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 /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ

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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @Andrej Dmitrijev
Isaac n'est pas le seul qui, récemment, a découvert sa vrai identité alors qu'il était client d'Exta. Sauf qu'avec Isaac il le lui a demandé et J a fini par accepter. Qu'il lui a dit de lui même pour partir sur une base amicale, à apprendre à se connaitre. Sans retour en arrière possible. Il lui a d'ailleurs bien fait comprendre tout ça avant d'accepter de laisser tomber le professionnel pour se livrer tel qu'il était lui même. Joakim. Mais avec Nix c'est différent. Il était le client. Un client spécial vu qu'il a un mal fou avec les contacts physique. Donc autant dire que la deuxième fois qu'ils se voyaient il avait pigé qu'il aurait des demandes de sa part qui sortent un peu de l'ordinaire. Mais pas à ce point la. Il lui a demandé de jouer à un jeu vidéo avec lui, où il fallait dézinguer du zombie. Chose qui lui a paru très surprenant puisque ça il pouvait le faire avec n'importe quel pote sans avoir à payer. Mais il a quand même joué le jeu, jusqu'à ce qu'il entende son vrai nom sortir de la bouche de son client. Pas son pseudo de pute. Son vraiment à lui. Joakim. Comment ? Comment est ce qu'il pouvait savoir. Il l'a su par quelqu'un à ce qu'il lui a dit. Est ce que c'est vrai ou pas il n'en sait rien, ça lui semble tout de même louche. Oui à ce moment la il s'est réellement demandé à quoi il jouait ce mec. Entre les jeux vidéos et son prénom. Il a envie que ça ai l'air naturel entre eux. Pas forcément que ça le soit mais que ça en ai l'air, d'où cette mise en scène. C'est comme ça qu'il a envie de perdre sa virginité. Peut-être que J aurait pu ignorer le fait qu'il savait des choses au delà de la pute qu'il était et continuer son job, lui donnant ce qu'il veut. Mais cette affaire ça l'a gavé. Déjà que quand il fait quelque chose en dehors séduction et sexuel c'est difficile pour lui de ne pas être J mais de continuer dans le rôle d'Exta parce que c'est le genre de situation où le naturel revient vite. Mais alors dès qu'il a dit son prénom, ça a complètement basculé. Non tout ça c'est pas possible. Il a tout gâché, il n'a qu'à s'en prendre à lui même et qu'il garde son argent. C'est ce qu'il s'est dit à ce moment la. Quand, peu convaincu par ses explications et agacé d'avoir l'impression d'être pris pour un con, il a décidé de quitter l'appartement. Sans penser une seconde y revenir un jour. Pourquoi est ce qu'il avait fallut qu'il complique tout. Il le trouvait touchant pourtant. Même après lui avoir fait faire une crise de panique et s'être retrouvé comme un jambon à attendre dans la pièce d'à côté que son ami lui calme. Putain il a même chanté quoi, dans le but de le calmer en attendant. Paniqué comme il était. C'était probablement la pire façon de tisser un lien n'empêche que ça en avait tissé un. Et maintenant qu'il y a réfléchis à tête reposée ça le fait chier de couper ce lien. En tout cas si tôt, sans avoir réussi à l'aider dans son blocage. Pour une fois que son job de catin respecté par personne et dénigré par tout le monde lui donnait l'occasion d'accomplir quelque chose de bien. D'aider une personne. C'est pour ça qu'il est revenu sur sa décision, enfin en partie. Pour ça qu'il se retrouve devant sa porte à nouveau aujourd'hui. Il ne l'a pas prévenu bien sûr. Comme ça peut-être qu'il ne sera pas chez lui et ça voudra dire qu'il doit arrêter la. Rentrer chez lui et ne pas s'accrocher à cette idée probablement stupide. Après tout il sera pas payé. Mais au fond c'est pas vraiment l'argent qui le motive la. Il prend une inspiration et frappe quelques coups contre la porte avant de replonger sa main dans sa poche. Il bascule son poids d'un pied à l'autre en regardant autour de lui en attendant. Et la porte fini par s'ouvrir, il est chez lui. Il tourne la tête vers lui puis se tourne entièrement face à lui. Merde il est censé dire quoi maintenant ? Il n'y a même pas réfléchir "Heum" ah ouais ouais on est pas mal la niveau vocabulaire ! "J'suis plus ta pute j'ferais uniquement ce que j'ai envie de faire" okay peut-être un peu cash mais au moins il est prévenu dès le départ "Mais si tu veux continuer, même si t'as pas le contrôle sur moi et que ça se passera peut-être pas tout pile comme toi t'en avais envie alors c'est okay j'suis partant" oui il est partant. Un peu frileux à l'admettre peut-être mais bon, il l'aime bien ce jeune homme à l'attitude surprenante "Et si tu préfères que tout ce déroule selon le schéma idéal que tu t'es construit alors tant pis, je te laisserai te trouver une autre pute"

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(#) /! [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 16 Juin - 3:24
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @joakim hargreeves
Inutile de s’en ronger les ongles jusqu’au sang, il avait joué. Il connaissait les risques, les savait nécessaire. Toutefois, il aurait pu attendre. Patienter comme il l’avait originairement prévu. Qu’il arrive à maturation avant de le cueillir. L’éternel audacieux, bâton qu’il peut devenir dans ses propres roues. Et les rouages de son cerveau s’attardent sur le boulot, s’occupe plus qu’à l’usuelle de fructifier des comptes. Des carcasses de cannettes débordent de la poubelle, érige une petite pile à son pied. Et celle qu’il termine rejoint approximativement le tas. Le nez sur l’écran de son cellulaire alors qu’il commande copieusement ses nuggets. Il avait vérifié, il n’en avait plus au congélateur. Et si initialement il avait sauté sous la douche dans l’espoir de descendre faire quelques provisions. L’eau chaude massant à l’accalmie ses muscles l’avait alourdi d’une flemme aigüe. Il n’avait pas tellement envie de sortir, encore moins envie de troquer son peignoir dark vador contre une paire de jeans. A vrai dire, la perspective du survêtement ne l’avait pas tant enchanté non plus. L’humeur à éviter puisqu’il le peut ses interactions avec les autres êtres humains. Le pan noir de son peignoir dans une main, il éponge distraitement son épaisse chevelure ébènes. Un regard vers son ordinateur lui rappelle qu’il a du pain sur la planche, pourtant il éteint l’écran quand il s’allèche de largeur de son lit impeccablement tiré. Une habitude qu’il n’a jamais réellement su se dissocier. Pas quand son corps porte encore les séquelles de son apprentissage. Cat s’étire à ses pieds et lui, il en profite pour en voler un cliché. Ses griffes s’allongent jusque la chaire de son mollet et perce sa peau quand la sonnette soudainement retenti. « Ce n’est que la porte. », il s’est redressé pour abattre sa tendreses entre ses deux oreilles. Il ne lui en faut pas plus pour s’apaiser. Saleté. Adorable saleté. « shhhhhhhit… ! », il râle, les doigts qui pansent par intermittence alors qu’il s’efforce de se tirer hors du lit et de traîner son gros cul jusqu’à la porte d’entrée. Ca n’était pas la livraison mais il ne se pose pas vraiment de question. Pas quand sa famille a cette fâcheuse tendance de débarquer sans jamais juger bon le prévenir. Peut-être qu’ils avaient raisons. Peut-être qu’un jour il finirait par s’y habituer. Peut-être qu’il lui fallait attendre la huitième année pour en faire une banalité routinière. Peut-être, peut-être pas. Il ouvre. Tiens, tiens. Fut sa surprise de découvrir sur le paillasson qu’il n’a jamais posé devant son entré, Extasy. Devrait-il plutôt dire Joakim ? Ca, pour une surprise. Il n’a seulement que ses sourcils qui se sont très légèrement froncé alors qu’il a levé la tête pour le regarder. Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Il avait été assez clair la dernière fois quand il avait claqué la porte derrière lui. Persuadé le temps de son absence que son risque n’avait pas payé. Qu’il avait simplement gâché quelque chose qui n’existerait à jamais que pour lui. Et quelque part, il l’avait espéré qu’il reviendrait. Qu’il serait prêt à conquérir cette réalité ensemble, tous les deux. Il avait joué, il avait perdu. Et il n’avait cessé de le ruminer, lui, le mauvais perdant. Qu’est-ce qu’il vient foutre ici ? "Heum" , il l’avait connu plus éloquent. Il a seulement arqué un sourcil, dans l’entrebâillement de la porte. "J'suis plus ta pute j'ferais uniquement ce que j'ai envie de faire" Et les trompettes soufflent sa victoire et pourtant, il n’ose pas tellement encore y croire. "Mais si tu veux continuer, même si t'as pas le contrôle sur moi et que ça se passera peut-être pas tout pile comme toi t'en avais envie alors c'est okay j'suis partant" C’est à peu de chose près ce qu’il lui avait proposé. La dernière fois, quand il s’était retourné, s’était cassé. Le traitement silencieux, humiliation supplémentaire alors qu’il s’était lui-même fait bouffer la poussière. Et s’il n’avait pu s’en prendre qu’à lui-même, il n’avait pourtant eu aucun regret. Parce qu’il l’avait aperçu Joakim, l’avait vu vacillé. Avait pu le voir briller cet éclat de sincérité au fond de ses billes azurés. Et c’est Joakim qui a sonné chez lui, c’est Joakim qui lui laisse cette nouvelle chance de tirer son coup. "Et si tu préfères que tout ce déroule selon le schéma idéal que tu t'es construit alors tant pis, je te laisserai te trouver une autre pute" Une autre pute ? Ca, non ! Il lui demande de renoncer à ses plans comme s’il n’était pas en train de le suivre. « Bonsoir. Pourquoi je voudrais te contrôler, Joakim ? », il a poussé la porte, l’invitant à entrer. « J’veux pas que tu sois ma pute. », il se décolle du chambranle pour le laisser passer. « Ça au moins, ça me semblait claire. », un dernier regard dans le couloir lui annonce l’arrivé du livreur. Pied nu, il l’a rejoint au pied des escaliers pour réceptionner sa commande. Il a refermé derrière lui. « Dans mon schéma idéal tu manges avec moi mais on a dit seulement si t’as envie. », et il a cette espèce de grimace en travers son visage alors qu’il le taquine. « Alors… T’as envie ? », il est évident qu’il accepte ses termes, pas vrai ? Il n’a pas besoin de tout contrôler. Ok, c’est faux. « Je les partage pas avec des putes. », en réalité, il ne partage généralement pas du tout. Évident qu'il serait prêt à tout pour tirer son coup.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 16 Juin - 5:25
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @Andrej Dmitrijev
En peignoir Dark-Vador, il ne s'en rend compte qu'après. Déblatérant sans trop attendre tout ce qu'il avait à dire. Mettant les points sur les i et évitant toute confusion. Il n'est pas la en tant que pute et ça ne sera plus le cas. Il ne veut pas de son argent. Enfin, il n'en veut plus. Nix sait qui il est ou tout du moins il l'a vu tel qu'il est même si ça ne fut qu'un court instant. Il connait aussi son prénom et qui sait quoi d'autre. Donc c'est mort pour continuer professionnellement. « Bonsoir. Pourquoi je voudrais te contrôler, Joakim ? » étrangement calme et serein comparé à lui finalement. Comme si tout était normal. Bonsoir oui. Oui d'accord il a un peu zappé les formalités. Est ce qu'ils en étaient vraiment encore à ça au fond ? Ça le perturbe qu'il l'appelle par son prénom entier "C'est une idée qui vient assez automatiquement quand quelqu'un choisis de se payer une pute tu sais" bien trop souvent pour avoir le contrôle. Pour avoir précisément ce qu'ils avaient en tête. Leurs désires les plus profond, les plus tordus. Les fantasmes qu'ils se sont construit et veulent voir se réaliser comme il les ont imaginé. Ou bien parce qu'ils ne trouvaient personne d'autre. Vu sa difficulté à entrer en contacte physique c'était peut-être ça. Il entre quand il lui dégage le passage « J’veux pas que tu sois ma pute. » à nouveau il se tourne vers lui. Et bien tant mieux, de cette façon ils sont sur la même longueur d'ondes. « Ça au moins, ça me semblait claire. » Clair ? Ben il l'a contacté en tant que pute donc c'était pas forcément évident pour lui qu'il ne veuille pas qu'il soit sa pute non. Même si oui, la suite, la conversation étrange de la dernière fois pouvait porter à confusion. C'est ce qui l'a paumé d'ailleurs. Sans parlé du fait que son cerveau était brouillé par son agacement. Il a pu y voir un peu plus clair en se laissant le temps. C'est pour ça qu'il est ici. Il fronce les sourcils en le voyant disparaître dans le couloir. Qu'est ce qu'il fait ? Il est même pas habillé. Finalement il revient rapidement avec de la bouffe dans les mains « Dans mon schéma idéal tu manges avec moi mais on a dit seulement si t’as envie. » il a vraiment un schéma idéal de petit couple ou bien c'est simplement J qui n'est pas du tout habitué à des relations sexuelles qui arrivent naturellement ? « Alors… T’as envie ? » il le regarde quelques secondes et se détend finalement. Ça se passe bien mieux que ce qu'il avait pensé, bien qu'il n'ai pas franchement imaginé de scénario « Je les partage pas avec des putes. » un léger rire lui échappe et il lève les yeux au ciel en secouant la tête, amusé "Comment résister à des nuggets ?" ceci est donc un oui. Il sourit enfin et le contourne pour aller s'asseoir sur le canapé. Positionné en tailleur sur le côté après s'être débarrassé de ses grolles "J'ai la question qui me brûle les lèvres depuis la premières fois" mais il n'avait pu la poser. Pas en étant Exta, ça ne le regardait pas, ça n'aurait pas été professionnel "J'imagine que.. t'as toujours été comme ça ?" ça lui semble peu probable en fait "C'est quoi qui t'as déclenché cette allergie au contact ?" peut-être qu'en apprendre plus sur d'où ça venait lui permettrait de l'aborder d'une meilleure façon. Sait-on jamais, ça ne peut que l'aider en tout cas. Et puis ça peu peut-être aussi lui permettre de savoir les choses à ne pas faire pour éviter de raviver de mauvais souvenirs. Parce que non il n'est pas venu que dans le but de bouffer des nuggets et jouer aux jeux vidéos.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 16 Juin - 18:58
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @joakim hargreeves
Le contrôle, il n’y a au fond rien de plus surfait. Une illusion qui rivalise avec la liberté. Une poudre aux yeux pour satisfaire l’encéphale humain. Un jeu de miroir, un écran de fumée. S’il s’y accroche à ce semblant de contrôle, il est suffisamment lucide pour se rendre compte que dans le fond, ce n’est que le mirage de son imagination. Un édifice fantasmagorique qu’érige l’équilibre précaire dans son esprit. Entre la sagesse et la folie. Entité tirée d’un conte pour enfant. L’encéphale à des années lumières de cette chair diminuée. Sous l’échafaudage fermement vissé de sa bulbe, fleuri cette raison qui se dissocie de cet esprit malade. Deux faces d’une même pièce.  La libération survient quand le contrôle se dérobe. Voilà pourquoi il s’est acharné à les déloger du cadre professionnel. Voilà pourquoi est-ce qu’il lui a donné le coup de pouce nécessaire pour qu’il échappe Joakim de sa cage. Il l’a libéré. Et c’est peut-être cette reconnaissance qui l’a conduit aujourd’hui jusqu’ici. Cette possibilité exclusive, cette sensation addictive. Celle de se sentir accepté. Adulé, désiré. Même s’il reste ce prostitué. Ici, il peut être qui il est. Dans son intégralité. Et c’est de ça dont il a envie. Pas de ses putains de nuggets. Et lui, ça pourrait bien être les deux. L’aperçut de ses nombreuses dysfonctions ne semble l’avoir rebuter. Voilà, l’étrange créature qu’il est. Joakim. Et dire qu’il a fini par dévissé son rubik’s cube sur le casse-tête qu’il représentait. Peut-être devrait-il descendre faire une réserve parce que quelque chose lui disait qu’il n’était pas au bout de ses peines. Il avait joué ses cartes, il avait parié gros. Suffisamment pour qu’il s’en ronge les sangs à la perspective des jours qui défilaient avec la certitude qu’il ne peut-être plus jamais sentir ses joues se gonfler autour son organe velouté. Mais il est là, persiste à rester. Comme si ce temps passé l’avait cimenté dans ses idées. Il l’en persuade quand il se met à l’aise sur son canapé. Les lèvres pincées pour faillir de retenir ce sourire qui lui fend les lèvres. Qui s’élargie à imaginer quoique ce soit à proximité de ses lèvres. Depuis la première fois. Il s’approche, s’occupe sans jamais cesser de le regarder, de vider le sac en papier. Et il le froisse, entre ses mains. Pression puissante qui sculpte en boule le futur déchet. La première fois, y’a des mois de cela. C’est donc si loin l’époque où il s’est introduit dans ce coin de son esprit. Il lance à travers la pièce sa balle de fortune, un strike qui élargie la pile de cannette en dehors de la poubelle. "J'imagine que.. t'as toujours été comme ça ?" Comme ça ? "C'est quoi qui t'as déclenché cette allergie au contact ?" Ses épaules se secouent doucement au terme d’allergie. Vraie qu’on pouvait résumer ça à ça. « Tu te doutes bien que non, Joakim. », il ne pose pas la bonne question et il n’est pas pressé à cesser d’être cette énigme dans son esprit. « Tu veux boire quoi ? Un Redbull, une bière ? », Il ne propose pas d’eau. Comment les gens peuvent boire de l’eau ? Sérieux, c’est infect. Il n’attend pas vraiment de réponse, déjà au frigo. Il a deux cannettes dans une main et une bouteille de bière dans l’eau quand il referme la porte d’un coup de hanche. La table basse s’encombre un peu plus quand il s’installe, en tailleur lui aussi à ses côtés. « Pas tous le monde n’est fait pour être parents. », c’est sa réponse. Tourné vers lui, il a tendu le bras, l’index qui s’appâte de ce morceau de chair que son jeans griffé laisse apercevoir. Et il la ressent à nouveau cette onde addictive. Ces aiguilles qui piétinent en contrepartie. « Shhhh..it… », sifflé des lèvres du camé. Ça lui a manqué.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 16 Juin - 20:03
