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 santa tell me ((yeath x'mas))

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Mica Welsch
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Mica Welsch
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intervention fortuna : peu importe
trigger warning : warnings victime d'antisémitisme, scène intime/sexuelle explicite (sous hide avec partenaire consentant), nudité, victime d'homophobie, underco.

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âge : 26 ans || 02.02.1996
statut civil : dans les méandres d'un secret lourd, il se dit en couple, le clame, mais jamais il ne parle directement de cette personne qui partage sa vie.
habitation : w/ lucius
disponibilité : open ; 4 en cours
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[ santa tell me ]
w/ @Heath Romeo
Une fragrance délicate laissait s’étirer ce sourire sur les lèvres de l’endormi, qui battait finalement des paupières pour émerger de ce sommeil enchanteur. Une fine couche de brume barrant son regard émeraude, alors qu’il posait celui-ci sur cette peau tanne. Leur souffle s’entrechoquait, lui si paisible entre les bras de Morphée et Yaël qui pouvait admirer l’un des plus beaux tableaux qui lui était donné de regarder. Laissant la pulpe de ses doigts se glisser sur cette mâchoire large, il se mordait la lèvre. L’envie flagrante de l’embrasser, mais le remord qui l’attendait s’il le réveillait alors qu’il semblait plonger dans un sommeil aussi paisible. En le regardant ainsi, il n’arrivait toujours pas à se dire que Heath n’était plus qu’un simple ami, que leur relation avait été amené plus loin. Une chose qu’il n’aurait jamais cru possible quelque mois plus tôt. Pour lui, Heath ne l’aimait plus, alors comment pourrait-il lui rendre cet amour que le bouclé possédait à son égard ? Il oublia celui-ci pour le bien de tous. Désormais, il lui était inutile de l’étouffer, il pouvait simplement le vivre. S’éloignant doucement de son homme, il s’étirait, dépliant ce corps félin pour se lever. Son pied se posant sur le sol venait percuter en délicatesse un grelot qui tintait aussitôt. Une grimace s'affichant sur son visage, il tournait la tête pour voir si le bruit l’avait réveil, mais il ne semblait pas avoir bronché. Soupirant, il se penchait pour prendre cette petite sphère qu’il bloquait entre ses doigts, l’examinant, alors que sur le sol de la pièce jonchait des vêtements rouges, verts et blancs. Un sourire s’étirait sur ses lèvres, il se souvenait de la nuit précédente, ce jeu de rôle qu’ils avaient fait alors que le Manoir était vide. Heath vêtu d’un habit de Père Noël, Yaël aurait pu trouver ça inconvenant sachant que cette fête, il ne l’appréciait pas. Au contraire, ça l’avait charmé, excité même et c’était sous une branche de gui improvisée qu’il l’avait dévoré. Avec ce genre de soirée, le juif pourrait peut-être finir par apprécier cette festivité ! En tout cas, il avait hâte au Noël suivant pour monter sur les genoux de son Père Noël. Posant le grelot sur la table de chevet, il se penchait cette fois pour récupérer son caleçon qui traînait sur le sol. L’enfilant, laissant ses prunelles observer le bel endormi, il se dirigeait vers le tiroir qui lui avait été réservé. C’était minuscule lorsqu’on savait toute la panoplie de vêtement que possédait le bouclé, toutefois, il ne se plaignait pas. Partager la chambre de son mec était sans doute la plus belle des opportunités qu’on avait pu lui offrir. Ouvrant ledit tiroir, il en sortait quelque chose qu’il n’avait pas pris la peine d’emballer avec du papier, le tenant précieusement, il retournait vers leur lit. Son regard observant ce qu’il tenait entre ses mains, ses lèvres se pinçant, il ne savait pas si c’était la bonne chose à faire. En vérité, il en avait envie. Terriblement. Seule une crainte persistait, il ne faisait jamais lire ses scripts par son entourage – sauf à de rare exception. Ce film ouvrait une porte encore inexplorée de Yaël, cette crainte qu’il avait de dire à sa famille qu’il n’était pas hétérosexuel, mais bi, qu’il y avait quelqu’un qu’il aurait aimé présenter il y a fort longtemps à cet être cher qu’était son grand-père, mais qui était parti bien trop tôt avant qu'il ne lui présente cet homme qui dormait devant lui. Cette histoire, il l’avait écrit bien avant ce renouveau, bien avant de penser que tout cela pourrait reprendre vie. Son prochain film – bien qu’il ennuierait sans doute Heath par son intellectuel – était à l’image de ce que le bouclé éprouvait pour deux hommes. Son grand-père pilier de cette vie et ce garçon qui avait su capturer son cœur pour le faire sien sans jamais s’en rendre compte. Un ruban nouait toutefois les nombreuses pages de l’ouvrage, décoré grossièrement comme un cadeau. Sur la page servant de couverture, il avait écrit à la main un petit mot : Cette histoire est une part de moi pour toi. Je t’aime. Joyeux Noël. Il posait le script sur son oreiller, mordant sa lèvre à l’envie de le reprendre, cette peur au ventre de savoir qu’il lirait ses mots. Il n’en verrait pas les images, il n’aurait pas à interpréter quoi que ce soit, il comprendrait tout ce qui s’y cacherait. Se faisant violence, parce qu’il n’allait pas rester là à attendre de faire un choix courageux ou faible, il quittait la chambre sans se retourner. Les mains tremblantes, le myocarde explosant sa poitrine dans un tambourinement puissant, il prenait la direction de la cuisine. Le silence des lieux calmait son esprit, alors qu’il allait se mettre au fourneau pour préparer un petit-déjeuner – au lit – à son homme.
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(#) santa tell me ((yeath x'mas))    Mer 23 Déc - 1:27
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[ santa tell me ]
w/ @Heath Romeo
Une absence, de celles qui viennent interrompre la quiétude de ton sommeil et faire croitre des appréhensions liées à sa disparition. Tu dors, et pourtant ton corps tout entier ressent le creux laissé par son départ. Sa peau n’effleure plus la tienne, tu ne ressens plus ce souffle que tu adores contre tes courbes, ni même les chatouilles que te procurent parfois ses cheveux bouclés. Tu ne ressens plus rien près de toi, si ce n’est un vide insupportable qui fait paniquer ton cœur et s’ouvrir tes yeux progressivement. Quelques minutes sont nécessaires à cette transition, d’un sommeil profond à une première phase plus légère, précédant elle-même un réveil semi-conscient. Mon premier réflexe consiste à chercher de la main cet Adonis dont l’absence se fait cruellement ressentir à présent. Je tapote cet oreiller malgré moi et constate qu’il n’est pas là. Mon buste se redresse légèrement, mes yeux s’entrouvrent à la recherche de cet homme, de ton homme, celui à qui tu confies tes jours, tes nuits et une éternité de moments dont vous seuls avez le secret. Il n’est pas là et mon myocarde se compresse. Je sais pourtant qu’il n’est pas si loin, surement même occupé à la cuisine ou à la salle de bain, mais il me faut toujours plusieurs minutes afin d’accepter un tel constat. Vous ne pouvez pas constamment être l’un sur l’autre, et pourtant tu échangerais sans broncher l’intégralité de ton quotidien actuel pour t’offrir l’opportunité de rester allongé contre lui, tes bras autour de sa peau, figure protectrice, héros de ses journées, diable de ses nuits. Je m’étire longuement, étouffe un bâillement bien trop prononcé et me laisse retomber contre mon propre oreiller, un très large sourire matinal aux lèvres. La pulpe de mes phalanges s’amuse à retracer un chemin couvert de bleus, de griffures plus ou moins prononcées, les endroits où j’ai souvenir de l’avoir vu déposer ses lèvres tentatrices. Nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit, notre libido – déjà explosive en temps normal – visiblement impossible à combler intégralement. Lorsque nous nous retrouvons seul, cet appétit devient tout bonnement incontrôlable, au-delà d’un désir purement physique, c’est comme si nos vies dépendaient d’étreintes passionnées qui font trembler les murs d’un manoir qui ne tardera pas à nous signifier son agacement. Pauvre de nos colocataires. Eux qui, cette nuit, n’étaient heureusement pas là pour nous entendre repousser les limites. J’ignorais que ma tenue de Père Noël l’exciterait de la sorte, je ne vais cependant pas m’en plaindre, au contraire. Tu es fou amoureux, épanoui comme tu ne l’as jamais été. Enfin à ta place après des années à avancer à l’aveugle, incertain et indécis.

« BÉBÉ ? » J’hurle de ma voix éraillée du matin, désireux de retrouver mon Prince Charmant pour un réveil en douceur, ponctué d’une tendresse que lui seul est en mesure de m’apporter. Mon regard est très rapidement attiré par un script échoué sur le coussin qui respire son odeur et me permet de tenir le coup en l’attendant. Son parfum, que tu aimes badigeonner en secret sur ta peau pour qu’il puisse t’accompagner tout au long de la journée quand tu es à la caserne. Je l’attrape, prends connaissance de cette note à mon attention, les yeux assaillis par de petites étoiles qui pétillent et font du bien. Noël, lui qui ne le fête pas habituellement. Lui qui, comme toujours, fait un effort pour moi… Pour nous. Je retire soigneusement le ruban qui entoure ce paquet et ouvre la première page, bientôt forcé de battre en retraite. Pas comme ça, tu veux pouvoir te plonger dans une lecture intensive, d’un bout à l’autre pour en saisir l’essence, pour en capter les émotions sans aucune forme de détachement.

