vingt-neuf | en couple on/off | humanitarian | straight forward
âge, lieu de naissance › Il a inhalé sa première bouffée d'air dans cette belle ville qu'est notre Nouvelle-Orléan, vingt-neuf étés du présent. Les parents chantaient ses louanges, prophétisaient son ascension. Un nouveau nom dans la dynastie, un nouveau portrait dans le couloir. Un passé auquel repenser avec amertume. origines, nationalité ›Américain pure-souche, une fierté que ses parents, comme beaucoup d'autres choses, n'ont pas su lui transmettre. statut civil, orientation ›Soucieux d'être aimé, mais vacciné de l'engagement, il s'est empêtré dans une danse confuse avec une bénévole de son refuge. Ils s'emmêlent, se marchent sur les pieds, puis se quittent avant de décider de tenter à nouveau. Peut-être qu'un jour, ils apprendront les pas. job, statut financier › Protagoniste d'un conte pour le moins singulier, véritable histoire de riches to rags, il a renoncé à sa fortune le jour où il a fondé son propre refuge pour les sans-abris, qu'il gère depuis quatre ans, projet conclu par l'écriture d'un chèque bien juteux, signé d'un nom qu'il ne revendique plus. Depuis, le peu d'argent qu'il se fait sert à nourrir sa collection toujours grandissante de reptiles. statut familial › Probablement renié, désavoué. Un potentiel gâché par une compassion mal placée. Il entretient avec sa famille une relation éparse et conflictuelle. Au dessus de lui, un grand frère, Jericho, le modèle sur qui baser ce second jet, et en dessous, une petite sœur, Danni, avec laquelle ne pas refaire les mêmes erreurs. à la nouvelle orléans depuis ›Aussi loin qu'il se souvienne. Pourtant, il lui fallut une escale de plusieurs années à New-York pour qu'il se rende compte de l'affection qu'il lui portait. Attiré et stimulé par le potentiel culturel de ce berceau dynamique, et envieux de donner de son temps à sa communauté, il n'a jamais considéré construire sa vie ailleurs.
Even if I'm not here to stay.[one] Depuis plus jeune, Tristan souffre d'anxiété et de crises de panique dont les causes et conséquences n'ont jamais été prises aux sérieux par le reste de la famille. Ses troubles restés non traités, il a fallu qu'un épisode plus sérieux le traîne dans un lit d’hôpital pour qu'il prenne conscience que les souhaits de ses parents ne valaient pas la peine qu'on meurt pour eux. [two] Plutôt du genre solitaire, Tristan ne laisse qu'une poignée de gens entrer dans son cercle restreint. Ayant grandi dans un milieu bourgeois, entouré de personnes dont les intentions n'étaient jamais assez claires, il a développé cette croyance selon laquelle chaque personne souhaitant se rapprocher de lui le fait avec des arrières-pensées. [three] D'autre auraient tué pour grandir aussi confortablement que lui, pourtant laisser s'envoler cette fortune fut la meilleure décision de sa vie. L'argent attire les vautours, et il préfère ne rien avoir à offrir. Même si sa réputation de gosse de riche lui collera à la peau toute sa vie, et qu'on roulera gaiement des yeux chaque fois qu'il osera proclamer que l'argent ne fait pas le bonheur. [four] Jeune homme modeste malgré son éducation, il n'a jamais montré de penchant matérialiste, dépensant désormais le peu d'argent qu'il récolte en nourriture et autres ustensiles pour sa petite famille d'animaux exotique. Préférant la compagnie de ces petites bêtes aux autres être humains, il est le fier papa d'un gecko à crête, d'un python royal, d'un dragon barbu et d'une tortue. [five] Grandissant dans les beaux quartiers de la Nouvelle-Orléan, sous la tutelle de gardiens qui voyaient son avenir tout tracé, il a été formé pour suivre la voix des Apostol, pour qui tout est toujours facile. Socialites vétérans de leur belle ville, Théodore et Jacqueline Apostol auraient pû, avec une meilleure poigne, faire de lui un jeune homme dont ils auraient pû être fiers, à l'image de son grand-frère Jericho. Leur erreur fut de le laisser gambader librement, et de le laisser découvrir le monde par lui-même, côtoyer des gens qu'il n'aurait sans doutes pas dû, fréquenter des coins où