• loterie rp // anya & murphy

c'est pas un grand sportif dans l'âme, Murphy. c'est pas un grand suporter non plus. généralement, il se mêle à la foule lors des évènements qui s'produisent. juste pour goûter à l'effervescence ambiante. et surtout pour avoir une excuse pour s'bourrer la gueule. on ne va clairement pas se mentir sur ce point. le superbowl, par exemple. c'est l'meilleur moment de l'année en c'qui l'concerne. ceci étant, cette année, c'est un match de baseball qui le fait sortir de chez lui. il devait y retrouver des potes, passer un bon moment, s'divertir comme il peut. clairement qu'on lui a payé son entrée aussi, sinon il n'aurait pas pu s'permettre de venir. crétin fauché, comme les blés. et pour ne pas changé, il est en r'tard. il a raté tout l'spectacle jusque là. il va vraiment falloir qu'il se mette à travailler sur sa ponctualité. impossible de trouver ses amis dans tout c'merdier. enfin, pas maintenant en tous cas. il s'trouve une place en bout d'rangée, histoire de s'poser cinq minutes et de retrouver un semblant de souffle. parce que oui, il a couru, quand même. le cellulaire, vieux comme le monde, qu'il sort de sa poche de jean afin de contacter les joyeux lurons pour savoir où ils se trouvent afin de les rejoindre. quoi qu'il pense qu'ils sont probablement aller chercher de quoi se désaltérer à l'heure qu'il est. il aurait dû vérifier avant de s'asseoir. il ne capte pas franchement ce qu'il se passe. avant qu'y ait l'gars de derrière qui l'bouscule et lui montre l'écran géant. kiss cam. damn. la tête qui s'tourne de côté pour r'garder la d'moiselle qui s'tient là. bon ben j'crois qu'on a pas trop l'choix rendus là. grand sourire. poulette clairement à son goût. ceci étant, c'est pas un mauvais bourge, Murphy. m'enfin t'sens pas obligée hein. au pire, on peut faire semblant. il n'embrassera jamais une femme sans son consentement. c'est un crétin intelligent à sa façon. puis, généralement, les demoiselles ne peuvent lui refuser un baiser. avec sa gueule de con et son sourire colgate, elles tombent bien souvent dans l'panneau. y a des exceptions, faut pas croire qu'tout est beau et rose non plus. loin de là. l'regard planté dans celui d'la jeune femme. à tout moment, elle doit avoir l'âge de l'une de ses frangines. c'est p'tre pas une bonne idée en y réfléchissant sérieusement. ceci dit, si ses potes voient ça, ils pourraient p'tre bien le retrouver un peu plus facilement.

revoir jessie, mais fuir comme si ce moment n'était jamais arrivé. elle vit mal les retrouvailles, mais elle vit encore plus mal le manque qu'elle ressent par mille. amoureuse, elle se protège sans qu'elle ne soit capable de le faire correctement. elle va vriller, à un moment. elle n'est déjà pas loin de le faire de toute manière.
mais elle est là. elle a obtenu un ticket de ce match à la patinoire, l'avantage d'être un peu renommée. et encore, elle ne veut pas trop se vendre des fleurs. c'est juste qu'elle prend certaines opportunités, et en tant que jour off, elle n'a pas vraiment envie de tourner en rond.