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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Mer 23 Déc - 23:28
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[ santa tell me ]
w/ @Heath Romeo
Quittant la chambre, leur nid douillet, il prenait la direction de la cuisine, faisant escale à la salle de bain en premier lieu. Arrêt toilette et brossage de dents était primordial — la douche irait à plus tard, une fois son homme réveillé pour en savourer tout le plaisir – il dévalait les marches pour se rendre à la cuisine où il cherchait ce qu’il allait préparer. Les petits déjeuners de Heath, il n’avait pas l’habitude de les constatés, soit parce qu’il était à la caserne ou alors c’était Yaël qui avait fini son boulot tellement tard qu’il dormait tout l’avant-midi. Par chance, il se souvenait de ce qu’il avait proposé le jour où avait commencé leur relation — qui fêterait son premier mois dans quelques jours. Des pancakes. C’était simple, une petite recherche sur internet et il trouverait bien une recette. Loin de cuisiner ce type de mets, Yaël n’était pas le plus confiant. Trouvant tout ce dont il avait besoin dans le frigo en piochant dans ce qui appartenait à ses colocs, il se mettait à l’œuvre. Qui allait vaincre ? Les pancakes ou lui ? Un mystère, il devait bien se l’avouer, mais ses boucles soupoudrés de farines, ses joues couvertes de la pâte, le juif prenait le rythme. Un premier complètement raté, une horreur sans nom, il devait bien l’admettre, mais les suivants avaient meilleures mines. À côté, il se préparait aussi à manger, rien de particulier, une omelette à base de matsa, d’œuf et de lait. Trouvant un large plateau, il y déposait leurs plats, des flûtes de mimosa – avec faible dose d’alcool – avec un jus d’orange fraîchement pressé. Il avait même pris le temps d’aller chercher une fleur dans leur jardin pour en décorer le plateau. Qui aurait pu imaginer Yaël aussi déterminé à être romantique ! Il ne l’avait pourtant jamais fait pour quiconque, mais Heath lui inspirait tellement plus qu’une simple relation amoureuse, qu’il trouvait le moyen de se surpasser. Il ne se forçait pas à agir ainsi, contrairement à ce qu’on pouvait croire, il le faisait naturellement, sans se poser de question. Tout ce qui le motivait à agir ainsi, c’était son sourire, cette façon que son petit-ami avait de le regarder, lui cet être imparfait. Il se délectait de son regard et pour lui, il n’avait aucun mal à être gentil, tendre et attentionné. Pour lui, il pouvait être une part de lui qu’il n’avait jamais mis au grand jour. Il ne changeait pas, bien au contraire, il évoluait. Bras chargés, il remontait sans même avoir perçut l’appel de son homme quelques instants plus tôt. S’aidant de son épaule, il poussait la porte qu’il avait refermé pour ne pas le réveiller en faisant du bruit. Entrant, son regard se posait sur cet étalon entre leur drap. Large sourire prenant place sur ses lèvres, une volée de papillon se bousculant pour venir virevolter autour de ce myocarde qui s’emballait. Yaël rayonnait à la simple vue de cet homme. « Tu es réveillé ! » disait-il en approchant pour poser le plateau sur la table de chevet du côté où dormait Heath – quand il n’était pas lové dans ses bras. Ses émeraudes se perdant sur ce visage angélique qu’il peinait à oublier même le temps d’un battement de cils. « Je vois que tu l’as trouvé. » soufflait-il alors qu’un léger blush couvrait ses joues. Avait-il commencé à le lire ? Il préférait ne pas savoir et quoi de mieux que de le distraire pour lui faire oublier de le lire dans l’immédiat. Il grimpait donc sur lui, passant à califourchon et venant glisser ses bras autour de son cou. « Tu as bien dormi ? Pas trop épuisé ? » Un sourire s’étirant sur ses lèvres pêche, alors que tous les deux savaient pertinemment que cette nuit n’avait rien eut de reposant. Yaël sentait quelques courbatures, il avait aussi découvert quelques marques sur son corps à peine vêtu en passant devant le miroir de la salle de bain. Le corps de Heath ne faisait pas exception à leur plaisir, le bouclé l’ayant marqué de tant de manière différente qu’il ressemblait à une œuvre d’art illustrant tout le plaisir et l’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre. Plus jamais Yaël ne le laisserait être une toile vierge. Il approchait finalement ses lèvres des siennes. « Joyeux Noël honey. »
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Ven 25 Déc - 2:03
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w/ @Heath Romeo
Je suis réveillé par une sensation désagréable de solitude au lit. Une déconvenue qui se prolonge malgré un premier appel du pied qui ne semble, malheureusement, pas être entendu par mon petit-ami. Lui qui est occupé ailleurs et me laisse donc seul face à moi-même et à un corps qui porte les marques d’une nuit sulfureuse, à l’image de la passion qui nous anime tous les deux sans jamais perdre de sa superbe. À croire qu’il est tout bonnement impossible qu’une telle tension sexuelle s’estompe entre nous deux. Peut-être sont-ce les dix années de notre vie passées l’un éloigné de l’autre, à mutuellement nous attendre, qui justifient cela… Je me contenterais prétentieusement d’affirmer qu’il est simplement question d’amour, du VRAI, pas de celui qui nous est offert à toutes les sauces dans les blockbusters hollywoodiens à la sauce romantique. Il me gratifie enfin de sa présence, ce bel étalon qui fait s’emballer mon cœur et mon sourire, sexy en caleçon, et armé d’un plateau qui déborde et justifie à lui seul ce sourire admiratif qui se fraie un chemin sur mes traits délicats. « Petit cachotier. Tu aurais dû me prévenir, je serais descendu te donner un coup de main. » Il me faut plusieurs secondes supplémentaires afin de réaliser qu’il m’a surtout préparé un petit-déjeuner au lit. « Oh mais… Viens par-là ! » Mes yeux pétillent et mon cœur, lui, sombre déjà pour ses délicieuses lippes que j’embrasse tendrement plusieurs longues minutes sans jamais faillir. Les doigts tentés de s’aventurer en dehors des sentiers battus et pourtant très sages, perdus le long de sa colonne vertébrale que je caresse avec beaucoup d’attention. « Je suis honoré… Je sais à quel point tu évites de faire lire tes scénarios à tes proches en temps normal. Je ne sais pas comment te remercier… À côté, ce que j’ai prévu est vraiment nul ! » Je confesse, honteux, après m’être penché près de ma table de nuit d’où je sors deux petites boites empaquetées dans du papier cadeau à son image, ornée de petits lutins qui m’ont énormément fait penser à lui. Le premier présent, en une énième déclaration à peine dissimulée, à travers une photo encadrée. Un cliché, le premier que nous avons pris lui et moi. Rien que nous deux, une dizaine d’années en arrière. Une attention qui me coûte, épouvanté par mon apparence disgracieuse de l’époque, mais un souvenir auquel je me raccroche avec une émotion particulièrement vive. Le second, une autre déclaration teintée de pop culture, un message qui, au-delà d’un symbole marquant tiré d’une série télévisée de la fin des années quatre-vingt-dix fait écho à l’amour que je lui porte, à ce que j’éprouve au point où, la vision traditionnellement irlandais de cette bague, autrefois utilisée comme alliance, ne me dérangerait en rien. Une petite note introductive, quelques mots écrits à la main sur une carte de Noël que je sais relativement kitch, de quoi contrebalancer avec la sincérité de mes propos. I realized I was thinking of you, and I began to wonder how long you’d been on my mind. Then it occurred to me: Since I met you, you’ve never left. « Je sais très bien que tu n’es pas très habitué à célébrer Noël mais… Joyeux Noël, mon amour. » Qu’on se le dise, mon plus beau cadeau, c’est lui. Il s’installe à califourchon contre mes cuisses, sur ma peau complètement nue qui n’est jamais la dernière à réagir à un tel contact d’un frisson qui m’hérisse les poils et fait délicieusement grimper la pression. Je me plonge dans son regard, caresse ses cheveux, amusé de constater qu’ils sont gorgés de farine. « Jamais épuisé… Tu devrais le savoir ! » Et il le sait, à en juger par les nombreux petits hématomes que j’effleure soigneusement sur ce corps que j’ai, peut-être, un peu trop malmené cette nuit. « J’ai une question… Qui de la farine, ou de toi, a remporté le combat que vous avez mené l’un contre l’autre ? Je ne suis pas certain de pouvoir trouver cette réponse moi-même ! » Je m’arrête sur un rictus tendre et moqueur.

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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Sam 26 Déc - 16:56
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w/ @Heath Romeo
« Je préférais te laisser dormir, tu semblais si paisible que l’idée même de te réveiller me semblait mal agir. » disait-il en posant le plateau opulent d’un petit-déjeuner pour eux deux. Et puis, où aurait été le plaisir de lui offrir un petit-déjeuner au lit, s’il était venu lui donner un coup de main ? Yaël n’avait jamais la chance de le surprendre de cette façon, leurs colocs toujours présents, leur horaire bien loin de s’harmoniser pour leur offrir des moments comme celui-ci. Il ne s’en plaignait pas, mais à cet instant précis, il désirait simplement en profiter, le gâter comme il le méritait selon le bouclé. Un jour, peut-être auraient-ils leur chez eux pour profiter de tous ces moments qui leur échappait encore ? Secrètement, Yaël l’espérait, cet homme, il ne le laisserait jamais partir. Seul et unique désir pour le juif qui s’imaginait un avenir à ses côtés, jamais il n’avait imaginé un avenir avec qui que ce soit, mais leur histoire était différente. Il avait besoin de lui, plus qu’il ne l’admettrait verbalement que ce soit devant Heath ou n’importe qui d’autres. Les mains posées sur le matelas, se rapprochant de ses lèvres qu’il n’avait pas goûté depuis la veille, lui manquant trop à cet instant. Ils les apposaient sur ces lippes charnues au parfum des plus enivrant qu’il connaisse, celui de son homme. Un premier baiser matinal au goût mentholé, loin de cette saveur de tabac que le bouclé avait souvent. Il ne tarderait sans doute plus à fumer sa première clope – un besoin viscéral – mais comme chaque matin où il se levait près de lui, il attendait leur premier baiser pour en allumer une. Un respect calculé pour lui offrir le meilleur de lui-même avant de retomber dans son plus grand vice. Quittant ce contact chaleureux, à l’image de la tendresse qui pouvait les animer, elle si différente de la passion qui les guidait à d’autres moments, il baissait ses émeraudes sur ce qu’il avait entre les mains. Ces pages dactylographiés de son prochain film, ces non-dits qui enflammaient son être, qui désiraient être dit, hurler pour le libérer. Si Yaël se fichait de pas mal tout, sa plus grande peur se retrouvait révéler dans ce script, il se mettait à nu sans que personne ne puisse y voir ce qui s’y cachait – sauf Heath qui saurait y percevoir tout ce que Yaël sous-entendait. Son amour pour lui qui remontait déjà à plus de dix ans, ce désire d’en parler à sa famille étouffée par la crainte d’être rejeté, l’importance qu’il avait à ses yeux pour le présenter à cet homme qui était à l’image d’un père pour le bouclé. Il était prêt à se mettre à nu, lui dévoiler son âme pour eux. Il l’observait avec tendresse, laissant une de ses mains se perdre sur sa joue. « Je ne le fais pas pour que tu me remercie ou cherche à faire quelque chose en retour. Je veux simplement partager ce que j’ai écrit avec toi. » Un sourire perdu sur ses lèvres, lui rendant cette chaleur, cet amour qu’il ne pouvait plus garder pour lui-même. Il regardait les deux petits paquets dans cette main large. Grimpant dans le lit, il venait prendre place sur lui, acquérant les présents pour les déposer près d’eux le temps d’une étreinte. « Pour toi, je pourrais tout fêter. » Ça lui avait pourtant coûter les années précédentes, mais le sourire qu’il voyait émerveiller son visage, ces étincelles brillant dans son regard, valait bien toutes les fêtes commerciales du monde. S’il pouvait simplement lui faire plaisir, alors il acceptait d’y participer, pour lui, seulement pour lui. Bras entourant ce cou peinturé de pois violacés par dizaine, il se perdait dans ce regard ensorcelant. Un sourire en coin, satisfait de cette nuit à l’effigie de leur passion qu’ils ne peuvent assouvir aussi souvent que Yaël aimerait le faire. Il ne peut se résoudre à toujours se laisser aller de peur de déranger et pourtant entre ses mains expertes, il peinait déjà beaucoup à garder un self-control tolérable pour leurs meilleurs amis. Tôt ou tard, ils leur diraient sans doute de calmer leur ardeur ou d’aller ailleurs et Yaël craignait d’en arriver là. Que feraient-ils ? Ne préférant pas y penser, il se concentrait sur ce visage affichant l’espièglerie qui parfois l’avait exaspéré par le passé, mais qui le charmait en vérité. Ça faisait parti des choses qui les différenciaient, mais qui leur donnaient cette force de solidifier leur couple. Il tournait la tête pour regarder l’assiette de pancake. « Je dirais que c’est moi, après une lutte acharnée, je dois bien l’admettre. » Il se pinçait les lèvres. « Soit indulgeant se sont mes premiers à vie. Je ne cuisine pas de pancake habituellement. » C’était une des raisons qui l’avait fait râler ce fameux jour, lui qui n’aimait pas les mets sucrés, n’en faisait pas, pas même pour ses amis. Il embrassait son nez, avant de bouger pour se tourner, venant se lover contre le torse de son homme, assit entre ses jambes cette fois. « Voyons ce que tu m’offres. » disait-il en passant les bras du pompier autour de lui avant de prendre la note. Cette chaleur irradiant son dos, cette force l’enlaçant, il ne désirait être nulle part ailleurs que dans ses bras. Il laissait ses yeux se perdre sur ces mots qui à fin lui donnait envie de cet homme dans son dos. Il lui aurait tout donné à cet instant, incapable d’aller dans le sens inverse du courant pour s’en éloigner. Sa main venant caresser l’une des cuisses du brun, il basculait la tête pour le regarder ce large sourire sur ses lèvres. « Tu as toujours été là pour moi aussi. » disait-il en embrassant sa mâchoire, alors qu’il repensait à ce script près d’eux qui était la preuve même de ces propos. Prenant la première boîte, il la secouait proche de son oreille, curieux, puis déchirait le papier d’emballage qui le fit rigoler. Délectable souvenir d’un boulot merdique que son petit-ami avait rendu merveilleux à ses yeux. Il y trouvait un cadre avec leur portrait. « Heath, tu l’avais toujours. On a changé, mais tu es toujours aussi magnifique. » Il savait que ça devait avoir été tout un exploit pour lui d’encadré cette photo. Yaël avait perdu les traces de celle qu’il possédait, il ne pensait pas la revoir un jour. Prenant l’une des mains de Heath, il la portait à ses lèvres pour en embrasser sa paume en fermant les yeux. Cet homme, il l’aimait inconditionnellement. Il posait le cadre sur ses jambes, le temps de passer au second cadeau. Cette fois, il restait sans voix, prenant la bague entre ses doigts. « C’est ce que je cr… » il s’arrêtait de parler, se tournant pour le regarder. Une Claddagh. Ils étaient trop jeunes et leur couple bien trop récent pour y voir plus qu’un cadeau, une promesse qu’un jour peut-être ils se feront. Le regardant, il fermait les yeux un instant avant de les rouvrir sur lui. « Je te laisse l’honneur. » Ça n’avait rien d’une demande en mariage, mais il lui tendait la bague de sa main gauche, tout en tendant sa main droite pour le laisser lui passer au doigt. « Je t’aime Heath Romeo, tu me gâtes beaucoup trop. Avec toi, je suis le plus comblé des hommes. »
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Dim 27 Déc - 0:55
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Ses mots font s’emporter un cœur qui ne bat déjà que pour lui et ses magnifiques jades que je me délecte à observer pour la millième fois en quelques secondes à peine. Ce sourire que j’ai aux lèvres, il ne me quitte jamais lorsque je suis avec lui, si proche et pourtant déjà trop éloigné à mon goût. « Je me serais peut-être indigné dix secondes, je l’avoue. Une série de grommellements censés faire sens de cette voix matinale comparable à l’exorciste… Puis je me serais rappelé le goût incomparable de tes lèvres et… Tout le reste aurait disparu en un instant, tout, sauf l’honneur de pouvoir enlacer le meilleur petit-ami du monde… Lui susurrer des mots doux et embrasser sa peau encore et encore ! » J’énonce ce réveil on ne peut plus parfait – et fantasmé – d’une intonation très douce, parfois à peine audible, les yeux dans les yeux. Je le dévore du regard, bien trop seul sur ce lit, allongé, en manque de chaleur… De sa chaleur ! Ce chagrin ne manque pas d’être conjuré puisqu’il fond sur moi et s’installe à califourchon contre mes cuisses et cette virilité qui, matin oblige, est déjà gorgée de sang et d’un désir palpable. Je me mordille la lèvre à ce contact, à part, bien incapable de résister à ce corps fait de porcelaine que j’éprouve un plaisir incomparable à caresser comme je le fais, de la pulpe de mes doigts, afin d’apposer ma touche personnelle à cette œuvre d’art des plus splendides. « Tu es bien trop habillé à mon goût ! » Je babille, les mains bientôt accaparées par ce caleçon que j’entraine avec moi dans ma chute, l’obligeant dans la foulée à se redresser pour complètement s’en séparer. « Voilà qui est mieux, nettement mieux ! » Je me mordille à nouveau la lèvre et l’attrape un peu plus fermement par les lobes, d’humeur joueuse, pour le faire basculer à nouveau contre ma peau. « Je suis vraiment le plus chanceux des hommes. Et je ne dis pas uniquement cela parce que tu m’as préparé le petit-déjeuner… Quoique… » Je lui tire la langue, taquin, et roule sur moi-même en une volonté de le faire basculer sous ma peau, allongé sur le dos. C’est moi qui le chevauche à présent, ses mains prisonnières des miennes tandis que mes lippes se ravivent contre les siennes. Ma langue s’élance à son tour, conquérante, désireuse de s’abreuver d’une essence délicieuse à même sa source. Ce petit goût mentholé m’embarque vers de nouvelles sensations et me fait redresser la tête, gêné par le constat qui s’impose à moi. « Tu t’es brossé les dents et moi je te roule des pelles avec mon haleine de chacal du matin ! J’ai honte de moi ! » Je me redresse, prêt à bondir hors du lit afin de rectifier cette insulte à sa perfection, il mérite le meilleur de moi… Il me faut au moins cela pour espérer parvenir à me rapprocher de lui, de cette grandeur qui me fait rêver comme un gosse.