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @Andrej Dmitrijev
Ce mec est une énigme. Il l'intrigue et étrangement il le touche. Ce qui est plutôt ironique pour quelqu'un qui a tant de mal à justement... toucher. Mais s'il n'y avait pas ce petit truc, cette petite particularité qui l'avait dès le départ démarqué de tout les autres, il ne serait peut-être pas la ce soir. Qui sait ? Enfin dans tout les cas il ne serait probablement pas la pour partager des nuggets. D'ailleurs au fond c'est pas ce qui l'intéresse vraiment, même s'il compte bien se régaler avec maintenant qu'il lui a proposé. « Tu te doutes bien que non, Joakim. » Non ? Il se repasse sa phrase dans sa tête, merde il a bugué. Il voulait dire qu'il supposait que sa situation n'avait pas toujours été comme ça et il a dit le contraire. Tout va bien. Enfin bref dans tout les cas il a sa réponse. "Appelle moi J, plus simple" non parce que ça va le perturber s'il l'appelle Joakim à chaque fois. Pas l'habitude. Tellement pas que ça sonne très formel à ses yeux « Tu veux boire quoi ? Un Redbull, une bière ? » et il file déjà vers le frigo sans attendre sa réponse "Une bière, j'vais prendre une bière" ça tombe bien il en a une dans les mains. Bière qui finit comme tout le reste sur la table basse, déjà bien encombrée pourtant. Mais bon il a vu pire comme appart en désordre. A dire vrai s'il ne vivait pas avec Trixie le sien serait sûrement dans le même état. Il attrape la bouteille de bière qu'il décapsule alors que lui s'installe et la lève devant lui "Thank's mec" il est en train de boire sa première gorgée quand Nix reprend la parole « Pas tous le monde n’est fait pour être parents. » il le regarde. Stoppé dans son geste, abaissant lentement sa bière. "Alors ce sont eux ?" il baisse les yeux sur son corps bien que caché par son peignoir "Les marques" bien sûr qu'il les a vu et qu'il s'en rappelle. Même s'il ne l'a pas vu entièrement nu, il les a vu. Si c'est vraiment ça ça le débecte encore plus. Comment des parents peuvent faire ça à leur enfant ? Ses parents à lui étaient des moins que rien c'est vrai mais Nix semblait avoir décroché le gros lot. Le contact bref de sa main contre sa jambe le fait revenir à lui « Shhhh..it… » il en faut si peu c'est fou. Il prend une nouvelle gorgée J, avant de se pencher pour reposer sa bière sur la table basse. "Et dis moi, je peux m'approcher très près du moment où je te touche pas ? Ça te fait rien ?" et il image ses propos. S'avance vers celui qui est en tailleur face à lui. Ses mains s'appuyant sur le coussin du canapé de par et d'autres de ses fesses. Penché face à lui, dressé sur ses bras, le visage face au sien "Ou la proximité aussi te met mal à l'aise ?" il tâtonne. Il faut bien qu'il voit où son ses limites de base, qu'il sache à quel moment il les dépasse et face plus attention à partir de la.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mer 17 Juin - 19:00
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @joakim hargreeves
Il le regarde. J, pour simplifier porter le goulot à ses lèvres. Il s’en mordille les siennes. Parce qu’il connaît la saveur que le verre goûte. Il lui arrive encore de se délecter du souvenir de sa présence sur ses papilles gustatives. Quand tard le soir ou fut-ce tôt le matin ou encore à n’importe quelle heure de la journée ou fut-ce plutôt la nuit ? Quand la pulpe de ses doigts creuse l’espace entre sa chair et son sous-vêtement. Il l’observe faire preuve une fois encore de cet empressement face à sa quête de franchise. Comme s’il n’avait cessé d’occuper ses pensées depuis la dernière fois qu’il l’avait quitté. Et il ne l’arrête plus cette sincérité qui brûle ses lèvres. Ces questions qui semblent avoir torturé son esprit. L’approche de clarifier une situation afin de pouvoir avancer. Mais il n’a pas envie qu’il avance, Nix. Pas envie qu’il aille de l’avant quand lui, ce temps, il l’avait inconsciemment passé à l’attendre. Il effleure sa question en surface, limite ce qu’il aurait à savoir ainsi. Ce qu’il peut s’imaginer ne peut être bien pire que la réalité. Et il a seulement hoché la tête pour confirmer. « C’est une théorie.», sa science n’est peut-être pas exact mais il ne saurait comment l’expliquer autrement. Les psychologues qu’il a été forcé de consulter n’ont pas tellement su faire mieux, non plus. Les marques. Oui, ce sont eux. Mordu par la ceinture de cuir, par le rotin de bois. Au nom d’un Dieu narcissique. Il a tendu le bras pour une canette auquel il donne un semblant de propreté avec un pan de sa manche. « Mais si tu veux savoir, je vais bien et toi ? »,il n’a ni le cœur, ni l’envie de parler de ça. Pas maintenant, pas là. Il se distrait sur cette bouteille qui bave encore sa salive, étreinte en ses interminables doigts. Et il ne peut résister à l’appel de cette sensation. N’importe laquelle, mais la sienne. Ce n’est qu’un genou mais pour lui, c’est tellement plus encore. Une possibilité d’étoffé encore ce souvenir qu’il ne laisse cette fois, à ses parents de ruiner. C’est la promesse d’une soirée qui gonflera un peu plus sa mémoire. Il le capture, cette essence qui le fera brûler plus fort quand il n’aura plus que lui-même, comme seule compagnie. «Shhhh..it… », il lui en faut si peu, il lui en faut plus. Une nouvelle gorgée. Et il s’attarde sur sa pomme d’Adam. Caricature masculine qui transcende. La bouteille s’oublie sur la table basse et il se rétracte pour celer le même sort à sa cannette. "Et dis moi, je peux m'approcher très près du moment où je te touche pas ? Ça te fait rien ?"  ,il a un petit rire hors des lèvres, le regard qui caresse le ciel. Il allait devoir répondre à ses questions, pas vrai ? Et ses canines martyrisent l’intérieur de sa lèvre inférieur. Barrière à ce sourire qui menace. Il a réellement envie de le connaître. C’est pour ça qu’il est ici. Pas pour l’argent mais pour Lui. « Well, Jo… », son sarcasme meurt dans sa gorge quand jugé obsolète. Il n’a pas attendu sa réponse pour se pencher dans sa direction, cette fois. Ses longs bras l’emprisonnant sans même le toucher. Mais il peut les sentir… sa chaleur, son odeur. Son souffle sur sa peau, sur ses lèvres. Et il n’entend plus rien tant ses tympans rythment la frénésie de son cœur. En catalepsie. Il songe à cette tiédeur visqueuse dont s’appâte déjà ses reins. Ses prunelles transpercent les siennes, s’égarent d’abord vers ses lèvres. Le sourire presque moqueur. « Joakim, je ne suis pas expert mais tout le monde serait mal à l’aise de poursuivre une conversation à cette distance. », il aime la longueur de son prénom sur sa langue. S’il ne donne pas l’air, il se régale de sa curiosité.  Parce qu’elle est à son sujet. Parce qu’elle n’est pas feinte. Plus maintenant. « Mais je vais faire un effort. », il hume sans s’en cacher, son odeur. « Tu sens bon. », il a levé une main qui dévale doucement sa mâchoire ciselée jusqu’à son cou velouté. Il effleure, caresse cette peau si chaude. Humaine. « Je ne dirais pas que la proximité me met mal à l’aise. », et sa main fait cette fois son ascension, empruntant le sens inverse. « Il sont rare les personnes qui s’approchent aussi prêt sans l’intention de toucher. », autrement dit, une bien bonne raison de l’éviter. « Je les comprend. », et lentement son pouce trace le tour de ses lèvres, sa propre gueule entrouverte. Alors qu’il s’accroche au souvenir de leur saveur, une fois encore. « Tu comptes manger dans cette position aussi ? C’est ce qui te fait envie, Joakim ? », peut-être qu’il l’aguiche. Peut-être qu’il tente un diable. Peut-être. Et alors ?

