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 same game, different rules (Joakim)

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Isaac Evans
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Isaac Evans
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The memories still hurt.
résumé du personnage
Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

passionné | créatif | possessif | sanguin | rancunier | jaloux | sincère | loyal | travailleur | joueur | ponctuel | fermé | secret | à l’écoute | attentionné | doux | fier | sentimental

messages : 7666
rps : 221
name : Undecided. (Sophie)
faceclaim : Diego Luna + suskind (avatar) ; bat'phanie (signature) ; blood eagle (profil) ; hawkicons + brooklycons (icons) ; crackship&crap (crackship)
multinicks : Pandora, Mabel, Adriel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : décès d'un être proche, deuil, victime d'homophobie, crises de panique, mention de toxicomanie, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide)..
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : same game, different rules (Joakim) 6161
âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
statut civil : fiancé à Aoden, pas de blague cette fois.
occupation : propriétaire du Snug Harbor Jazz Bistro, son havre de paix.
habitation : Faubourg Marigny, appartement 238, au dessus du club.
code couleur : #4E90BB
mes trophées : same game, different rules (Joakim) U9ae
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[ same game, different rules ]
@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
La nervosité joue avec tes nerfs depuis que tu as envoyé ce sms. Peut-être que tu n’aurais pas dû, tu as peur que ce soit une erreur et pourtant tu ne peux t’empêcher de regarder encore et encore l’écran de ton téléphone pour voir une réponse. Il est en chemin, c’est ce qu’il t’a dit il y a de longues minutes déjà, mais ça ne t’aide pas à te rassurer. Il y a quelque chose de différent dans tout ça, dans cette manière que tu as de penser à lui. Depuis cette fois où il venu à l’improviste chez toi, tu te retrouves à rester éveillé la nuit en pensant à ce que ces autres hommes peuvent lui faire. Et au fond de tes entrailles, il y a une jalousie qui se réveille, qui grandit doucement dans le noir. T’aurais pas dû lui dire de venir Isaac, mais c’est trop tard pour revenir en arrière maintenant. Du mieux que tu peux, tu jongles encore entre les verres, les clients et tu tentes de te divertir comme ça, mais l’envie de le voir devient de plus en plus pressante. Le voir, le sentir, le toucher. Ca fait des semaines que vous ne vous êtes pas vu et tu n’en peux plus, chaque parcelle de ton corps semble crier pour lui. Affamé que tu es, pour un mec dont tu ne connais même pas le prénom. Un mec qui n’est pas pour toi, parce que tu n’es bien pour personne Isaac, trop brisé que tu es. Finalement, dans la poche tu sens ton téléphone vibrer et ta réaction est instantanée. Trop rapide Isaac, tu te sens idiot de réagir de la sorte, mais le manque se fait ressentir un peu trop fortement. Il est là. C’est ce qu’il te dit dans son message et en quelques secondes tu te tournes vers Ellis. Ce n’est pas la première fois que tu laisses tes employés gérer la fermeture, tu leur fais confiance et maintenant que les clients se font moins nombreux, tu n’as pas peur de laisser le navire entre leurs mains. De toute façon, tu n’es jamais bien loin. Tu as envie de terminer ta soirée en faisant bien autre chose, mais tu sais qu’en cas de problème ils feront appel à toi. Tes indications données, tu passes donc de l’autre côté du bar, traverses le bistro pour prendre la sortie habituelle. Depuis l’intérieur, tu peux également accéder à un escalier qui mène au-dessus, directement dans ton appartement, mais ton rendez-vous t’attends dehors. Il ne te faut pas longtemps pour le repérer, quelque chose dans ta poitrine se resserre, ton coeur sans doute mais tu ne veux pas y penser. « Salut. » Un sourire que tu lui lances, sans te rapprocher de trop. D’un mouvement de tête tu lui indiques l’angle du bâtiment, vous le passez pour trouver la porte d’entrée. Un long escalier se dessine devant vous, mal éclairé et étroit. Tu passes devant, pour lui montrer le chemin mais le jeune homme est déjà venu ici de nombreuses fois. Pourtant, la nervosité qui t’habite pourrait donner l’impression que c’est une première pour vous deux et, dans un sens, peut-être que ça l’est. Arrivé en haut de l’escalier, tu prends dans ta poche les clés pour déverrouiller la porte, avant de l’inviter à entrer. La décoration n’a pas changé, actuellement l’appartement n’est pas bien rangé mais il s’en fiche sans doute autant que toi. Vous n’êtes pas là pour commenter ton espace de vie. Derrière lui tu refermes la porte et, légèrement gêné, tu passes une main sur ta nuque, posant ton regard sur son visage qui t’avait manqué. « Comment tu vas ? » Tu n’es pas certain que ça respecte les règles, de poser cette question. Peu importe, après tout si tu veux le payer pour une conversation à coeur ouvert, c’est ton droit, non ? Mais tu as d’autres idées en tête, il est proche, ton corps crève pour sa peau sur la tienne alors en quelques pas, tu t’approches de lui. « Hey… » Un souffle, tu le salues à nouveau un peu maladroitement, avant d’approcher lentement ton visage du sien. T’as l’impression d’être un gosse, Isaac. Qu’aujourd’hui est votre premier baiser alors que ce n’est pas le cas du tout. Tes lèvres frôlent les siennes, doucement et puis lorsque finalement tu l’embrasses, tu sens ton corps entier s’embraser. Un baiser qui te donne la sensation de revivre et que tu approfondis rapidement en plongeant tes doigts dans ses cheveux. Et pourtant, si une certaine fougue s’empare de toi, il y a aussi une douceur nouvelle dans cet échange que tu as longtemps attendu.
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(#) same game, different rules (Joakim)    Lun 27 Avr - 15:35
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ft @Isaac Evans
Les soirées il y passe sa vie, parce que c'est le meilleur endroit pour chopper des clients. Mais parfois il a l'impression que sa tête va exploser à force d'entendre la musique cogner dedans. Heureusement il s'accorde des week-end pour se reposer. Mais aujourd'hui c'est travail. Peut-être même bien qu'il a réussi à brancher une fille, mais il n'est sûr de rien. C'est toujours plus compliqué avec les filles, parce qu'elles pensent que tu les dragues pour les chopper et ne s'attendent donc pas une seconde à devoir dépenser de l'argent pour baiser avec toi. Faut dire que pour beaucoup elles n'ont qu'à lever le petit doigt pour chopper. Surtout en boite, tellement de mecs en chien. Le tout après c'est qu'elles tombent sur des mecs qui leur plaisent. Mais c'est une réalité, Exta a toujours eu plus de facilité à trouver client chez les hommes que chez les femmes. A nouveau seul il ne met que quelques secondes à attraper son portable en le sentant vibrer. Ses sourcils se haussent. Isaac. Sa respiration, sans qu'il ne s'en rende compte, se bloque, et il ouvre le message. Soupire de soulagement. Il veut le voir. Ça fait longtemps, trop longtemps. C'est rare qu'ils se passent autant de temps entre deux baises entre eux. Et il a un peu flippé à se sujet J. Il s'est dit que si ça se trouve il avait fait une grosse erreur en débarquant chez lui mal en point. Que ça avait tout changé. Et s'ils se sont revu une fois après ça parce qu'il avait tenu à le remercier de son hébergement et de sa gentillesse par la seule chose qu'il sait faire, ils ne se sont pas revu après ça. Tout gâché, il en a eu peur quelque part oui. Et pas uniquement parce qu'Isaac est un bon client qui paye généreusement. Non, même si ils passent essentiellement leur temps à flirter et baiser il fait partis des clients avec qui il apprécie passer ce temps. Et puis l'autre jour il l'a découvert sous un nouveau jour aussi, ça ne lui a pas déplu. En fait c'est bien ça le problème. C'est qu'en combinant tout ça il se rend bien compte qu'il l'apprécie donc ça le fait chier de plus le voir. Mais ça y est, il a à nouveau envie qu'il se voit, et à l'idée de passer la soirée avec lui il est ravis le châtain ! Sans attendre il sort du bar pour prendre la direction de celui d'Isaac. Se rappelant qu'il n'a pas répondu c'est du coup sur le chemin qu'il le prévient qu'il arrive. Les mains dans les poches et la démarche plutôt rapide il arrive enfin à destination. Ne sachant pas s'il est chez lui et s'il doit monter directement pour frapper ou bien s'il est en bas dans le bar il préfère lui envoyer un autre sms pour le prévenir qu'il est arrivé. Le temps qu'il arrive Exta tourne un peu sur lui même, marche un peu et regarde autour de lui, jusqu'à ce que sa voix parvienne à ses oreilles « Salut. » il tourne la tête vers lui et un sourire étire ses lèvres "Salut" sans attendre plus il le suit et monte les escaliers qui le mènent à son chez lui. Ce chez lui qui a aussi été le sien le temps d'un soir, quelque part. Il lui avait même piqué une de ses chemise ou un de ses tee-shirt si sa mémoire est bonne. Mais ça n'est pas le moment de se remémorer cette soirée, il est la pour une bonne raison et c'est pour faire son job « Comment tu vas ? » il arque un sourcil mais sourit à nouveau "Ça va" d'un hochement de tête il appuie ses dires "Ça va très bien même" maintenant qu'il est la. Non seulement sa paye de la journée est assurée mais en plus il sait qu'il va passer une bonne soirée. « Hey… » il y a quelque chose qui ne va pas. Qui est bizarre, qu'est pas normal. Il s'approche si lentement et pourtant il n'a pas l'impression que c'est pour le faire languir, non c'est autre chose. Quelque chose qu'il connait moins. Alors ce long moment d'absence ça voulait peut-être bien dire quelque chose. Ses yeux se ferment quand ses lèvres s'emparent enfin des siennes et sans s'en défaire et retire sa veste pour la laisser tomber au sol. Si ça a toujours été chaud entre eux et pas forcément toujours brutal il en restait que cette douceur le surprenait un peu. Et que déjà, il se posait trop de question. Mais il les balaye. Ses mains viennent encadrer la mâchoire du brun et ses pouces caresser ses joues alors qu'il prolonge ce premier baiser depuis longtemps. Puis ses mains descendent, d'une caresse sur son torse encore habillé elles tracent un chemin invisible jusqu'à sa ceinture qu'elles s’attellent à défaire. D'un geste rapide, pressé, il lui baisse pantalon et boxer en même temps. Ses mains glissent sur ses fesses et il se mort la lèvre le gamin, plongeant en ses yeux un regard embrasé par le désir. Il penche la tête pour embrasser et mordiller son cou et lentement il fléchis jusqu'à se retrouver à genoux devant lui. Il effleure son sexe de ses lèvres, apprécie de le voir déjà réagir. Et en levant les yeux vers lui il décide finalement, un petit sourire au coin des lèvres, de simplement ouvrir la bouche et tendre la langue, l'invitant à lui même entre en lui. Aguicheur.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Lun 27 Avr - 18:16
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Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