elle entend les festivités, c'est un grand jour en même temps mais anya n'est pas de ce genre là. elle aime bien le baseball. elle sait que si elle avait eu deux places, elle aurait proposé à ses parents de venir. mais elle ne l'a pas fait, préférant rester toute seule finalement. et ses yeux divaguent, entre le match, entre son téléphone. elle aime vraiment ce sport, ça se prouve sur le tee-shirt qu'elle porte à l'honneur de l'équipe de la ville. c'est même un grand match, aujourd'hui. puis elle n'est pas non plus très attentive, son pouce défile sur un des réseaux sociaux. elle n'est pas très attentive, jusqu'à entendre les mots d'un homme à côté d'elle qui la force à froncer les sourcils et à relever son regard. faire semblant ? ce n'est pas anya, de faire semblant. un sourire se dessine sur son visage. elle glisse ses doigts sur sa joue, puis rapproche son visage sans chercher à trop comprendre. elle glisse ses lèvres sur les siennes, fermant les yeux. elle lui offre un baiser, digne de ce nom. qui dure plusieurs secondes. ça scande. ça pue l'amour. ça la fait rire, mais elle se force à garder son sérieux dès qu'elle se rend compte que les caméras bougent. qu'ils ne sont plus focalisés. maintenant, j'exige un restaurant digne de ce nom. normalement, j'attends le troisième rencard. ah ouais ? c'est faux. son coeur bat que pour jessie. depuis toujours. mais elle a besoin de s'évader. de ce coup de folie. faut croire que c'est aujourd'hui qu'elle l'obtient. j'aime les fleurs, aussi. et elle aime les moments qui se veulent... incroyables. et elle a décidé que ça allait l'être.

ce sourire qui ne quitte pas son visage. il a l'air heureux. de tout. de rien. homme bien dans sa peau, peu importe le nombre de conneries qu'il peut dire ou faire par jour. et cette journée n'allait en rien être différente. visiblement. il arrive au stadium avec un immense retard. comme d'habitude. impossible de retrouver les amis qu'il était venu rejoindre dans cette foule. il prend la première allée qui s'offre à lui, s'installe à une place en bord de rang. juste le temps pour lui de contacter ses potes. et là, c'est le drame. la kiss cam qui s'arrête sur lui et la parfaite inconnue assise à ses côtés. bien trop absorbée par son cellulaire et les réseaux sociaux. chose qu'il ignore au plus haut point. chose qu'il exècre de ton son être. la boutade facile, il cherche à la mettre à l'aise. parce qu'après tout, ils doivent s'embrasser. c'est la règle, semble-t-il. elle ne l'écoute pas. enfin, elle semble ne pas lui porter la moindre attention. comme quoi, la technologie finira bien par perdre l'humanité. un jour ou l'autre. et la poupée qui finit par relever la tête. ses prunelles envoutantes. le contact de ses doigts sur sa joue. et les lèvres qui se rencontrent. le baiser auquel il ne s'attendait pas. envoutant, enivrant. il en a de la chance, murphy, finalement. les hurlements du stade, l'effervescence de cet acte pourtant si banal. anodin. jusqu'à ce que la caméra les lâche enfin. reprise de son souffle. un brin chancelant, il faut bien l'admettre. maintenant, j'exige un restaurant digne de ce nom. normalement, j'attends le troisième rencard. il arque un sourcil devant l'audace de la gamine. ils auraient pu reprendre leur route, suivre la voie qu'ils avaient chacun emprunté séparément au départ. mais ce n'est pas la tournure que la situation prend. il retient un rire, dans l'fond d'sa gorge. qui le démange. fortement. j'aime les fleurs, aussi. trop c'est trop. il ne peut plus le retenir et le libère enfin de son emprise. il se marre, murphy. parce qu'il ne va clairement pas être celui qui se sacrifiera pour elle. tu vas être bien déçue ma belle, parce que j'suis sans le sous et que j'ai les fleurs en horreur. qu'il glisse sans la moindre délicatesse. et puis, entre toi et moi, une nana qu'est rivée non stop sur son portable. c'est rédhibitoire. il se prend au jeu malgré tout. l'envie d'enchérir sur sa proposition est bien trop tente pour lui. grand gamin qu'il est et restera probablement jusqu'à la fin de ses jours. au fait, j'm'appelle murphy, au cas où tu voudrais savoir, même si j'en doute. faible mouvement de tête pour la convenance. et l'homme qui r'ssort sa vieille machine à clapet, qui lui sert de cellulaire. un nouveau message entrant d'un des gars qu'il était supposé retrouver. des félicitations de rigueur, l'invitant à les rejoindre expressément à la buvette.