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Jeu 18 Juin - 12:51
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[ 11 > Don't make me regret ]
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« C’est une théorie.» comment ça une théorie ? Il n'est pas certain que les marques sur son corps viennent de ses parents ? Ou bien est ce qu'il n'a juste pas envie de lui révéler la vérité et se contente juste de lui dire que c'est une possibilité ? "Pour les marques ou pour ce qui t'es déclenché ton blocage ?" maintenant qu'il le dit à voix haute c'est évident. Lui parlait des marques à la base mais Nix devait parler du blocage. Faut dire que ça semble être une très bonne raison de se renfermer. Mais il ne connait pas le reste de sa vie. Peut-être avait-il vécu quelque chose d'encore plus traumatisant. Il espère que non. Plus traumatisant que de se faire battre par ses parents ça doit vraiment être quelque chose de hard. « Mais si tu veux savoir, je vais bien et toi ? » un léger rire lui échappe. C'est vrai qu'il n'a pas posé la question. Qu'il est entré directement dans le vif du sujet sans prendre la peine de s'encombrer des formules de politesses d'usage. Ni bonjour ni comment ça va. Rien. Et Nix le lui fait remarqué à chaque fois. Presque comme un rappel à l'ordre, aux convenances dont il n'a que faire la grande majorité du temps. "Ouais" il hausse les épaules "Comme d'hab quoi" est ce qu'il va toujours bien ? Non. Mais de manière générale il n'a pas à se plaindre. Alors pourquoi se faire chier à préciser qu'aujourd'hui ça va un peu moins. Moins d'énergie ou quoi. On s'en fout. Tout le monde s'en bat les couilles. Y'a rien à en dire de toute façon. Que répondre à ça ? Cool. Ben ouais cool. Autant dire que ça va bien directement, ça évite l'embarras de pas savoir quoi dire. Il va bien. Comme d'hab. Il est même plutôt motivé en fait. S'approchant du jeune homme plus que de nécessaire, cherchant ses limites, flirtant avec « Joakim, je ne suis pas expert mais tout le monde serait mal à l’aise de poursuivre une conversation à cette distance. » il sourit légèrement. Quel menteur celui la. Il ne lui donne pas du tout l'impression d'être un garçon gêné par quoi que ce soit en dehors de son blocage. Il est persuadé que sans ça il ne serait pas le moins du monde mal à l'aise. Et il ne bouge pas, reste en face de lui en le regardant « Mais je vais faire un effort. » il est curieux de voir ça « Tu sens bon. » ça le surprend qu'il dise ça. Parce que lui même est assez porté sur les odeurs, aussi bizarre que ça soit. Mais il est rare de croiser des personnes qui parlent de ça. Il ne bouge pas quand il sent sa main doucement caresser sa peau « Je ne dirais pas que la proximité me met mal à l’aise. » il le savait. Pas de gêne. Ses yeux s'abaissent sur ses lèvres alors qu'il sent sa main remonter. Il arrive à le toucher plus facilement ou ça n'est qu'une impression ? « Il sont rare les personnes qui s’approchent aussi prêt sans l’intention de toucher. » et ses yeux remontent. C'est vrai. C'est vrai qu'il a envie de le toucher. De laisser ses lèvres glisser sur sa peau. Mais il n'a pas bougé, toujours pas « Je les comprend. » Ah oui ? Lui aussi il crève d'envie de le toucher ? Il est surpris cette fois ci, de le sentir passer son pouce sur ses lèvres. Ça éveille ses sensations, son désir « Tu comptes manger dans cette position aussi ? C’est ce qui te fait envie, Joakim ? » il le provoque, il le provoque réellement. Et en l'appelant encore par son prénom entier en plus. Il ouvre la bouche et referme ses lèvres autour de son pouce. Pouce qu'il suce une fois seulement pour l'extirper lentement de sa bouche, sans le lâcher du regard "Ce qui me fait envie ?" il se penche en avant, bascule sa tête à côté de la sienne pour venir chatouiller son oreille de son souffle "Y'a bien d'autres positions dans lesquelles j'aime me régaler.." certes il adore les nuggets mais non ça n'est plus réellement de ça dont il a envie actuellement. Mais il s'éloigne, se rassoie et reprend sa bière pour en boire une gorgée. "T'as peur que je te fasse mal ? C'est ça qui te bloque ?" il se tourne à nouveau vers lui "Pourtant je pourrais te faire tellement de bien" ça peut donner l'impression qu'il se vente mais il sait ce qu'il vaut à ce niveau la. C'est son job après tout. Sa main remonte sur sa cuisse, mais par dessus son peignoir, pour éviter un contact direct "Mais peut-être que si j'arrive à t'exciter t'auras un peu plus envie que je te touche. Que tu seras plus apte à te rendre compte que ça fait du bien" il retire sa main et s'avance vers lui. Passe ses jambes de part et d'autres de lui comme il l'a fait plus tôt avec ses bras. Ainsi il est simplement assis en face de lui, l'enjambant, plus proche. Son bras se tend vers lui et il passe ses doigts dans cette tignasse incroyable.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Jeu 18 Juin - 19:32
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[ 11 > Don't make me regret ]
ft @joakim hargreeves
Oui, il le provoque. Troque son contrôle contre la liberté. Sur le fil du rasoir, il se tient. Majestueuse plumes corbeaux déployés alors qu’il n’a jamais apprit à voler. Et son cœur pompe, pulse, tambourine avec frénésie. Fouettant son hémoglobine le long de sa verge. Quand ses lèvres si roses cueillent un de ses doigts. Mâchoire décrochée, un sifflement s’échappe, un soupire aussi. Ses épaules s’affaissent quand ses poumons est dépourvu d’air. Le souffle arraché par cette succion qui creuse un peu plus les joues de Joakim. Putain de diable qu’il a tenté. Il est tenté de résister, tenter de lui laisser son doigt. C’est qu’il va si bien entre ses lèvres. Mais l’inévitable se produit et sa main vient se poser sur son genou. Sa pulpe humide de sa salive trépignant à la perspective de maquiller ses lèvres de sa saveur. Celle de Joakim. Le goût de ses lèvres sur les siennes. Son souffle se désoriente, perdu dans ce cyclone qui élève entre ses jambes, pilonne de désir. Il arque quand même un sourcil, pendu à ses lèvres. "Ce qui me fait envie ?" ‘Dis le. Dis le que c’est moi qui te fait envie. Réellement envie. Dis-le.’, mais il n’a pas besoin de le dire quand son regard le fait pour lui. Sa fragrance le prend d’assaut et il souffre le tournis. Proximité intoxicante. Ses prunelles roulent vers leurs orbites en sentant son souffle chaud dégringoler ses oreilles à sa jugulaire. "Y'a bien d'autres positions dans lesquelles j'aime me régaler.. ", intéressant… il aime le choix des mots qui roule sur sa langue. Sa langue… Sa bouche si chaude. Et cette salive… Il a porté son doigt à ses lèvres. Son goût sur sa langue. Sa pulpe se réjouit de cette nouvelle chaleur retrouvée. Même si ce n’est plus la Sienne. « Hmm… ? », Lesquelles ? Curiosité bourdonnante, l’imagination florissante. Mais la suite ne vient jamais. Sa main retombe mollement sur sa cuisse alors qu’il le regarde presque exaspéré s’éloigner pour concurrencer son doigt par le goulot de la bouteille en verre. Le diable. Oui, c’est bien lui qu’il a provoqué. Joueur et sadique comme seul le Malin peut l’être. Il soupire, referme correctement son peignoir sur ses cuisses comme s’il pouvait la camoufler sa bite veinée qui saigne péniblement en dessous. Ainsi il cherche contenance, au moins un semblant. Même si ses joues roses et ses pupilles océan s’est noirci de la tempête de son désir pour cet allumeur. Allumeur qui se préoccupe, qui s’intéresse, se questionne quant à son bienêtre. "T'as peur que je te fasse mal ? C'est ça qui te bloque ?", les sourcils froncés, il secoue la tête. Même si sa pomme d’Adam descend péniblement. Donnant une réponse plus honnête à sa question. Il se racle la gorge, cherche son timbre. Mais il a été réduit en ruine. S’il a peur qu’il lui fasse du mal ? Oui. L’humanité est née pour s’anéantir. Et personne n’est à l’abris. Débris d’humanité acéré, extrait pour tranché. Et au loin, il peut entendre le bourdonnement de sa voix. Particulière, singulière. Les cordes vibrantes alors qu’il chantait pour lui. Pour l’apaiser. Qu’est-ce qu’il fait réellement ici ? Qu’est-ce qu’il tire de cette situation ? Pourquoi s’encombrer des soucis d’un type qu’il connait à peine ? Juste quand il pensait l’avoir percé à jour. Et c’est ce qui, chez Joakim, intoxique l’orphelin. Cette capacité qu’il a torturée son esprit, éprouvée ses doigts sur son rubic’s cube. Cette facilité qu’il a de le mettre dans tous ses états. Il enraille les rouages de son esprit. Il incendie ses sens, l’immole