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trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
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âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
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@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
Etrangement, recevoir ce sms d’Exta pour te dire qu’il est en route, ça ne calme pas tes nerfs. Tu as attendu des semaines avant d’oser l’appeler à nouveau, et une part de toi avait peur qu’il dise non. Cette soirée qu’il a passé chez toi, sans que vous ne couchiez ensemble, elle avait semblé le perturber, il ne cessait de répéter qu’il n’aurait pas dû venir, que les choses allaient forcément être différentes entre vous. Alors oui, t’as eu peur qu’il ne veuille plus te voir et qu’il ne réponde pas à ton message. Mais au fond, tu sais pourquoi il est là. Venir jusqu’ici, ça veut dire pour lui qu’il va être payé, qu’il va pouvoir se nourrir pendant quelques jours. T’es un simple client à ses yeux, il ne fait que bosser avec toi et ça, ça te fait réellement peur. Tu t’attaches Isaac, t’oses même pas encore te le dire intérieurement et pourtant c’est vrai, ce gamin il t’est rentré dans la tête. Une fois qu’il te dit qu’il t’attend dehors, tu ne perds pas de temps. Tu distribues tes instructions et tu sors le rejoindre, lui adressant un sourire auquel il répond rapidement. Sans attendre, tu guides votre ascension jusqu’à l’intérieur de ton appartement, sans que vous ne vous touchiez. Tu en rêves pourtant, tu sentir sa peau contre la tienne, mais tu redoutes ce moment tant attendu. Ca fait tellement longtemps, t’as la sensation d’être un adolescent sur le point d’embrasser quelqu’un pour la première fois, c’est totalement ridicule. Alors une fois la porte refermée derrière vous, tu lances une conversation. Simple, tu lui demandes seulement comment il va, mais tu as conscience que cette question dépasse les règles tacites installées entre vous. Il te dit qu’il va bien et ça te rassure, tu préfères le savoir en forme. Tu tentes de ne pas penser à ces autres personnes qu’il a vu depuis votre dernière partie de jambes en l’air, ça te regarde pas et tu ne veux pas te mettre en colère à cause de ça. Simplement, tu hoches de la tête pour montrer ton approbation. Puis tu ne résistes plus, lentement tu t’approches de lui, prononce un simple mot avant que vos lèvres ne se frôlent, se cherchent, et finalement se redécouvrent. Le jeune homme répond immédiatement à ton baiser, mais de ton côté il est différent de tous ceux que vous avez partagé auparavant. S’il y a une certaine urgence dû au fait que vous n’avez pas fait ça depuis des semaines, il y a également une certaine douceur, une lenteur. Tu veux prendre ton temps ce soir Isaac, tu veux réellement le sentir, partout autour de toi. Mais lui ne semble pas du même avis. Il commence déjà à te caresser, ses mains qui passent rapidement sur ton torse avant d’attaquer ta ceinture, ses lèvres qui glissent dans ton cou. Instinctivement, un râle sort de ta gorge. Il sait ce qu’il fait le gamin, et après tout ce temps il n’a pas oublié comment te faire réagir. C’est bon, tu pourrais te laisser aller là, comme ça, mais ton coeur crie pour autre chose. Stupide organe que tu voudrais t’arracher parfois. Les yeux d’Exta sont noirci de désir et ça te fait quelque chose, de le voir dans cet état là, pour toi. Ses mains se posent sur tes fesses, ça te fait rejeter ta tête en arrière ça, et tu fermes les yeux. Déjà tu commences à réagir, il t’a trop manqué pour que tu restes neutre trop longtemps. Déjà débarrassé de ton pantalon et de ton boxer, tu es libre de prendre de l’ampleur. Et il le sait ça, il le voit Exta, l’effet qu’il te fait. A genoux devant toi, il ouvre la bouche, une lueur riante dans les yeux et ça te rend fou. Il s’offre à toi, littéralement, et ça serait si simple d’accepter. « Relève-toi. » C’est une torture de dire ces mots alors que tu pourrais te rapprocher de la délivrance, ici et maintenant, mais tu sais que c’est un mal pour un bien. Tu te penches suffisamment pour que tes doigts agrippent le tee-shirt d’Exta et tu l’aides à se redresser. Tu fais deux pas, suffisamment pour te débarrasser des vêtements qui étaient coincés à tes chevilles et, tout en le regardant, tu retires ton tee-shirt, dernier tissu que tu portais. « T’es encore beaucoup trop habillé. » Alors sans perdre de temps, tu t’attaques à ses vêtements à lui, retirant son tee-shirt puis liant à nouveaux vos lèvres. Plus de passion peut-être cette fois, mais tu ne perds pas ta plus grosse envie. Celle d’être doux, celle de le découvrir d’une autre façon aujourd’hui. Tes doigts s’appliquent sur sa ceinture, tu déboutonnes son pantalon et le laisse tomber à ses chevilles. Puis tu le fais reculer. Doucement, pour qu’il ne trébuche pas, et tout en marchant tu l’embrasses à nouveau. Connaissant les lieux par coeur, tu le guides vers ta chambre, où vous serez plus à l’aise. C’est ridicule sans doute, vous avez déjà fait ce genre de choses dans les endroits les moins confortables qui soit, mais c’est sans doute un souvenir de cette nuit que vous avez passé ensemble qui te revient en mémoire. Une nuit seulement à parler et dormir, sans rien d’autre. Arrivé à la porte de ta chambre, tu décales tes lèvres pour déposer des baisers dans son cou, et finalement remonter vers son oreille. « J’ai tellement envie de toi. » Il est là, le secret inavoué. Tu n’as pas envie de coucher avec n’importe qui Isaac, ce n’est pas un besoin de t’envoyer en l’air comme tu pouvais le ressentir les premières fois où tu as fait appel à lui. Non, ce soir c’est de lui que tu as envie, et tu as conscience que seulement lui saura te donner ce que tu veux vraiment. Et pourtant, malgré tes mots tu n’as toujours pas touché la partie de son anatomie qui a le plus besoin de ton attention, tout comme tu ne l’as pas longtemps laissé te toucher toi. « On a toute la nuit devant nous, on peut prendre notre temps. » Tu sais qu’il pourrait protester face à ça, te dire qu’il a d’autres clients après toi, mais il sait également que si ce n’est qu’une question d’argent, tu es prêt à mettre plus pour qu’il reste plus longtemps. Pas une seule seconde, alors que tes mains caressent son torse, tu ne te dis que c’est ton attitude, qui pourrait le braquer.
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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Mar 28 Avr - 14:50
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ft @Isaac Evans
Il est prêt, plus que prêt à le recevoir. Et puis ça fait longtemps. Quelque part, en plus de son job, il en a envie. L'envie peut se lire dans ses yeux facilement avec n'importe quel client, parce que c'est aussi son job de faire semblant, de donner l'impression au client qu'il crève d'envie de lui. Mais il est le seul à savoir la vérité. Et la, il a envie du brun. Il va simplement profiter. Et il aime tellement voir l'envie qu'il lui provoque aussi. Ce sexe qui gonfle déjà, sa tête qui bascule en arrière. Même quand il doit être la plus soumise des putes il a ce pouvoir la. Quelque part il détient une clé, quelque part il a un contrôle en étant la salope. « Relève-toi. » ça.. ça il ne s'y attendait pas par contre. Ça le surprend. A cet instant il perd ses certitudes. Lui qui pensait savoir ce qu'il voulait. Ou en tout cas qu'il ne résisterait pas à l'envie de se faire tailler une pipe. Mais c'est Isaac qui est aux commandes alors même décontenancé il se relève, avec son aide vu qu'il a attrapé son tee-shirt à cause de son temps de réaction. Mais il ne fait que l'accompagner, sans brutalité. « T’es encore beaucoup trop habillé. » et son sourire s'étire à nouveau. Si ce n'est que ça alors ça va ! "Rectifions ça alors" d'ailleurs il ne l'a pas attendu. Leurs lèvres se rejoignent à nouveau et le châtain passe ses mains sous son tee-shirt. Caressant sa peau de la pulpe de ses doigts et profitant de la première ouverture pour lui retirer ce dernier vêtement. Sous cette légère pression qu'il a sur lui il recule doucement, se débarrassant à son tour de tout ce qu'il le gêne à ses chevilles. Il le laisse le diriger, aveuglément, puisque même s'il connait la maison, à reculons et les yeux fermé pendant qu'il ne lâche plus ses lèvres il aurait du mal à se diriger tout seul. Sa langue vient se régaler de la sienne. Il se délecte de ce contact. Soupire contre ses lèvres et rouvre les yeux, bouche toujours entre ouverte quand il sent ses lèvres venir éveiller les sensations dans son cou. « J’ai tellement envie de toi. » phrase qu'il murmure à son oreille et il frissonne. Ses mains remontent dans les cheveux du brun et ses doigts s'y perdent, s'y agrippe légèrement alors que contre son front il colle le sien. Les yeux plongés dans les siens après s'être attardé sur ses lèvres "Moi aussi la céramique de ses dents vient mordiller sa propre lèvre inférieure "Très envie de toi" et son regard s'abaisse à nouveau sur ses lèvres si pleines. Attiré comme un aimant il a juste envie de lui sauter dessus « On a toute la nuit devant nous, on peut prendre notre temps. » mais subitement ses yeux remontent dans les siens. Toute la nuit ? C'est long une nuit complète, déjà plusieurs heures ça permet de faire pas mal de choses alors pourquoi veut-il s'attarder autant ? Il va juste dépenser plus. Pourquoi veut-il prendre son temps ? Sans être pressé rien ne les empêche de faire comme d'habitude. Peut-être que les envies changent oui c'est vrai mais ça lui semble curieux que ça arrive après ce long moment sans se voir, après qu'il ai débarqué chez lui et qu'Isaac ai pu constater que ça ne se passait pas toujours super bien avec les clients "Qu'est ce qu'il se passe ?" sa mâchoire se crispe. En soit il ne devrait pas poser de question, juste se contenter de faire ce qu'on lui dit. Mais il doute le gamin. Il a peur que ça soit réellement ce qu'il imagine. Il n'aurait réellement pas dû venir ici. Mais c'est ce qu'il avait fait et ce qui avait tout changé entre eux visiblement. Il le savait que ça serait différent "Je veux pas de pitié tu le sais" il n'en a jamais voulu, de personne. Il n'est pas un animal blessé. Il n'est pas une pauvre petite chose fragile. En réalité il est même beaucoup plus fort et capable d'encaisser qu'une majorité de personnes. Et il ne veut surtout pas qu'on le ménage pas peur de le brusquer. Hors il sait ce qu'il aime le brun et il voit bien que c'est différent la. Même dans ses gestes "Je sais pas si tu veux me faire rester plus longtemps parce que tu penses que j'ai besoin de plus d'argent et que tu veux m'aider, je sais pas si t'es plus tendre que d'habitude parce que t'as peur de me blesser mais je te l'ai dis, je vais bien, et ça ira bien aussi quand je sortirais d'ici" parce que ça ne tourne jamais mal avec lui. Il soupire longuement "Alors te retiens pas, fait ce que tu aimes vraiment, et ça prendra le temps qu'il faut mais oublies ce que tu as vu l'autre jour" c'est pas l'image qu'il veut qu'il ai de lui. En soit il n'est pas certain que l'image d'une pute soit bien glorieuse non plus mais c'est ce qu'il est au moins.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Mar 28 Avr - 17:59
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Le désir si familier te prend déjà les entrailles et pourtant, tu l’obliges à se relever. T’as envie de lui, vraiment, mais pas comme ça. Tu veux faire les choses bien, Isaac, tu veux qu’il se sente à l’aise, vu. T’aimerais trouver une symbiose entre vous, réellement le sentir là, dans le moment, avec toi. Il semble paniquer pendant une fraction de seconde, peut-être qu’il a peur de pas bien faire son job mais tu le rassures tout de suite. T’as juste envie que vous soyez sur un pied d’égalité. Sauf que tu ne réalises pas encore que ce n’est absolument pas possible ça. A partir du moment où de l’argent rentre en compte, l’égalité n’existe plus. Or entre vous, le fric a toujours été présent. Alors que vos lèvres fiévreuses s’affrontent en duel, vous vous appliquez tous les deux à le déshabiller. Ses doigts parcourent ta peau et tu te sens trembler. Ce désir que tu ressens ce soir, ça fait des semaines que tu le cultives, des semaines qu’il grandit jour après jour et maintenant, tu peux enfin le laisser sortir au grand jour. Tu découvres à nouveau son corps en le faisant traverser ton appartement, en direction de la chambre. Lui, allongé sur un lit, s’offrant à toi, c’est ce que tu veux voir ce soir. Et une fois entré dans ta pièce, tu lui prononces à l’oreille des mots qui ont plus d’ampleur que ce que tu laisses croire. Le jeune homme te force à reculer ton crâne, suffisamment pour que vos fronts se collent. Ses yeux plongés dans les tiens, il te murmure paroles qui ont plus d’effet que de le voir nu devant toi. Une lueur d’espoir s’allume dans ton coeur, organe depuis longtemps oublié, que tu voudrais ignorer et pourtant c’est bien là. Tu te dis que peut-être, vous voulez tous les deux la même chose. Alors t’es bien décidé à prendre ton temps ce soir, lui faire comprendre par tes gestes qu’il t’a manqué, que t’as pensé à lui, et toutes ces merdes sentimentales que tu n’es pas prêt à t’admettre intérieurement. Mais dès l’instant où tu sous-entends cette idée, le châtain s’arrête. Fini les baisers embrasés, les caresses fiévreuses. Lorsqu’il commence à te parler de pitié, tu comprends que même tes lèvres dans son cou n’auront aucun effet. Vos corps ne se touchent plus, tu le regardes tandis qu’il te déroule un monologue et plus il parle, plus tu sens ton être tout entier se refermer. Tu t’énerves, tu ne peux rien contre ce nouveau sentiment qui prend le dessus. Peut-être qu’il s’en rend pas compte le travailleur, mais en cet instant il te donne l’impression opposé d’être désirable. Tu te sens rejeté, un moins que rien, et t’as besoin qu’il le comprenne. « T’es sérieux ? Mais c’est rien de tout ça putain. » T’as la sensation de t’être pris un coup dans la poitrine, qu’il vient de te poignarder sans vergogne et ça te fait mal, bien plus que ça ne le devrait. « J’ai absolument pas pitié de toi, d’accord ? Et c’est absolument pas à propos de l’autre fois. Pardon d’avoir envie de prendre mon temps, de profiter. Je suis pas un animal en rut. » Dans tes prunelles brille une lueur sombre, mais ce n’est plus le désir qui faisait brûler tes entrailles. A présent c’est la colère qui te fait agir. Un goût amer s’empare de ta bouche, tu entends les battements de ton coeur à tes oreilles et t’as cette même impression que lorsque t’étais gosse, et que ta mère t’engueulait après une bêtise quelconque. Tu t’éloignes de lui, passes une main dans tes cheveux en prenant une grande inspiration. « C’est bon, juste pars. » T’as compris le message Isaac, et tu te sens bien idiot. Lui il est là pour le boulot, pour récupérer quelques billets et se casser ensuite. Dans l’idéal, il faut que les choses se fassent vite, pour qu’il passe à quelqu’un d’autre et qu’il rentre chez lui le plus tôt possible. Vos plans ne s’accordent pas. « Tu peux récupérer ton fric dans la poche de mon jean. Quoi que, peut-être que tu veux pas, parce que ce serait quoi… de la charité ? » En lui jetant un nouveau regard noir, tu repasses devant lui, sortant de ta chambre. Sur le chemin tu récupères ton boxer que tu enfiles rapidement, avant d’aller dans la cuisine et de t’ouvrir une bière. Comment tuer l’ambiance en un revers de seconde. Pourtant, ton corps lui pense encore que quelque chose est sur le point d’arriver, mais ton coeur en miette lui a pris un coup, et en cet instant tu te dis qu’il vaudrait mieux que tu supprimes le numéro du jeune homme.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 9:20
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Il se fait des films oui, il s'imagine tout un putain de tas de raisons pour qu'il ai dit cette phrase. C'est une phrase qui peu paraîtrez anodine pourtant. En fait c'est même une phrase qui devait faire plaisir. Mais il est sur la défensive. C'est à J qu'il a parlé pour lui et pas à Exta. Il a l'impression que ça a changé parce qu'il s'est montré lui sans son masque de pute bien qu'il ai essayé de garder ça professionnel en recouchant avec lui après et qu'il n'ai pas dis son nom. Il a un pique de parano. S'il y a bien une chose qu'il ne veut pas, c'est qu'on le regarde avec pitié. Il déteste ce regard, il a déjà suffisamment l'impression d'être un moins que rien sans avoir à le subir alors il ne veut pas de ça en plus. Il préfère encore lire le mépris et le jugement dans les yeux des gens. En tout cas c'est ce qu'il pense à ce moment la. Et ses réflexions énervent le brun, il le voit bien, il connait cette expression « T’es sérieux ? Mais c’est rien de tout ça putain. » Comment ça rien de tout ça ? C'est forcément lié à ça puisque c'est la que tout a changé, c'est à partir de ce jour la que ça a basculé. Ça serait qu'un foutu hasard alors ? C'est ce qu'il est en train de lui dire ? Ce changement de comportement n'est en rien lié au fait de l'avoir vu dans ce piteux état ? « J’ai absolument pas pitié de toi, d’accord ? Et c’est absolument pas à propos de l’autre fois. Pardon d’avoir envie de prendre mon temps, de profiter. Je suis pas un animal en rut. » il fronce les sourcils la pute. Il l'a jamais comparé à un animal en rut mais c'est juste.. C'est juste qu'il est différent et il ne comprend pas pourquoi, après tout ce temps. Pas si c'est pas à cause de l'autre jour comme il le prétend. Et lui, il lui en veut tellement, ça se voit. Pourquoi il a ouvert sa gueule ? Il est pas la pour ça. Pourquoi est ce qu'il a pas juste fait ce qu'on lui demandait comme d'hab ? Et en plus pour avoir l'argent de toute une nuit en la passant tranquille avec quelqu'un qu'il apprécie ? Pourquoi est ce qu'il a fallu qu'il l'ouvre au lieu de faire son job putain ? Il est la pour satisfaire ses désirs, pas les juger, peu importe si ceux la ont changé. C'est pas son problème il a pas à s'en mêler. Peut-être.. Peut-être qu'Isaac a une vie sentimentale compliqué en ce moment ce qui expliquerait l'absence de son nom dans ses conversations téléphonique ces dernières semaines. Peut-être que c'est pour ça, qu'il a besoin d'un peu de douceur et de tendresse pour se consoler ? Pour qui il s'est pris J au juste ? Pourquoi il est sortis de sa boite au lieu de simplement être Exta ? « C’est bon, juste pars. » il baisse les yeux. Putain il se sent con. Il l'a blessé et il se trouve que ça le blesse aussi. Il va partir. Mais le cœur lourd de culpabilité alors qu'habituellement il en aurait rien eu à foutre, aurait haussé les épaules et lâché un "ok" dénué de sentiment avant de ramasser ses fringues et de se barrer. Pourquoi est ce que la il ressent cette douleur ? « Tu peux récupérer ton fric dans la poche de mon jean. Quoi que, peut-être que tu veux pas, parce que ce serait quoi… de la charité ? » sa mâchoire se crispe et sa glotte remonte quand il déglutit. Parce qu'il le ressent si fort qu'il l'a vexé en pensant à de telles choses. Il ne proteste pas, pas assez vite parce qu'il ne sait quoi dire et déjà Isaac s'éloigne pour disparaître. Longuement il soupire. Putain... Putain qu'est ce qu'il est censé faire ? Partir. Il doit partir. Non seulement c'est ce qu'il lui a demandé mais en plus il l'a mis trop en colère pour qu'il ai encore la moindre envie de lui. Donc il n'a plus rien à faire ici. Mais effectivement, son fric, il ne le prendra pas. Même si ça veut dire qu'il va devoir se faire baiser comme une chienne toute la nuit par d'autres. Peu importe au final. Après quelques secondes déjà bien trop longues à rester stagner debout comme un con la où il l'a laissé il se décide enfin à sortir de la chambre et retourner dans le salon. Mais au moment où il se baisse pour récupérer ses fringues il tourne la tête par curiosité et son regard s'accroche à lui. La debout en boxer, les avant bras appuyés sur le plan de travail et une bière à la main. Il est beau comme ça. Mais il est fâché aussi, blessé, et par sa faute. Il soupire doucement et se redresse en relâchant finalement ses fringues. S'il doit partir sans avoir fait son job il peut peut-être au moins essayer de réparer ce qu'il a brisé. Et qui sait, s'il y arrive ça sera peut-être juste comme s'il n'était simplement pas passé. Alors il ose le gamin. Il s'approche, doucement, pieds nus sur le sol frais. Positionné juste derrière lui il hésite "Je.." il soupire à nouveau. Comment tourner ça ? Il est bien plus doué pour séduire que s'excuser "Je me suis trompé... visiblement" visiblement ouais "Comme c'est différent entre avant et après ce jour j'ai vraiment pensé que ça avait un rapport" timidement il se rapproche pour se coller à son dos et passer ses bras autour de lui en tournant la tête sur le côté pour caler sa joue contre son épaule "Pour ce que ça vaut.. j'suis désolé" ça vaut pas grand chose probablement. Pas sûr que ça le calme vraiment mais il aura au moins essayé "C'est pas Exta qu'a réagis, j'ai pas été professionnel ça se reproduira plus. Alors si tu veux on peut reprendre et j'arrêterai de me mêler de ce qui me regarde pas et... si t'es plus dans le mood je comprendrai et je te laisserai tranquille" au fond il espère qu'il le rejettera pas. Il a une toute petite lueur d'espoir mais elle est la. Il a pas envie de partir.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 15:00
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The memories still hurt.
résumé du personnage
Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