Son script entre les doigts, je prends la décision de le déposer sur sa table de chevet pour le moment. « Je m’installerais confortablement autour d’un café, enroulé dans un gros plaid bien chaud pour le lire. Je veux pouvoir complètement m’abandonner à tes mots sans être interrompu ni arraché à ce que je découvrirais ! » Chaque scénario écrit par le garçon se réfère plus ou moins directement à un aspect de sa vie. Si bon nombre de nos connaissances passent systématiquement à côté, moi le premier, il suffit juste d’observer et de réfléchir à la précision de certains passages, aux souvenirs qu’ils inspirent. Rien n’est laissé au hasard. « J’espère qu’un jour… Moi aussi je pourrais tout célébrer à tes côtés ! » Ce projet, il est doux et amer à la fois. Nous savons tous les deux que je ne pourrais jamais l’accompagner le temps d’Hanoucca chez ses proches. Eux qui ignorent tout de moi… Qui ignorent tout de sa sexualité. C’est bien pour cela que nous sommes obligés d’être si prudents. Un cliché subtilement capturé par un paparazzi et son monde volerait en éclats. Tu te sens parfois coupable d’espérer qu’une telle scène se produira un jour… Les histoires secrètes, ça n’a jamais été ton truc. Tu en souffrais déjà à l’époque, dix ans en arrière, même si le contexte est différent à présent et que tes proches, à toi, savent pour votre histoire. Les rôles s’inversent, il se glisse entre mes cuisses, le dos collé à mon torse, et j’en profite très largement pour l’entourer de mes bras musclés, de mes mains qui se joignent contre son nombril en une légère caresse que je poursuis, le menton appuyé contre son épaule, à l’admirer pendant qu’il ouvre ses deux cadeaux. Mes mots le font réagir, forcément, tout comme ce premier cadeau symbolique. « Comment aurais-je pu m’en séparer ? En dehors de nos souvenirs, c’était tout ce qu’il me restait de nous. » Un cliché devant lequel j’ai beaucoup pleuré, même si cette partie de l’histoire restera confidentielle à jamais. Fierté et pudeur obligent. Le deuxième présent le fait s’emballer et mon cœur se retrouve prisonnier de cette même spirale qui le fait tambouriner sous ma peau, tout contre la sienne qui doit en ressentir les vibrations affolées. « Ce que tu crois… Tout à fait ! Et même s’il est encore tôt pour songer au sens premier de cette bague… Je me surprends parfois à penser impulsivement… À avoir envie de considérer un tel acte ! Je le ferais tôt ou tard, c’est certain. » Comment pourrais-je ne pas être tenté de faire de lui mon mari ? Cet époux qui porterait mon nom, à moins que je porte le sien ? Tu lui proposerais un nom composé, afin que chacun puisse célébrer son mari officiellement, sans avoir à choisir. Heath Romeo-Weisel ; Yaël Weisel-Romeo… Non… Romeo-Weisel… Le simple fait de l’imaginer me faire cet honneur et déjà l’émotion me submerge, en silence certes, mais présente malgré tout. Il se redresse, se retourne afin de me tendre la main et j’en profite pour, littéralement, lui passer la bague au doigt. « Et voilà monsieur, rien n’est trop beau pour toi ! »


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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Jeu 31 Déc - 1:18
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[ santa tell me ]
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Ce réveil qu’il dépeint, Yaël aurait aimé le vivre, doux éveil entre ses bras herculéens, la sensation d’être la plus belle chose qui soit pour quelqu’un. Après tout, c’était tout de même entre ceux-ci qu’il se sentait un peu plus chaque jour. Précieux. Désirer. Aimer. Lui seul pouvait rendre le juif aussi important. Un cœur qui tambourinait, un sourire miroir de ce sentiment qui l’envahissait. Heureux et comblé d’avoir pu trouver cet homme pour partager sa vie. « Ne me fait pas regretter. Ce matin que tu décris, on peut le vivre chaque jour, mais combien de fois pourras tu te vanter que ton petit-ami t’as fait des pancakes pour un petit-déjeuner au lit ? » Son sourire s’élargissant, ses orbes brillants de cet amour qu’il ne pouvait plus cacher. Tout transparait dans ses émeraudes miroitantes de milles pépites dorés, chaque émotion qu’il laissait l’envahir et sans doute qu’au-delà de l’amour, le désir persistant ne trouvait pas à se rassasier. La simple vue de ce corps sans artifice, d’une beauté naturelle, il s’empressait de venir y grimper pour lui voler un peu de cette chaleur tant appréciée. Sous cette pulpe sa peau frissonnait, ses lèvres entrouvertes et le bout de sa langue humectant sa pulpeuse, tandis que ses dents résistaient à ce flux qui traversait ses veines, faisant bouillir son sang. Pantin de ses désirs, il obéissait sans résistance, se levant pour qu’il lui retire son caleçon qu’il avait enfilé pour aller cuisiner. Ainsi fut-il libéré de la seule chose qui le couvrait encore, se retrouvant à sa merci. Ce regard que Heath posait sur sa chair lisse et brillante, bibelot de sa collection, Yaël ne pourrait être autre part qu’entre ses mains larges. Sa respiration lente et interpellant son toucher sur sa porcelaine fine, un écho de ce contact filait aussitôt d’entre ses lèvres satinées. Celles-ci happées par ses dents lorsqu’il sentait cette force empoigner ses lunes. « Humpf. » Ses jambes se pliaient sous cette attraction, le faisant siffler un rire évoquant ces moments où la joie l’envahissait simplement. Heureux d’être avec lui, de partager ces moments qui réchauffaient l’âme, et qui le faisait tomber un peu plus amoureux à chaque instant. « Ah ouais, quoique ! » répliquait-il bien loin de jouer l’offusquer, un large sourire trahissant son plaisir. Il sortait à son tour cette langue répondante à cette plaisanterie, avant de pousser un petit cri de surprise en se sentant chavirer, celui-ci bien vite transformer en rire cristallin. Leur place échangée, Yaël se trouvant désormais sous son petit-ami, un regard brillant de mille feux, alors qu’il le détaillait lui qui le surplombait, il reprenait finalement son sérieux. « Tu es extraordinaire. » Il le laissait fondre sur ses lèvres, lui rendant cette même passion qu’il pouvait faire preuve à son égard. Lèvres contre lèvres, leur langue dansant le plus sensuel des tangos. Un grognement lui échappait en sentant Heath éloigner son visage. « Tu supporte bien mon haleine de fumeur tous les jours. » Loin d’apprécier le voir s’éloigner, il enroulait ses jambes autour de cette taille robuste, laissant ses mains venir chercher son visage. « Tu ne vas pas me délaisser pour aller te brosser les dents. Reviens plutôt t’occuper de moi. » Il l’attirait à lui, passant ses bras autour de son cou, ses lèvres mentholées se perdant sur celles encore matinale.

Ses jades suivant le script, il se pinçait la lèvre inférieure. Un maigre sourire sur ses lèvres, ne pouvant plus revenir en arrière, il regrettait de lui avoir donné les pages de son troisième film. Porte ouverte sur les sentiments le plus profond qu’il avait éprouvé pour leur première relation, il craignait de voir la réaction qu’aurait Heath le lisant. Verrait-il toute la subtilité de ses sentiments à son égard ? À quel point, il pensait encore à lui et à ce qu’il avait toujours voulu faire ? Dès leur première relation, il avait voulu le présenter à son grand-père paternel, celui qui avait joué le rôle de père, de modèle, qui lui avait fait aimer le septième art. Dans ces lignes, jamais il n’avait voulu le présenter comme un ami, mais comme la véritable personne qu’il était pour lui. Aujourd’hui, il était trop tard, son grand-père étant décédé peu de temps après leur rupture. Le bouclé avait dû faire face à deux chagrins et tel une huître il s’était refermé sur cette perle naissante. Plus jamais le même aux yeux des gens, un garçon se livrant à son art et rejetant de tomber vraiment amoureux. Son script n’allait certes pas aussi loin, n’avait rien d’aussi tragique puisque le personnage arrivait à présenter son petit-ami à ce grand-père. Rejeté, il finissait tout de même dans une force d’acceptation, sans peine ni joie. Une fin qu’aimerait Yaël pour sa propre existence, simplement affirmer qui il est à ses parents et les grands-parents qui lui reste. Qu’il puisse l’amener avec lui sans que sa famille n’en fasse pas tout un plat ! Mais ce n’était pas une chose aisée, il le savait et comprenait ce que sous-entendait le brun. Glissant sa main sur sa joue, il lui sourirait. « On trouvera un moyen, je ne perds pas espoir même si ça ne se fera pas tout de suite. Je suis désolé de t’imposer cela, mais on trouvera. J’ai déjà parlé de toi à mes frères et ma sœur. » Il l’embrassait tendrement. Ô oui, ils trouveraient des solutions, mais Yaël ne voulait rien précipiter, toujours la peur au ventre que tout vienne à se briser si les choses étaient faites précipitamment.