elle se prend au jeu sans réfléchir. ses lèvres se posent sur celle de cet homme lui offrant un baiser digne de ce nom. qu'est-ce qu'elle cherche ? à rentrer dans son esprit ? faut croire. ça l'amuse presque, cette situation. et pendant quelques secondes, elle s'offre même le luxe de s'évader. elle entend le bruit de fond, la foule qui acclame. elle en plaisante, elle en rigole. mais elle est déjà de nouveau avachie sur sa propre place. des mots, une proposition. un restaurant, une fleur. l'envie de s'évader encore avec un total inconnue qui ne l'intéresse ni d'adam, ni d'ève. en temps normal. sauf qu'elle n'est justement pas dans son état normal. pour m'enlever les yeux de mon écran, faut réussir à m'amuser. et en temps normal, anya n'est pas souvent sur son téléphone. mais le match est ennuyant, alors... alors elle fait comme elle peut. elle ne fait pas forcément bien, mais elle s'en fiche. elle fait quand même. puis elle le voit sortir ce vieux téléphone, et c'est à son tour de se moquer gentiment. wow. t'es mon grand-père dans un corps plus jeune ? elle pointe le téléphone du doigt, même s'il doit probablement avoir l'habitude de ce genre de commentaire qui est tout sauf drôle.
et il lui donne son prénom. elle voit bien qu'il cherche du regard quelque chose, et qu'hormis un baiser et vingt secondes de sa vie il ne va pas lui apporter grand chose. mais elle n'a pas vraiment envie de le laisser s'évader aussi facilement. moi c'est anya. et elle lui montre son téléphone, pour lui montrer qu'elle est en train de l'éteindre avant de le glisser dans sa poche. voilà, au moins, elle ne sera pas braquer sur son téléphone les deux prochaines minutes qui défileront. hm. voilà. et donc ? improvise un rencard sans-sou, non ? tu me dois au moins ça après un baiser digne de ce nom. elle bat presque des cils, s'amuse de la situation. mais en arrière plan, toute son âme supplie cette inconnue pour qu'il la suive dans cet élan de folie. elle en a vraiment besoin.

elle a un côté rafraîchissant la gamine, on ne peut pas le lui enlever ce point. elle le prend un peu au dépourvu, aussi. il faut bien se l'avouer. lui qui pensait la quitter une fois le baiser effectué. il est surpris de ses demandes et ne cherche en aucun cas à lui mentir. il ne promettrait même pas la lune à louisa si elle débarquait de nouveau dans sa vie. et pourtant, il en ferait des choses pour elle. lui qui sait pertinemment qu'il ne lui arrivera jamais à la cheville. pour m'enlever les yeux de mon écran, faut réussir à m'amuser. et ben voyons. voyez-vous ça. il lève les yeux au ciel et se détourne de la poupée. il amuse pourtant la galerie en permanence murphy. ceci étant, il n'a pas vraiment d'intérêt à employer les grands moyens à l'heure actuelle. parce que oui, il faut tout de même un minimum d'enjeu pour qu'il fasse le pitre sur demande. c'est pas un automate, il serait bon de ne pas l'oublier. ce p'tit cœur qui bat au creux d'sa cage thoracique. t'es mon grand-père dans un corps plus jeune ? ses lippes qui s'étirent. sourire en coin. p'tre bien oui. haussement d'épaules. il n'a jamais eu aucune honte à ne pas suivre cette tendance d'avoir un smartphone à tout prix. il déteste les nouvelles technologies et préfère largement jeter son dévolu sur les produits fiables. tel que ce cellulaire d'un ancien temps. et alors ? ça fait quoi d'rouler une pelle à son vieux croulant ? il n'est clairement pas si vieux que ça murphy. m'enfin il doit bien avoir une dizaine d'années de plus qu'la poupée. si ce n'est plus. elle qui pourrait aisément être une amie de ses p'tites sœurs. il en a la certitude. et il s'apprêtait à prendre la poudre d'escampette quand elle lui a donné son prénom. prêt à rejoindre les personnes pour qui il avait fait le déplacement en premier