ils n'oseraient jamais mettre les pieds. De découvrir toutes les facettes de cette vie qu'il aurait aisément pû manquer. [six] Tristan comprit alors très jeune qu'il n'était pas bâti pour une telle vie. Tout cet argent à disposition, gaspillé à perfectionner une dynastie au profit d'un capital social dont les vrais gens se fichent complètement. Profiter d'un système injuste qui permet de s'enrichir sur le dos d'autrui sans jamais rendre à sa communauté. Lui ne voulait pas souffrir de tels privilèges : lui voulait faire quelque chose de sa vie. Pourtant, il lui fallut du temps pour rassembler le courage de se rebeller. [seven] Il aurait dû suivre les pas de Jericho et travailler pour ses parents. A sa sortie de Columbia, il aurait dû gentiment rejoindre les rangs et aider à organiser des événements destinés au gratin de la Nouvelle-Orléans, la crème de la crème. Mais Tristan n'obtint jamais son diplôme, ne finit jamais son cursus. [eight] Le chanteur de rue, chantant le blues sur un bout de trottoir, quelques pièces dans sa casquette, tout juste de quoi se payer un repas chaud avant de rejoindre sa couchette sous le pont, la jeune maman jetée hors de chez elle, un bambin sous le sein et pas un sous dans la poche, l'ancien junkie qui essaye de reprendre sa vie en main après avoir touché le fond, mais qui a brûlé trop de ponts, ou le dépendant qui ne réalise pas encore qu'il a besoin d'aide, l'adolescente reniée par sa famille pour oser être elle-même : la misère, et le moyen d'aider. Il ne prétend pas pouvoir sauver tout le monde, mais peut-être peut-il faire une différence, aussi petite soit-elle. Ou au moins la promesse d'essayer. Une promesse faite autour d'un chèque normalement destiné à payer ses études, mais qui servit à acquérir un bâtiment laissé à l'abandon, qu'il transformera ensuite en un refuge pour les sans-abris, ou pour quiconque a besoin d'un nouveau départ. Un lit, un repas chaud, des vêtements propres, un endroit où tout recommencer. Tristan accompagne du mieux qu'il peut les personnes qu'il recueille, en les aidant à reprendre contrôle de leur vie. Il ne génère aucun bénéfice, et n'emploie personne. Il est tout aussi volontaire que ses collaborateurs. [nine] Ses parents seraient au moins heureux d'apprendre que son éducation lui sert aujourd'hui à quelque chose. Jeune homme cultivé, il a quand même retenu deux-trois petites choses de son passage dans ces prestigieuses écoles. Il dispense ses connaissances moyennant finance, donne des cours particuliers à des étudiants. Ça ne paye pas des masses, mais ça laisse les lumières allumées à la fin du mois. Un jour, il devra songer à trouver une réelle activité en parallèle du centre, mais c'est un sujet auquel il préfère ne pas penser. [ten] Il critique ses parents pour se placer sur un piédestal, mais se croit moralement supérieur. Son altruisme alimente son arrogance, et côtoyer la misère l'a rendu plus dédaigneux des problèmes qu'il n'estime pas suffisamment grave. Il a renié sa fortune, mais pense quand même pouvoir avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière. Il n'est pas parfait, Tristan. De bien des façons, il se cherche encore.
one day, maybe we'll meet again. - pseudo, prénom › math. - âge, pays › 24, france. - avatar, crédits › logan lerman bb, lempkia. - type de personnage › pré-lien de @megan deckard- comment as-tu connu le forum ? › bazzart. - autres, une dédicace ›
Spoiler:
Un lien avec un membre @megan deckard(best friend) Deux individus ne pourraient pas être plus différents, et leur lien ne fait presque pas de sens. Pourtant, le destin à cette façon de mettre sur votre chemin la personne dont vous avez le plus besoin. Tristan ne réalise pas complètement l'impact que cette jeune fille rencontrée sur les bancs de l'école a eu sur sa vie, et Megan n'aura probablement jamais conscience de son importance. Pour leur rencontre fut le jour où tout bascula, un effet papillon qui les amènera, plusieurs années plus tard, à partager le même petit appartement. A différent stage de leur vie, mais toujours ensemble quoi qu'il arrive.