Désormais lové contre le torse saillant de son homme, vulnérable et délicat entre ses bras puissants, il déballait ses cadeaux. Le premier l’enveloppait d’une chaleureuse nostalgie. « Je ne l’avais plus cette photo. » Il laissait ses doigts caresser le verre protégeant ladite photo. « Je me souviens de cette journée. » Il ravalait des larmes, c’était idiot de se laisser submerger ainsi, mais tant de souvenir de leur première relation remontait à la surface. « Elle fait partie des plus belles de ma vie. » Ému, il chassait une larme avant qu’elle ne roule sur sa joue. Cette photo trouverait place sur sa table de chevet, chaque matin il pourrait donc la voir et lui rappeler que le temps s’écoule peut-être, qu’on peut perdre foi en quelque chose et finalement, le retrouver pour le vivre cette fois au centuple. Il passait au second. Surpris d’y trouver une bague avec autant de signification. Il n’y croyait pas. Tout comme les mots de son petit-ami et pourtant se tambourinement résonnant dans son dos évoquait la vérité. « Heath. » soufflait-il touché qu’il ait de telles pensées. Il aurait du prendre peur, mais non, il ressentait son amour et ça suffisait à lui donner des ailes. Yaël lui laissait passer cette bague à son doigt signant leur relation, il était désormais visuellement un homme non disponible. Passant sa main non baguée dans ses bouclettes, il se tournait pour lui faire face cette fois encore. Ses jambes se glissant de part et d’autre du cadet, il se rapprochait assez pour que leur corps se frôle. Ses jades se reflétant dans celles de son homme, il se pinçait ses lèvres. « Ça fait quelques jours que ça me traverse l’esprit. Je sais que notre relation n’a même pas encore un mois, mais notre amitié elle ne date pas d’hier. Et je me dis qu’on pourrait peut-être se trouver un appartement rien qu’à nous. On habite ensemble depuis assez longtemps pour savoir comment on fonctionne dans un lieu ensemble, mais… » Il se pinçait les lèvres, continuant sans lui laisser la chance de lui répondre. « Je sais que ce serait quitter nos meilleurs amis, seulement, j’aimerais parfois qu’on soit plus libre de nos faits et gestes. On peut vraiment agir à notre guise lorsqu’ils ne sont pas là comme en ce moment. Je veux plus pour notre couple. Tu aimerais ? »
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Jeu 31 Déc - 5:44
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Je me laisse emporter par cette vision alternative d’un réveil qui aurait pu être d’une perfection incomparable, confortablement lovés dans les bras l’un de l’autre, à renoncer à ce sommeil réparateur en douceur, sans jamais aller plus vite que la musique. Cette vision est somptueuse, au même titre que cette surprise qu’il me prépare. Un petit-déjeuner au lit, de ce plateau déposé sur la table de nuit près de moi et garni d’une tasse de café que je devine brûlante à en juger par la fumée qui s’en échappe. Un jus d’orange que j’aurais bientôt tout le loisir de découvrir pressé à la main, ne parlons même pas des différents fruits entreposés, de cette fleur délicatement posée comme la cerise sur un gâteau fantastique, à la hauteur de ce garçon qui s’endort à mes côtés chaque soir ou presque. Un détail attire mon attention au-delà de l’acceptable, bientôt relevé par mon petit-ami lui-même. « Depuis le temps que je les attends ceux-là ! » La voix teintée d’un léger reproche à interpréter uniquement via la taquinerie plutôt qu’à considérer comme une attaque véritable. Je me fiche bien d’avoir des pancakes au petit-déjeuner, du moment que je l’ai lui tout entier. Loin d’en avoir terminé avec ce second degré, j’ouvre à nouveau la bouche, moqueur. « Cette journée est vraiment très spéciale, je dois la savourer comme s’il s’agissait de la dernière… Avant au moins… Quoi… Noël prochain ? » Je lui tire la langue, l’observe longuement et perds à nouveau pied lorsqu’il se lance à la conquête d’une peau qui ne vibre que pour lui depuis des semaines et des semaines. Je suis tout bonnement incapable de ne pas ressentir ce rush d’adrénaline et d’attraction m’envahir à une vitesse phénoménale quand il se colle à mon épiderme. Le souffle court, il me faut toujours plusieurs secondes pour parvenir à reprendre mes esprits, à réaliser qu’il ne s’agit pas seulement d’un rêve. Tu marques un temps d’arrêt, caresse sa précieuse porcelaine et laisse un sourire comblé étirer tes lèvres. Entre ses bras, tu es le plus heureux des hommes, le plus chanceux également. Tu n’en reviens pas qu’il puisse t’avoir offert son cœur. Toi, le loser, et pas un autre, à la hauteur des géants qu’il rencontre quotidiennement dans l’exercice de ses fonctions. Des acteurs fantastiques qui expriment l’amour mieux que personne, des écrivains qui manient les mots comme jamais tu ne le feras, des scénaristes qui fourmillent d’idées pour créer le renouveau, des éclaireurs qui ne manqueraient jamais une occasion de mettre en lumière cette beauté sans pareille… Tout ce que tu n’es pas. Pourtant c’est toi qu’il a choisi, et tu ne comprends toujours pas. J’ai un mal fou à redescendre du petit nuage sur lequel je suis lové depuis Halloween. Nous avons traversé quelques épreuves en chemin, mis un long mois avant d’arriver à ce que nous sommes actuellement mais pour lui, j’aurais attendu une vie entière si cela avait été nécessaire. Je le débarrasse d’un obstacle bien trop encombrant à mon goût, d’une barrière à cette chaleur que se communiquent nos silhouettes à chaque instant. La vue est instantanément plus appréciable, plus sensuelle également. « Un jour… Je te dessinerais… Non… Pas vraiment, je suis bien trop mauvais à cela mais… Je te photographierais. Je capturerais chaque millimètre de ton apparence  en un cliché immortel, que jamais je n’oublierais et cela même si la maladie devait un jour s’interposer entre mes souvenirs et moi. Cette photo, je prendrais soin de l’entreposer au plus près de moi, de sorte à ce qu’elle ne m’abandonne jamais, même lorsque tu n’es pas là pour me serrer dans tes bras, me réchauffer de tes mots, de tes gestes… De ton regard ! » Je caresse son visage, effleure le léger relief que procure la présence d’un grain de beauté le long de sa mâchoire et immortalise cet océan de détails dans mon esprit. « Quoique… » Je confirme avec arrogance, mes pouces à présent rivés contre ses deux lobes fessiers que je masse avec beaucoup d’attention. « Pour quelle autre raison pourrais-je donc bien être fou de toi, après tout ? » Les explications sont bien trop nombreuses, je ne suis même pas certain que je pourrais les énumérer sans en oublier, sans me perdre en chemin, victime de digressions naturellement inspirées par les nombreuses qualités qui me font craquer… Par ses défauts qui font naitre la plus dangereuse des addictions en mon sein. Tu es fou de lui, tu l’as toujours été mais chaque jour qui passe achève d’ancrer cela plus profondément en toi maintenant que vous ne formez plus qu’une seule et unique entité. Tu n’as plus à refouler tes sentiments, ni même à te cacher. Tu es libre de l’aimer au grand jour, d’accorder à ton cœur la possibilité d’exprimer l’intensité avec laquelle tu éprouves tout ceci sans avoir à te réprimer. « Supporter… Je ne veux pas que tu supportes, mais que tu apprécies, bébé ! » Je me redresse, au-dessus de lui, Godzilla face à cet humain fasciné par une telle grandeur de façade, et m’apprête à l’abandonner le temps d’un passage par la salle de bain lorsqu’il m’agrippe de ses jambes qui, elles, ne veulent strictement rien entendre. « Maiiiiiis ! » M’occuper de lui, je retiens cela et me laisse tomber contre sa peau qui claque d’un mouvement maitrisé afin d’en limiter la violence contre mon corps musclé. « Comment aimerais-tu que je m’occupe de toi, monsieur ? » Des idées, j’en ai des tonnes. Ce sont elles qui font s’emporter mes doigts le long de ses genoux et les motivent à remonter le long de l’intérieur de ses cuisses. Je tâte cette chair précieuse, ô combien appétissante, et la presse en une volonté de les rabattre le long de ses abdominaux. Un seul petit mouvement s’avère suffisant pour que tu parviennes à coller ton bassin contre ses lunes. Ta sensibilité peu éveillée, mais toujours prête à s’élancer au moindre besoin. « Make a wish, and I’ll make it happen ! »

Cette frustration, je me sens coupable et hypocrite de l’exprimer à haute voix lorsque j’aborde sa famille et ce secret que nous nous devons de tenir. Tu n’as plus de famille, tes parents t’ignorent la plupart de l’année, te font parvenir un chèque chaque année pendant les fêtes et estiment qu’une telle attention est suffisante pour que tu évites de les déranger le reste du temps. Je n’ai pas encaissé la moindre somme versée par leurs soins depuis une éternité, à même de me débrouiller par mes propres moyens. À quand remonte la dernière fois que je leur ai adressé la parole ? Je ne m’en souviens même plus. Tu te souviens parfois que tes parents ne sont pas éternels, tu redoutes le moment où ils partiront et te laisseront face à tes regrets, tes non-dits mais… Mais tu ne peux tout bonnement pas oublier les années de maltraitance sous-prétexte que tu es adulte à présent. Cette tendresse dont tu as été privé toute ta vie, elle te manquera pour le restant de tes jours. Cet amour parental, ce soutien, cette confiance qu’ils étaient censé t’aider à acquérir… Tu ne sauras jamais comment véritablement la combler. Ils t’ont brisé, cela sans jamais exprimer le moindre remord. Mieux, ils le sont sans toi et tu penses parfois que le monde entier se porterait mieux si tu n’étais plus là, si tu disparaissais subitement. Mes parents, ils ne m’ont pas rendu visite après l’accident. Je n’ai même pas reçu un message à l’époque. Ils ont pourtant été prévenus, je le sais, @Ophelia Ackerman s’était chargée de les notifier. Tu n’es plus à une déception près, avec eux. J’ai prétendu ne pas être touché devant mes amis, à mon réveil. Je me suis contenté de rebondir et d’oublier. Tu ne peux pas en vouloir à Yaël de vouloir préserver sa famille, mais tu ne veux plus ressentir cette honte destructrice… Celle que tu as l’impression d’inspirer au monde entier, celle qui nécessite de toujours faire preuve de discrétion. « Ah oui ? Qu’ont-ils dit ? »

Je lui offre une très ancienne photo de nous deux qui le touche profondément et m’emporte dans l’œil d’une tempête émotionnelle grisante que ma deuxième offrande n’arrange en rien. Cette bague, elle veut dire tellement de choses pour moi. Une promesse plus éloignée dans le futur mais également une ribambelle d’actes plus concrets ici, dans le présent. Il me chevauche à nouveau et mes mains retrouvent ses cuisses par automatisme, besoin insurmontable de le toucher, partout, tout le temps, par peur qu’il me soit arraché de force, angoissé à l’idée qu’il puisse m’échapper comme dans un mauvais rêve. Ses mots, ils me font chavirer. Je souris, tenté de l’interrompre à chaque seconde, surpris de parvenir à ronger mon frein de la sorte jusqu’à ce qu’il soit arrivé au bout de sa proposition. « Oui ! » Je démarre en trombe, me redressant par la même occasion pour plaquer mes doigts contre sa colonne vertébrale afin de le maintenir dans cette position, tout contre ma peau, légèrement surélevé, imposant dans cette posture conquérante. « J’adore être ici… Cette ambiance familiale m’a permis d’avancer, de me confronter à certains de mes démons et d’en ressortir plus fort. Ils me manqueront tous énormément mais… Mais j’ai besoin d’avancer à présent, de construire mon propre foyer autour de ce que j’estime être mon Monde à moi ! Ma maison, c’est toi… Toi, et toi seul ! Rien ne m’honorerait plus. »