passionné | créatif | possessif | sanguin | rancunier | jaloux | sincère | loyal | travailleur | joueur | ponctuel | fermé | secret | à l’écoute | attentionné | doux | fier | sentimental

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rps : 221
name : Undecided. (Sophie)
faceclaim : Diego Luna + suskind (avatar) ; bat'phanie (signature) ; blood eagle (profil) ; hawkicons + brooklycons (icons) ; crackship&crap (crackship)
multinicks : Pandora, Mabel, Adriel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : décès d'un être proche, deuil, victime d'homophobie, crises de panique, mention de toxicomanie, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide)..
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : same game, different rules (Joakim) 6161
âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
statut civil : fiancé à Aoden, pas de blague cette fois.
occupation : propriétaire du Snug Harbor Jazz Bistro, son havre de paix.
habitation : Faubourg Marigny, appartement 238, au dessus du club.
code couleur : #4E90BB
mes trophées : same game, different rules (Joakim) U9ae
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La colère s’empare de toi et tu n’essaies pas de la cacher. Tu ne peux pas. Ca fait longtemps que tu ne t’es pas senti aussi blessé Isaac, sans doute parce que ça fait longtemps que tu ne l’as pas autorisé. Six ans que tu ne t’ouvres plus à qui que ce soit, pas de cette manière là en tout cas et ce soir, tu avais peut-être envie d’essayer avec lui. Lui, ce mec sûrement trop jeune pour toi, dont tu ne connais même pas le prénom. Mais lui, il te fait sentir des choses. T’avais oublié la couleur des sentiments Isaac, tu ne savais plus ce que ça faisait de s’attacher et mine de rien, tu dois bien avouer que c’est une sensation assez addictive. Mais avant même que t’aies vraiment pu dire ce que tu voulais, il te coupe dans ton élan. Merde, c’est pas comme si tu voulais le demander en mariage ce soir Isaac, t’avais simplement envie de prendre ton temps pour que vous vous fassiez plaisir mutuellement. Mais faut croire que même ça, c’est trop demander. Il a l’impression que tu mens, que si t’es doux aujourd’hui c’est pour des raisons bien différentes de ça, et ça te fait mal. Contrairement à ce qu’il semble penser, tu ne te sers pas de lui seulement pour ton bon plaisir, et tu ne le vois pas non plus comme une poupée en porcelaine que tu peux briser. Ce soir là, quand il a débarqué chez toi, il t’a fait peur avec ses bleus et son teint pâle. Mais tu l’as vu se relever, il t’a prouvé qu’il allait bien et t’as rapidement compris qu’il était plus résilient que ça. Plus fort que toi même. Tu ne laisses pas parler, tu lui demandes de partir. A quoi bon essayer d’arranger les choses ? Il ne te voit que comme un client, un gars qui lui donne de l’argent et c’est tout. Avec un regard noir, tu quittes la pièce, rejoignant la cuisine après avoir renfilé ton boxer. Tu t’ouvres une bière, c’est pas très fort mais là tout de suite, c’est ce que tu as de mieux, ce qui te fait envie. Tu ne le regardes pas, appuyé contre un plan de travail tu es tourné vers l’intérieur de la pièce. Ses pas le trahissent, tu l’entends qui se rapprochent pour récupérer ses vêtements et toi, tu fermes les yeux. Dans quelques minutes il aura quitté l’appartement et tu pourras exploser. Tu n’attends plus que ça maintenant. Crier ou fondre en larmes, tu ne sais pas encore ce qui arrivera. Et pourtant, sans que tu ne reçoives ses mouvements, il se retrouve derrière toi, proche de toi. Tu ne te retournes pas quand il commence à parler, t’as pas la force de le regarder, mais t’écoutes attentivement ce qu’il te dit. Il reste, il cherche à s’excuser, à comprendre et ton coeur il fait un bond quand tu le sens se coller à toi. Vos corps se touchent plus qu’ils ne l’ont fait précédemment et, sans pouvoir t’en empêcher, une de tes mains se pose sur le bras qu’il a passé autour de toi. Peut-être que, finalement, t’es pas un client comme les autres. Ca te donne de l’espoir Isaac, un espoir totalement fou. Qu’est ce qui te dit qu’il ne fait pas ça simplement pour mériter sa paye ? « Peut-être qu’il y a un truc de différent, mais c’est pas à propos de toi. Ce soir là j’ai réalisé des trucs par rapport à moi et… je peux pas empêcher le fait que ça me travaille.» Tes doigts caressent brièvement son bras, puis te redresses et te retourne, pour lui faire face. T’aimerais l’embrasser, l’enlacer, lui parler de tout et de rien. Mais c’est pas possible, pas encore. Pour toi ce n’est pas vraiment une question de mood, évidemment que t’as encore envie de lui, mais c’est plus compliqué que ça. Si vous couchiez ensemble là, dans la cuisine, tu apprécierais, mais tu regretterais de ne pas avoir parler. « Et si… » T’hésite, au fond de toi tu sais que c’est sans doute une erreur. En ouvrant ta bouche tu t’apprêtes à le chasser pour de bon cette fois, mais tu as besoin d’essayer. Tu ne sais pas ce qui rend ce soir différent des autres, pourquoi est ce qu’aujourd’hui tu as besoin de savoir, mais qui ne tente rien n’a rien. « Et si ce soir t’étais pas professionnel ? » Un espoir fou, que même toi tu n’as pas envie d’admettre et pourtant voilà, les mots sont sortis. T’as peur Isaac, qu’il parte sans jamais vouloir te revoir. Tu resteras seul, avec ta bière, réalisant que tu ne mérites que cette amère solitude qui est la tienne. Pourtant maintenant que t’es lancé, t’as encore quelques choses à dire. « Peut-être que j’ai pas envie que tu sois Exta. Peut-être… que tu pourrais me dire ton nom ? Ton vrai nom ? » Il est évidemment qu’Extasy n’est pas son prénom. Tu l’as toujours su, il n’a jamais essayé de te faire croire d’ailleurs que c’était sa vraie identité. Si c’est toi qui t’es énervé un peu plus tôt, tu comprendrais qu’il le fasse à présent. La lueur d’espoir qu’il a brièvement rallumé en toi ne restera qu’une étincelle. Morte trop tôt.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 19:10
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S'il doit partir il partira mais il veut tout de même s'excuser avant, d'avoir tout gâcher et de l'avoir énervé au lieu de faire son job. Il ne sait même pas pourquoi il y tiens d'ailleurs. Mais il en a besoin. Parce que ça lui fait mal de le voir comme ça. S'il lui avait juste dis qu'il avait plus envie il serait peut-être partis sans rien dire mais ça n'est pas le cas. Il l'a blessé avec sa façon de penser et il l'a bien remarqué, ça se voit même encore. Alors il tente, un peu maladroitement sûrement mais il veut qu'il sache. Et quand il sent sa main sur son bras et ses doigts lui caresser machinalement il se sent soulager. Parce qu'il ne lui en veut pas au point de le repousser pour un simple... câlin ? Ouais, il est pas vraiment habitué à faire des câlins avec ses clients. Ou en tout cas pas sans sexe pour accompagner mais même la ça reste rare. Mais il sait que cette simple étreinte ça peut consoler parfois. Il s'en est rendu compte à une époque. Pas grand chose et pourtant un grand effet.« Peut-être qu’il y a un truc de différent, mais c’est pas à propos de toi. Ce soir là j’ai réalisé des trucs par rapport à moi et… je peux pas empêcher le fait que ça me travaille.» sa voix est plus calme il semble être redescendu. Mais il est surpris J. Par rapport à lui même ? Donc ce ne sont bel et bien pas les choses qu'il a pu réalisé sur lui ce soir la qui ont eu un impact. Décidément, il a tout faux. "Genre quoi ? En vrai j'voudrais bien te donner des conseils mais j'suis nul pour... a peu prêt tout en fait, à part le sexe donc j'suis pas très bien placé" pourquoi il lui dit ça ? Personne n'a envie de savoir ça. On s'en fout. "Enfin sauf si c'est un problème sexuel mais à ce niveau la ça avait l'air de fonctionner correctement" un sourire amusé étire ses lèvres sans qu'il ne puisse le retenir. Mais dans sa tête la seule chose qu'il se dit en ce moment c'est qu'il devrait se taire. Il se détache de lui quand il se retourne pour lui faire face et ton sourire s’atténue, essayant de reprendre un minimum de sérieux. « Et si… » si ? Il a l'air de tant hésiter à dire la suite qu'il a presque peur là le gamin « Et si ce soir t’étais pas professionnel ? » ses lèvres se décollent. Il s'attendait pas à ça. A quoi est ce qu'il jouait ? Pendant un instant il se demande s'il parle de baiser gratuitement mais il balaye bien vite cette idée de son esprit. Il se doute, en le voyant, que ça ne peut pas être ça. Il était prêt à le laisser partir avec l'argent sans avoir couché avec lui en plus, ça n'aurait aucun sens. « Peut-être que j’ai pas envie que tu sois Exta. Peut-être… que tu pourrais me dire ton nom ? Ton vrai nom ? » il baisse les yeux. Puis les ferme en soupirant. Il relève les mains pour les passer sur ses paupières puis se retourne et s'éloigne. Mais pas pour partir, juste pour aller s'asseoir sur le canapé sans s'appuyer sur le dossier. Juste sur le bord, les coudes posés sur ses genoux "Pourquoi ?" il relève les yeux sur lui "Je comprend pas. Tu peux rencontré plein de monde dans ton bar ou ailleurs, tu peux faire tomber n'importe qui dans ton lit et parler avec eux, faire plus ample connaissance. Moi si t'as fait appel à moi c'est pour avoir que du sexe, juste ce que tu veux sans avoir justement à s'encombrer de tout le reste alors, je comprend vraiment pas pourquoi maintenant tu veux savoir ça. Pourquoi tu veux que je sois plus professionnel ..?" non il comprend vraiment pas. Qu'est ce qui cloche, quel épisode il a loupé ? Si Isaac avait besoin d'attention il pouvait avoir qui il voulait, pourquoi en demander à une pute comme lui ? Il est pas fait pour ça. Il sert pas à ça Exta. Mais c'est pas Exta qu'il veut découvrir. Mais pourquoi est ce qu'il voudrait découvrir Joakim ? "Tu sais que ça risque de tout changer. J'aurais du mal à t’obéir si notre relation venait à déborder du cadre professionnel" il se voyait parfaitement mal se mettre à genoux devant un ami pour lui sucer la bite même pour un billet. Parce que c'était J qu'ils connaissaient, et que lui les connaissaient en tant que J. Et J il a sa fierté. Il l'efface dès qu'il redeviens Exta mais quand il est lui même ça revient.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 20:00
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Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