à petit feu. Et ce n’est pas ce qui lui fait peur… « Inconsciemment, je pense. », il ne pourrait être plus transparent qu’à cet instant. Ce qui lui fait peur, c’est la promesse de souffrance pour chaque contact qu’il tentera. C’est quelque part ce défaitisme qui embrume malgré lui son esprit. La perspective que tout ceci ne soit en réalité seulement voué à l’échec. Étrange sensation quand on plane au-dessus des cieux, persuadés d’être abrité des feux. C’est ce qui lui avait permis de faire plus facilement le deuil de cette relation qui naissant à peine entre eux. La peur que les braises de ses prunelles arctiques finissent par le calciner. Et il ose le regarder, Joakim, quand il lui dit. "Pourtant je pourrais te faire tellement de bien", comme s’il l’ignorait. Il n’avait qu’à le regarder pour sentir sa queue se dresser. Oui, il lui faut si peu. Il le surplombe, lui prend de ses mains ses rênes. Et il n’a plus aucun semblant de contrôle. Plus rien. Il lui a tout reprit aussi vite qu’Ecstasy les lui avaient cédés. Il dégringole à cause de lui. Il chute librement. Et paradoxalement, sa présence le retient au bord du précipice. Sa chaleur éloigne le vertige. Voilà, pourquoi il lui fait peur. Mais c’est aussi pourquoi il a attendu son retour sans certitude aucune, qu’il reviendrait un jour. Il aspire bruyamment l’air entre ses dents en sentant sa main longiligne sur sa cuisse. Surprit au premier abord, il s’apaise bien vite. Il ne le touche pas. Mais il peut la sentir sa chaleur remonter sa chaire sous l’épaisse barrière qui les sépare. La poudre au feu. Si peu... et le voilà submerger Noyé au fond de ses iris anthracites. "Mais peut-être que si j'arrive à t'exciter t'auras un peu plus envie que je te touche. Que tu seras plus apte à te rendre compte que ça fait du bien", ses prunelles roulent vers le ciel et avant qu’il n’ait le temps de retenir sa main, il l’a déjà retiré. Sa frustration siffle à travers ses dents. Ne peut-il pas le voir à quel point est-ce qu’il l’abreuve de son contact ? À quel point est-ce qu’il la sollicite ? Malgré la peur. Malgré la douleur. Il le veut. A nouveau, il a envahi son espace et bien qu’il fasse bon dans son appartement, la sueur perle son front. Il brûle. Proximité étourdissante à présent que chaque souffle porte son odeur. Face à face. La grimace sur ses traits quand il tend le bras pour laisser loisir à ses doigts désordonné un peu plus son crin ébène. Bien que ce soit étonnamment agréable. Qu’est-ce qu’il fait ? Est-ce qu’il lui caresse les cheveux ? Pourquoi ? C’est véritablement agréable. Il soutient son regard même s’il a tendance à l’abrutir. Ses mains tremblote quand il tire sur les cordes de son peignoir pour l’ouvrir. Découvrant les défauts de son corps à sa vue. Sa queue, fière, entre eux. « Tu m’excites. », il articule, chuchote à moitié. Comme s’il lui livrait un secret qu’il n’aurait jamais pu découvrir seul. Sa main monte ensuite cueillir la sienne de sa crinière désinvolte et sa mâchoire s’est serré quand il l’a posé sur… ah… putaiiiin… « shhh..fuu…iiiick… », sa main plus petite derrière la sienne, guidant ses doigts autour de sa largeur. « Hmmphhff…. », ses dents grincent et son souffle dévale de ses narines. L’impression de mourir, de ressusciter. La torture, la jouissance. Sa seconde main cherche sa crinière caramel, ses doigts ferment autour de sa texture soyeuse. Il l’attire à lui, respire plus fort. « Tu sens vraiment bon… », sucrée, acidulée. Addictive contre ses papilles. Ecstasy. « Tu me boufferais, moi, dans cette position ? », parce que lui, oui. Et sa langue, hors de sa chaude tanière, à la verticale, récupère sa saveur. « T’as b..on goût… », les mots haché hors de ses lèvres agonisantes et tout de même si putain de gourmandes. Il lèche encore, lape à la source son met de jouvence. Et sur la table son autre repas refroidi...

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Ven 7 Aoû - 14:59
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Dim 9 Aoû - 3:56
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Texture soyeuse contre sa langue râpeuse. Concurrence à sa chatte qui roucoule plus loin, au centre du lit. Inconsciente de la perversité de son maître mais probablement flattée d’être pour lui, une sorte de muse. Joakim, délicieuse créature qu’il ne semble pouvoir effrayer. Comme tous les autres. Ceux qui le regarde avec cette curiosité au fond des yeux. Ceux qui remplissent la page blanche qu’il est avec leurs opinions et leurs jugements. Ceux qui reculent, ceux qui s’éloignent. Ceux qui ont peur. Quelque part, c’est ce qu’il a toujours attendu d’eux. Ce qu’il s’est toujours assuré d’inspirer. Mais avec lui, il a espéré être plus que ça. Il ne pensait pas que ça serait si facile. Avec lui. Il n’avait pas planifié ça. Joakim, il ne l’avait pas vu venir. N’avait pas anticipé qu’il le pousserait vers le précipice, encore et encore. Et comment aurait-il pu prévoir qu’il voudrait sauter. Se jeter corps et âme dans le vide malgré son vertige. Il n’a pas peur. Il est terrifié. Et paradoxalement, il ne lui semble s’être senti aussi… aussi vivant. Son palpitant explose quand la distance est rompue. Quand la soie de sa chaire recouvre la sienne. Et c’est sa propre langue qu’il mort pour ne pas hurler sa douleur. Pour ne pas sangloter son soulagement. La frustration, c’est ça, qui l’aurait tué. Leurs souffles emmêlés, leurs fragrances s’enlaçant et leurs saveurs dansant sur leurs lèvres. Une chorégraphie malhabile qui transporte leur passion incandescente. Et il brûle, Nix. S’immole au point d’évaporer de ses poumons, son souffle. Essoufflé, le souffle chaud. Il n’a plus la force de les garder ouvert, ses yeux. Il n’y a seulement que le fantôme de ses lèvres sur les siennes. La pointe de son nez contre sa joue. Sa main qui ascensionne sur son sexe, qui s’affaisse. Sa main est remontée s’enrouler autour de son fin poignet, comme s’il pouvait le guider où que ce soit. Comme s’il avait un semblant de contrôle, encore. Comme s’il ne venait pas de toute lui prendre. Comme s’il avait été un putain d’gamin qui se faisait subtiliser sa sucette sous son nez. Impuissant, totalement. Comme il n’a jamais aimé l’être jusqu’à cet instant. Les mots qui roulent sur sa langue force ses doigts à refermer sa prise dans sa crinière cuivrée. « m’avaler… entière…ment… ? », il le pourrait… Il n’en doute… Et ce sifflement qui s’éternise entre ses canines en sentant la pulpe de son pouce contre son gland. Les aiguilles percent sa nuque, son sexe, ses couilles. Non… pas là… Lointain souvenir d’une poigne meurtrière. Le corps tremblant, il souffre, souffle fort. Mais il s’accroche à lui. De toute ses forces, se cramponne à l’ici et maintenant. A ce présent, à cet instant. Il s’arrime à Joakim. Et à cette voix si particulière qui lui promet monts et merveilles. « Han… », gémissement qui écarte ses lèvres en sentant son doigt… Juste là. Là, où personne ne l’a jamais touché. Jamais. Ses prunelles roulant vers ses orbites sous ce plaisir nouveau, cette sensation nouvelle. Il s’est touché là, innombrable fois. Mais ce n’est jamais vraiment pareille quand c’est les autres. Parfois, comme là. C’est mieux, tellement mieux. « T’as envie de me bouffer l’cul ? », qu’il le dise. Il veut l’entendre le dire. Sa voix est à peine audible mais à cette distance, il n’a pas besoin de parler plus fort. Et pour une fois, il remercie la proximité. Un peu plus haut et il aurait pu l’entendre dans sa voix. Entendre qu’il a perdu toute réserve, toute résistance. Entendre qu’il le supplie presque. Et son cœur cogne, son cœur castagne entre sa douleur, sa peur et son désir, son plaisir. « Bouffe ce que tu veux… », qu’il le fasse, qu’il le fasse vite. « dévores moi… », pupilles dilatées, intoxiqué par cette came.  Incertain de sa propre endurance. Il l’accepte de la braver cette souffrance. Et il chante, chante hotel california quand il fond sur ses lèvres pour lui abdiquer son souffle. Et il bascule dans le vide. Bascule en arrière, l’attire avec lui. Et ses hanches ondulent pour poursuivre les caresses de Joakim. Pour enfoncer la pointe de son sexe contre le ventre du géant. Il est partout, absolument partout. Ses dents griffent, partagent un peu de cette douleur qui l’abruti. Et son cœur entier tremble mais il s’abreuve contre ses lèvres. Se maintient en vie…

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Jeu 13 Aoû - 17:05
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Jeu 13 Aoû - 23:25
