25 ans | Célibataire | Dramaturge | Straight Foward
âge, lieu de naissance › Il y a 25 ans de cela, un 6 juin, Elliot vit le jour dans la petite ville de Colchester en Angleterre. Il était le quatrième enfant d’une famille de paysans, élevant des moutons pour la laine et la viande. Son avenir était déjà tracé avant même qu’il vienne au monde. Ses parents paieraient des études à ses deux frères aînés, sa grande sœur trouvera du travail dans une boutique et Elliott aiderait à la ferme familiale. C’était ainsi que rien ne pourrait faire changer d’avis ses parents qui avaient planifié leur vie entière ainsi que celle de leurs enfants. origines, nationalité › Un peu de sang gallois de lointains ancêtres coulait dans les veines d’Elliot, mais ses racines étaient profondément enracinées en Angleterre, du moins jusqu’il décide de les couper. Son passeport indiquait « Britannique », même si le jeune homme n’avait aucune envie de retourner vivre dans ce pays. Un jour, il y aurait « Américain » de noter sur le morceau de papier, il en était convaincu. statut civil, orientation › : Célibataire depuis son arrivée à la Nouvelle Orléans. Son couple était une des nombreuses raisons de son départ d’Angleterre. Être gay et l’assumer ouvertement en sortant avec un autre homme n’était pas très bien passé auprès de la famille Cordell. Si bien qu’ils avaient réussi à faire fuir à grands coups de menace le petit ami d’Eliott. job, statut financier › Dramaturge, enfin Elliot essayait de l’être. C’était son rêve, alors il se donnait du mal pour y arriver. Tous les jours, il se trouvait du temps pour écrire ou pour tenter de vendre ses pièces de théâtre, de les faire publier. Il se serrait la ceinture pour atteindre son rêve, vivant dans une maison qu’il avait pu avoir pour une bouchée de pain à cause de la réputation des anciens propriétaires et de son état de délabrement, mais il en fallait plus pour faire peur à Elliot. statut familial › Il avait rompu le contact avec eux et n’avait aucune envie d’avoir de leurs nouvelles. Sa famille était son passé sur lequel il ne voulait pas se retourner. Il vivait au présent et se construisait un futur et, il espérait, une nouvelle famille, malgré la peur qu'il éprouvait à imaginer s'engager de nouveau durablement avec quelqu'un. à la nouvelle orléans depuis › Ça faisait six mois que le jeune homme avait signé l’acte de propriété de sa nouvelle demeure dans la ville Croissant.
Déterminé | Patient | Passionné | Rêveur | Débrouillard | Peur de l’engagement | Un brin maladroit
Even if I'm not here to stay.(one) Elliot avait trouvé son repaire d’écrivain, l’endroit qui lui permettait d’écrire jusqu’à tomber de sommeil. Si le jeune homme n’était pas en train de poncer les murs de sa maison, il était assis sur le rebord d’une des fenêtres du premier étage, son ordinateur portable sur les genoux. Parfois son regard se portait sur la rue en-dessous de lui, mais ce n’était pas les passants qu’il observait, non c’était son texte qui prenait vie dans son imagination. (two) Sur son flanc droit, des oiseaux d’encre prennent leur envol. C’était son premier tatouage qu’il avait fait peu de temps après être entré à l’université. C’était un moyen pour lui de marquer sa volonté d’émancipation. Ses parents ne l’avaient jamais su. Depuis, Elliot s’était fait plusieurs tatouages par envie, certains avaient une signification tandis que d’autres étaient là pour l’esthétique de l’encre sur sa peau. (three) Il était un grand fan du groupe Queen. Il connaissait pratiquement toutes leurs chansons par cœur. Si quelqu’un voulait le mettre de bonne humeur, il n’aurait qu’à passer l’une de ces musiques. En se promenant devant chez les Elliot, les passants les plus curieux pouvaient avoir la chance de le voir, à travers la fenêtre, chanter « I want to break free » alors qu’il était en train de poser du papier peint. (four) Écrire des pièces de théâtre ne faisait pas d’Elliot un très bon comédien. C’était