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@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
T’aurais pas dû prendre ce chemin là, et au fond de toi tu le sais. Les chances pour que le jeune homme accède de te dire ce que tu veux entendre sont minimes, et quelque soit le résultat, les choses seront forcément différentes entre vous à partir de maintenant. Le fait qu’il soit venu se coller à toi de la sorte t’a rassuré, t’a calmé et tu parles donc avec une tranquillité retrouvée. Comme durant cette soirée où il est venu chez toi, vous semblez parler comme des égaux. Vous parlez tout court en fait, il y a plus que seulement du sexe. Sans même s’en rendre compte, il commence à se livrer à toi. Il te donne des informations sur lui, avant même que tu demandes et toi, ça te fait sourire. L’espoir fait vivre dit-on, mais la vérité est que tu te détestes intérieurement pour ressentir toutes ces choses là. Ca ne devrait pas être là, vous auriez dû coucher ensemble et il serait reparti comme il est venu.Des entrevues brèves, intenses, qui font du bien et qui permettent de repartir chacun sur un chemin différent. Sauf qu’on ne contrôle pas les émotions, le cerveau se met trop souvent à réfléchir tout seul et c’est ce que tu lui dis. Toi aussi tu souris à sa remarque, ton égo apprécie toujours savoir ce genre de chose, tu lui plais sexuellement, il te la déjà dit et au fond, peut-être que c’est déjà ça de gagné. « On a tous du bon, je suis spur que toi aussi. Mais ce n’est pas sexuel non, c’est peut-être l’opposé malheureusement… » Malheureusement, oui, parce que si tu pouvais choisir rien n’aurait changé, et tu ne ressentirais pas tout ça. Prenant ton courage à deux mains, tu te retournes, lui faisant finalement face. Les prochains mots ont du mal à passer tes lèvres, ils sont difficiles à formuler, mais tu finis par y aller franchement et les dire. Le choc, tu le vois immédiatement sur son visage. Exta ne s’attendait pas à ça, tu le renvoie pour découvrir l’homme qu’il a sous ce masque, mais tu perçois immédiatement une opposition. La déception s’empare de toi, évidemment, mais ce n’est plus la colère. Il a tous les droits de refuser ce que tu lui demandes, ça n’a jamais fait partie du marché. Qui sait, peut-être qu’il couche avec des mecs pour se faire de l’argent facile, mais qu’il n’est pas plus attiré que ça par eux ? Pas sentimentalement en tout cas. Mais tu continues, tu finis par lui demander son nom et il soupire, te faisant peur. Il va partir, tu le vois déjà s’éloigner mais étonnement, il ne récupère pas ses vêtements. Toujours dans son boxer, il s'assoit sur le canapé. Tu ne pensais pas que ce serait un si gros choc Isaac, et ça te donne envie de t’avancer pour le rassurer, mais tu juges qu’il vaut mieux garder des distances. Tu t’avances seulement vers l’ouverture entre la cuisine et le salon, t’appuyant contre le cadran. D’abord, un simple mot passe ses lèvres. Tu réfléchis à comment répondre à cette question tellement vague, mais il reprend la parole tout de suite, expliquant plus sa pensée. Et tu comprends qu’il a saisi. Au fond, ça te fait plaisir qu’il pense que tu pourrais avoir n’importe qui. Si tu t’en donnais les moyens, il aurait sûrement raison, mais c’est une autre preuve que vous ne vous connaissez pas vraiment. « Je te promet que j’avais pas anticipé ça. Quand j’ai demandé tes… services la première fois, je voulais justement ne pas avoir à parler. Pas de discussion, pas d’attachement, juste du sexe. Et puis t’étais bon, les avantages étaient séduisants, alors je t’ai appelé encore, et encore. Mais j’sais pas. Peut-être qu’au bout d’un moment le corps humain est configuré comme ça, si tu couches suffisamment souvent avec la même personne, tu finis par vouloir en savoir plus. » Doucement, tu t’avances, évitant les vêtements qui jonchent encore le sol pour t’asseoir au bord de la table du salon. Face à lui, vos genoux pourraient presque se toucher, mais tu fais en sorte qu’il n’y ait aucun contact physique. Tu ne veux pas le brusquer, qu’il se sente obligé de faire quoi que ce soit. « Ecoute, je te demande pas de me déballer toute ta vie. Aujourd’hui, j’ai juste envie de connaître ton prénom, ça ne nous engage à rien. » Tu continues, mais tu regrettes Isaac, tu voudrais faire marche arrière et ne pas avoir dit tout ça. Là, t’as peur de le perdre surtout, et peut-être que ça se voit un peu dans tes yeux. Le jeune homme parle de relation et ça te fait hurler intérieurement autant que ça te fait fondre. T’es pas prêt pour ça, et pourtant qu’est ce que t’en as envie. Mais avec ce qu’il dit, tu ne peux t’empêcher d’avoir un petit sourire amusé. « Je sais que j’aime parfois contrôler la situation, avoir le dessus quand on couche ensemble. Mais… t’es pas un chien. Je ne veux pas te dresser, je ne veux pas que tu m’obéisses au doigt et à l’oeil, je ne veux pas que tu m’appartiennes. » Et pourtant l’imaginer dans les bras d’un autre, ça te fait voir rouge, mais mieux vaut ne pas y penser. « Tu ne couches jamais avec des gens qui te connaisses vraiment ? » Dans un sens tu le comprends, tu évites de faire ça aussi. Lui, il le pousse juste à l'extrême et il a décidé d’en faire son boulot.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 22:34
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Il est tout de même content de voir que ça s'apaise. Si jamais il doit partir ça aura au moins évité qu'il le laisse en colère. « On a tous du bon, je suis spur que toi aussi. Mais ce n’est pas sexuel non, c’est peut-être l’opposé malheureusement… » oui il en a du bon en lui, sexuellement. Mais apparemment ça n'est pas ce qui fait défaut au trentenaire. Il fronce légèrement les sourcils puis les relâche finalement "Ben.. Pour ce qui est sentimental vu mes échecs, même si tu penses qu'il y a du bon en moi, je vais quand même m'abstenir de te donner des conseils" non vraiment, c'est probablement mieux pour lui. Mais il espère que ça s'arrangera. C'est un homme cool. Certes il ne le connait pas beaucoup mais du peu qu'il a vu il a décidé qu'il méritait d'être heureux voilà. C'est probablement à cause de ce qui déconne dans sa vie sentimentale du coup qu'il a envie de plus de douceur. De compagnie presque plus que du réel sexe, enfin ça il en sait rien, il suppose simplement. Peut-être se trompe-t-il. En attendant ça n'est pas en apprenant à le connaitre lui qu'il va arranger les problèmes qu'il a avec la personne qu'il côtoie. Si c'est bien ça. Donc il ne comprend pas. Il ne comprend rien. Il n'est la que pour le sexe lui, clairement il est une marchandise quand il est Exta et tant pis il s'en fout, c'est même son choix mais du coup pourquoi ? C'est la question qui retourne son esprit dans tout les sens. Pourquoi. Qu'est ce que ça pourrait bien lui apporter hm ? En quoi sa vie monotone et sans intérêt pourrait lui apporter quoi que ce soir ? Encore pire, comment, apprendre à connaitre la personne qu'il est pourrait lui apporter la moindre satisfaction ? Il n'est qu'un gosse parmi tant d'autre. La seule différence c'est qu'il se fait baiser pour de l'argent. Sinon il est arrogant et je m'en foutiste comme un ado. Qui est ce que ça peut bien intéresser hein ? « Je te promet que j’avais pas anticipé ça. » il fronce à nouveau les sourcils. Comment ça ? De quoi il parle ? « Quand j’ai demandé tes… services la première fois, je voulais justement ne pas avoir à parler. Pas de discussion, pas d’attachement, juste du sexe. » c'est ce que veulent la très grande majorité de ses clients « Mais j’sais pas. Peut-être qu’au bout d’un moment le corps humain est configuré comme ça, si tu couches suffisamment souvent avec la même personne, tu finis par vouloir en savoir plus. » sa mâchoire se crispe. Il n'en sait rien. Isaac n'est pas son seul client régulier. Il en a d'autres et il n'a jamais eu envie d'en savoir plus sur eux. Jamais. Donc il n'en sait rien "J'imagine que ça dépend des gens" il le suit du regard alors qu'il s'installe en face de lui "J'sais pas, si un client veut en savoir plus, perso, qu'on ai couché beaucoup de fois ensemble ou non j'me barre, je suis pas la pour ça" ouais inconsciemment il vient peut-être de l'exclure du lot des clients vu que la avec lui il ne s'est pas barré. Mais il n'y fait pas gaffe aux mots qu'il a employé, il l'écoute à nouveau « Ecoute, je te demande pas de me déballer toute ta vie. Aujourd’hui, j’ai juste envie de connaître ton prénom, ça ne nous engage à rien. » heureusement que ça les engage à rien mais il ne se rend pas compte, ou ne veut pas se rendre compte ça il n'en sait rien. Le fait est qu'il ne capte pas "Isaac mon prénom c'est la seule chose je sais pas.. concrète, qui me permet de différencier la personne que je suis au boulot et en dehors, dans ma tête. Si je mélange les deux ça n'a plus aucun sens" être appelé par son vrai prénom pendant qu'il bosse, à coup sûr ça le perturberait. Il lui réexplique avec d'autres mots, la différence qu'il fait entre ces deux mondes. Il a envie qu'il comprenne que c'est pas réellement qu'il veut pas mais qu'il n'a pas envie d'être la pute de ses potes, ou des personnes qui le connaissent lui et qui verrait s'effacer sa dignité pour de l'argent. « Je sais que j’aime parfois contrôler la situation, avoir le dessus quand on couche ensemble. Mais… t’es pas un chien. Je ne veux pas te dresser, je ne veux pas que tu m’obéisses au doigt et à l’oeil, je ne veux pas que tu m’appartiennes. » un nouveau rire lui échappe bien que nerveux plus qu'autre chose "C'est ce que les gens attendent d'une pute pourtant, des chiens obéissants" si c'est pas pour assouvir tout leur désirs ils vont voir ailleurs, la où ils n'ont pas besoin de dépenser de l'argent « Tu ne couches jamais avec des gens qui te connaisses vraiment ? » il secoue la tête le gamin "Pas dans le cadre de mon boulot non" il lui arrive de coucher en dehors de son job avec des personnes qu'il apprécie oui mais ça reste assez rare tout de même. Il a déjà largement plus que ça donne dans la semaine. Mais parfois il lui arrive d'avoir cette envie qui monte et il l'a laisse monter. "T'as envie d'en savoir plus ça j'ai compris mais..." comment tourner ça.. ? Il déglutit et relève à nouveau les yeux sur lui, qui est assis en face à présent "Okay en gros si t'as le choix entre apprendre à le connaitre moi, pas Exta mais moi, ou bien m'avoir de dispo quand t'as envie pour qu'on couche ensemble, tu choisis quoi ?" ce qui veut dire bien sûr que si y'a l'un y'a pas l'autre. J pourrait coucher avec Isaac, mais ça se serait pas comme avec Exta. Ça serait pas aussi simple que d'envoyer un texto pour demander de passer histoire de faire des cochonneries. Il devrait se trouver quelqu'un d'autre pour ça.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 30 Avr - 23:19
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The memories still hurt.
résumé du personnage
Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

passionné | créatif | possessif | sanguin | rancunier | jaloux | sincère | loyal | travailleur | joueur | ponctuel | fermé | secret | à l’écoute | attentionné | doux | fier | sentimental