lieu. mais la gamine en a décidé autrement. visiblement. le téléphone dont elle se sépare en lui montrant bien qu'elle se rend disponible pour poursuivre leur discussion. hm. voilà. et donc ? improvise un rencard sans-sous, non ? tu me dois au moins ça après un baiser digne de ce nom. le sourire éclatant, sa langue qui vient humidifier sa lippe inférieure avant de la mordiller. à c'que j'vois, c'est pas la modestie qui t'étouffe. qu'il lui rirait presque à la gueule. il tape rapidement sur les vieilles touches de son portable avant de l'ranger dans la poche de sa veste. c'est décidé, il lui accorderait toute son attention. jolie poupée qu'a dans son regard, cette étincelle qui le supplierait presque de changer le cours de sa journée. alors, un rencard sans sous. très bien. et il croise les bras sur son torse en s'laissant aller dans l'fond d'son siège. très peu confortable, soit dit en passant. j'irais sur les quais pour ça. y a pleins d'trucs à voir pour pas un rond. et puis, c'est bonne ambiance aussi. haussement d'épaules. pour la bouffe, ce s'rait surement hot-dog parce qu'on n'va pas s'mentir, ça coûte quedal. et puis la fleur, j'devrais pouvoir t'en confectionner une avec une serviette en papier. il rentre dans son délire murphy. elle qui semble avoir besoin de divertissement plus qu'un match de baseball pour faire taire ses tourments. y a autre chose que tu veux ajouter ? qu'il demande en reposant son r'gard sur elle.

elle s'amuse, de la situation. il lui faut un peu de piment, il lui faut cette diversion pour ne plus se tourmenter à s'en faire mal. anya est faible, surtout en ce moment. elle ne va pas bien. elle a besoin d'une solution, sans savoir où la trouver. elle est venue voir ce match car elle avait besoin de faire quelque chose, tant qu'elle sortait de chez elle. le kiss cam n'est qu'une opportunité qu'elle a pris. elle s'amuse, même, de cette situation, alors qu'elle n'est pas le genre de fille à apprécier la compagnie d'un homme. elle ne dira pas, non plus, qu'elle a la sensation de faire du mal à jessie par la même occasion, et de la trahir. elle agit uniquement pour elle et pour son bien-être. bien qu'elle ne le fait pas de la bonne façon, ça, c'est un fait.
anya se démonte pas. elle taquine un inconnu qui peut être vexer face à des mots probablement mal pris. le traitant de vieux sur le passage, avec un téléphone à clapet au lieu de la dernière technologie tactile à quatre chiffres. t'as réveillé un ancien fantasme d'embrasser un vieux croulant, et c'était pas si mal. elle lance, amusée de la situation, sans chercher à vexer encore une fois. elle se permet juste de rentrer dans un jeu, sans se dire qu'elle en impose elle-même les règles. anya vient là, elle éteint son téléphone, se montre disponible pour un homme qui a sans doute mieux à faire qu'à rester avec une enfant. ça se voit, qu'il est beaucoup plus âgé qu'elle. et donc, qu'il a probablement mieux à faire. mais non, il ne la repousse pas. bien au contraire. le sourire amusé de la brune ne fait que s'agrandir. c'est important, la modestie, dans la vie. elle assure. alors qu'elle a déjà réceptionné son sac. alors, allons sur les quais. le hot dog lui va très bien. la feuille en papier aussi. elle secoue la tête, car non, il n'y a rien de plus qu'elle a besoin si ce n'est ce moment pour s'évader. le match se termine dans cinq minutes. ce qui veut dire que, dans six minutes, ce n'est qu'eux deux. et pour le coup, ça lui va.
alors. elle attend. sagement.
puis quand le coup de batte final est porté, elle fini par se relever. elle s'impose, venant prendre ses doigts dans les siens. alors ? chéri d'une journée, emmènes moi rêver. et elle s'en voudra d'avance, de ce qu'elle est en train de faire. mais. pas aujourd'hui. pas maintenant.