Deux recherches de liens (♂ou♀/bénévole) Jeune homme relativement secret, on ne saurait dire au premier abord que Tristan est le gérant du refuge. Et si il préfère qu'on le considère comme un bénévole au même titre que les autres, il prend un point d'honneur à connaître chaque habitués qui viennent régulièrement aider. (♂ou♀/eat the rich) Il est loin le temps où Tristan jouait dans les immenses jardins des villas des connaissances de ses parents, avec les autres gosses de riches. Élevés dans les même cercles, entre entraide et rivalités, c'est une vie que le jeune Apostol a désormais laissé derrière lui. Mais les nouvelles vont vite, et les gens ne disparaissent pas simplement de la surface de la Terre, ce serait beaucoup trop facile.
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(#)Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 0:00
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[ The day is incomplete
The thoughts of total defeat ]
I don’t know what is happening to me, Or if I’ll die ‘cause I just never sleep.
> C O L O M B I A . U N I V E R S I T Y, (2 0 1 4) Les scandeurs de la nuit résonnaient toujours dans sa tête. Pour lui, le matin n’était jamais arrivé. Emprisonné dans une boucle vertigineuse, cette impression de tomber dans le vide lui nouant l’estomac, l’empêchant de reprendre le contrôle. Son cœur battait à s’en déchirer la poitrine, ses poumons réclamant de l’oxygène, tout ce qu’il put inspirer fut un air souillé, relent des débaucheries dont son appartement avait été le théâtre. Alcool et drogue, il avait tout essayé cette nuit-là dans le but de ne pas penser à l’après, pour oublier qui il était censé être et ce qu’il faisait si loin de la maison. Mais l’aube s’était pointée sans lui demander son avis, avait apporté avec elle un nouveau jour, et c’était plus que ce que Tristan pouvait supporter. Quel toupet avait le monde de continuer de tourner ainsi, tandis qu’il souhaitait juste arrêter le temps. Quelques instants seulement, le temps de reprendre son souffle. Mais la lune n’avait que faire de ses souffrances, et elle disparut par où elle était arrivée, l’abandonnant dans sa détresse. Non, je ne peux plus faire semblant, c’est au-dessus de mes forces. Ses enceintes étaient silencieuses, mais la musique vibrait toujours dans ses oreilles : une symphonie sinistre, narrant sa perte. Si forte qu’il ne s’entendît plus penser. Il se boucha les tympans, en vain. Se réfugia sous sa couette pour seulement suffoquer. Se jeta sous la douche tout habillé dans un effort de noyer le bruit. Désemparé, il appela à l’aide. D’abord littéralement, hurlant à s’en briser la voix, puis par message. Envoyé à Megan, à l’autre bout du pays, s.o.s cryptique tapé avec des doigts tremblants. Je veux que ça s’arrête. Et tandis que New-York s’éveillait, lui était prêt à s’endormir. Une pilule, deux pilules, trois pilules : ces somnifères qu’on lui avait prescrit pour ces insomnies qui le zombifiaient depuis des mois, avalés comme une poignée de bonbons, rincés avec un restant de bouteille qui traînait sur le sol. Dangereux mélange, pourvu qu’il lui procure ce qu’il désirait tant : un peu de noir, un peu de silence. Un peu de paix.