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ft @joakim hargreeves
"P't'être bien", c’est pas assez. P’t’être bien, c’est pas suffisant. Mais il l’a provoqué le diable, l’a invité à une partie qu’il ne pouvait réellement remporter. Et ils le savent tous les deux. Bien qu’il le voit. L’aperçoit cet espoir qu’il nourrit. Brasier vibrant autour de ses iris anthracites. La teinte d’un éclat lunaire à présent que le manteau du désir semble le faire transpirer. Il a envie de lui, Joakim. Pourquoi est-ce trop difficile pour lui de l’admettre quand lui, insufflé de sa fragrance, il n’a de cesse de cracher son désespoir. Son espoir de voir l’homme derrière le pute le posséder. Parce qu’alors ce ne seront plus seulement des mots hors de sa délicieuse bouche. Il lui aura prouvé qu’il ne mentait pas. Qu’il était réellement ici, avec lui. Ainsi il ne sera plus à l’abris d’avoir peur. Sur le précipice, le fil du même rasoir. Sans filet de sécurité. Sur un pied d’égalité. L’autre ancré dans la réalité. Celle où il peut être toucher. Où il peut être caresser, cajoler. Où il peut enfin baiser. Celle où il n’est plus différent. Plus seul. Celle où il vibre comme à cet instant. Il chute, dégringole à ses pieds bien qu’il soit resté agripper à lui. Tous les deux, à plat sur son canapé blanc cassé. Aplati sous l’objet de son désir, il se contorsionne sous la douleur que lui contraint son plaisir. Sa peau calcinée là où elle entre en contact avec le corps de Joakim. Cautérisée par cette chaleur agréable, cet incendie incontrôlable au creux de ses reins, sur la longueur de sa verse qui chercher friction entre leurs deux corps. Et là, putain, là. Ses gémissement fondent contre la langue de Joakim. Les joues cramoisie d’envie, ses canines agressent ses propres lèvres déjà malmener par ce baiser. Pourquoi est-ce qu’il l’embrasse ? Pourquoi est-ce qu’il aime tellement ça ? Parce que c’est réel… such a lovely place, such a lovely place, pleinty of room at the hotel california… , la pointe de son nez glisse jusqu’à son cou et il ouvre la gueule l’orphelin, inspire de toute ses forces. Un autre gémissement hors des lèvres en sentant les siennes contre sa chaire. Paupières plissés par cette douleur qu’il tient encore à ignorer. « oh… », sa langue, chaude, si chaude et humide langue le long du velours de sa queue. Taquine au sommet, il soupire son extase. Sa main a depuis remonté son poignet jusqu’à son épaule qu’il cramponne férocement, douloureusement. Et cette tignasse, il n’a osé la relâcher. "J'ai envie de te bouffer l'cul" Il a rouvert les yeux, rond de la gourmandise qu’il lui inspire. Oui, il a envie de ça. Il en meurt d’envie. Et il se pourrait bien que son envie finisse par le tuer. Il serre les dents quand il le manipule avec tant d’aisance.  Ses cuisses maintenues en l’air par les épaules anguleuse du géant. Il peut les sentir, saillantes, même sous son t-shirt. Curieux, il aimerait la sentir la texture de sa peau sous la sienne mais ainsi il se convaint encore qu’il ne le touche réellement. Qu’il peut continuer, encaisser un peu plus. « Joashh..it… », arraché à ses cordes vocales quand il le sent, Son premier coup de langue. Son esprit s’embrume, s’étourdit et il n’a le contrôle des sons probablement honteux qui lui échappe. Les sensations… intenses, si fortes. "Hmm..", lui aussi, il apprécie, il souffre un peu plus le tournis. Emporté par ses lèvres gourmandes, sa langue gonfler d’appétit. Sa langue avide, écartant ses chairs pour imposer sa présence… « putaiiiiin… », sa voix rauque meurt dans sa gorge quand il renverse la tête en arrière, s’abandonne à cette torture. Mais le diable y met fin, aussi simplement. "Putain...", La langue traînant le long de sa queue, une fois encore, comme pour le narguer de ce qu’il n’aura plus. Et il s’efforce de trouver support pour forcer sa tête à se redresser pour le regarder, là, entre ses cuisses. Son souffle brûlant encore ses chaires palpitant de le sentir, le redoutant aussi. Mais il l’a relâché. Ses jambes se déroulant sous lui quand il remonte son visage au niveau du sien. Lui, il a oublié de respirer. Oublier comment. Jamais de ceux qu’on impressionne. Pourtant, là, sous le regard de Joakim, il perd une fois pour toute sa fidèle raison. Sa queue s’allonge entre eux, bandée, veinée. Délaissée. Et la sienne, putain la sienne… il déglutit. Contre ses cuisses, si dure, si putain de dure. Il a envie de lui, il lui fait tellement envie. Réellement envie. Dis le, dis le… "J'ai envie de toi" Il l’a dit. Le sang contre ses tympans devient assourdissant. Ses lèvres tremblantes s’étirent en coin. Les trompettes de la victoire soufflant la sensualité et la langueur d’un blues endiablé. « Sers toi, Joakim. Personne te contrôle. », ses mains descendent ses épaules vers ses omoplates, glissent le long de ses flancs jusqu’à ses reins. Ils se faufilent entre eux, détache son pantalon. Les droits tremblants, il parvient tout de même à dézipper sa braguette. « Prends ce qui te fais envie… », la voix brisé par la conséquence d’un plaisir interdit. Il a glissé sa main dans son boxer pour Le prendre en main. Son souffle s’enraille. « C’est quoi ton… nom de fam..ille ? », le pouvoir des noms. Il s’est toujours rassuré comme il le pouvait. Il avait ses amis mais pour le reste, il n’avait que lui et ces quelques détails qui lui donne un semblant de sécurité.  ‘they gathered for the feast, they stba it with their steely knives but they just can’t kill the beast… ‘, il inspire longuement, le branle doucement. Ses prunelles logées au fond des siennes. « J’ai aimé que tu bouffes mon cul. », contraint de ne dire la vérité, rien que la vérité. « T’as aimé, toi ? », il espère toujours lui tirer les vers du nez. « Tu préfères me torturer.»,il souffle à l'allumeur.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Ven 14 Aoû - 2:05
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Ven 14 Aoû - 4:32
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Hargreeves... Joakim Hargreeves. C’est le nom qu’il imprime contre sa chaire. Le sien. Là, contre la fine peau où pulse sa jugulaire. Soufflant un peu plus la frénésie à travers ses veines. Assonances britanniques qu’il ne retrouve contre les arabesques de sa langue. Malgré son incrédulité, malgré son incompréhension. Il lui livre aussi simplement ce secret si précieusement gardé. La franchise de ses propos, ainsi prouvée. « Hargreeves Joakim… Haaar... », il articule, murmure à son tour. Loin d’être la première fois que ce nom déroule sa langue. Ce nom, ses papilles l’ont appris par cœur. Déguster la nuit dans la chaleur de son lit. C’est bien tout ce qu’il savait sur Lui. Exactement ce que le pute n’aurait jamais partagé avec lui. S’il ne veut pas de son argent. S’il ne veut pas assouvir un certain daddy issue en subissant les désirs de l’orphelin. Alors qu’est-ce qu’il fait ici ? Qu’est-ce qu’il peut bien avoir à gagner de cette situation ? Il a eu quelques suppositions, quelques théories pour s’expliquer pourquoi est-ce que l’homme derrière le pute pourrait éventuellement trouver profit à cette situation. A ce marché totalement truqué qu’il lui a proposé. Qu’est-ce que t’y gagnes réellement, Joakim Hargreeves ? Le semblant d’une relation réelle. Peut-être qu’ils y trouvent finalement tout deux le même compte ? Condamnés à repousser toutes formes d’affections authentiques. Là, ici, et maintenant, ils peuvent être réel. Ils peuvent subsister, simplement, exister. Sans conditions, aucune. Le pouvoir d’un nom. Grisé, il brave tous danger. Il est prêt à tout encaisser. S’il faut souffrir pour respirer son essence, il serrera les dents aussi fort qu’il le pourra. Parce qu’il a envie de lui, Lui aussi. Et à présent, Nix le croit. L’ultime argument pour acquérir sa confiance. Et il s’étonne l’orphelin, s’abruti quand il plonge au fond de ses prunelles électriques. L’onde parcourt son échine et explose le long de sa verge. Le souffle égaré à la seconde même où ses longs doigts viennent trouver le tour de sa masculinité. Et il le regarde le gamin, réalise à quel point est-ce qu’il lui fait confiance. Ils se connaissent à peine. Non, ils ne savent pratiquement rien l’un de l’autre. Il le regarde, Lui qui est si loin de se douter qu’il est ce qu’il a de plus unique et singulier à ses yeux. "Seulement de plaisir" Il dit vrai. Son incertitude est éloquente, son inquiétude, perturbante. La pute au grand cœur, il pourrait presque en rire. Si ce n’était pas ce qui le rendait à son œil aussi particulier. Ce qui l’avait poussé à espérer le