il est bon public, murphy. et puis on ne va pas se mentir, faut pas trop le bousculer non plus, sinon il est bien facile pour lui de se jeter dans la gueule du loup. et, ainsi, de poursuivre dans la farce de départ. et la gamine, elle a l'air d'avoir envie de s'amuser un peu. qu'on ne l'y prenne pas non plus, il ne se jouera pas d'elle dans un autre sens. trop jeune et trop brune. surtout. par contre, il est bien prêt à lui coller un sourire sur les lèvres. ça, c'est clairement dans son domaine. t'as réveillé un ancien fantasme d'embrasser un vieux croulant, et c'était pas si mal. il retient le rire qui menace de franchir la barrière de ses lippes. juste ¨pas si mal¨ ? come on tu peux faire mieux qu'ça ! un brin vantard sur les bords. et c'est totalement assumé, d'ailleurs. la gamine le chambre sur son téléphone d'un autre temps. pas vexé pour un sous, lui qu'a tant de mal avec les cellulaires qui se vendent sur le marché à présent. il a bien du mal à comprendre comment on peut passer autant de temps sur un si petit appareil. ça bousille le cerveau. quoi qu'il est pas mieux à voir les heures de la nuit défiler sur la ps4. quand il n'est pas occupé avec un corps brûlant. et il se met à dépeindre un rencard à petit budget. parce qu'après tout, c'est elle qui a posé la question. et la poupée qui ramasse son sac sous le regard intrigué d'un murphy interdit. alors, allons sur les quais. le match se termine dans cinq minutes. léger mouvement de recul. ah. c'est tout ce qu'il trouve à dire. crétin pas fini. ben euh ... c'était pas dans ses plans ça, on ne va pas se mentir. cela dit, elle semble avoir besoin d'évasion, la gamine. et comme c'est un bon samaritin qui cherche à moitié à s'acheté un semblant de conscience, p'tre bien qu'il devrait l'accompagner. si ça s'trouve, elle pourrait faire une connerie. et hop, non-assistance à personne en danger. dans l'extrapolation la plus totale. c'est effectivement à ça que ressemblent les pensées du trentenaire. ouais, s'tu veux. cellulaire qu'il dégaine encore pour prévenir ses potes que, finalement, il était préférables qu'ils ne l'attendent pas et qu'ils se feraient une soirée un de ces quatre. vieil appareil rangé, une fois de plus, dans la poche de sa veste. les cinq minutes s'écoulent en un battement d'aile de papillon et les doigts d'la poupée qui s'emmêlent aux siens. alors ? chéri d'une journée, emmènes moi rêver. pause. arrêt sur image. temps de réflexion nécessaire face à la tournure des évènements. l'homme qui s'échappe délicatement de son emprise pour poser sa main sur son bras. il se fait gentleman. un brin chevaleresque. inédit. si mademoiselle veut bien s'donner la peine. de son autre main, il indique la sortie. en faire des tonnes, c'est d'un naturel remarquable. le chemin qu'ils empruntent pour se rendre sur les quais. comme promis. qu'est-ce que tu cherches à fuir comme ça ? qu'il finit par demander, rompant le silence. parce qu'il ne se passera rien entre eux, c'est une évidence. pour lui en tous cas, idées bien trop arrêtées. cela dit, il n'est pas dans la tête de la gamine alors y a des questions qu'il se pose. et, de son point de vue, son besoin irrésistible de divertissement cache sans doute quelques fêlures. il est pas bête, murphy. on pourrait le croire aisément, mais ce n'est pas l'cas.