Bip. Bip. Bip. Le son des machines le tenait éveillé, forcé d’endurer le regard de ses visiteurs. Un lavage d’estomac et le verdict était tombé : beaucoup de traces avaient subsistées, indications que Tristan s’était un peu trop laissé aller, avait succombé aux tentations trop nombreuses qu’offraient l’expérience universitaire. Les somnifères pouvant être cause d’inquiétude, ses parents avaient bien sûr trouvé le moyen de balayer ce point sous le tapis afin de renforcer leur version des faits : leur fils n’avait pas eu une crise de panique qui l’avait, cette fois, mené aux portes de l’enfer, oh non, il s’était simplement laissé entraîner par l’effet de foule, n’avait pas su s’arrêter. Et ils étaient oh si furieux de l’apprendre. > Je ne me souviens de rien. Murmura-t-il en contemplant la pièce blanche qui l’enfermait. Mais il n’avait pas besoin de se souvenir pour savoir ce qui l’avait entraîné ici. Ses crises de panique étaient devenues de plus en plus fréquentes depuis que l’année scolaire avait reprise, et de plus en plus intenses également. Ce n’était qu’une question de temps avant que son anxiété ne prenne le dessus et qu’il y abandonne tout contrôle. > Le contraire m’aurait étonné, railla Théodore Apostol, les bras croisés sur sa poitrine, le regard désapprobateur, Avec tout ce qu’on a retrouvé dans ton estomac. Enfin Tristan, qu’est-ce qui t’es passé par la tête ? Il haussa les épaules sans lui répondre. Probablement la même chose qu’à chaque fois. > L’école nous as appris que tu n’as assisté à aucune de tes classes depuis plusieurs semaines. Dois-je te rappeler que l’argent qui te permet de vivre et d’étudier ici, mais que tu préfères gaspiller en cochonnerie sort directement de notre poche ? Jericho ne nous as jamais donné autant de soucis. Interjeta Jacqueline Apostol, histoire de bien remuer le couteau dans la plaie. Mais Tristan ne pouvait rien entendre, se concentrant sur le bruit du moniteur, relayant la déception de ses parents en arrière-plan. Rien de ce qu’ils pourraient dire ne l’atteindrait, pour il n'était qu'une coquille vide. > N’as-tu donc rien à dire pour ta défense ? Devant son mutisme défiant, la frustration grimpait, mais un léger mouvement de main du paternel parvint à étouffer l’étincelle qui menaçait de faire exploser la matriarche. > Eh bien, si tu ne comptes pas te soucier de ton éducation, et puisque tu n’es vraisemblablement pas aussi mature que nous le pensions, autant que nous gardions un œil sur toi, jeune homme. Tu rentreras à la maison avec nous, et tu y resteras le temps que tu te rétablisses. Très bien, pensa Tristan. Qu’on l’emmène loin de cette maudite citée. Malgré tout ce que ça signifiait, il était pressé de retrouver la maison, et les personnes qu’il avait laissées derrière lui. > Mais une chose est sûre mon garçon, tu devras travailler très dur pour rattraper tout le temps que tu as perdu. Peut-être y-réfléchiras-tu à deux fois la prochaine fois, avant de dénigrer ton avenir.
[ You awoke into my night
You could see the madness in my eyes ]
I’ve lost control please save me from myself.
Sa vie défilait devant ses yeux. D’une certaine façon, il avait l’impression de mettre son ancienne vie dans la tombe. Car il n’y avait pas de retour en arrière, et il en était pleinement conscient. Néanmoins, il ne se laisserait pas cette idée le secouer. Un an plus tôt, il se réveillait dans une chambre d’hôpital dans l’état de New-York, souffrait des réprimandes de ces parents qui attendaient de lui qu’il se relève et continue sur la voie au bout de laquelle il ne voyait pas de fin heureuse. Theodore ignorait alors à quel point il avait tort. Il n’y a pas de chemin plus dangereux que celui qu’on arpente les yeux fermés, et ses yeux étaient désormais bien ouverts. Et il ne jouerait plus jamais les aveugles. Pour méprisant qu’il put être vis-à-vis du train de vie de sa famille tout au long de son éducation, ils lui avaient bien appris comment enfouir sa tête dans le sable, et trop longtemps il avait renié sa vraie nature, celle qu’il étouffait chaque fois qu’il passait les murs de la demeure des Apostol. Cette personne, cet adolescent révolté qui crachait son venin au premier venu sans jamais confronter les responsables de sa colère, ce gosse de riche qui avait la tête sur les épaules, mais qui ne challengeait en rien ce système qui le privilégiait malgré lui, ce jeune homme qui, après tout ça, s’est quand même engagé à Columbia, ne pouvant laisser passer sa chance à une éducation d’élite, ce n’était pas lui. Ce n’était plus lui.