voir un jour passer à nouveau la porte de son appartement. rising up through the air, up ahead in the distance… i saw a shimmering light… Il n’y seulement que la cacophonie de leurs souffles étroitement emmêlés. Leur essence entremêlée embaume la pièce et il perd un peu plus la tête. Le fil de son raisonnement égaré. Il le branle avec cette lenteur qui le fait surchauffer. Court-circuité. "Oui j'ai aimé ça, tout comme j'ai aimé ta bite, tout comme j'aime ton corps entier, et ça aussi", Ses pupilles s’élargie un peu plus. Pour celui qui creuse son addiction. Il a aimé lui bouffer l’cul. Il aime son corps entier ? Il n’est pas certain qu’ils aient eu un aperçut de la même chose. Mais quand il le dit comme ça, il n’en doute une seule seconde. Ses paroles, il les boit, les avale. Parce qu’il n’a aucune raison de lui mentir, parce que son regard brille la franchise de son âme. Et cette longue queue qu’il continue de caresser ne pourrait être plus fort bandée. Et ça, aussi ? Ses lèvres. « Hmmpf… », Joakim l’emporte dans ce tourbillon de plaisir, cette spirale d’aiguilles. Pour un baiser. Une béqué. Et il tombe des nus, chute librement. Le pouvoir d’un baiser, il l’avait vraisemblablement sous-estimé. Leurs lèvres glissent les unes contres les autres, leurs langues s’appâtent. Et l’ivoire de ses canines cherchent à percer délicatement sa chaire rosée. Bander n’a jamais été si douloureux, prendre son pied, non plus. Et il refuse de le lâcher mais le choix ne lui ai pas laissé et son torse vibre contre le sien quand il grogne. Plaisir et dévastation. Fuck. « ça aussi… », le velours de son sexe contre le sien, la chaleur de son corps aplati contre le sien. Il brûle, s’enflamme. Capitule. Existe. Ses lèvres s’entrouvrent pour se referment autour de son pouce. Succion ardente qui étouffe son gémissement, sa plainte. Pendant que Joakim tatoue cette fois d’autres délicatesses contre la chaire de son cou. "J'ai tellement envie de te sentir...", Lui aussi, lui aussi, putain… Non, non, qu’est-ce que… La douleur s’avanouit, aussi simplement mais le plaisir aussi. Il n’est plus là. Il ne le touche plus. Plus du tout. En suspension, si prêt et pourtant hors d’atteinte. "On peut pas aller aussi vite, j'veux pas que tu tombes dans les pommes dès que je te mettrais un doigt dans le cul", Il a peur. Peur de lui faire mal. C’est… intéressant. Ses prunelles caressent le ciel, il se serait passé de l’image même si l’idée qu’il lui mette un doigt dans le cul est plus qu’alléchante. Ses mains retrouvent ses reins, descendent couvrir la rondeur de ses fesses qu’il écrase doucement au creux de ses petites paumes. Quand ils les relâchent, c’est pour tirer vers le bas son jeans et son boxer. Une main à ses lèvres, il crache dedans avant d’aller l’étaler entre ses lunes. Sans jamais quitter son regard, il laisse son index faire le tour de son anneau. Et sa seconde main, le tour de sa verge, à nouveau. « Alors à moi, l’honneur. », il pousse doucement une phalange. Masse avec curiosité, avec avidité ses parois interne. Le laisse s’accoutumer à sa présence. Quand il ressort, c’est pour récupérer de quoi le lubrifier un peu plus. Cette fois, c’est deux phalanges. Il le branle, sa petite main allant et venant le long de sa queue. « Tu peux me sentir, là ? », il se contorsionne, s’enfonce encore plus. Et plus fort, il le force à perdre ses appuies. « Hm…shh… », elle est partout, elle est de retour. Mais lui aussi. Son visage au creux de son cou, cette fois. Pour qu’il ne les voit ces larmes que la douleur force à ses yeux. Les paupières pressées, ses dents délaisse la morsure de sa chaire pour la laper, la panser. Comme l’animal qu’il est. Le dégénéré. « Andrej… », c’est le sien, c’est son prénom. Il le déteste, en a horreur. Mais peut-être...Peut-être qu’Il aura moins peur… Et à ce stade, son majeur baise son antre. Si chaude, si étroite… « J’me demande si tu seras si… bon autour de ma queue… », ces mots, c'est à son oreille qu’il les chuchote.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Ven 14 Aoû - 16:54
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Ven 14 Aoû - 20:48
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Comment est-ce qu’il aurait pu savoir qu’il prendrait autant plaisir à en donner ? Il n’a pas l’âme généreuse, n’a pas le cœur à l’empathie. Le reste du monde peut brûler tant qu’il peut mettre sa famille à l’abris. Ça, il l’a toujours répété, toujours dit. Et encore aujourd’hui, il le certifie. Tous si insignifiants, il les survole, leur chie dessus. Et pourtant, il se damnerait sans hésiter pour voir sa gueule entrouverte comme ça, les traits déformés par le plaisir. Celui qu’il lui apporte. Nix. Lui, celui qui n’a jamais touché qui que ce soit de cette manière. Lui, qui a seulement pu créer intimité́ avec la théorie. Longtemps résigné́ vers un réalisme où c’est bien tout ce dont à quoi il avait droit. Jusqu’à maintenant. Jusqu’à cet instant précis, jusqu’à Lui. Joakim Hargreeves. Mais il se dérobe à cette contemplation, le sel ruisselant de ses prunelles renversées vers ses paupières. Comment est-ce que son plaisir peut satisfaire le sien ? Il n’a jamais bandé si fort. Sa bite suffoque entre leurs corps. Sa main creuse leurs bides pour continuer à sentir à quel point est-ce qu’il bande tout aussi fort. Pour lui. Seulement parce qu’il lui fait envie. Parce que son majeur ne cesse de s’enfoncer en lui. "P..tain.. oui" Et qu’il aime ça. Et pour ça, il accepte d’avoir mal. Pour qu’il puisse le sentir. Son corps fout le feu au sien, et ses reins cherchent friction. En quête de soulager son organe qui n’en puis plus de gonfler. La réflexion s’étirant hors de ses lèvres. Le fantasme grossissant. "Non…Ça sera mieux.. plus intense"  , grognement sourd au creux de sa gorge qui ne couvre bien heureusement pas les incantations plaisantes qui échappe du sien. Là, cajolant intimement son tympan. Mieux, plus intense… Plus que ça ? Sa réponse lui semble logique pourtant, il a du mal à imaginer comment est-ce qu’il pourrait ressentir plus que ce qu’il ressent déjà. La caresse de ses lèvres contre sa joue poisseuse le force à rouvrir ses yeux. Ses larmes… perlent sur sa chaire douce soie rosée. Et il n’ose respirer, l’espace d’un instant, il cesse de bouger. Le regard qui supplie, qui l’implore de ne pas s’éloigner. Qui lui certifie qu’il peut continuer, qu’il peut gérer. Il n’a pas mal, il va bien. Il n’a jamais été aussi bien de sa vie mais il a déjà été plus mal. Et sa fierté à genou, lui demande de détourner le regard. De préserver le semblant de dignité qui pourrait lui rester. Mais ses prunelles ne délogent des siennes. Parce qu’il ne le juge pas, Joakim. Ne semble en aucun cas dégouter face à cette faiblesse qu’on l’a éduqué à réprimer. "Laisse les sortir", lui intime la pute au grand cœur, et il pourrait rire mais ses larmes balancent son hypocrisie le long de ses tempes. «…non… », mais il ne l’a pas rattrapé à temps. Il s’est partiellement redressé, les coudes creusant le canapé. « Jo… », il s’interrompt quand il comprend qu’il n’a pas essayé de s’échapper. Son t-shirt vole et Cat miaule. Il aurait pu expliquer la cause à réaction, aurait pu comprendre que le vêtement avait trouvé la féline. Mais son cerveau semble avoir totalement craché depuis qu’il s’est s’installé sur lui. Les jambes repliées de part et d’autre des siennes. Sa bite en sandwich entre ses fesses. « Shit… », si pressée… si chaud. "Tu l'veux vraiment ?", T’as pas idée… Non, il n’a aucune idée à quel point est-ce qu’il le veut. A quel point est-ce qu’il l’a attendu ce moment. « Jeeeez..Joa…kim… », ses mains malmènent ses cuisses quand il s’empare de son sexe entre une des sienne. Son gland remplace avec tant d’aisance son doigt. Ses prunelles s’émerveillent du spectacle qu’il épie entre ses cuisses. Les courbes de ses lunes s’emparant de sa couronne. Comme s’il lui revenait de droit. Et quand il l’étreint comme ça, il n’a d’autre choix qu’abdiquer. Ses doigts marquent sa chaire quand il part en quête de son souffle.  