même le contraire. Il n’arrivait pas à jouer, à s’imprégner d’un personnage lorsqu’il était sur scène. Il savait parfaitement comment il voulait dire les choses, mais ce n’était jamais de cette manière que ça s’exprimait. Le drague ne le réussissait pas. Pourtant, ça ne l’empêchait pas d'essayer de jouer ses propres scènes juste pour lui-même, essayant d'y mettre le ton comme il le fallait afin de s’imprégner des personnes. Bien souvent le résultat était si approximatif qu'Elliot se perdait lui-même dans ce qu'il avait voulu faire ressortir de son personnage. Le théâtre marchait pour lui beaucoup mieux quand il restait sur papier ou qu'il était joué par les autres. (five) Depuis son arrivée à la Nouvelle Orléans, Elliot avait peur de s’engager avec quelqu’un. Il ne voulait pas être de nouveau abandonné par quelqu’un qui ne pourrait pas faire face à sa famille. Elliot avait mis de la distance avec ses géniteurs, il avait coupé les ponts avec eux, mais une part de lui craignait qu’ils arrivent, d’où ils étaient, à ruiner encore un peu plus sa vie. (six) Il n'avait pas fallu deux jours avant qu'Elliot recueille un chien errant. D'abord, il offrit quelques caresses à l'animal avant de fondre devant son regard brillant. Finalement, Elliot craqua et il l'adopta. Désormais, il vivait avec une chienne du doux de nom de Lady Macbeth. Elle avait des airs d'Anglo-français, mais le vétérinaire ne pensait pas que la chienne âgée de cinq ans était une pure race. (seven) Très vite, la petite troupe d'Elliot s’agrandit. L'une de ses voisines décéda deux mois après l’emménagement du jeune homme. Cette dernière possédait une femelle perroquet gris du gabon du nom d'Abella dont les enfants de l'ancienne propriétaire ne savaient pas quoi faire. Elliot hésita quelque temps, mais il adopta finalement l'animal. Les enfants de la vieille dame eurent la gentillesse de lui fournir tout les affaires dont avait besoin le perroquet pour être libre. La maison du britannique était maintenant plus animée que jamais. Il n'était pas rare de voir Abella voler autour de Lady Macbeth récitant des bribes de Shakespeare ou les compositions personnelles d'Elliot. (height) Ayant dû cacher ce qu'il aimait pendant trop longtemps, Elliot n'hésitait maintenant plus à le montrer. Les travaux de sa maison n'avançait pas très vite à cause de Queen. En effet, il écoutait ce groupe en bricolant, mais il n'était pas rare qu'il se mette à chanter et à danser sur la musique. Il entraînait avec lui sa chienne et son perroquet dans une cacophonie euphorique qui raisonnait dans les murs de la maison. Pourtant, si Elliot y mettait du sien, il était capable de chanter plus que convenablement. Il préférait cependant ne pas se prendre la tête et s'amuser à chanter faux. (nine) Elliot n'était ni une créature de la nuit ni une créature du jour. Il n'avait pas d'heure de vie ou de coucher. Il se levait et dormait quand il était fatigué. C'était l'avantage à ne pas avoir de patron et ne devoir de compte à personne. Un jour, il pourra se lever à huit heures du matin et la semaine d'après se coucher à cette heure là. Néanmoins, il y avait quelque chose qu'il ne ratait jamais le lever ou le coucher du soleil Depuis qu'il habitait à la Nouvelle Orléans, c'était devenu sa tradition personnelle. Voir le soleil se lever ou se coucher chaque jour. Il se débrouillait pour toujours admirer l'un ou l'autre.
one day, maybe we'll meet again. - pseudo, prénom › Goby03/Valerian Delluit/Adrien - âge, pays › 22ans, France - avatar, crédits › Christian Hogue @Valerian Delluit - type de personnage › Inventé - comment as-tu connu le forum ? › Gauxe m'a passé le lien - autres, une dédicace › Je devrais dormir, je me lève demain. Mais je finis ma fiche avant
Spoiler:
Un lien avec un membre @Pacey Thomas(Ancien propriétaire de la maison) Elliot racheta la maison des parents de Pacey. Depuis, Pacey l'aidait de temps en temps dans les réparations de la demeure.