Mais alors, qui était-il ?
Tristan, c’est un petit garçon qui a vu plus de chose qu’il n’aurait dû. Le résultat d’une assurance mal placée, d’une liberté que son grand-frère Jericho n’avait jamais eu le luxe de connaître. C’est un mélange de leçons confuses et contradictoires, c’est se faire entendre qu’il vaut mieux que les autres, puis sortir de la chambre d’écho et réaliser qu’il n’est pas plus spécial que quiconque. Tristan, c’est des influences non-approuvées, mais gardées secrètes jusqu’à ce qu’il soit trop tard. C'est une vision du monde qui diffère : non pas vue d’en haut, comme d’un piédestal, mais immergée dans la foule, en plein centre. Sa personnalité fut façonnée de bien des façons, par des personnes qui ne réaliseront jamais l’étendue de leur influence. Par des personnes qui lui insufflèrent la volonté de faire mieux.
Autant dire que les relations avec ses parents se sont détériorés quand il était devenu apparent qu’il ne remettrait plus jamais les pieds à Columbia. Mais rien ne comparerait à leur réaction quand ils apprendront ce qu’il ferait de cet argent destiné à sa scolarité. Il avait parfaitement conscience qu’une fois ce chèque encaissé, on ne lui pardonnerait jamais cet affront, ce rejet d’un futur spécialement choisi pour lui. Une simple signature se tenait entre lui, et la liberté.
> Les parents sont furieux, et puisque tu refuses de répondre à leurs appels et qu’ils ignorent où tu te trouves, ils m’ont chargé de te prévenir que tu viens de gaspiller la dernière somme d’argent que tu ne recevras jamais d’eux. Parfait, pensa Tristan en sentant un énorme poids s’élever de ses épaules. C’était tout ce qu’il avait toujours voulu : s’émanciper de cette malsaine influence, se dissocier de cette famille qui utilisait sa richesse comme d’une carotte au bout d’un fil. Son sourire reflétait sa fierté pour s’être échappé de ce cycle, tout en trahissant une pointe de tristesse, car sa quête de liberté l’avait contraint à brûler bien des ponts. > Que vas-tu faire maintenant, Tristan ? Il l’ignorait. Pour la première fois de sa vie, il pouvait penser clairement, et les possibilités qui s’offraient à lui étaient aussi grisantes qu’écrasantes. > M’occuper du centre, essayer de faire une différence. Beaucoup de gens dans cette ville ont besoin d’aide. Le silence au bout du fil lui noua l’estomac. Danni avait beau être là pour lui, elle partageait la confusion du reste de sa famille. Ayant grandie dans une maison prônant l’égoïsme, elle ignorait d’où il tenait cette aspiration. > Tu es seul ? Ce fut au tour de sa sœur d’endurer son mutisme. Il regarda autour de lui : cet appartement aurait du mal à contenir plus d’une personne. Gonzo, son gecko à crête, le regardait depuis sa cage. Son petit animal lui tiendrait compagnie. Et puis il y avait Megan, qui serait à ses côtés quoi qu’il arrive, mais ce n’était pas ce que Danni voulait entendre. > Oui. Avoua-t-il dans un murmure. > Tu ne devrais pas.