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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Sam 2 Jan - 17:57
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w/ @Heath Romeo
« Ha. Ha. Ha. » soufflait le bouclé qui voyait les plaisanteries que son homme faisait. Si ça sonnait totalement faux comme rire, il abordait tout de même un sourire amusé. Il était vrai que cette journée n’avait aucun précédent. Yaël qui cuisinait des pancakes, qui acceptait de fêter Noël comme il se devait, c’était le monde à l’envers. Son univers chamboulé par ce diable au sourire d’ange. Prêt à tout pour le faire sourire comme il le faisait depuis qu’ils étaient dans la même pièce, dans toute cette journée, c’était sans doute le plus beau des cadeaux qu’il pouvait recevoir. Cet homme, il ne pouvait s’en passer, lié de la plus magnifique des façons. Cœur uni dans la consonance de ce qui rythmait leur vie désormais. Lui. Eux. Un tout que le bouclé n’était pas disposé à laisser se faner. Ce jardin aux multiples couleurs, il en avait rêvé à moitié endormi, à moitié réveillé, il ressentait ce besoin d’être lié au brun. Une sensation d’étouffer lorsqu’il se retrouvait trop loin de lui, attiré à revenir dans ses bras comme si ce qui les reliait était trop court pour les tenir à distance. Quelques pas de trop et il revenait entre ses bras, comme à cet instant où il prenait place sur lui. Chaleur partagée, le bouclé posait ses orbes verdoyant sur ce visage que son esprit avait moulte fois dessiné dans son esprit. Il avait gravé chaque détails sur sa rétine, jamais il ne l’oublierait. Voir que Heath pensait ou du moins désirait faire comme tel le faisait sourire de plus bel. Sa joue se perdant dans cette main qui caressait sa peau. « Je serai plus qu’heureux de faire cette photo. » Et pourtant, Yaël n’était pas celui qui aimait être devant l’objectif, s’il pouvait éviter, il le faisait. Mais la simplement idée de se voir de l’œil de son homme l’intriguait, lui qui possédait des centaines de vidéo qu’il n’avait jamais montré à qui que ce soit parce qu’il trouvait toujours à en redire, ne pas comprendre pourquoi il filmait le plus souvent Heath. Maintenant, il comprenait et s’il regardait ces vidéos, il était persuadé qu’on y verrait tout son amour. Heath, il avait capturé son essence dans de court-métrage entre ami. Sans doute la plus belle preuve d’amour qu’il pourrait lui montrer un jour, mais même s’ils étaient ensembles, Yaël se sentait gêné de lui faire voir comment il le percevait, une ouverture de son âme que lui-même ne réalisait pas encore en faisant ces vidéos. « Je ne sais pas trop. » disait-il alors qu’il se contenait pour ne pas montrer que cette pression sur son fessier le rendait déjà fou. Il passait ses bras autour de se cou large laissant ses lèvres se perdre contre son oreille. Il aurait pu lui demander une énumération, mais il n’en avait pas besoin. Tous deux connaissaient les réponses et ce soupir de plaisir était bel et bien une d’elles. Il laissait ses dents happé cette chair molle de ce lobe percé, laissant traîner sa langue sur celui-ci. Il n’en fallait pas plus pour que le bouclé se retrouve sous son amant, éclat de rire quittant ses lèvres dans une chansonnette. Il ne parvenait pas à rester sérieux lorsque Heath le surprenait. Il transpirait la joie, le bonheur et plus que tout l’amour. De cet homme, il était fou, fou au point où il manquait d’air bien souvent, retrouvant son souffle au contact de ses lèvres. « Tout ce qui vient de toi, je l’apprécie. Alors arrête de t’en faire. » Bien loin d’être prêt à le laisser partir, il s’y accrochait, souriant de plus belle en le voyant revenir. Ses jades le fixant, brillants d’étincelles qui n’étaient réserver qu’à lui. Il se mordillait la lèvre inférieure poussant un soupir en le sentant effleurer sa peau, cette pression contre ses jambes. « Ah. » soufflait-il en basculant la tête et posant son regard sur la table de chevet. Un vœu… Il pourrait vouloir en faire des milliers. « Attends. » disait-il étirant son bras pour tirer sur le ruban qui enlaçait ces pages de son amour pour ce gamin qu’il avait ravi son cœur il y avait dix ans. Tirant sur le ruban, il le ramenait à lui et bien qu’il se trouvât complètement idiot de faire cela, il le fit quand même. Il nouait le large ruban rouge autour de son sexe, formant une boucle joliment faite à la hâte. Se redressant sur ses coudes, il appuyait leur front l’un contre l’autre. « Noël ne serait pas vraiment Noël avec simplement un cadeau. Je fais le vœu de te combler, que tu sois le plus heureux des hommes aujourd’hui. » Il allait chercher ses lèvres pour l’embrasser, passant ses jambes pour les poser sur les épaules du sportif, laissant le ruban retomber sur ses lunes.

« Ma sœur t’a trouvé très sexy. Je crois bien que si tu te lasse de moi, elle tentera sa chance. Sinon, ils sont contents pour moi. Si tu veux on organisera quelque chose pour que je te les présente. Enfin sauf Eddy, tu le connais déjà je crois. » Il passait ses doigts dans les cheveux courts du pompier, le regardant avec tendresse. « Je sais qu’eux ce n’est pas le plus difficile à affronter, mais c’est déjà beaucoup. Peut-être qu’on trouvera du soutient auprès d’eux. » Tant de promesse ce matin, certaine peut-être encore fantasque, mais Yaël s’en fichait. Pour la première fois de sa vie, il savait qu’il aimerait vivre sa vie avec quelqu’un. Ce quelqu’un qui venait d’évoquer un mariage, un jour. Il ne se sentait pas déboussolé pour autant, non, ça semblait étrangement le chemin qui leur était réservé. Un bref regard sur cette bague à son doigt et il se lançait dans de nouveau projet d’avenir. Ce oui le réjouissait au plus haut point, ses lèvres s’étirant au maximum, il serrait ses bras autour de ce cou qu’il aimait tant câliner, l’écoutant. « Tu es le mien aussi. » Un baiser contre ses lèvres. « Mais on regarde pour des appartements, pas de maison. » disait-il en fronçant les sourcils, connaissant Heath et ses projets de grandeurs. S’il ne mettait pas une limite Heath pourrait arriver avec un château qu’il n’en serait pas surpris. Bien sur qu’il voudrait un jour une maison, mais pour le moment, il n’avait pas les moyens, avec ses trois emplois et l’argent dont il avait besoin pour son film. Acheter une maison lui semblait complètement déraisonnable. Il basculait la tête pour regarder la table de chevet… « Je crois qu’on va manger froid… » Il se laissait envahir par une pensée. « Au moins chez nous on pourra alterner réveil enlacé et petit-déjeuner au lit, ça nous évitera de mélanger les deux et de se retrouver avec des pancakes froids pour toi. » Il le regardait rougissant en réalisant qu’il parlait déjà de leur chez-soi.
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Sam 9 Jan - 9:03
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w/ @Heath Romeo
« Je me suis pourtant blessé, rien que pour en avoir ! Mais tu n’as eu aucune pitié pour le pauvre bébé Heath qui avait mal partout ! » Je continue à surenchérir, mort de rire face à cette moue boudeuse et amusée à la fois qu’il laisse se dessiner sur un visage qui, de toute manière, ne peut tout bonnement pas se soustraire à une profonde envie de réagir à mes paroles avec humour. Je le connais par cœur. Rectification, nous nous connaissons tous les deux sur le bout des doigts, et pas seulement parce que nos chemins s’entrecroisent sans cesse depuis une quinzaine d’années. Ce lien indescriptible qui nous uni, au-delà même du fait d’être ensemble ou non, il veut tout dire. Tu n’as même pas les mots pour décrire ce que tu ressens. Tu sais juste qu’il existe une connexion qui n’a jamais été brouillée, pas même lorsqu’un épais brouillard a tout recouvert pendant dix ans… Vous n’étiez que deux agents dormants, en attente d’un signe, d’un mot pour vous mettre en action. C’est à présent chose faite, cela depuis bientôt un mois. Une trentaine de jours, c’est à la fois peu et immense quand on sait à quel point tout semblait compliqué au départ. Le premier d’une longue série d’anniversaires et d’événements que nous aurons la possibilité de partager tous les deux. Tu ne te vois plus sans lui, comme si toute notion d’individualité s’effaçait au profit de cette entité que vous formez, de ce couple qui gagne en densité chaque jour davantage. Je l’aime tellement fort qu’il m’est impossible de respirer correctement lorsqu’il n’est pas là, près de moi. Sa présence pèse très largement dans chaque décision que je prends à présent. Mon intérêt est un écho au sien. Je ne parviens plus à égoïstement me dissocier de lui, je n’en ai pas envie, chaudement lové sur ce petit nuage que rien ne peut venir malmener, pas même des obstacles que nous franchissons avec beaucoup de légèreté. Je m’égare, tisse un fil agréable, articulé autour d’un cliché, d’un dessin ou d’une illustration qui me permettrait de toujours l’avoir près de moi, constamment. Il semble d’accord, de quoi me surprendre de prime abord, puis faire s’immiscer un immense sourire satisfait sur mes lèvres. L’impatience brûle déjà, elle me donnerait presque envie de me mettre au travail dès maintenant, alors qu’il est présent contre mes bras, nu, magnifique et bandant à souhait. Cette ultime réflexion, cependant, n’a rien d’exceptionnelle puisqu’en sa présence ma libido semble ne plus avoir aucune limite. À croire qu’il me ramène tout droit à mes plus bas instincts, ceux que rien ne parvient à abreuver sur la durée, suffisamment longtemps pour m’empêcher de revenir à la charge aussitôt ou presque, à en épuiser mon corps qui, lui, en redemande encore et encore, avide de cette jouissive torture.

« À ton tour de devenir ma Muse. Tu devras te livrer à la caméra, apprendre à la dompter, à te jouer de sa présence… Lui faire l’amour comme si ce regard que tu lui adressais, il m’était réservé… » Ce sera le cas, justement. Un cliché qui nous reconnectera aussitôt, lui et moi. Nous n’avons pas besoin de cela, c’est certain, mais j’en ai très envie. Un cadeau de Noël à mon image, passionné et impulsif. Je m’amuse de la chaleur qui plane à présent dans cette chambre, au regard d’une nuit qui a fait vibrer l’intégralité du Manoir sous nos ébats. Je caresse son fessier avec beaucoup d’envie, jouant l’innocence comme personne, bientôt rejoint sur ce terrain par mon petit-ami que j’observe, hilare. « Moi non plus, je ne sais pas du tout ! » Il se penche et s’attaque au lobe de mon oreille, non sans faire s’hérisser mes poils et le plus intime de mes instincts qui s’érige fièrement contre sa peau. Le bougre sait comment s’y prendre pour te mettre à mal. Il connait tes points faibles, les zones à solliciter pour que tout le reste disparaisse. Tu perds pied rapidement sous la chaleur humide de cette langue qui s’amuse à verser de l’huile sur un feu qui pourrait déjà tout embraser. Je remonte le long de sa colonne vertébrale, caresse cette peau de porcelaine avec un désir profond qu’il m’est impossible de dissimuler, qui me pousse à le dévier d’un geste de la main de sorte à retrouver le confort de ses lèvres contre lesquelles viennent se presser les miennes fiévreusement. J’en profite très largement pour inverser la tendance et les rôles, par la même occasion. Son rire, quelque peu enfantin, fait preuve d’un bonheur à l’état pur qui me retourne le cœur de la plus fantastique des manières. Je le regarde, ému, et partage ce rire innocent, cette insouciance qui fait tant de bien. Tu es toi-même, lorsqu’il est là pour chasser les nuages et faire apparaitre ce soleil de plomb. Tu ne crains pas la chaleur, elle est formidable. Vivant, tu ne l’es pleinement qu’à son contact à lui… Lui, ce bel étalon que tu as réussi à faire tomber amoureux de toi. Lui, qui t’offre la chance de ta vie en acceptant de t’aimer et de te dédier son amour exclusivement. Haleine matinale ou non, peu semble lui importer puisqu’il me fait prisonnier et me quémande d’être au rendez-vous, de me concentrer sur un plaisir avec lequel je décide de m’amuser, joueur, comme toujours. Je m’immisce entre ses cuisses, les parcoure avec beaucoup d’attention, d’une lenteur extrême qui lui laisse le temps de développer les images nécessaires à un fantasme qui pourrait très rapidement prendre forme, à notre guise. Ses cuisses remontent un peu plus à chaque centimètre que je recouvre de mes doigts, de cette pulpe qui met le feu aux poudres jusqu’à m’offrir une posture suffisamment plaisante pour me jouer de ses attentes, d’une anticipation qui nous met tous les deux à fleur de peau, à en juger par la dureté d’un membre qui tapote déjà diaboliquement une entrée qu’un rien pourrait me permettre de dépasser. Il m’empêche d’aller plus loin, dodelinant afin de se soustraire à ma lourde emprise pour s’emparer du ruban autour de son script. « EH ! Attention à ce que tu fais avec mon cadeau, hein ! » Je le préviens, d’un doigt pointé dans sa direction. On ne touche pas à mon scénario… D’accord, le sien, puisqu’il en est l’auteur, mais ma copie, précieuse, unique en son genre ! Je le regarde faire, hilare, s’enrubanner le pénis et le transformer en une offrande qui, je dois l’avouer, m’inspire un rire que j’ai du mal à contenir. « Personne ne m’a jamais offert son chibre… C’est une première… Mais j’adore, j’adhère ! » Ses vœux me font frissonner et sourire naïvement. Retrouver ses lèvres tendrement également, pour lui communiquer tout cet amour que je lui porte. « Je fais le vœu de te rendre heureux à chaque instant, de t’accompagner dans tes projets, de saluer tes exploits et de t’aider à aller de l’avant, même lorsque tu traverseras des moments de doute. » Je marque une pause pour l’embrasser à nouveau et babiller, à peine audible, contre ses lèvres. « Je t’aime ! » Yaël me surprend, d’humeur sportive, en se prostrant contre mes épaules sur lesquelles ses chevilles élisent domicile.