Deux recherches de liens (♂) Ship Il arrive (♂ou♀) Éditeur Quelqu'un qui croit au talent d'Elliot et l'aide à se faire connaître dans le milieu
once upon a time in new orleans Le soleil tapait sur la campagne anglaise. Il était déjà haut, suffisamment pour faire transpirer qui conque oserait le défier en s’exposant sous ses puissants rayons. Pourtant, dans le garage de la famille Cordell, le moteur vrombissant d’une vieille voiture familiale se fit entendre. La mère était assise à l’avant, les mains sur son ventre, soufflant comme un bœuf. Elle venait de perdre les eaux, son quatrième enfant était sur le point de naître. Son fils aîné, Declan était en train de charger la valise de sa mère dans le coffre tandis le père ouvrait la porte du garage. Madame Elizabteh Cordell s’impatientait dans sa voiture. Elle lançait des regards lourds de sens à son mari, Jacob. La mère de famille avait compris que son futur enfant était pressé de voir la lumière de jour et si son mari perdait encore un peu plus de temps à caler cette porte de garage, c’était sur le siège rappé que l’enfant allait naître. Finalement, la voie fut libre pour la voiture et Jacob prit place au volant, non sans une remarque acerbe de sa femme.
Les adultes Cordell étaient maintenant sur la route en direction de la maternité de Colchester. La radio crachait entre deux crépitements Freddy Mercury chantant I Want To Break Free. Ni Elizabteh ni Jacob n’avaient posé leurs yeux sur le clip de la chanson, sans quoi même sous la douleur des contractions, la future mère de son quatrième enfant aurait changé de station. Soudain, la musique fut la dernière des préoccupations des Cordell. Le bébé venait de décider qu’il ne ferait pas comme ses prédécesseurs, il n’attendrait pas sagement que les médecins soient prêts pour commencer à sortir, non. C’était maintenant qu’il voulait découvrir le monde, sur la musique du groupe qui deviendrait bientôt son favori, au grand dam de ses parents. Elizabeth poussa un cri de douleur avant de hurler à son mari d’accélérer. Jacob mit le pied au plancher. La route cabossée, couverte de nids de poules faisaient faire des bonds au véhicule, arrachant des grimaces douloureuses à Madame Cordell qui lançait ensuite des regards noirs à son mari.
Finalement, la famille arriva jusqu’au parking de l’hôpital, mais le bébé décida qu’il avait bien assez patienté. Jacob n’eut pas d’autre choix que de courir jusqu’à l’accueil pour faire venir une équipe d’urgence pour accoucher sa femme. Lorsqu’il revint le sommet du crâne de l’enfant était déjà à l’air libre. Quinze minutes plus tard, Elliot était né. Il était un bébé de deux kilos cinq cents aux yeux bleus rieurs et à la mèche folle dorée comme les blés. Lorsqu’il fut posé dans les bras de sa mère, sa première réaction fut de la lassitude. « C’est le dernier, j’en ai marre. Il n’est pas question que tu m’en fasses un autre. » Lança Elizabeth à Jacob, sans même adresser un sourire à son fils. Elliot n’était pas un enfant désiré, un accident imprévu dans la vie des Cordell. Un autre couple aurait peut-être envisagé l’avortement, mais pour eux il n’en était pas question. « Qu’allaient dire les voisins ? Et le curé ? » Voilà, les mots qu’Elizabeth sortit à sa sœur évoqua cette possibilité. Pour les Cordell, la réputation de la famille était très importante. Ils devaient paraître comme une famille bien élevée et comme de bons chrétiens, même si en privé, Jacob n’hésitait pas à jurer à l’encontre de Dieu ou à pécher. Elizabeth était un peu plus sage de son côté, mais elle était très loin d’appliquer l’une des règles de base de la religion chrétienne « Tu aimeras ton prochain ». Elle était l’une des commères les plus médisantes de toute la ville.