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rps : 221
name : Undecided. (Sophie)
faceclaim : Diego Luna + suskind (avatar) ; bat'phanie (signature) ; blood eagle (profil) ; hawkicons + brooklycons (icons) ; crackship&crap (crackship)
multinicks : Pandora, Mabel, Adriel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : décès d'un être proche, deuil, victime d'homophobie, crises de panique, mention de toxicomanie, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide)..
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : same game, different rules (Joakim) 6161
âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
statut civil : fiancé à Aoden, pas de blague cette fois.
occupation : propriétaire du Snug Harbor Jazz Bistro, son havre de paix.
habitation : Faubourg Marigny, appartement 238, au dessus du club.
code couleur : #4E90BB
mes trophées : same game, different rules (Joakim) U9ae
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Le châtain ne comprend pas et toi, tu ne sais pas quoi ajouter. Oui, c’est ta vie sentimentale qui part de travers, parce que tu te rends compte que tu t’es attaché à quelqu’un qui se vend, quelqu’un qui ne peut décemment pas te voir de cette manière là. Tu ne connais rien de ce jeune homme en réalité, seulement une petite ouverture sur sa façon de penser, d’agir, mais c’est bien tout. Il n’y a aucune logique au fait que tu t’attaches, mais le mal est déjà fait. Le pire dans cette histoire c’est que tu te rends compte à quel point c’est ridicule. T’as vraiment rien à lui offrir à ce jeune homme, t’as déjà été bien trop brisé par la vie. Alors qu’il est allé s’asseoir sur le canapé, tu le rejoins dans le salon, essayant de t’expliquer. Tu ne sais pas ce qui a provoqué ce déclic en toi, est ce que c’est de le voir arriver comme un oisillon blessé, ou simplement un résultat du plaisir qu’il te donne quand vous passez quelques heures ensemble ? Quoi qu’il en soit, tu ne peux pas continuer comme ça, faire comme si rien n’avait changé. C’est plus qu’une envie, tu as besoin d’en savoir plus sur lui, mais tu hoches tristement la tête en entendant sa réponse. T’as compris, c’est bon. Il le dit haut et clair, il n’est pas là pour ça, tout ce qu’il vient chercher c’est des billets en échange de sexe. « Je comprends. » Ouais, t’essayes en tout cas. C’est difficile à entendre, ça fait des années que tu ne t’es pas fait rejeté, pour la simple et bonne raison que ça fait des années que tu n’as pas essayé. Tu te contentes de parties de jambes en l’air, de temps en temps, ramassant un mec en bas quand tu te sens trop seul. Puis t’as commencé à le payer lui, pour être sûr que ça n’aille pas plus loin. C’est bien ta veine, le seul type auquel tu ne prévoyais pas de t’attacher, tu tombes en plein dans ses filets. Des filets qu’il n’a même pas tendu. Alors tu tombes dans le vide Isaac, à un moment donné tu vas heurter le sol, encore une fois, pour mieux te briser. Pourtant tu tentes encore, le tout pour le tout comme on dit, mais ta requête qui semblait si simple à tes oreilles semble impossible à satisfaire pour le jeune homme. « Très bien, le prénom est hors de portée aussi. Une allergie ? Ta couleur préférée ? Le nom que tu donnerais à un animal de compagnie ? » Tu lâches un rire Isaac, en te redressant pour étirer ton dos. Puis tu passes tes deux mains sur tes yeux, dans tes cheveux et, en posant tes coudes sur tes genoux nus, tu caches ton visage quelques instants. « Je rends ton boulot difficile, désolé. » Il n’a rien demandé de tout ça le jeune homme, et tu pourrais parier gros qu’il préférerait être dans ton lit à l’heure qu’il est, ou n’importe où ailleurs qu’ici, à négocier et répondre vaguement à tes questions. Il t’explique que s’il te dit son nom, tout va changer, relation sera différente, et ça te fait doucement rire les points qu’il avance. Peut-être que la première c’était ce que tu voulais, avoir un gars qui ferait ce que tu voulais, quand tu voulais. Mais aujourd’hui, l’idée de l’utiliser comme ça te rend presque malade. Pourtant il te dit bien qu’il ne couche pas avec des gens qui le connaissent, et il est clair que la bataille est perdue pour toi. Si dans son boulot, il ne veut pas te dire son prénom, pourquoi aurait-il envie de faire déborder votre relation, que ça devienne autre chose que professionnel ? Mais il te pose une question qui t’étonne, tu fronces les sourcils en analysant son regard. La question est difficile, tu restes silencieux pendant de longues secondes. Il ne fait aucun doute que, sexuellement, vous vous accordez bien. Ou du moins, même s’il fait semblant d’apprécier ce que tu fais, lui il sait te faire plaisir en tout cas. Alors oui, te passer de sexe ce serait frustrant, parce qu’il te plait énormément. Mais si ce soir vous a appris quelque chose, c’est qu’au fond le choix tu l’as déjà fait. « Honnêtement ? Je crois que je n’arriverai plus à coucher avec Exta sans connaître la personne derrière. Alors je te choisi toi, derrière le masque. » Ca te fait soudainement peur Isaac, t’as l’impression que vous vous engagez dans quelque chose de grand, d’important. Absolument pas, comme tu lui as dit un prénom n’engage à rien, mais l’espace d’une seconde tu te demandes si tu ne regretteras pas cette décision. Mais encore une fois, t’en sais rien, tout ça ça te perturbe parce que tu ne sais pas ce qu’il pense. « Mais toi, qu’est ce que tu veux ? Tu aurais encore envie de coucher avec moi, sans ça ? » Tu ne veux pas te montrer insultant, tu essaies seulement de comprendre. Ca, et peut-être aussi que tu veux être sûr que la situation ne s’est pas retournée. S’il n’a pas envie de te dire son nom, il pourrait simplement partir. Tu n’as pas envie de sa pitié, qu’il te donne ce que tu veux parce que t’as l’air au bout du rouleau. C’est compliqué, tout ça, au fond tu espères qu’il ressente un peu la même chose.
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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Sam 2 Mai - 15:16
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Il ne s'attendait pas à ça de la part du brun. Peut-être qu'il aurait dû ? Après tout c'est vrai que de coucher régulièrement avec une personne ça comporte quelques risques d'attachement mais... C'était une pute, il était payé juste pour baiser. Alors oui ça lui fait bizarre. Bizarre de se dire qu'un mec peut finalement avoir envie de connaitre un peu plus qui il est alors que lui même en se montrant en tant qu'Exta il ne se voit comme rien d'autre que cette pute. Pourquoi chercher à voir derrière ? Et pourtant lui il veut, il a même l'air d'y tenir. Si on en juge par sa petite crise de colère il voulait peut-être lui faire ressentir ce changement aussi. Mais évidemment, il n'avait vu la qu'une possible pitié qui lui avait déplu. « Je comprends. » mais ça n'est pas le cas avec lui, il ne s'est pas barré comme il l'aurait fait avec d'autres. Sans aucune hésitation même. Avec peut-être pour seul remord de perdre un client et l'argent qui va avec. La il le voit qu'il est déçu. J a beau ne pas toujours savoir comment réagir correctement dès que ça sort du domaine du cul il arrive tout de même assez bien à décelé les expressions qui peignent le visage des gens. Pour ça d'ailleurs qu'il essaye de jouer les cupidons entre Kam et Ford, ça se voit si fort qu'ils se kiffent tout les deux. Même si ça les fait bien rire. Et la il le voyait aussi ce qu'il provoquait chez le bel homme en refusant de se découvrir de ce masque qui, quelque part le protège. Et ça le peine. Il n'aime pas le voir comme ça. C'est lui qui provoque ça, c'est donc de sa faute.. Non, non lui il fait juste son job il n'y est pour rien si Isaac a décidé qu'il voulait en savoir plus. Mais c'est faux, il n'a pas fait que son job. Il s'est permis des choses, s'est ramené chez lui l'autre coup. Il s'est quelque part un peu montré lui même ce soir la et c'est ce qui a dû donner envie d'en connaitre plus. Du moins il présume. Donc si, c'est bien sa faute. « Très bien, le prénom est hors de portée aussi. Une allergie ? Ta couleur préférée ? Le nom que tu donnerais à un animal de compagnie ? » il ne peut pas s'empêcher de sourire le gamin, en baissant la tête quelques secondes. Parce que oui ça le fait rire mais en soit ça revient un peu au même. Ce sont des infos persos qu'il n'a pas envie de dévoiler à un client. Dans un soupire il en lâche quand même une, léger sourire encore accroché aux lèvres, comme une petite capitulation à tout ses efforts qu'il fait à chercher un moyen de lui décrocher quelque chose. "Jaune. J'aime bien le jaune, c'est solaire" il aime beaucoup de couleur mais celle ci c'est la seule qui pourra jamais le faire bader. C'est une couleur qui met de bonne humeur. « Je rends ton boulot difficile, désolé. » ouais, ça c'est le moins qu'on puisse dire. Lui qui pensait être venu ici juste pour baiser il était loin de s'attendre à tout ça. Enfin techniquement ils auraient du bel et bien baiser. Et peut-être qu'il s'il avait pas ouvert sa gueule ils n'en seraient jamais arrivé à cette discussion. Et même s'il s'en veut de lui avoir gâcher le plaisir différent qu'il voulait prendre dans cette partie de jambes en l'air et a du mal à regretter. Peut-être bien que quelque part ça lui fait un peu plaisir de savoir que quelqu'un s'intéresse à lui et pas seulement qu'à Exta parce que des deux c'est celui qui obéit le mieux à chaque désir. C'est peut-être bien pour ça qu'il lui pose cette question. Voir jusqu'où ça va. S'il préfère l'avoir pour assouvir toutes ses envies c'est qu'il ne s'intéresse pas réellement à lui. C'est qu'il est juste curieux mais pas prêt à sacrifier ça pour autant. Et il le voit qui hésite. Il est en attente, se demande ce qu'il va lui répondre. Il n'arrive pas à savoir. « Honnêtement ? Je crois que je n’arriverai plus à coucher avec Exta sans connaître la personne derrière. Alors je te choisi toi, derrière le masque. » il bug quelques secondes. Peut-être qu'au final il se rend compte qu'il s'attendait beaucoup plus à l'autre réponse qu'à celle ci. "Vraiment ?" il a dû mal à s'en remettre. Il a bien entendu pourtant il en est sûr, il n'a pas eu d'hallucination auditive ! « Mais toi, qu’est ce que tu veux ? Tu aurais encore envie de coucher avec moi, sans ça ? » merde, voilà qu'il le trouve attendrissant maintenant. Faut dire qu'un mec qui le fait passer lui avant le cul en ne le connaissant qu'en tant que pute c'est genre le cas qu'il ne pensait jamais voir arriver. C'est pas courant. Et il a choisis ça même sans être sûr que ça veuille dire qu'ils puissent recoucher ensemble sans cette transaction professionnelle. "Arrêter notre relation professionnelle ça veut juste dire que tu me payes plus, et que moi, j'obéis plus, sauf si j'en ai envie, je fais ce que je veux en fait" il hausse une épaule puis sourit un peu "Et parfois ce que je veux..." sa main glisse sur sa cuisse jusqu'à cette bosse dans son boxer qu'il caresse doucement à travers le tissus. Quelques secondes seulement avant de retirer sa main et de se tourner face à lui "Si l'envie me vient, je vais pas me priver" et avec Isaac y'a moyen que ça vienne assez facilement soyons franc. Il lève son avant bras pour l'appuyer sur le haut du dossier et cale sa joue contre le dos de sa main. "Joakim" il sourit légèrement "Ou J pour les intimes" c'est rare qu'il entendent son prénom en entier. Parfois c'est Jo aussi mais la majorité du temps c'est J. "Salut" ça y est. Ça y est putain c'est définitivement fini la relation client entre eux. Ça fait bizarre..

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Sam 2 Mai - 16:51
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Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

