intelligence artificielle / a fondé une start-up et investi dans pas mal de projet à droite et à gauche / nouveau riche, il a toujours l'impression de devoir se prouver auprès des gens de la haute qu'il côtoie / a eu des problèmes avec l'alcool et a causé un accident qui a été couvert à l'époque par le père de son ex-fiancée / a fait une cure de desintox en secret / a quitté sa fiancée après neuf ans de relation, quelques mois avant leur mariage, pour pouvoir fréquenter Siobhan / n'a pas de très bonnes relations avec les enfants de sa femme / parle ukrainien mais ne sait pas le lire ni l'écrire / n'est jamais ponctuel / est un gros fan de soccer / il vit avec sa femme mais conserve un loft où il va se réfugier de temps en temps pour avoir son "me time" / sait jouer du piano
(#)Re: let me crawl inside your veins Mar 28 Jan - 1:19
Mabel König
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live life from dream to dream
résumé du personnage
Naissance à NOLA le 3 janvier 1994 • parents allemands et coréens qui ne s'aimaient plus mais restaient ensemble pour elle • décès de ses parents en 2005 à cause de l'ouragan Katrina • placée en famille d'accueil à 11 ans • arrivée chez les Weaver à 12 ans • transition difficile, fermée, solitaire • retrouve finalement le goût de vivre et d'échanger avec les autres pendant l'adolescence • s'engage dans des associations pour reconstruire la ville et aider les personnes dans le besoin • passion pour l'humanitaire • fait des études courtes puis se lance de manière professionnelle • allers-retours constants à NOLA, elle fait des missions de plusieurs mois parfois à l'autre bout du monde, mais revient toujours dans ce port d'attache
altruiste | têtue | vive | franche | volontaire | pas du matin | organisée | rusée
trigger warning : warning : deuil, catastrophe naturelle, potentielles scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide). trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif :
âge : vingt-neuf ans - 03.01.1994
statut civil : ne reste pas assez en place pour garder une relation, célibataire par choix, effleure les corps par envie.
occupation : coordinatrice humanitaire, elle enchaîne les contrats auprès de diverses associations, tantôt pour reconstruire une ville, nettoyer les océans ou distribuer des médicaments.
habitation : #394 Vieux Carré, dans une colocation où elle ne vit que par intermittence.
mes trophées :
Bienvenue sur le forum
Keira est une déesse, ni plus ni moins Ce personnage est vraiment intéressant, j'ai super hâte de voir ce que ça va donner entre elle et Mav ! Je viendrai te demander un lien avec Cassie, qui ne va pas du tout aimer ta Jane, mais c'est pas grave
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Mar 28 Jan - 2:34
Invité
‹ Invité ›
@Cassie Scoresby oh, mille merci pour ces compliments et avec plaisir pour le lien. je suis certaine que ce sera hyper intéressant à jouer le lien entre jane et cassie. (ça va faire changement pour moi d'exploiter des liens négatifs, j'en ai si rarement. )
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Mar 28 Jan - 2:36
Invité
‹ Invité ›
Keira, cette déesse Je l’aime tellement, elle est si parfaite Avec ce personnage tellement prometteur en plus Bienvenue parmi nous
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Mar 28 Jan - 3:11
Maverick Deckard
‹ staff ›
champ sous l'avatar :
— ⁂ —
— the sky? It was what you breathed. The lake? sky that fell as rain. I have been like you filled with worry, worry — then relief.
résumé du personnage
écrire ici le résumé de ton personnage / Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
trigger warning : warnings sexualité, blagues salaces bin quoi, on le changera pas, abandon étant enfant
triggers pédocriminalité, inceste
gif :
âge : 36 ans || 13.06.86
statut civil : les endroits insolites sont son plaisir. le cœur n'est qu'un organe servant à vivre, l'amour lui est impossible, ou plutôt, c'est lui qui a fait un trait dessus.
occupation : pilote, il fait ce qu'il aime le plus au monde, s'envoyer en l'air !
disponibilité : nothing
mes trophées :
C’est tout parfait pour moi
/ awards session
(#)Re: let me crawl inside your veins Mar 28 Jan - 5:41
Invité
‹ Invité ›
[ félicitation, tu es validée ! ]
bienvenue officiellement parmi nous.
Franchement, je ne sais même pas quoi dire. Tout est parfait, Keira, le pseudo, le métier, ce pl, cette fiche J'ai tellement hâte de la voir évoluer parmi nous :l:
Bienvenue officiellement en tant que membre de what lies ahead ! Félicitation, le plus dur est passé. Tu peux enfin vaquer à tes occupations et surtout commencer à rp.
Mais tout d'abord, hésites pas à faire le tour des différents bottins pour vérifier que nous n'avons pas oublier de recenser un des formulaires que tu as rempli précédemment. Si c'est le cas, hésite pas à envoyer un message à un membre du staff pour correction.
sa fiche de liens Ici, les fiches de liens sont de rigueur et donc obligatoire. Cela reste le meilleur moyen pour favoriser les échanges et les liens avec les autres membres du forum. Nous demandons à ce que la fiche soit tenue à jour et remplie convenablement(clique ici).
Mais pas de panique ! Un formulaire simplifié est disponible, si tu n'as pas envie de te prendre la tête avec des pavés pour tes liens.
liens rapides entre membres Afin de favoriser les liens entre les membres de what lies ahead, nous faisons appel à la générosité et la bienveillance de nos membres pour participer à cette action ! Nous avons mis en place des liens rapides entre membres qui consiste à poster minimum 2 liens féminins et 2 liens masculins(ex. rencontre dans un bar, ex avec qui ça s'est mal fini, un ami d'enfance perdu de vue, etc.) qui sont susceptibles d'être adapté.
les événements en cours La décennie est passé, il est temps d'en attaquer une nouvelle et quoi de mieux que de la fêter en grande pompe ? Le propriétaire du plus grand club de Garden District, Masquerade Club, aime faire les choses en grand et décide donc de faire un bal masqué ! (clique ici)
la guerre des floods v2 : les pirates Elle est de retour, pour vous jouer de terribles tours ! La guerre est revenue, pour une nouvelle édition encore plus virulente que la première. Vous agrandissez les rangs des pirates et vous battrez jusqu'à ce que mort s'en suive pour préserver l'honneur de vos acolytes ! Votre chef dans la bataille sera Megan Deckard et vous possédez même votre propre sujet de discussion afin de prévoir votre plan d'attaque.
les rps terminés et libres Sur what lies ahead, nous tentons une expérience ! Les rps ne seront pas archivés une fois ceux-ci terminés. Vous pouvez éditer votre premier post, dans "options" puis "modifier le titre du sujet" : il suffit de cliquer soit sur rp terminé(ils seront ensuite verrouillés par un membre du staff) ou rp libre s'il est disponible.
les multicomptes gratuits Intéressant, n'est-ce pas ? Nous autorisons les membres à obtenir des comptes gratuitement sous certaines conditions. Si tu es emballé par le sujet et que tu veux en savoir plus, n'hésites pas à consulter le sujet des multicomptes.
L'équipe administrative est composée de Megan Deckard(blood eagle), Rosie Blackwell(SACCAGE.) et Holly Kehler(Newtmas.). Vous pourrez les retrouver à tout moment grâce à la pa ou bien, grâce à la petite couronne devant leur pseudo dans le qeel. N'hésitez surtout pas à nous contacter en cas de besoin, nous sommes à votre écoute !