En plus d’Elliot, les Cordell avait trois autres enfants. L’aîné portait le nom de Declan, il avait le jour de la naissance du petit dernier, quinze ans. Il s’en suivit les deux cadets Oliver, alors âgé de douze ans et Sarah, âgée de six ans. Toute la famille vivait dans une petite exploitation agricole dans la campagne de Colchester. Ils élevaient des moutons autant pour leur laine que pour la viande. La famille pouvait ainsi subvenir modestement à ses moyens tout en mettant un peu d’argent de côté pour payer les futures études de Declan et d’Oliver. Elizabeth et Jacob avaient planifié toute leur vie, afin qu’aucun élément ne puisse venir à la réputation de leur famille. Il était impensable pour eux que le nom de Cordell puisse être associé à la moindre rumeur. Avec cet objectif, il avait été décidé que Declan et Oliver feraient de longues études pour honorer le nom des Cordell. Sarah épouserait un homme bien élevé, sans squelette dans le placard. Pour Elliot, les choses étaient plus simples. Il était destiné à reprendre l’exploitation familiale.
Ce fut dans ce cadre, dans cette famille, avec un destin déjà tout tracé que grandit le dernier né des Cordell. Il recevait de l’amour de la part de tout le monde, mais très rapidement il sentit une certaine distance. Il comprit rapidement que sa mère feignait de ne pas faire de différence entre ses enfants parce que c’était des choses qui ne se faisaient pas, mais la réalité était tout autre. Elle accordait bien moins d’attention à Elliot qu’à ses frères et à sa sœur. Il n’avait pas été désiré et ça se ressentait. Néanmoins, Jacob était là pour prendre soin du plus jeune de ses enfants, son héritier, celui qui allait prendre sa relève. Ce qui conduisit le père Cordell à ressentir de la déception pour Elliot. En effet, le jeune garçon préférait passer du temps à caresser les brebis et à leur raconter des histoires plutôt qu’à changer la paille ou à surveiller le troupeau.
Les années défilèrent, engluées dans la monotonie d’une famille qui ne cherchait qu’une chose, ne pas se faire remarquer. Elliot rentra en école secondaire. Le jeune garçon commença à développer un intérêt bien différent de la ferme, la lecture et l’écriture. Très vite Jacob et Elizabeth firent comprendre à leur fils qu’il perdait du temps, qu’il ferait mieux d’utiliser son temps pour apprendre à tondre convenablement un mouton. Ils crurent avoir réussi à faire changer Elliot, mais ce n’était qu’une illusion. Le benjamin avait compris que ses parents ne pouvaient pas le comprendre, alors il cacha ses lectures. Il gardait tout pour lui, il n’en parlait pas chez lui. Ses frères et sœurs étaient trop âgés pour qu’il se sente proche d’eux. Durant toutes ces années, Elliot se sentit bien seul. Puis, alors qu’il venait d’avoir quinze ans, il tomba amoureux pour la première fois. Il eut d’abord du mal à comprendre ce qu’il ressentait. Non pas qu’il ne savait pas reconnaître l’amour, seulement tous les romans qu’il avait lu mettaient en scène un homme tombant amoureux d’une femme. Pourtant, le cœur d’Elliot battait pour un autre garçon. À l’époque, il avait vaguement entendu parler des différentes orientations sexuelles, mais pour lui ça lui semblait être quelque chose de très rare de ne pas aimer les femmes quand on était un homme. Il n’avait jamais croisé personne dans son entourage qui éprouvait de telles choses. Ses parents s’en étaient assurés, ils ne voyaient pas ça comme quelque chose de normal. Ça ne pouvait que nuire à la réputation de la famille. Elliot ne savait pas ce que qu’avaient fait ses parents, mais ça ne l’empêcha pas de finalement se déclarer auprès de l’adolescent qui faisait battre son cœur. C’était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux bruns avec qui Elliot pouvait passer des heures à discuter de ses lectures. Cet amour naissant rendait le benjamin des Cordell des plus heureux, mais sa famille ne l’apprit pas. Il avait pris l’habitude de pas parler de ce qu’il aimait avec ses parents. Il ne se posa même pas la question de parler de beau brun à sa mère ou à son père. Ils n’avaient pas compris qu’il pouvait aimer lire, alors pourquoi est-ce qu’ils comprendraient qu’il était amoureux ? Elliot ne pensait même pas à son homosexualité, ni comment elle pourrait être perçue par sa famille.