Ses frères et sœurs me connaissent, de quoi m’apporter un peu de baume au cœur et m’arracher à cet arrière-plan désagréable au centre duquel je suis obligé de me tenir bien sagement, pour ne surtout pas brusquer les choses. Son monde, je ne veux surtout pas le faire voler en éclats. Ses mots me font rire, surtout lorsqu’il mentionne sa sœur et le crush qu’elle pourrait physiquement avoir sur moi. « C’est bon à savoir ! » Je me fais un malin plaisir de poursuivre, jamais le dernier à l’embêter dès qu’une perche m’est tendue. « J’aimerais beaucoup les rencontrer officiellement, en tant que petit-ami. On pourrait même les inviter un soir au Manoir, quand les autres ne seront pas là bien-sûr… Je leur cuisinerais un petit quelque chose qui puisse vous convenir à tous les trois. » J’imagine qu’ils suivent le même régime alimentaire que leur frère. Je serais, pour une fois, en infériorité, prêt à faire un effort en concoctant un menu qui puisse cocher l’ensemble des cases concernées. « J’espère aussi… Toute forme de soutien sera bonne à prendre, lorsque le moment sera venu ! J’espère qu’ils apprécieront suffisamment notre couple… Qu’ils me porteront suffisamment dans leur cœur pour se risquer à une telle chose à tes côtés ! À nos côtés. » Nous serons ensemble là-dedans. Comme toujours, dans les bons et les mauvais moments, sans jamais faillir. Nos projets, ils se multiplient ce matin et font s’emballer mon imagination, déjà débordante en temps normal. Il me connait par cœur et me coupe l’herbe sous le pied. « Mais… Les maisons c’est bien aussi ! » Je prends cette petite voix toute mignonne qui le fait toujours craquer. En réserve, mon regard de Chat Potté. L’entendre ainsi parler d’un chez nous me comble de bonheur, littéralement, d’un sourire qui me fend le visage et laisse s’exprimer le bien-être qui m’assaille. « Je mangerais froid pour le restant de mes jours si cela me permet de rester dans tes bras ! » Lui, que j’embrasse à nouveau, avant de me pencher pour attraper un pancake et le croquer. « Hmmm ! Une tuerie ! Tiens, goûte ! » Je croque un petit morceau que je conserve entre mes dents, le faisant très largement dépasser d’entre mes lèvres, et me penche de sorte à l’atteindre lui, et ce visage divin pour qu’il puisse m’embrasser et s’emparer de la nourriture au passage.



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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Dim 10 Jan - 20:19
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Mica Welsch
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w/ @Heath Romeo
« Toi tu regarde un peu trop de film. » Un rire ponctuait ses propos alors qu’il ne s’imaginait très certainement pas en train de vouloir faire l’amour à une caméra. Il comprenait ce que Heath tentait de lui faire concevoir, cette vision glamour d’un photographe qui cherchait à éveiller un sentiment de la part de son mannequin. Seulement, Yaël n’aurait pas besoin de dompter la caméra ni à se jouer d’elle, parce qu’il ne verrait que lui derrière l’objectif. Comme toujours tout tournerait autour de cet homme. S’il prenait simplement le temps de regarder, il verrait que le bouclé n’avait déjà de yeux que pour lui, que ce regard qu’il posait sur Heath suffisait à décrire toute l’étendue de ses sentiments. Bien entendu l’étincelle sexuelle brillait en permanence dans ses jades, elle s’éveillait dès l’instant où il se trouvait en sa présence. Un appel viscéral, un besoin peut-être primaire qui finalement n’en était pas un. Tout bonnement attiré par lui, ressentant le besoin que leur corps s’unisse pour simplement respirer à nouveau. Ses globes entre ses mains pressés avec envie, illustrait très bien ce désir omniprésent qui existait entre eux. Loin d’être indispensable à tout moment et pourtant, ils profitaient de chacun de ses instants où il n’y avait personne pour les déranger. « Peut-être faudrait-il nous rafraîchir la mémoire. » susurrait-il en se penchant vers Heath. Ses lèvres venant agripper ce lobe d’oreille qu’il s’empressait de caresser de sa langue, suçotant cette chair avec délectation. L’éveil d’une passion à peine endormie le temps d’un repos, le temps de recharger les batteries de ce plaisir qui jamais ne s’éteint. On le déviait de son objectif, amenant ses lèvres sur une tout autre zone. Un baiser qui redonnait vie, les liant eux qui ne parvenaient pas à s’éloigner le temps d’un battement de cil. Yaël laissait ses doigts caresser cette peau bouillante de gestes délicats, quelques effleurements pour électrifier ses sensations. Sans résistance, il se laissait basculer pour se retrouver sous son amant, un rire franchissant ses lèvres à ce simple contact qui était certes surprenant, mais bien plus révélateur de ce bonheur qui le faisait rayonner. Les éclats de joie qui quittaient ses lèvres, jamais personne avant Heath n’avait su les déclencher aussi simplement. Yaël en oubliait son caractère désagréable pour simplement laisser parler son amour pour cette personne qui partageait sa vie désormais. Des matins comme celui-ci, frais et léger, sans pression si ce n’était le plaisir de se retrouver l’un avec l’autre était plutôt rare en temps normal. Trop pressé dans leur horaire ou des colocataires qui se bousculaient pour animer cette maison sans leur accorder assez de temps pour se réveiller en douceur et profiter d’une matinée à l’image de leur bonheur. Le Juif se régalait donc de ce matin-là, loin d’être désireux de quitter le lit pour reprendre le cours de leur vie. Une bulle dont il tenait à profiter de chaque seconde. Ses jades perdus dans ces jumelles, il laissait briller les émotions, les sentiments qu’il éprouvait pour le pompier sans le moindre mot. Cet homme, il l’aimait comme nul autre et comme parfois, il arrivait à oublier le temps, celui qui lui disait que leur relation commençait à peine, qu’ils avaient tant à vivre avant de se laisser emballer par une relation plus importante. Mais ils avaient déjà perdu assez de temps en se refusant d’ouvrir les yeux sur leur sentiment. Alors, il était hors de question que Yaël le laisse partir le temps de rafraîchir son haleine, il pouvait l’accepter sans conteste. Se retrouvant, savourant ces caresses le long de ses cuisses. Le bouclé s’en délectait en basculant la tête vers l’arrière, gémissant à ce contact qui électrisait tout son être en un éclair. Il ramenait son regard vers le brun, sombre et avide d’un plaisir qu’il ne pouvait garder pour lui. C’était ainsi que l’idée germa, s’offrir à lui en cadeau où il improvisait un emballage avec le ruban qui entourait son script. « Arrête de râler ! C’est mon rôle ça… et puis tu verras. » soufflait-il en ramenant le ruban pour le nouer autour de son sexe dans une symbolique plus qu’évidente. C’était sans doute le truc le plus fou qu’avait fait Yaël, loin d’être aussi imagé en temps normal, presque trop sérieux lorsqu’il s’agissait de lui. Perdre la face, se ridiculiser, généralement, il évitait le plus possible. « J’espère bien, après tout je suis le seul mec que tu t’es fait. Si ça avait été autrement, je me serais posé des questions. » Son sourire s’élargissait, alors qu’il l’observait en lui récitant un vœu qu’il pourrait lui dire tous les jours de leur vie commune. Il le rendrait heureux, qu’importe ce qui arriverait, il ferait tout pour que Heath le soit. Un baiser qui imprégnait ses lèvres scellant ce vœu à l’image d’une promesse éternelle. Attendrit par les mots de son homme, il laissait ses doigts venir caresser sa joue. Leurs lèvres se retrouvant une fois de plus pour son plus grand plaisir. « Je t’aime et je t’aimerai toujours. »  