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? Tu voudrais que rien n’ait changé, tout serait bien plus simple si tu avais pu l’embrasser comme tu le faisais avant, avec une simple passion sexuelle. Mais c’est plus compliqué que ça aujourd’hui, il y a d’autres choses qui rentrent en compte. Malgré tout, tu sens que la fin est proche. Rien ne retient Exta ici, mises à part tes questions incessantes. Il pourrait prendre ses vêtements et décider de partir, pour ne plus jamais te revoir. Cette idée t’est douloureuse, et peut-être que c’est pour ça que tu continues, que tu poses encore et encore des questions, essayant d’argumenter ton point de vue. Tu ne demandes pas grand chose, aucune promesse, aucun engagement, juste une simple information à son sujet. Et tu t’en sens idiot Isaac. T’as l’impression d’être un gamin qui s’amourache pour la première fois, qui ne sait pas comment s’y prendre. T’es paumé, ça c’est vrai, mais t’es suffisamment âgé pour ne plus être gêné par ce genre de choses normalement. Alors en te frottant le visage de tes mains, tu loupes les réactions du châtain en face de toi. Le sourire qui se forme sur son visage, et même s’il soupire, il finit par te donner une réponse. Tu relèves la tête, rapidement. Ce n’est sans doute pas l’information la plus utile du monde, mais c’est un début. Le jaune. Un sourire se dessine sur tes lèvres, tu voudrais presque le taquiner, lui dire que ce n’était pas si compliqué que ça, mais t’es encore un peu trop indécis. « Ca te va bien. » C’est ce que tu contentes de dire. T’en sais rien en fait, les couleurs ce n’est pas vraiment une chose à laquelle tu réfléchis beaucoup. Il aurait pu te dire n’importe laquelle, ta réponse aurait sans doute été la même. Mais même si la couleur en soi ne change pas grand chose, connaître cette information représente beaucoup à tes yeux. Néanmoins, tu t’excuses, tu te rends bien compte que le cadet préférerait faire autre chose, qu’il n’a pas cherché autant de complications. C’est toi qui les a toutes amené, et maintenant qu’elles sont là tu te demandes ce que lui fait encore ici. En boxer, sur ton canapé, comme si vous aviez des conversations comme celle-ci tous les deux jours. Non, en vérité c’est sans doute la discussion la plus sérieuse que vous ayez jamais eu. Quand il te pose une question que tu sens décisive, tu prends ton temps pour répondre. Ce n’est pas quelque chose d’aisé, de faire une croix sur la seule relation que vous avez connu. T’as rarement autant pris ton pied qu’avec lui, c’est une évidence. Mais l’évidence est également que cet homme, assis en face de toi, il n’est pas qu’un être sexuel. C’est une personne, avec une personnalité, et là ça te semble plus important que ses organes génitaux. Ta réponse, que tu essaies de donner avec le plus de sincérité possible, semble surprendre le jeune homme. Il a du mal à encaisser le coup, et tu te demandes le temps d’une fraction de seconde si tu as dit le contraire de ce que tu pensais. Alors tu enchaines, tu lui demandes ce que lui il veut. Si tu veux qu’il te prenne au sérieux quand tu dis que tu ne le considères pas comme un chien, alors mieux vaut le lui prouver tout de suite. Tu n’es pas le seul autorisé à faire des choix ce soir, tu veux qu’il se sente à l’aise avec ce qu’il te dévoile. Il prend le temps de t’expliquer les nouvelles lignes du contrat, ce que ça signifie pour la relation que vous aviez. Plus d’argent, donc plus de sexe quand bon te semble. Ca te semble logique, et même si tu sais déjà que la chaleur de son corps te manquera, tu ne doutes pas vraiment faire le bon choix. Mais il continue le garçon, il tend sa main pour te toucher la cuisse, pour remonter plus haut et ton corps entier se tend quand ses doigts entre en contact avec le tissu de ton boxer. Tu ne t’y attendais pas à ce contact, et bien qu’il ne dure pas très longtemps, il a un certain effet sur ton corps. « Une envie mutuelle, un consentement partagé… ça me semble assez juste comme deal. » Tu n’as pas envie d’utiliser le mot relation, il te fait peur et tu ne veux pas qu’il ait une connotation trop sérieuse. Il vient d’accepter la fin du marchandage, tu ne veux pas pousser le bouchon plus loin. Tu n’es pas prêt de toute façon. Il se met à l’aise dans le canapé, étrangement ça te rassure, ça montre qu’il ne va pas prendre la poudre d’escampette dans les prochaines secondes. Puis il prononce un prénom. Son prénom. Tu prends quelques secondes pour digérer cette information, mais un sourire grandit sur tes lèvres lorsque tu réalises. Il te propose même un surnom, pour les intimes. Intime vous l’avez été, c’est une vérité que vous ne pouvez nier, mais tu te demandes s’il te considère comme ça déjà. « Joakim… enchanté. » T’avais besoin de dire son prénom en entier, de le sentir rouler sur ta langue. Dans un sens, il va te falloir un peu de temps pour associer son prénom à lui, mais maintenant que tu le connais, ça sonne comme une évidence qu’il s’appelle comme ça. Extasy n’existe déjà plus. « Merci. » Un sourire. T’as envie de l’embrasser, il est beaucoup trop attachant, son visage reposant sur sa main de cette manière, mais tu ne veux pas brûler les étapes. Vous êtes dans un territoire inconnu à présent. « Alors Joa, qu’est ce que tu veux faire ? Tu veux… une bière ? Boire un truc ? » Un rire s’échappe de tes lèvres, c’est une nouvelle situation et vous devez trouver comment interagir l’un avec l’autre maintenant. Doucement, tu te penches en avant, posant tes coudes sur tes genoux et ton menton entre tes mains. Vos visages, ainsi, sont plus proches. « Moi c’est Isaac, en passant. Loin de moi l’idée de t’offrir un verre avant même qu’on se soit formellement présenter. Je ne voudrai pas que tu penses que je te drague, c’est pas mon genre. » Il y a un moment, tu laissais ta colère prendre le dessus. Maintenant, tu ne peux pas t’empêcher de sourire Isaac, t’as envie de jouer.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Dim 3 Mai - 9:40
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Ça le fait sourire le brun. Pourtant il n'a fait que dévoiler une couleur qu'il pense apprécier plus que les autres. C'est vrai que dit comme ça c'est pas grand chose mais c'est simplement le fait de divulguer une info personnel. Quelque chose en rapport avec ses goûts personnels à lui. Ça représente quelque chose mine de rien. En tout cas pour lui, même si c'est une info banale, ça a son importance « Ca te va bien. » il sourit le gamin. Il ne sait pas si c'est vrai mais ça lui fait plaisir alors il prend. Il se mord légèrement la lèvre sans même s'en rendre compte quand il le sent se tendre à son contact. Bien sûr qu'ils pourront recoucher ensemble. Ça ne se reproduira juste plus dans les circonstances qu'il a connu jusqu'à présent. « Une envie mutuelle, un consentement partagé… ça me semble assez juste comme deal. » un deal humain en fait, une relation sexuelle classique. Il hoche la tête un léger sourire accroché aux lèvres "M'semble aussi" Son prénom il le sort enfin et ça a l'air de le faire buguer. Peut-être qu'il s'y attendait plus ? Ou juste pas la tout de suite maintenant comme ça. Mais ça y est, il lui a enfin dit. « Joakim… enchanté. » il ne peut pas s'empêcher de sourire un peu plus. Comme s'ils ne se connaissaient pas. Juste un prénom et ça marque un nouveau départ. « Merci. » il le remercie carrément. Quoi que c'est peut-être pas si surprenant que ça vu à quel point il semblait vouloir connaitre son nom « Alors Joa, qu’est ce que tu veux faire ? Tu veux… une bière ? Boire un truc ? » Sourcils soudainement haussés "Joa ?" un rire franc lui échappe "Alors ça par contre c'est une première !" sa mère l'appelait Kimmy en partant de la fin de son prénom et il aimait pas ça. Mais Joa il a encore jamais eu non donc ça le surprend sur le coup. Si bien que c'est seulement après qu'il se rappelle qu'il lui a posé une question "Ça dépend, j'vais avoir droit à un verre d'eau à côté si je demande de l'alcool ?" il le taquine un peu. Faut dire que le coup du verre d'eau ça l'a marqué. Il se rappelle de cette sensation au moment où il a calé que.. Ben en fait c'était pas de l'alcool. Ni vodka, ni tequila. Simplement de l'eau. « Moi c’est Isaac, en passant. Loin de moi l’idée de t’offrir un verre avant même qu’on se soit formellement présenter. Je ne voudrai pas que tu penses que je te drague, c’est pas mon genre. » pas son genre, ça le fait sourire. Pourtant il l'imagine parfaitement bien draguer et probablement avec grand succès même ! "C'est fou j'ai comme l'impression que j'aurais pu deviner ton nom !" bon d'accord il triche un peu il le connait depuis un moment. Il le regard comme ça, avance face à lui, ses coudes sur ses genoux et ses mains qui soutiennent sa tête "C'est pas un peu bizarre ? De faire connaissance après tout ce temps ?" un petit rire nerveux lui échappe. Après tout la situation est assez inhabituelle "Je sais même pas par où commencer" il se gratte un peu l'arrière de la tête. Ils sont face à face en boxer ça aide peut-être pas non plus à se mettre d'un coup à parler de sa vie privé, non ? Peut-être qu'il doit juste arrêter de se prendre la tête. Il se redresse à son tour pour se rapprocher de lui. Cette fois ci leur genoux se touchent et leurs visages ne sont plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre "Ça te dis qu'on aille se caler dans ton lit ? Quitte à causer, on sera plus confortable" à nouveau ses mains rejoignent les cuisses du trentenaire et du bout des doigts il caresse sa peau "C'est une façon plus agréable de faire plus ample connaissance non ?" pas de leurs corps vu qu'ils les connaissent déjà mais rien n'empêcher de flirter sous la couette. C'est ce qu'il connait avec lui alors c'est un environnement qui lui paraîtra plus familier. Et puis les confidences sous l'oreiller ne sont-elles pas toujours plus intéressantes ? Mais peut-être que contrairement à lui Isaac est un peu moins perturbé par ce changement de situation. Peut-être qu'il y a déjà des trucs à propos de lui qu'il a envie de savoir. Ça il n'en sait rien, ceci dit, rien n'empêche d'en parler au chaud sous sa couette.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Dim 3 Mai - 14:09
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The memories still hurt.
résumé du personnage
Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

passionné | créatif | possessif | sanguin | rancunier | jaloux | sincère | loyal | travailleur | joueur | ponctuel | fermé | secret | à l’écoute | attentionné | doux | fier | sentimental