Le plus jeune des Cordell continua sa scolarité sans que sa famille ne se doute de sa passion pour la littérature ni de son homosexualité. Il en goûtait beaucoup à Elliot de devoir tout garder pour lui, mais il sentait que c’était la meilleure chose à faire. Plusieurs professeurs conseillèrent au jeune homme de faire des études supérieures. Il était doué, il savait comment agencer les mots. Elliot hésita pendant toute sa dernière année du secondaire avant d’en parler à ses parents. Lorsqu’il le fit, ça ne fut pas bien accueilli. Il dut négocier dur pour obtenir l’autorisation d’étudier. Il n’aimait pas ça, mais il mentit à son père en lui promettant qu’il viendrait l’aider à la ferme une fois diplômé. Le benjamin des Cordell voulait vraiment étudier la littérature et notamment le théâtre. Il voulait comprendre comme Shakespeare avait écrit ses œuvres, il avait envie d’apprendre à en faire de même. Finalement, Elliot obtint l’accord de ses parents, mais il devait se débrouiller seul pour financer ses études.
L’année suivante, le jeune homme combina ses études avec deux petits boulots afin de pouvoir payer ses frais. Il continua ainsi pendant toute la durée de ses études. Malheureusement, ça ne ressentit sur ses notes. Elliot perdit plusieurs années et dû redoubler. Durant ces années à l’Académie royale d’art dramatique, le jeune homme tomba à nouveau amoureux. Un étudiant du nom de Charles, des cheveux blonds et bouclés et des yeux verts un brin coquin. Il était le partenaire de jeu d’Elliot. De fil en aiguille, les deux hommes devinrent un couple. Leur idylle dura deux ans au bout des quels le benjamin Cordell fut diplômé. Ravi et heureux, Elliot décida de prendre son courage à deux mains et de parler de Charles à ses parents. Malheureusement, Jacob et Elizabeth furent très durs avec le pauvre Charles. Ils l’accusèrent d’avoir perverti leur fils, d’avoir fait de lui une abomination de la nature. Plus tard, Charles avoua avoir reçu aussi des menaces de mort de la part de Jacob. Ne pouvant pas supporter une telle pression, il préféra rompre avec Elliot. Ce dernier, fou de rage contre sa famille, décida de les quitter pour de bon. Il prit ses quelques affaires, ses économies et monta dans un avion direction la Nouvelle Orléans. Le seul mot qu’il adressa à ses parents avant son départ fut un « Adieu » de rage.
Avec un océan entre lui et ses parents, Elliot espérait pouvoir commencer réellement à vivre, sans avoir à cacher en permanence qui il était. La Nouvelle Orléans n’était pas qu’une simple bouffée d’air pour lui, c’était une renaissance. Afin de ne jamais faire demi-tour, il investit ses économies dans une maison. Il put avoir la bâtisse à bas prix à cause de son état de délabrement, mais c’était aussi à cause des anciens propriétaires, un couple qui s’était livré à des actes de pédophilie. Elliot qui avait grandi dans une famille qui faisait tout pour ne pas attirer l’attention, trouva l’idée de vivre dans une ancienne maison de criminels comme un excellent pied de nez à ses géniteurs.
La nouvelle vie d’Elliot commença ainsi. Son temps était réparti entre l’écriture de pièces de théâtre, la tentative de vente de celles déjà écrites et la restauration de sa maison. Ça faisait maintenant six mois que le jeune Cordell avait refait sa vie. Il essayait encore de s’habituer à la Nouvelle Orléans, étant encore très loin d’avoir découvert tous ses secrets.