« Comment c’est bon à savoir ! » s’indignait-il avec fausseté, une main placée sur son torse et les yeux grands ouverts. « Si tu compte me remplacer, par pitié va voir quelqu’un d’autre ! » Mais ça c’était loin d’être quelque chose qu’il laisserait faire. Bien décidé à se battre pour le garder près de lui, bataillé sans relâche pour qu’il ne continue qu’à le voir lui à travers tous les autres. Yaël possédait peut-être des craintes, mais jamais il ne les laisserait voir, jamais il ne leur donnerait du pouvoir. Les autres pouvaient s’attarder sur la terre entière, cet homme restait désormais pris à la vie à la mort. « Tous les cinq. » soufflait-il pour corriger le nombre exact de sa fratrie. Il s’approcherait, venant poser ses lèvres sur les siennes. « Mais oui, on pourra toujours organiser quelque chose et si tu veux on cuisinera ensemble. » Il savait que ça lui ferait plaisir et dans les faits, lui aussi désirait le crier sur tous les toits qu’il avait un petit-ami, que celui-ci était le plus génial de tous pour lui. Sa seule crainte c’étaient les parents, mais ça, il ne pouvait pas faire grand-chose si ce n’était de préparer soigneusement le terrain avant de passer à l’acte pour leur présenter. Ses doigts se perdirent sur ses joues rugueuses. « Bien sûr qu’ils t’aimeront, tu es mon amoureux, tu fais mon bonheur, c’est suffisant. Ça devrait être suffisant, mais tu es au-delà de ça, tu es gentil, attachant, charmant, poli, Heath tu es la plus belle personne que je connaisse. Tu n’as pas à t’en faire. » Pas avec ses frères et sa sœur, eux ils sauraient voir l’éventail de bonté en lui, ce qu’il apportait de plus à Yaël. Contrairement à leurs aïeuls qui eux n’observerait pas le bonheur de leur petit-fils, mais l’outrage qu’il pourrait amener dans la famille. Revenu sur lui, brisant l’espace qui les éloignait, Yaël se lançait dans des plans d’avenir. Loin d’être des paroles en l’air. « Une maison c’est gros, c’est de l’entretien, d’immenses responsabilités. En plus, ça coûte cher. Je suis pas certain, je préférais un appartement. » Mais cette voix qu’il avait employée, le bouclé savait qu’il ne pourrait pas si objecter bien longtemps, donc il poursuivait. « On regardera les deux, comme ça pas de dispute et on verra ce qu’on trouve, ça te va ? » Couper la poire en deux, c’était quelque chose que Yaël pouvait faire pour le brun. Il ne voulait pas se disputer pour un logis, parce que pour lui l’endroit lui importait peu. C’était Heath sa maison, le reste ce n’était qu’un toit sur leur tête. Un petit rire lui échappait, le laissant lui voler un énième baiser, avant qu’il ne le regarde prendre un morceau de pancake froid. « N’exagère pas quand même. » Ses orbes ne le quittèrent pas du regard, s’amusant de le voir ainsi pancake entre les lèvres. Yaël qui n’aimait pas le sucré fronçait le nez. Encore une dualité sucre contre le bouclé, ça lui rappelait l’épisode où il avait léché le doigt du pompier pour en récolter le sirop de cassis. Heath ne le laisserait pas tranquille. Ses bras s’enroulant autour du cou de son homme, il approchait ses lèvres des siennes, croquant dans la pâte épaisse en gardant le morceau sur sa langue qu’il venait introduire entre les lèvres de son partenaire pour lui refiler ledit pancake. C’était de la triche, mais ça l’amusait et pour la peine, il le pressait contre lui, continuant de l’embrasser pour ne pas qu’il l’injure de trahison.
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Dim 6 Juin - 19:18
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w/ @Heath Romeo
« Peut-être que oui, et peut-être que je joue un peu trop aux jeux-vidéos aussi mais tout ceci ne change rien à tout cela pour autant ! » Je persiste et signe, d’une voix on ne peut plus assurée, en tapotant son épaule tendrement. Je ne suis pas spécialement bon derrière la caméra, à braquer mon objectif sur une autre personne, à donner vie à un cadre habituellement anodin d’un ou deux jeux de lumières, d’objectifs ou de focales. Je n’y connais rien, plus à l’aise devant que derrière et pourtant désireux de m’improviser photographe pour mon petit-ami. Le temps d’une séance, d’un cliché qui m’accompagnera ensuite partout, que ce soit dans mon téléphone ou de façon nettement plus intime, quelque part, logé sous ma poitrine, là où rien ne parvient à se réguler lorsque le prénom de Yaël est prononcé. Il est ma kryptonite, celui qui neutralise toutes mes barrières, ma carapace, mes défenses, mes forces offensives et dompte l’animal sauvage. Si nous étions tous les deux dans un film, un blockbuster de superhéros par exemple, c’est à lui que les méchants iraient s’en prendre pour me narguer, me faire peur et me forcer à renoncer à une victoire pourtant acquise de droit. Par amour pour lui, je serais prêt à tout perdre sans même avoir à associer un tel acte à un sacrifice. Ce serait juste une évidence, une décision logique, prise à l’instant T sans avoir à méditer ou considérer les options alternatives. Il est ma solution de repli, ma plus belle victoire et ma seule véritable défaite. Ma maison, certes, mais également tout mon univers, non… Toute ma galaxie ou presque. Ce Noël en est la preuve, lui qui était sympa jusqu’à présent, certes, mais qui n’était pas à la hauteur des précédentes années, comme s’il me manquait quelque chose. Mon plus beau cadeau vient de m’être offert, et je ne fais même pas allusion à son script, en deuxième position… C’est lui. Mon offrande. Un diamant brut que je n’essaierais de tailler pour rien au monde. « Je ne vois que cette solution pour lutter contre ces maudits trous de mémoire, en effet ! » Ton mielleux, innocence prétendue qui ne convainc personne, moi le premier. Je sens mes traits s’étirer d’un sourire qui ne laisse aucune place à l’imagination non plus, encore plus lorsqu’il s’attarde contre le lobe de mon oreille. Il réchauffe cet outil auditif indispensable de sa langue vicieuse et humide, parfois contre-carrée par la présence taquine de ses dents, de ses lèvres qui aspirent ma peau et font réagir un point sensible, zone érogène dont il a un peu trop connaissance à mon goût. « Bébé ! » Je souffle, en un murmure à peine audible, forcé de lui reconnaitre la victoire, durement érigé contre un sillon que je redécouvre à chaque fois comme s’il s’agissait de la toute première fois. Mes sensations sont décuplées par une excitation qui grimpe fort et vite, comme le réacteur d’une centrale nucléaire. L’explosion est proche, inévitable, et j’en suis ravi, toujours enclin à tout lui céder lorsqu’il me prend – littéralement – par des sentiments qui s’expriment on ne peut mieux de cette manière. L’enchainement est parfait, car naturel. Il coule de source, nous permet d’apprécier les retrouvailles de nos pulpeuses qui se dominent à nouveau, une bataille dont je me délecte avec appétit, incapable de me concentrer sur autre chose que ce cœur qui vibre à toute puissance contre ma cage thoracique. Je ne connais aucune sensation plus grisante que celle-ci. Je ne l’échangerais pour rien au monde, jamais plus vivant qu’entre ses bras très frêles, certes, et pourtant bien plus sécurisants que tous les kilos de muscles réunis. Ç’en est trop, même pour moi, et je décide d’inverser la tendance au sens figuré, de bouleverser le statu quo pour pouvoir me rapprocher de lui, d’un objectif qui se dessine un peu plus clairement dans mon esprit et devrait me permettre de nous lier à nouveau physiquement. Son rire marque un énième tournant, au beau milieu d’un tourbillon d’émotions qu’il est difficile de décrire correctement. Ma seule certitude, c’est que je m’arrête quelques secondes sans m’en rendre compte, tellement heureux de le voir embrasser cette légèreté, comparable à une naïve innocence, que j’en ai des larmes qui me montent aux yeux sans pour autant traverser le cadre privé de mes paupières. Juste ce qu’il faut pour faire pétiller mes prunelles, rivées sur lui. J’aimerais parfois qu’ils soient là, tous les autres, pour pouvoir témoigner d’une telle beauté, de ce véritable morceau de lui qu’il ne laisse pas assez s’exprimer, bien plus à l’aise dans l’antipathie que dans tout ce qu’il m’offre pourtant avec un naturel désarmant. C’est quelque chose qui me convient malgré tout, égoïstement et très honteusement. J’adore cela, le sentir heureux. Une sensation dangereuse car trop addictive, une souffrance prophétique si je venais à ne plus du tout parvenir à lui inspirer cette émotion. Que deviendrais-je, s’il n’était plus heureux en ma compagnie ? « Je suis désolé, mais je ferais un excellent râleur si je décidais d’y mettre du mien ! » Comme pour attester de cela, je croise les bras autour de mes pecs et tente une moue boudeuse qui me donne très envie de rigoler. La preuve qui lui manquait, bien évidemment, mais qui devrait surtout lui confirmer qu’il est bien meilleur à cela qu’à moi. Comment voulez-vous que je reste dans le personnage alors qu’il utilise mon ruban pour immortaliser un cadeau qui fait bondir ma libido un peu plus encore. La vision est somptueuse, profondément érotique… « Tu es vraiment très sexy. » Je constate, le souffle court. « Je pourrais nous filmer, là, maintenant… Ne pas en perdre une seule miette pour avoir de quoi rêver à nos retrouvailles lorsque tu t’en iras pour mettre en boite ton film ! » Je secoue la tête négativement, hilare, faussement exaspéré et sérieux à la fois dans la contradiction que je marque lorsqu’il se targue d’être le seul garçon à avoir partagé quelque chose à mes côtés. L’ombre douce et amère de James continue pourtant à flotter par ici, comme un fantôme qui se fait parfois entendre en un rappel très désagréable des erreurs que l’on peut commettre au nom de sentiments plus ou moins romantiques. « Chut ! » Je le réduis au silence d’un doigt plaqué sur ses lèvres et me concentre sur une déclaration qui me vient sans cette timidité qui entoure habituellement mes sentiments. Je m’exprime sans faillir, fragile, certes, et pourtant très consistant. Tu l’aimes sans aucun doute, sans contrefaçon. Tu ne peux pas en être plus certain qu’actuellement. « Passons maintenant à ton ultime cadeau ! » Et cette fois, il a plutôt intérêt de s’accrocher aux barreaux de mon lit, il pourrait en avoir besoin.



« Ah bon ? Tu ne veux pas m’avoir comme gendre ? Je suis pourtant persuadé que je ferais un excellent beau-frère ! Tu m’adoreras ! » Je le provoque, habile à ce petit jeu, alors qu’il me parait on ne peut plus évident que personne d’autre ne m’intéresse à part lui. Même si nous venions à nous séparer pour une raison complètement improbable à ce jour, je ne referais aucunement ma vie dans son sillage. Comment serais-je censé tourner la page s’il était toujours là dans mon paysage, à me guetter et à me rappeler à quel point j’ai tout perdu en le laissant m’échapper ? J’ai survécu une fois, tant bien que mal, à notre séparation, j’ai du mal à croire que je pourrais maintenir un tel climat de proximité une seconde fois, pas maintenant que tout le monde sait à notre sujet. La séparation sera bien trop officielle pour qu’il soit possible de sauver les apparences en espérant que la douleur ne soit plus qu’un mauvais souvenir au fil du temps. La cicatrisation est toujours plus difficile la deuxième fois, surtout quand l’ouverture est effectuée au même endroit, sur une seule et unique zone. « Tous les cinq ! » Je reconfirme derrière lui, en un hochement de tête. Je ne faisais allusion qu’à sa sœur, parce qu’il faut bien commencer quelque part, mais je me sens suffisamment courageux – ou stupide – pour survivre à une rencontre fraternelle directement au sommet. « Tu cuisineras et moi je materais essentiellement. Pour être sûr que tous les produits soient préparés de la bonne manière, pour répondre à vos traditions ! » J’ai encore un sacré paquet de pain sur la planche, avant de prétendre à préparer des repas complets qui répondent aux habitudes alimentaires de Yaël. M’exercer sur sa famille ne serait pas une excellente idée, loin de là. Je ne connais pas pire idée, à vrai dire. De quoi me griller dès le premier soir. « Mouais… Je continuerais à m’en faire jusqu’au bout… Un excès de confiance et c’est la catastrophe assurée ! » Je m’indique, plus à moi-même qu’à Yaël, pour me rappeler à quel point il est important de faire les choses dans un certain ordre, sans trop se prendre au jeu de la familiarité. Elle est toujours de façade, dans les premiers temps. « Et je ne suis pas la plus belle des personnes… Tu dis n’importe quoi ! » Je le reprends, moqueur, en lui tirant la langue. Il se rapproche nettement plus de cela que moi, pour être tout à fait honnête. Les projets d’avenir se dessinent autour d’un premier désaccord mineur à mes yeux, rien de véritablement handicapant. Je souris et reprends, mutin. « Go big, or go home babe ! Une belle maison qui nous permettra de voir passer les années sans avoir besoin de déménager quand on aura une grande famille, avec plein d’animaux de compagnie, une piscine, un jardin tellement grand que je serais obligé de renoncer à l’entretenir tout seul malgré tout ce que mon égo voudra bien me faire entendre pour ne pas faire appel à un jardinier… J’ai envie d’un endroit durable, et un appartement… Ça ne dure qu’un temps ! » Parce qu’il y a toujours des projets supplémentaires, cet accroissement naturel de la famille qui exprime de la plus viscérale des manières l’amour, la sécurité et la durabilité. J’ai envie d’enfanter, qu’il s’agisse d’une véritable filiation biologique, chirurgicalement assistée ou d’adoption. « Ça me va, deal ! » J’accepte, d’une main tendue pour sceller le contrat que nous venons de créer tous les deux autour de nos recherches à venir, la promesse d’avancer ensemble et de garder l’esprit très ouvert à ce que proposera l’autre, peu importe qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement. Un morceau de pancake vient clôturer le sujet et je m’extasie face à une telle excellence. Je force le trait, même deux fois plutôt qu’une, pas piqué le moins du monde par sa réaction et les doutes qu’il formule avec cette petite voix qui me fait craquer. « Goûtes, et tu verras ! » Je persiste, surpris de le voir se redresser pour en capturer un morceau et m’embrasser avec. La sensation est inédite, mais extrêmement appréciable malgré tout. « EH, j’ai vu ton petit tour, vilain ! Tu auras du pancake, et tu l’avaleras ! » Pour preuve ? Je croque dans un morceau et l’embrasse à nouveau, quitte à lui rendre la monnaie de sa pièce.