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 0:00
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‹ Invité ›
Quelle jolie plume J'ai hâte d'en lire plus Bienvenue parmi nous
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 0:14
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‹ Invité ›
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE !!!
Bonne chance pour ta fichette !
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 0:57
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‹ Invité ›
Bienvenuuuuue ! Bon courage pour ta fiche, j'adore ce que je lis
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 1:55
Mabel König
‹ staff ›
champ sous l'avatar :
live life from dream to dream
résumé du personnage
Naissance à NOLA le 3 janvier 1994 • parents allemands et coréens qui ne s'aimaient plus mais restaient ensemble pour elle • décès de ses parents en 2005 à cause de l'ouragan Katrina • placée en famille d'accueil à 11 ans • arrivée chez les Weaver à 12 ans • transition difficile, fermée, solitaire • retrouve finalement le goût de vivre et d'échanger avec les autres pendant l'adolescence • s'engage dans des associations pour reconstruire la ville et aider les personnes dans le besoin • passion pour l'humanitaire • fait des études courtes puis se lance de manière professionnelle • allers-retours constants à NOLA, elle fait des missions de plusieurs mois parfois à l'autre bout du monde, mais revient toujours dans ce port d'attache
altruiste | têtue | vive | franche | volontaire | pas du matin | organisée | rusée
trigger warning : warning : deuil, catastrophe naturelle, potentielles scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide). trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif :
âge : vingt-neuf ans - 03.01.1994
statut civil : ne reste pas assez en place pour garder une relation, célibataire par choix, effleure les corps par envie.
occupation : coordinatrice humanitaire, elle enchaîne les contrats auprès de diverses associations, tantôt pour reconstruire une ville, nettoyer les océans ou distribuer des médicaments.
habitation : #394 Vieux Carré, dans une colocation où elle ne vit que par intermittence.
mes trophées :
Han, Logan On le voit pas assez, c'est un super choix ! Bienvenue sur le forum et bon courage pour la fiche C'est un très bon choix de pl que tu fais là, il nous faudra un lien avec Peter
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 3:34
Invité
‹ Invité ›
le pseudo et le choix de pl bienvenue parmi nous
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 6:26
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue.
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 6:33
Invité
‹ Invité ›
bienvenue parmi nous avec le beau logan :l:
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 8:06
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue!!!
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 8:06
Invité
‹ Invité ›
petit logan bienvenue parmi nous
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 9:45
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 10:12
Invité
‹ Invité ›
Hellcome
Bonne continuation pour ta fiche
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 10:14
Invité
‹ Invité ›
bienvenue parmi nous et bon courage pour le reste de ta fiche
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 10:40
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue.
Et bon courage pour ta fiche.
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 14:06
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue parmi nous
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 14:08
Invité
‹ Invité ›
Logaaaaannnnn :**: on ne l'a pas vu depuis un moment!! Il est adorable!
Bonne rédaction et bienvenue
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 16:26
Mica Welsch
‹ staff ›
champ sous l'avatar :
theatre is mirror, a sharp reflection of societythose who give me the line
statut civil : dans les méandres d'un secret lourd, il se dit en couple, le clame, mais jamais il ne parle directement de cette personne qui partage sa vie.
habitation : w/ lucius
disponibilité : open ; 4 en cours
mes trophées :
Awn Logan on le voit tellement peu depuis quelques temps Excellent choix de pl et puis cette plume Je vais t'avoir à l'oeil avec mon Maverick on brise pas le coeur de la sista !!! Bienvenue, je te réserve Logan pour une durée de cinq jours
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 16:39
Invité
‹ Invité ›
Cette plume, ce choix de pl, cette bouille Bienvenue parmi nous & bon courage pour la suite de ta fiche
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 19:26
Invité
‹ Invité ›
Merci à tous, vous êtes adorables.
J’avance tout ça, doucement et sûrement.
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03) Mar 10 Mar - 19:47
Contenu sponsorisé
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(#)Re: Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03)
Let the darkness lead us into the light. (délai 17/03)