messages : 7666
rps : 221
name : Undecided. (Sophie)
faceclaim : Diego Luna + suskind (avatar) ; bat'phanie (signature) ; blood eagle (profil) ; hawkicons + brooklycons (icons) ; crackship&crap (crackship)
multinicks : Pandora, Mabel, Adriel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : décès d'un être proche, deuil, victime d'homophobie, crises de panique, mention de toxicomanie, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide)..
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : same game, different rules (Joakim) 6161
âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
statut civil : fiancé à Aoden, pas de blague cette fois.
occupation : propriétaire du Snug Harbor Jazz Bistro, son havre de paix.
habitation : Faubourg Marigny, appartement 238, au dessus du club.
code couleur : #4E90BB
mes trophées : same game, different rules (Joakim) U9ae
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@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
T’as un peu de mal à y croire Isaac, ça fait pas si longtemps que tu y penses à lui demander son prénom, mais maintenant que tu le sais, tu as la sensation qu’un poids a été retiré de tes épaules. Tu te sens plus à l’aise, tes sourires sont plus sincères parce que tu sais finalement à qui tu t’adresses. Un prénom ne fait pas tout, vous êtes bien loin de vous connaître tous les deux, mais c’est un bon début. T’avais tellement peur que le jeune homme, que Joakim, quitte ton appartement sans un regard en arrière, mais il est toujours là, et ça te rend heureux. Tu as appris avec le temps qu’il fallait prendre les petits bonheurs de la vie, quand ils viennent, et là c’en est un grand. C’est minime, ce n’est qu’un nom, mais pour le moment ça te suffit. Tu ne peux pas t’empêcher de le fixer, intérieurement tu te répètes son prénom, pour le coller à son visage que pourtant tu connais par coeur. La situation est un peu étrange, alors bien vite tu lui proposes de boire quelque chose, pour rendre la situation plus ordinaire. Il rit, à cause de ce surnom que tu lui donnes, qui semble le surprendre. « Vraiment ? Ca me semblait assez facile pourtant comme surnom… Mais je t'appellerai Joakim si tu préfères. » Oui, finalement peut-être que tu brûles des étapes en lui donnant déjà un surnom. Ca fait des mois que vous couchez régulièrement ensemble, tu connais les points sensibles de son corps, il connaît les tiens à la perfection. C’est assez étrange, vous vous connaissez physiquement, et pourtant pas intimement. Mais ça n’empêche pas l’ambiance d’être assez légère, il te taquine et cette fois c’est à ton tour de rire. « C’est important de boire de l’eau ! Mais non, cette fois tu peux avoir seulement de l’alcool. » Doucement, tu te rapproches de lui, un sourire toujours pendu aux lèvres. Tu poses tes coudes sur tes genoux, te penchant en avant pour que vos visages soient plus proches. Tes yeux, comme des aimants, sont attirés par ses lèvres, mais tu te retiens. Il n’est plus là pour ça maintenant, peut-être qu’il se passera des semaines avant que vous ne recouchiez ensemble. Peut-être que, malgré ce qu’il a dit, il n’aura jamais plus l’envie de te toucher comme ça. Et ça serait une déception, mais finalement tu préfères peut-être une proximité émotionnelle avec lui, aussi étrange que ça puisse paraître. Tu essaies de ne pas y penser à tout ça, tu fais une blague, il te taquine encore et tu sens que tu pourrais très facilement t’y habituer, à cette dynamique entre vous. « Ca doit être un signe ! » Un signe de quoi, tu ne sais pas, tu ne crois pas réellement en ce genre de choses. Tu n’as jamais caché ton identité à Joakim, peut-être qu’il ne connaît que ton nom et tes préférences sexuelles, mais ce sont tout de même des vérités. Le plus jeune rit nerveusement, il exprime l’étrangeté de la situation et toi, tu perds un peu ton sourire quand il dit ça. Tu ne veux pas qu’il prenne peur, qu’il regrette son choix. « C’est inhabituel, oui. Mais on a le temps, faire connaissance ce n’est pas quelque chose qui se fait en une soirée. Je te l’ai dit, je ne m’attends pas à ce que tu me parles de toute ta vie, et je ne vais pas te déballer la mienne non plus, pas comme ça. Mais petit à petit, on peut voir où ça nous mène, si on s’entend bien. » D’un point de vue physique, il est indéniable que vous vous entendez à merveille, ou du moins c’est ce que tu penses. Néanmoins, rien ne dit qu’en apprenant à vous connaître, vous ne réalisiez que vous n’avez rien d’autre en commun. Peut-être que vos personnalités ne vont pas du tout s’accorder, peut-être que vous avez des visions du monde et des idéaux complètement opposés, qui créeront des disputes à chaque conversation. Aucun de vous ne peut savoir la tournure que prendront les choses, mais pour la première fois depuis longtemps, t’as envie d’essayer. Joakim se rapproche de toi, vos genoux entre doucement en contact, son souffle s’écrase sur ton visage et ses doigts, doucement, caressent tes cuisses. Il te propose de quitter le salon pour rejoindre ton lit qui, il y a quelques minutes, n’attendait que vous. Tu lui offres un sourire doux, avant d’hocher la tête. Tu te redresses, mais avant de te lever complètement tu attrapes une de ses mains dans la tienne. Tu réalises que vous êtes toujours en boxer, tous les deux, t’as la sensation que des années se sont écoulées depuis qu’il est entré chez toi que vous vous êtes mutuellement déshabillés. « Aller viens. » Tu tires doucement sur sa main pour l’aider à se lever et, sans le lâcher, tu vas vers l’espace cuisine. Tu as bien compris que c’était dans le lit qu’il voulait aller et t’es totalement d’accord, mais tu lui as aussi promis une bière et mine de rien, l’alcool pourra peut-être aider à enlever un peu de la gêne présente entre vous. Tu fais tout avec une seule main, puisque l’autre refuse de lâcher Joakim. Tu ouvres le frigo, récupères deux bouteilles de bière et attrapant aussi le décapsuleur, tu te remets en route vers ta chambre. Là, tu lâches sa main pour poser les bouteilles sur une des tables de chevet, et une fois que tes mains sont libres, tu te retournes vers lui. Il est beau, Joakim, cette pensée ne te quitte pas. Lentement, tu te rapproches de lui. « J’ai envie de t’embrasser. Alors va dans le lit avant que je ne puisse plus résister. » Comme si cette envie s’évanouira quand vous serez tous les deux sous la couette. C’est totalement faux, mais tu veux honorer le pact que vous avez fait. A partir de maintenant, tu ne peux plus présumer que vous coucherez ensemble. Maintenant il est autant maître de la situation que toi, si ce n’est plus. T’es proche de lui, ce serait tellement facile de goûter à ses lèvres, mais finalement tu t’écartes pour te glisse
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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Sam 9 Mai - 16:49
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ft @Isaac Evans
Changement d'ambiance. Changement de relation. Ils partaient sur de nouvelles bases au final même s'ils n'étaient pas pour autant des inconnus à tout les niveaux. Est ce qu'on peut dire que connaitre une personne sexuellement c'est la connaitre ? Non bien sûr que non. Mais quelque part ça permet d'en savoir un peu tout de même, sur ses goûts, ses préférences... Ceci dit ça peut tout autant être trompeur, beaucoup de personnes sont très différentes pendant le sexe et en dehors. « Vraiment ? Ca me semblait assez facile pourtant comme surnom… Mais je t'appellerai Joakim si tu préfères. » Jo c'était le surnom facile, Joa c'est pas le genre de surnom courant qu'il a l'habitude d'entendre depuis petit "En fait je préfère J à Joakim, j'ai plus l'habitude que d'entendre mon prénom entier, mais Joa ça ne me gêne pas" il hausse les épaules. Non ça le gêne pas, ça l'a simplement surpris, mais c'est pas forcément négatif pour autant. « C’est important de boire de l’eau ! Mais non, cette fois tu peux avoir seulement de l’alcool. » un rire franc s'échappe d'entre ses lèvres "Mais vous êtes trop aimable ! bon après il ne cherche pas forcément à se bourrer la gueule ce soir. Mais boire un petit quelque chose ça il n'y voit aucun inconvénient, ça pourrait même peut-être l'aider à se détendre. Quoi que non, il n'est pas tendu, c'est pas le mot. Il est juste un peu perdu, ne sait pas vraiment quel comportement adopter. « C’est inhabituel, oui. Mais on a le temps, faire connaissance ce n’est pas quelque chose qui se fait en une soirée. Je te l’ai dit, je ne m’attends pas à ce que tu me parles de toute ta vie, et je ne vais pas te déballer la mienne non plus, pas comme ça. Mais petit à petit, on peut voir où ça nous mène, si on s’entend bien. » Petit à petit voir où ça les mène ? A cet instant J a un petit doute. Il se demande si le brun a quelque chose derrière la tête, mais il doit se faire des films. Il ne parle probablement que d'amitié potentiellement ambiguë, ça doit être ça. "Ouais, faut que ça vienne naturellement" rien n'empêche de se poser des questions l'un sur l'autre, au contraire. Juste pas chercher à lister leurs vies comme un exposé sur eux même, ça ça serait bizarre. Il le suit du regard alors qu'il se redresse quelque peut surpris qu'il lui prenne la main « Aller viens. » Hm okay, c'est lui qui lui a proposé d'aller dans le lit de toute façon mais se tenir la main c'est vraiment pas obligatoire. Pour le coup ça lui donne vraiment l'impression qu'ils sont en couple c'est très étrange et perturbant. Mais il ne le lâche pas, l’entraîne à la cuisine pour prendre de quoi boire puis jusqu'à se chambre où il libère enfin sa main. Il ne le lâche pas du regard quand doucement il se rapproche. Ne recule en aucun cas non plus « J’ai envie de t’embrasser. Alors va dans le lit avant que je ne puisse plus résister. » Un petit sourire étire le coin de ses lèvres et ses yeux se posent sur les lèvres de son ancien client "C'est vrai ça serait dommage de céder aussi vite" Joakim provocateur ? Si peu ! Il le contourne, non sans l'effleurer mais il doit bien reconnaître que lui aussi l'aurait bien embrasser. Isaac lui a toujours plu physiquement. Y'a pas vraiment de problème d'attirance. Et comme il a déjà goûté à son corps et au plaisir qu'il sait lui procurer il y a des chances pour qu'ils finissent par remettre le couvert. De grandes chances même. Mais il ne peut résister à l'envie de le charrier un peu et de faire monter l'envie en lui. Il s'asseoir sur le bord du lit pour décapsuler les bières et lui en tendre une. Sous la couette il se glisse et cale le haut de son dos contre le mur, à moitié allongé et appuyé sur le coussin. Deux gorgées et il repose déjà la bouteille pour s'allonger un peu plus en se tournant sur le côté. De son côté. "Ça t'arrives souvent de coucher avec des potes toi ? J'veux dire, en dehors des putes" ou bien est ce qu'il évite de mêler amitié et sexe en général ? "D'ailleurs... Tu vas me trouver un remplaçant du coup ? Ou t'en avais déjà plusieurs sous la main ?" ben oui peut-être bien qu'il n'était pas le seul après tout. Ça serait pas surprenant, histoire d'avoir un peu de changement. Son regard doucement se perd sur son torse sans qu'il ne cherche à le cacher. Peut-être bien qu'il a envie de jouer un peu au final.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Sam 9 Mai - 22:57
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Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

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@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
Tout a changé maintenant, pour ton plus grand plaisir. Tu ne sais pas encore ce que l’avenir vous réserve, peut-être qu’aujourd’hui est la dernière fois que vous vous voyez, peut-être que vous vous verrez chaque jour à partir de maintenant. C’est difficile à dire, mais tu as hâte de le découvrir. Parce qu’à partir de maintenant, il y a une honnêteté, une sincérité entre vous qui te plais. D’il n’y a plus de client, d’employé, de boss ou de personne qui décide. Seulement deux hommes, qui se découvrent doucement. « Je prends note. Pas ton prénom en entier, J ou Joa à la limite. » Au fond, peut-être que ça te plaît de l’appeler par un surnom que personne d’autre ne lui donne. Un surnom qui n’est qu’à toi, qu’à vous. Tu t’emballes là Isaac et tu le sais, alors tu ris au pique qu’il te lance. Oui, la dernière fois que tu lui as donné de l’alcool dans cet appartement, tu lui as également servi de l’eau. Mais tu savais ce que tu faisais, et tu ferais exactement la même chose si la situation était similaire. Ce soir cependant, vous pouvez boire sans conséquence. Avant de te lever, tu préfères le rassurer, lui dire qu’il n’y a aucune pression. Pour une fois, tu sais un peu ce que tu veux, mais tu n’attends rien de lui. Après tout, mettre fin à ce contrat qui vous liait veut justement dire ça : tu n’as plus le droit d’attendre de lui quoi que ce soit. « Exactement, naturellement, au fil des conversations. » Les idées qui te passent par la tête depuis que tu l’as vu dehors te terrifient. Cela fait des années que tu n’as pas ressenti ce genre de choses, que tu n’as voulu ce genre de choses. Et pourtant te voilà, toi qui refuse tout attachement, tu rêves de quelque chose de plus fort, de plus grand. Doucement, tu prends sa main pour l’amener avec toi dans la cuisine. Ce n’est qu’une étape avant de repartir vers la chambre, deux bières à la main. Te retrouver à nouveau dans cette pièce, presque nu avec lui à tes côtés, ça te donne envie de reprendre là où vous en étiez. Tu le trouves beau, avec ses cheveux en bataille et ses yeux perçants. Tu te rapproches de lui, tu ne peux pas t’en empêcher, mais tu luttes pour ne pas l’embrasser. T’en as envie pourtant, et tu lui dis. Il joue avec toi, réplique et ça devient encore plus dur lorsqu’il te touche furtivement en allant vers le lit. « On verra qui sera le premier à flancher. » Vous n’êtes plus censé coucher ensemble, et pourtant il est évident que ça arrivera à nouveau. Il a proposé d’aller dans ton lit, vous êtes tous les deux en sous-vêtements et t’as envie de lui, t’as l’impression que t’auras toujours envie de lui. Tu prends la bière décapsulée qu’il te tend et tu t’installes dans le lit, sous la couette, à moitié avachi, comme lui. La bouteille en main, tu ne bois pas tout de suite, tu le regardes s’installer, faire comme s’il était chez lui et ça te fait doucement sourire. Puis il se tourne, et commence avec les questions. Tu te sens un peu gêné soudainement, pourtant il n’y a pas de raison. Vous êtes tous les deux adultes et c’est toi qui a poussé cette conversation vers ce moment. Vous vous ouvrez, peu à peu, tu ne pensais simplement pas que vous commencerez par parler de sexe. Mais après tout, c’est sans doute logique, puisque qu’entre vous il n’y a rien eu d’autres. « La plupart du temps, je couche avec des inconnus. Des gars que je rencontre au bar, que je revois jamais. Ca m’arrive de coucher avec des potes mais… la plupart de mes potes sont hétéros, ou des femmes. Et pour ce qui est des gens que je paye… Bah t’étais le seul, en fait. » Tu prends une gorgée de bière, te demandant si tu as bien fait de terminer ta phrase ainsi. Tu continues à avoir peur Isaac, peur de l’effrayer et qu’il se sauve sans que tu aies le temps de le retenir. C’est idiot, s’il est allongé dans ton lit c’est qu’il a envie d’être là, mais t’arrives pas vraiment à y croire. Tu ne vois pas pourquoi il aurait envie de rester près de toi en fait, mais tu ne vas te plaindre. « Et sincèrement, je pense pas en trouver un autre non. Tu ne vas sans doute pas y croire, mais ça me ressemble pas vraiment de faire ça. De payer des gens pour du sexe, et peut-être de coucher en général. T’étais mon plan cul le plus régulier. » Mine de rien, en parlant seulement de ça, tu te dévoiles un peu. Toi et tes insécurités qui sont bien trop nombreuses, toi et tes doutes, tes angoisses. Tu sais parfaitement que ça amènera à d’autres questions, d’autres informations que tu n’as pas encore envie de dévoiler. Jamais encore tu ne t’es retrouvé dans cette situation, parce que depuis que ta vie a changé six ans plus tôt, tu n’as pas eu de relation comme celle-ci. « Et toi alors ? Tu couches avec combien de personnes par jour en moyenne ? » Ca te semble être une question vraiment étrange et, si c’était n’importe qui d’autre tu aurais peur de faire une erreur. C’est assez insultant au fond, du moins c’est l’impression que tu en as, mais cette situation précise, il s’agit réellement de son boulot.
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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Mer 20 Mai - 23:09
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« Je prends note. Pas ton prénom en entier, J ou Joa à la limite. » Oui voilà, il a tout compris ! Joakim ça sonne trop formel à son oreille. Question d'habitude. Mais si Isaac ne doit plus être un client autant qu'ils essayent d'être un minimum familier entre eux au début. Après tout à quoi servirait d'abattre certaines barrières pour en ériger d'autres ? « Exactement, naturellement, au fil des conversations. » c'est ça, naturellement. Pas toujours évident quand on y pense, surtout quand le changement est si brusque. Mais il a envie lui aussi, d'apprendre à le connaitre. Après tout il a toujours apprécié le brun. S'il perd un bon, même très bon client aujourd'hui, il ne le fait pas non plus à contrecœur. « On verra qui sera le premier à flancher. » à présent assis sur le lit il relève les yeux sur lui et son sourire s'étire "C'est un défis ?" parce que ça sonne tout comme ! Ça éveille son esprit de compétition en tout cas. Peut-être bien qu'il va jouer à ce petit jeu oui, et probablement qu'il va réussir à se frustrer lui même s'il fait ça. Dilemme. Il verrait bien. Pour l'instant, comme ils sont censé apprendre à se connaitre, il lance les indiscrétions. « La plupart du temps, je couche avec des inconnus. Des gars que je rencontre au bar, que je revois jamais. Ca m’arrive de coucher avec des potes mais… la plupart de mes potes sont hétéros, ou des femmes. » est ce qu'il doit en déduire qu'il n'aime que les hommes ? « Et pour ce qui est des gens que je paye… Bah t’étais le seul, en fait. » il arque un sourcil sans réussir à savoir s'il est réellement surpris ou non. En revanche il le sent se sentiment de satisfaction qui réchauffe son corps. C'est étrange. Mais oui, cette idée lui plait « Et sincèrement, je pense pas en trouver un autre non. Tu ne vas sans doute pas y croire, mais ça me ressemble pas vraiment de faire ça. De payer des gens pour du sexe, et peut-être de coucher en général. T’étais mon plan cul le plus régulier. » il fronce légèrement les sourcils, s'interroge. Pour le coup la oui il est surpris "Pourquoi t'es venu voir une pute alors si ça te ressemble pas ? Et surtout..." parce que ça l'intrigue oui "Pourquoi dépenser des fortunes pour coucher si de manière général ça te ressemble pas beaucoup ?" Y'en a qui ressente beaucoup moins souvent l'envie de coucher, c'est peut-être son cas mais du coup il ne comprend pas vraiment pourquoi il a autant payé juste pour ça. C'est.. non, il ne comprend pas. Ou alors peut-être qu'il a mal compris ce qu'il disait. « Et toi alors ? Tu couches avec combien de personnes par jour en moyenne ? » ses yeux s'agrandissent. Alors ça pour le coup il ne s'y attendait pas du tout ! Ça lui fait bizarre cette question. Pourquoi ? Ils parlaient de sexe juste avant, c'est quoi la différence ? Peut-être que c'est simplement parce que sa porte sur sa sexualité à lui cette fois ci. Enfin, celle d'Exta. Il bascule sur le dos. "Heum... C'est compliqué comme question" il hausse les épaules en regardant le plafond comme si une réponse allait s'afficher sur celui ci "En fait y'a pas vraiment de moyenne. Parfois je peux galéré à trouver ne serais-ce qu'un client ou simplement ne pas y arriver. Et quand c'est déjà prévu à l'avance et que du coup je peux plus ou moins planifier..." encore un soupire "C'est compliqué en fait parce que même la ça va dépendre de ce que je fais. En imaginant quelque chose de complet je peux parfois en faire cinq par nuit. Autant qu'une personne peut me prendre toute la nuit. Ou si ce sont juste des pipes c'est plus rapide donc.. peut y en avoir plus.. enfin tu vois" ouais ça lui fait vraiment bizarre en fait de lui raconter ça. Certes il sait qu'il couche avec d'autres mais ils ne sont jamais vraiment rentré dans les détails "Mais c'est pas.. Enfin j'veux dire, c'est le job, ce qui leur fait plaisir, c'est pas comme coucher en dehors" bien sûr que parfois il prend son pied, Isaac en est la preuve vivante, mais ça reste très rare que son plaisir soit pris en compte. Sans bouger son buste il se contente de tourner la tête vers lui à nouveau "Ça t'intéresse vraiment ça ? Genre ma vie sexuelle au boulot ?"