A présent que sa vision est trouble sous le ruisseau de ses larmes, sa douleur qui s’évapore en cascade. "Tu m'veux ?", ses prunelles retrouvent les siennes. Bien sûr qu’il le veut…« Comme j’ai jamais voulu personne.», sincérité arraché à présent qu’il l’a de nouveau hypnotisé, ensorcelé. Eloigné des rives de son désespoir par le torrent de son désir, de sa volonté. Il le veut comme il n’a jamais voulu personne. Personne. Ses mains descendent jusqu’aux joues de son cul, qu’il agrippe, martyrise sous ses paumes anxieuses, désireuses. Est-ce qu’il s’en irait, après ? Est-ce qu’il considérera sa mission comme terminée ? La pute au grand cœur aura alors accompli sa bonne action de l’année. Qu’est-ce qu’il est au fond si ce n’est une sorte de don caritatif ? Tu sais que c’est faux… tu l’sais ? Il n’en a aucune idée. Il ne sait absolument rien de lui. Si ce n’est son prénom, son nom de famille et son métier. Tu mens. Il sait aussi que Joakim Hargreeves, le pute au grand cœur s’inquiète réellement pour son bienêtre. Une compassion qui dépasse la compréhension de l’orphelin. Et il le fascine, use et épuise son esprit. Le tourbillon de ses pensées emporté, éloigné aussi simplement parce qu’il sait aussi, Nix. Que Joakim Hargreeves a envie de lui. Terriblement envie. Qu’à lui aussi,  sa conscience fait faux bond quand il choisit de lutter à contrecourant. Parce qu’il le veut, lui aussi. "Alors prend moi" , comme si c’était si facile. Ca l’est., il n’a seulement qu’à soulever son cul du canapé. Et il le prendrait. Comme s’il était à la hauteur. Comme s’il était prêt. L’impression pourtant d’avoir vécu une vie pour se préparer à ce moment, à le vivre réellement. Mais sa tête lui tourne et son souffle s’écourte. Le moment, c’est maintenant. Et ses mains maltraitent un peu plus son derrière, écartent pour lui ses chaires. Les dents serrées, les babines retroussés, il souffle, s’époumone. Et Cat feule son effroi mais il n’écoute pas. Son cœur saigne contre ses tympans. "...Andrej", ça il l’entend. Ce nom, le sien. Déposer sur ses lèvres, dégringolé des siennes. Le pouvoir d’un nom, les maillons qui l’enchaînent à son identité. A son passé. Celui qu’il aimerait pouvoir oublier, effacer aussi efficacement qu’un delete. Les racines autour du cou, qui serpentent, qui se contorsionnent. L’étranglent. Il s’est sacrifié pour lui offrir ce semblant de réalité. Où ils peuvent tous les deux exister. Où ils n’ont pas à avoir peur de désirer avoir plus. Rien qu’une fois. Il s’est offert pour que Lui, n’ait plus peur. « N’ai pas peur… », ces mots, il les murmure en retour. Sans savoir à qui est-ce qu’il les dirige exactement. A Joakim ou à lui-même. Peut-être un peu des deux… C’est ce qu’il préfère croire, en tout cas. Non, il n’a pas peur. Pas peur… Le moment, c’est maintenant. Il l’a attendu trop longtemps. « Regardes moi… », il se damne, se condamne parce qu’il veut revoir ses lèvres s’écarter pour laisser loisir à ses cordes vocales de chanter. Ténoriser son plaisir. Apercevoir à nouveau ses traits lui montrer à quel point est-ce qu’il se plait. A quel point est-ce qu’il lui plait. «… te prendre. », ses mains repoussent ses reins, doucement le forçant à l’avaler son gland entièrement. Et sa frustration brise sa voix. Les paupières qui vacillent, le sel qui s’empile, obstrue sa vue. « putain… J… », plus intense, mieux. Son bassin joint ses efforts au sien. « bordel de merde… », les prunelles et la tête renversée, son torse épouse à présent le sien. « putain, putain, putain, putain… », velours chaleureuse tout autour… tout autour de… « …putain, putain… », tout entier, tout entier. Il l’a enveloppé tout entier. Pour la première fois. La toute première fois. Ses mains sont remontées saisir ses hanches pour fondre toute distances entre eux. « Shhh…it.. », il l’a pris. La sueur perlant sa chaire brulante. « J’suis… », il a rouvert ses yeux, redressé sa tête. Un sourire fendant ses lèvres finement pincées par les épingles qui percent sa peau. «… dans ton cul… », un soupire. « J’ai ma putain de bite dans ton cul ! », comme si ça l’étonnait, comme si ça le torturait. La voix étranglée, comme s’il pouvait cracher, là tout de suite, là maintenant. Mais ses reins ont pris le relais, va et vient avec lenteur et précaution déconcertante. Chaque centimètre que son cul avale l’enivre, le rend fou. Et ses mains aide son bassin à poursuivre chacun de ses mouvements. Putain, il est en train de le baiser. Il le prend comme il n’a jamais pris personne. Son front contre le sien, ses lèvres s’emparant des siennes. Et il s’oublie, il oublie tout. Il n’y a seulement que cette chaleur euphorisante, cette odeur intoxicante. Les croissants de lunes que ses ongles tatouent sur sa peau. « t’es si parfait autour de ma queue… », il halète. Une de ses main se hâte, entoure sa verge. Et à chaque fois qu’il rebondi sur lui, sa prise suit. Il ne va pas tenir longtemps… comment est-ce qu'il pourrait? Putain... « si parfait…putain… »…si bon, si si parfait... oui, putain, comme ça... cadence folle. La sensation lointaine d'être finalement entier...

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Dim 16 Aoû - 16:53
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 18 Aoû - 13:55
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Entier ? L’impression de ne se n’être jamais entendu penser quelque chose d’aussi niais. La perception de décrire une sensation, peut-être ? Il n’en sait rien, il ne sait plus. La toile de son esprit s’est effilochée. Envolé le fil d’Ariane. Le filigrane de ses pensées. Il s’est égaré sur les moulures de sa peau. Ses doigts gravent sa chaire de son étreinte. Il l’a englouti, Joakim. Son organe saillant, chaudement emprisonné au fond de lui. Tout au fond, tout entier. Il n’y a seulement que ce plaisir qui l’étourdi. Harponné à lui, il prend feu, se réduit en cendre. Il est partout, absolument partout. Son odeur, sa chaleur. Sa texture, son velours. Et lui, il continue de s’enfoncer en lui. Comme un fou, comme un soldat. Comme une première fois, comme une dernière fois. Y’a seulement que ce moment, seulement celui-là. Où leurs langues se caressent et leurs langues s’embrassent. Où leurs corps, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, s’embrasent. Hors de leurs gorges, le chant de leurs extases. "Oui.. T'es en train de me baiser", oui, putain… enfin ! Il est en train de le baiser, putain ! Mâchoire serrée, il grogne. Guttural son d’animal lézardant sur les murs l’empreinte de son plaisir, la preuve de sa victoire. De sa satisfaction de le sentir se mouvoir ainsi sur lui. Ses reins courant après les siens, son bassin rattrapant le sien. "P..tain.."  , oui, « putain ! », si parfait autour de sa queue. Si parfaite autour de sa paume. "Oooh..."L’hérésie mutuelle. Sa poigne sur sa hanche donne de la force à ses mouvements et ensemble, ils dansent ce tango avec leurs corps. Entre ses canines sa propre chaire rosée perlent les pétales de cette rose qui creuse ses épines sur sa peau. Le sel s’amasse, s’assèche mais il persiste à rencontrer inlassablement des lunes. Leurs corps se confondent, il est partout, absolument partout. Ses longs droits s’arrachant sa crinière ébène. Ses lèvres qui dévorent sa chaire. L’angle se sa mâchoire serrée, la longueur de sa jugulaire gorgée. Pressée si fort contre son être. Il n’a jamais été aussi excité, n’a jamais été autant tétanisé. Il y a si longtemps qu’on ne l’a pas approché d’aussi près. En fait, ça n’est même jamais arrivé. Jamais. And still those voices are calling from far away.Wake you up in the middle of the night just to hear them say welcome to the Hotel California... "Haan... Encore...", tirée de sa torpeur, de la noirceur par ce souffle contre son tympan. Il déloge d’entre eux sa propre main, coincé à présent entre leurs corps trop étroitement lié. Il prend le tour de sa gorge pour le repousser en arrière, le redresser au-dessus de lui. « oooooh putaiin… », voix qui s’écaille, qui se casse à présent qu’il est assis sur sa queue. Comme la chaire de ses lèvres empourprées. « Si pro…fond. », il peine à articuler quand il élève son bassin pourtant déjà bien soudé à ses fesses. Les poumons dépouillés de son oxygène, ses iris vacillent. « Si parfait…ton cul. », sa main délaisse sa gorge, dévale sa musculature bandée jusqu’à retrouver le tour de sa masculinité. « Baises moi…je te regarde. », et il le regarde, ses prunelles brûlant son désir, transpirant sa douleur. Le sang sec sur ses lèvres entrouvertes où s’affolent son souffle chaud. Le battement de son torse hérétique. «Joakim...»Ses reins vibrant, suppliant de prendre plus qu’il n’arrive à donner.

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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Mar 18 Aoû - 23:24
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ    Jeu 20 Aoû - 3:26
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(#) Re: /!\ [HOT]11 > Don't make me regret | AndreJ   
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