Naissance à NOLA le 3 janvier 1994 • parents allemands et coréens qui ne s'aimaient plus mais restaient ensemble pour elle • décès de ses parents en 2005 à cause de l'ouragan Katrina • placée en famille d'accueil à 11 ans • arrivée chez les Weaver à 12 ans • transition difficile, fermée, solitaire • retrouve finalement le goût de vivre et d'échanger avec les autres pendant l'adolescence • s'engage dans des associations pour reconstruire la ville et aider les personnes dans le besoin • passion pour l'humanitaire • fait des études courtes puis se lance de manière professionnelle • allers-retours constants à NOLA, elle fait des missions de plusieurs mois parfois à l'autre bout du monde, mais revient toujours dans ce port d'attache
altruiste | têtue | vive | franche | volontaire | pas du matin | organisée | rusée
trigger warning : warning : deuil, catastrophe naturelle, potentielles scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide). trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif :
âge : vingt-neuf ans - 03.01.1994
statut civil : ne reste pas assez en place pour garder une relation, célibataire par choix, effleure les corps par envie.
occupation : coordinatrice humanitaire, elle enchaîne les contrats auprès de diverses associations, tantôt pour reconstruire une ville, nettoyer les océans ou distribuer des médicaments.
habitation : #394 Vieux Carré, dans une colocation où elle ne vit que par intermittence.
mes trophées :
Bienvenue sur le forum ! Je ne connaissais pas du tout l'avatar, mais il est fort sympathique, et ce choix de métier est vraiment chouette
J'ai hâte d'en savoir plus sur le perso et de voir le lien avec Ambrose Bon courage pour la suite de la fiche
— the sky? It was what you breathed. The lake? sky that fell as rain. I have been like you filled with worry, worry — then relief.
résumé du personnage
écrire ici le résumé de ton personnage / Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.
trigger warning : warnings sexualité, blagues salaces bin quoi, on le changera pas, abandon étant enfant
triggers pédocriminalité, inceste
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âge : 36 ans || 13.06.86
statut civil : les endroits insolites sont son plaisir. le cœur n'est qu'un organe servant à vivre, l'amour lui est impossible, ou plutôt, c'est lui qui a fait un trait dessus.
occupation : pilote, il fait ce qu'il aime le plus au monde, s'envoyer en l'air !
disponibilité : nothing
mes trophées :
Eh bien, curieuse de voir ce duo à l’œuvre Bienvenue, je te réserve Christian pour une durée de cinq jours
@cassie scoresby Merci ! Un avatar peu connu dans le milieu rp qui mérite à l'être un peu plus, mais au moins comme ça, je suis sûr de l'avoir si l'envie m'en prend.
@joakim hargreeves Merci ! Je suis pas sûr que mes camarades acceptent la fiche comme excuse pour mon manque de sommeil, mais tant pis.
@maverick deckard Merci ! De même, je suis très curieux de voir comment ça va se passer entre eux.
@pacey thomas Merci ! Moi aussi, j'ai hâte d'exploiter ce lien ! Je vais d'ailleurs essayer de prendre le temps de venir t’embêter un peu en mp dans la journée.
@cassiopée wilson Merci ! Une libraire ! :**: Ça peut aussi super bien marché ! Je viendrais t’embêter en mp aussi. ^^
@joakim hargreeves Ça fait deux ans que j'essaye de leur faire comprendre ce que c'est le rp, sans grand succès. Alors comprendre que je suis fatigué par ce que j'étais en train de créer un perso, ça va être compliqué
@holly kehler Merci Ton avatar et ton pseudo me perturbent. La majorité des Lili Reinhart que j'ai croisé s'appelaient ou s’appellent Holly. Elle doit avoir une tête à s'appeler comme ça
@ashley kehler Je ne vois pas de quoi tu parles Mais c'était le seul avatar que j'avais fait de lui, alors j'ai pas eu le choix Puis, bon autant se faire plaisir XD
@holly kehler Faut pas être choquée XD C'est moi qui doit être hanté par les Lili Reinhart du nom d'Holly.