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Jeu 21 Mai - 20:19
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Naissance en 1984 à Toluca, Mexique. ◊ Adoption à la naissance et arrivée à NOLA. ◊ Frère jumeau, Casey, avec qui il a commencé la musique à l'âge de trois ans. ◊ Passion pour le jazz transmis par les parents. ◊ En 2002 les frères se lancent dans une carrière de musicien, ils ont rapidement un certain succès. ◊ En juin 2014, Casey fait une overdose après un concert. Il meurt dans les bras d'Isaac. ◊ Isaac arrête la musique, il retourne à NOLA et monte le Snug Harbor Jazz Bistro. ◊ En août 2014, la femme de Casey met au monde une petite fille, la lumière de la vie d'Isaac.

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multinicks : Pandora, Mabel, Adriel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : décès d'un être proche, deuil, victime d'homophobie, crises de panique, mention de toxicomanie, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide)..
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : same game, different rules (Joakim) 6161
âge : trente-neuf ans. (7 mars 1984)
statut civil : fiancé à Aoden, pas de blague cette fois.
occupation : propriétaire du Snug Harbor Jazz Bistro, son havre de paix.
habitation : Faubourg Marigny, appartement 238, au dessus du club.
code couleur : #4E90BB
mes trophées : same game, different rules (Joakim) U9ae
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[ same game, different rules ]
@Joakim Hargreeves & @Isaac Evans
Un sourire joueur se pend à tes lèvres lorsqu’il te demande si c’est un défi. Tu as toujours été joueur, c’est ancré en toi tout autant que tes cheveux sont bruns, alors évidemment ça te ressemble de lancer de tels challenges. Celui-ci, tu sens qu’il pourrait très vite te rendre fou, parce qu’avoir Joakim dans ton lit, à moitié nu, ça n’appelle qu’à la débauche. Evidemment, ce que tu veux principalement faire c’est apprendre à le connaître, récolter des informations sur sa vie, sur lui, ce qu’il aime. Mais tu restes simplement humain Isaac, et ce jeune homme là il te fait vraiment de l’effet. Alors avec un clin d’oeil pour toute réponse, tu t’installes sous la couette avec ta bière à la main. Il ne faut pas longtemps pour que des questions sortent de la bouche du plus jeune, mais tu ne t’attendais pas à ce qu’il commence ainsi. Finalement, peut-être que ça t’arrange qu’il parle de sexe, plutôt que de poser les questions traditionnelles de “où est ce que tu as grandis ? Tu as des frères et soeurs ?”. Ce genre de questions, tu n’as pas envie d’y répondre, pas ce soir en tout cas. Tu as peut-être envie que vous vous dévoiliez sur un plan autre que physique, mais il te faut du temps pour parler de tes plus grandes faiblesses, de la confiance. Alors bien qu’un peu gêné, tu réponds à ses questions. Oui, il t’arrive de coucher avec des potes, non, tu n’es pas fan des putes. Etrangement, t’as l’impression que plus tu parles, plus tu éveilles en Joakim un étonnement et une curiosité. Il pose d’autres questions et un rire légèrement nerveux échappe tes lèvres. Ca y est, vous touchez des sujets sensibles. « Quand on couche avec un inconnu ou un pote, on sait jamais ce que ça va devenir. Les gens peuvent se faire des idées, s’imaginer des trucs, vouloir plus… Et moi je voulais pas ça. C’est pas que coucher avec des gens me ressemblent pas, c’est plus que je suis pas forcément à l’aise avec ce qu’il peut y avoir derrière. » Légèrement hypocrite, lorsque l’on pense que c’est toi qui a fait un caprice un peu plus tôt pour que vous appreniez à vous connaître. Mais c’est bien là l’ironie du sort, tu t’es fait avoir à ton propre jeu. « Quand je t’ai appelé la première fois, je pensais que ce serait la seule fois. J’sais pas, je me sentais seul sans doute ce soir là. Et je me suis dit qu’il n’y aurait aucun souci d’attachement, pas besoin de parler, de partager des trucs, tu vois ? C’est ce qui me fallait. Mais le sexe était bon, t’étais cool, alors je t’ai rappelé. » Tu ne regrettes pas ce choix, encore moins maintenant que vous êtes tous les deux allongés dans ton lit à finalement vous ouvrir l’un à l’autre. Mais ça te fait peur tout ça, tu réalises à quel point vous êtes sur une pente glissante. Le fait que tu aies envie de t’ouvrir à lui, de lui raconter des choses, tu sais pertinemment que ça ne mènera qu’à de la douleur. Alors tu changes le sujet. Rapidement, tu prends une gorgée de bière et tu lui poses une question indiscrète à lui. Mais tu as l’impression que ça le surprend tout autant, comme s’il ne s’attendait pas à ce que tu retournes le sujet sur lui. Il bascule, le contact visuel est perdu entre vous et pourtant toi, tu ne le lâches pas des yeux. Tu continues à prendre des gorgées régulières de ta bière, tout en l’écoutant. Bien vite cependant, tu réalises que tu n’aurais pas dû prendre ce chemin là. L’entendre parler de personnes qui peuvent le prendre toute la nuit, ça remue quelque chose en toi de primitif. Une sensation violente, de dégoût, tandis que ton esprit s’emplit d’images de lui dans les bras d’un autre. Tu ne sais pas vraiment quoi dire en réponse, tu commences seulement à comprendre la complexité de son boulot lorsqu’il se tourne vers toi. Dans ses mots, t’as l’impression de déceler une sorte de frustration et immédiatement tu secoues la tête. « Non, pardon. Il faut que je m’habitue à faire la différence. » Exta et Joakim ne sont pas la même personne, c’est une réalité que tu dois faire entrer dans ton esprit à présent. « Alors tu fais quoi de tes journées quand tu ne bosses pas ? Dis-moi un de tes passes-temps. » Un nouveau sourire aux lèvres, tu choisis de dévier, parler de quelque chose qui n’est pas sexuel. Il ne peut pas passer sa vie à chasser le client, il doit bien avoir des centres d’intérêts en dehors de ça.
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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Dim 24 Mai - 18:05
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ft @Isaac Evans
Pas de réponse. Un simple sourire. Et ce regard. Ce regard qui suffis à lui faire comprendre que oui, quelque part c'est un défis. Que ça sera à celui qui craquera le premier. Mais tout les deux savent qu'ils finiront par craquer de toute façon, ce petit défis n'est qu'une façon de retarder les choses parce qu'ils vont tout les deux vouloir le gagner mais ça n'est pas pour autant que ça durera forcément très longtemps. Peut-être que commencer par parler de sexe d'ailleurs n'est pas forcément la meilleure idée pour ménager sa libido mais allez savoir, ce sont les questions qui lui sont venu en premier. Maintenant qu'il n'est plus sa pute, il a envie de savoir un peu, comment il en est venu à faire appel à lui. Surtout qu'il était quand même loin d'être dégueu donc il pouvait avoir du sexe sans avoir à payer. Bon, l'avantage d'une pute c'est que tu peux faire ce que tu veux effectivement. « Quand on couche avec un inconnu ou un pote, on sait jamais ce que ça va devenir. Les gens peuvent se faire des idées, s’imaginer des trucs, vouloir plus… Et moi je voulais pas ça. C’est pas que coucher avec des gens me ressemblent pas, c’est plus que je suis pas forcément à l’aise avec ce qu’il peut y avoir derrière. » il fronce légèrement les sourcils, perplexe. Pas qu'il ne comprenne pas cette appréhension de ce qu'il pourrait y avoir derrière, non ça il comprend tout à fait. Mais du coup c'est ce qu'ils sont en train de faire la maintenant qu'il ne comprend pas « Quand je t’ai appelé la première fois, je pensais que ce serait la seule fois. J’sais pas, je me sentais seul sans doute ce soir là. Et je me suis dit qu’il n’y aurait aucun souci d’attachement, pas besoin de parler, de partager des trucs, tu vois ? C’est ce qui me fallait. Mais le sexe était bon, t’étais cool, alors je t’ai rappelé. » il lui arrache un léger sourire. Ouais ça fait partis de son job d'être cool, même très très cool avec les clients. Mais c'est vrai que c'est tout de suite bien passé entre eux, ça il ne peut pas le nier. Peut-être le fait qu'il n'y ai justement pas à se poser toute ces questions sur le après ? Ceci dit ça ne l'empêche du coup pas de ce demander pourquoi se revirement de situation ce soir "Et donc, t'as quelqu'un à ta disposition pour éviter de t'attacher et d'avoir de suite, de quoi que ce soit en dehors du sexe, et finalement tu décides que tu préfères le connaitre ? J'suis perdu la" ça n'a aucune logique non ? Ou bien c'est lui qu'est con ? C'est vrai il aurait dû s'attendre à ce qu'il lui pose lui aussi des questions sexuelles. En fait il s'y attendait, mais pas forcément au niveau du boulot. Ceci dit quelque part ça parait plutôt logique vu qu'il a beaucoup plus de relations sexuelles en bossant qu'autrement. « Non, pardon. Il faut que je m’habitue à faire la différence. » un léger sourire étire ses lèvres. Non, ça n'intéresse personne ce qu'il fait dans son job. Ses clients se fichent bien ce qu'il fait en dehors de s'occuper d'eux et les autres n'ont généralement pas envie de savoir. Ça les gêne. Lui il s'est toujours imaginé qu'il pouvait en parler sans mal, qu'il s'en fichait, ça n'a jamais été tabou pour lui. Mais allez savoir, la, avec Isaac, il a du mal. En fait c'est pas pour lui qu'il se sent gêné mais il a pas envie d'imposer ces images à l'homme en face de lui. Quoi que, au final, ça revient peut-être bel et bien à de la gêne qu'il éprouve pour lui, même si c'est seulement vis à vis d'Isaac. Enfin, de ce qu'il sait vu que jusque la y'a pas grand monde qui lui a demandé des détails la dessus. "T'inquiète pas c'est rien c'est juste que.." il hausse les épaules "J'pense que si tu veux apprendre à me connaitre moi c'est pas en cherchant à comprendre la personne que je deviens quand je bosse que tu vas y arriver" parce que cette personne c'est pas lui. Enfin, ça fait partie de lui c'est vrai. Exta n'existerait pas sans J. Mais il n'est pas cette salope que tant désirent en dehors de son boulot. Certes ça peut arriver parfois sexuellement qu'il le soit un peu mais ça reste différent. "D'ailleurs.. Peut-être que t'aimais bien Exta mais que tu vas pas m'apprécier moi" un rire nerveux lui échappe. Ben c'est vrai, au fond ils sont différents et la personne qu'il a trouvé cool et qui lui a donné envie de le connaitre c'est Exta. Enfin quoi que, l'autre coup quand il a débarqué chez lui il n'a pas réellement été la pute. Mais quelque part l'appréhension est la. Et si ? « Alors tu fais quoi de tes journées quand tu ne bosses pas ? Dis-moi un de tes passes-temps. » A cette question il se rend compte qu'il n'a pas des masses d'activité en dehors de dormir, bouffer et passer du temps avec des potes. Enfin si parfois il glande devant une série aussi c'est vrai "Heumm j'ai pas une vie qui sort particulièrement de la normale" mais il réfléchis, cherche une info qu'il pourrait lui donner et qui n'est pas une info que tout le monde pourrait lui donner "Jee.. joue un peu de guitare ! Enfin clairement rien de ou hein mais je me débrouille un peu" ses yeux se reposent sur lui "Tu joues d'un instrument toi ?" oui au fond il ne le connait pas vraiment non plus, il a encore plein de choses à apprendre de lui. Il se rapproche, encore un peu plus, leur peau se frôlent "T'as des secrets ? Genre des trucs que t'as jamais dis à personne ? Que ça soit par honte ou autre chose ?" ouais il a des questions curieuses qui lui passent par la tête faut bien l'avouer.

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(#) Re: same game, different rules (Joakim)    Mar 26 Mai - 5:09
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