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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Dim 27 Juin - 21:33
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[ santa tell me ]
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Ses doigts se perdant sur la peau de ce visage plus mature et viril qu’à une époque lointaine. Fini les rondeurs d’un poids étouffant. Pourtant, ces joues rondes lui manquent parfois, mais là n’était pas la question. Il l’observait du bout des doigts, imprégnant chaque détail sous sa pulpe dans un silence qui se faisait trahir par ce sourire qui naissait sagement sur ses lèvres. « Non en effet, ça ne change rien. » Puisqu’il le taquinait avant toute chose, loin d’être sérieux, mais simplement amusé de le voir désireux de faire ces clichés. Ses doigts continuaient de tracer leur chemin, laissant sa rétine imprégner ce moment dans son esprit. Yaël n’avait pas besoin de cliché, son ordinateur regorgeait d’images, de vidéo montrant le pompier. Il ne lui avait jamais dit, mais il avait été son obsession. Les moments pris à la dérobé des regards, l’instant où leur regard se croisait alors qu’ils auraient dû filmer les autres. Chaque instant, le bouclé les gardait précieusement, se sachant incapable de les supprimer. Ce Noël viendrait rejoindre tous les autres, sans preuve matériel, mais dans ses souvenirs. Il ne l’oublierait pas, jamais. Et si ses doigts en viennent à quitter ses joues pour se faufiler vers son cou, il s’approchait de lui, livrant ses lèvres à un désir bien plus alléchant. Celui d’éveiller son homme, le poussant à basculer dans un retranchement qui ne serait pas là pour leur déplaire. Baiser affriolant contre son lobe, il laissait entendre sa voix sulfureuse. « Alors je te ferai te rappeler. » Il continuait, amplifiant son désir de le sentir prendre un malin plaisir sous ses caresses conquérantes. Dominant contre cette chair douce et croquante sous ses dents aventureuses, mais aussi avec son bassin qu’il commençait doucement à onduler contre lui. Dire qu’il ne cherchait pas à l’amener vers le point de non-retour serait mentir. Il avait besoin de le sentir, de se lier à lui dans ce qui leur donnerait la chance de ne faire qu’un une fois encore. Deux cœurs réunis, deux corps emboités, impossible à défaire, impossible à séparer. Il l’entendait souffler ce mot, cette appellation symbolique, ce pouvoir qui lui était octroyé et qui lui donnait tous les droits sur sa personne. Il était à lui. À personne d’autre. Le temps révolu d’être partagé, oubliant la crainte de se faire surprendre, elle le libérait d’un poids. Tout cela le rendait plus léger, plus présent et à même de tout lui offrir. Même ce rire qui filait entre ses lèvres sans retenus. Ses orbes se posant sur celui qui lui avait ravi son cœur, détectant un éclat brillant dans ses prunelles. Son sourire s’élargissait et nul besoin de mot pour qu’il comprenne son bonheur et le ressente. Ses doigts venaient caresser son menton, avant que ses lèvres ne viennent se poser sur la pointe. Comblé de cette amour qu’il partageait, Yaël ne voyait plus rien à redire. Il avait besoin de cela pour changer, laisser tomber son armure pour briller en sa présence. Des qualités qu’il ne montrait qu’à son amant, mais qui un jour viendrait peut-être à transparaître devant les autres. Rôle inversé. Le bouclé l’observait croiser ses bras sur son torse, affirmant pouvoir le surpasser en tant que râleur. Loin d’être impressionné, Yaël se redressait sur ses mains, approchant ses lèvres de cet avant-bras entrecroisé. « Ça ne te vas pas du tout. » soufflait-il sourire au coin de ses lèvres fines, qu’il posait sur cette peau en un baiser délicat. Une caresser éphémère avant qu’il ne change de direction. Passant de petit plaisir à cadeau subjectif et invitant. « Ce n’est pas pour tout de suite. Je ne partirai pas avant des mois. D’ici là combien de sextape voudras-tu faire ? » Taquin, il se laissait retomber sur le matelas, taisant ses mots et regard son Apollon lui offrir la plus décadente des visions.



« Peut-être, mais être amoureux de son beau-frère, ça le ferait pas trop. Tu ne crois pas ? » Comment pourrait-il penser voir son ex au bras de sa sœur ? Il ne pourrait pas, puisqu’il ferait tout pour le ravoir. Qu’il le regarde à nouveau comme aujourd’hui. Une séparation lui suffisait, jamais plus il ne voudrait revivre cette peine qu’il avait ressenti à cette époque. Il ne pouvait pas. Certes, il ne connaissait pas l’avenir, peut-être que leur chemin n’était pas destiné à continuer éternellement. Seulement, il se battrait sans vergogne pour le garder, pour continuer cet amour. « Toi me laisser cuisiner, tu es certain que tu pourrais rester impassible à mettre ton grain de sel ? » le taquinait-il, mais cette simple idée de le savoir vouloir les rencontrer et se donner la peine d’apprendre le comblait d’une joie indescriptible. Peut-être était-ce un excès de zèle, mais il ne doutait pas que sa famille – ses frères et sa sœur – l’aimerait comme lui avait su en tomber amoureux. Il remarquait son inquiétude, ses doutes et il prenait son visage entre ses mains. « Tu as sans doute raison, mais j’ai confiance en toi. Heath, tu sais comment briser ce cœur de glace que j’ai. Regarde, avec toi je peux rire avec sincérité. Je suis complet avec toi. » Il se taisait un instant, laissant le brun se moquer. « Pour moi tu es magnifique. Physiquement. Intérieurement. Pour moi, tu es parfait. Parfait pour moi. N’oublie jamais cela. Ensemble nous ne faisons qu’un. Je suis les plus belles parties de toi et toi les miennes. » Il caressait sa peau, venant appuyer son front contre le sien. « Tu es ma moitié Romeo, ce cœur ne bat qu’en ta compagnie et ça, ma famille n’y peut rien. » Il lui souriait. Amenant les idées d’un avenir commun au-delà de ce manoir avec leurs amis d’enfance. Ils avaient besoin de leur cocon qui ne se résumait pas à eux. « Une grande famille ? Des animaux de compagnie ? » Yaël n’avait jamais vraiment pris le temps d’imaginer son avenir aussi loin, aussi détaillé. Il pensait à sa carrière, ni plus ni moins. Mais il réalisait à cet instant que des conversations plus sérieuses devraient être faite, voir ce qu’était leur attente pour cet avenir. « Tant que tu tombe pas sous le charme du jardinier. » plaisantait-il. Il esquivait cette conversation sur la famille, il ne désirait pas s’approcher d’un terrain miné. Le temps à la réflexion, il devait le prendre avant de parler de tout cela. Ils avaient encore le temps. Il le pensait. Il prenait sa main pour sceller ce pacte, de voir ce qu’ils pourraient trouver en garder des ouvertures. Dans la simplicité de ce matin à deux, Yaël tentait d’esquiver ce pancake, mais trop lent, Heath le mettait au pied du mur. Une ruse qui le fit rigoler, avant que son homme se venge. Un baiser et il sentait le pancake franchir ses lèvres. Mais il n’en restait pas là. Lèvres bien imprégnées contre ses siennes, il le poussait pour le coucher sur le dos, montant à califourchon sur lui. Ses mains posées sur ses épaules il redressait la tête, laissant ses bouclettes retomber autour de son visage. « Bon c’est pas mauvais. » disait-il après avoir avalé ce becqué. « Mais je préfère de loin le goût que ça donne à tes lèvres. » avouait-il en plongeant une nouvelle fois vers lui.


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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Ven 23 Juil - 2:33
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w/ @Heath Romeo
« Ah, voilà ! Tu vois quand tu veux ! » Je babille, mutin, sans manquer l’opportunité de lui tirer la langue par simple appétit pour une provocation qui le fait souvent réagir au quart de tour, lui aussi. Tout est tellement naturel entre nous qu’on pourrait croire que notre couple date de plusieurs dizaines d’années. On aurait même du mal à croire que nous n’avons pas encore passé le cap du premier mois et pourtant quelque part, c’est un peu comme s’il ne m’avait jamais quitté depuis nos années lycées… Comme s’il était resté mon petit-ami pendant cette longue période d’entre-deux sans en avoir conscience, là, bien sagement lové contre mon myocarde, à l’animer de palpitations, de rêves, de fantasmes et d’illusions sans pour autant l’empêcher de se croire suffisamment libre pour continuer à s’épanouir au contact des autres. Les raisons derrière un tel handicap relationnel prennent tout leur sens à présent. Comment aurais-je pu sincèrement tomber amoureux de quelqu’un d’autre alors que mon cœur était déjà accaparé de la sorte ? Combien de temps aurais-je continué à souffrir sans même le réaliser s’il n’était pas resté par solidarité avec moi plutôt que de se rendre à cette soirée Halloween en compagnie de notre bande d’amis ? Toute ma vie, peut-être bien qu’une vie entière se serait écoulée et que j’aurais réalisé tout cela sur mon lit de mort, à quelques minutes d’un ultime souffle. Il m’accordera cette chance un jour, tôt ou tard, d’immortaliser nos moments intimes d’une séance photo dérobée, de clichés qui ne quitteront jamais la bulle protectrice de notre cocon. Lui, son corps et toute l’ampleur d’une perfection incomparable qui ne porte aucun autre prénom que le sien. D’une tendresse romantique à une sensualité érotique, il n’y a qu’un pas que nous ne manquons jamais de franchir avec une expertise particulièrement poussée. Je me mordille la lèvre inférieure, passablement éveillé par le sort délicieusement diabolique qu’il réserve au lobe de mon oreille. Vilain tentateur qui sait exactement ce qui s’apprête à lui tomber dessus. « Et comment tu t’y prendrais hein ? Tu peux me donner un aperçu ? » J’incarne l’innocence à la perfection, capable de prétendre tout ignorer des desseins qu’il pourrait avoir en tête, de ses habitudes parfaitement orgasmiques, au point où tout m’échappe trop rapidement et me donne envie de lui hurler mon désir. Ses mordillements ouvrent les hostilités, laissent présager d’autres caresses qui me font totalement perdre le nord et songer à lui bondir dessus immédiatement. Je laisse pourtant durer le plaisir, plus excité encore par son comportement, par cette liberté de ton qu’il sait toujours trouver pour me faire grimper aux rideaux sans forcément avoir besoin de passer par les tactiques traditionnelles et frontales. Mes muscles se relâchent, parfaitement détendus, et me donnent envie de me laisser retomber sur lui, sur ce corps déjà partiellement moulé au mien. Je pourrais le dévorer tout cru, comme un ours affamé de chaleur. Je n’en fais rien et croise les bras autour de ma poitrine, prêt à singer ce comportement antipathique qu’il aime souvent arborer en société. Ils refusent tous de me croire quand je leur explique que le Yaël qu’ils connaissent n’a rien à voir avec celui dont je suis tombé amoureux et je comprends pourquoi. Le jour et la nuit, systématiquement, même si je note les subtils changements qui s’opèrent lorsque nous sommes à présent tous les deux face à nos proches ou d’autres inconnus. Un pas devant l’autre, une marche après l’autre jusqu’à atteindre le sommet et cette libération qui, j’en suis persuadé, lui fait au moins autant de bien qu’à moi. Ses baisers contre mes avant-bras me font frissonner, ne parlons même pas de ce cœur tout flagada qui palpite comme un malade sous ma cage thoracique. « Tu parles, t’es juste jaloux parce que je fais cela au moins aussi bien que toi ! Tu devrais peut-être considérer m’engager sur ton prochain long-métrage… J’ferais un anti-héros convaincant… Ou un méchant… » Je n’aurais pas l’endurance pour cela, trop pudique dès que les caméras se braquent sur moi. Il n’y a qu’en compagnie de Carmen lorsque nous dansons pour nos chaines TikTok que je parviens à laisser le naturel reprendre le dessus. Je me paralyse sous les flashs, lorsque je sais qu’ils attendent quelque chose de moi… Quelque chose que je n’arrive soudainement plus à leur donner. Son départ prochain m’angoisse un peu, même si je n’en dis rien. Je m’attèle à ne rien laisser paraitre par fierté, certes, mais surtout pour qu’il puisse continuer à exprimer son art sans avoir à se sentir coupable de me laisser ici pendant autant de temps. Par amour pour lui, rien n’est trop difficile ou impossible, je prendrais mon mal en patience à la maison, prêt à l’accueillir en Roi. D’ici là… « Une petite centaine, avec des postures différentes, des mises en situation diverses et variées… Tu devras donner de ta personne… Beaucoup ! Tu crois avoir ce qu’il faut pour tenir le rythme ? » Je continue à le taquiner, jamais à court d’idées pour titiller une sensibilité qu’il sait exprimer au lit, lorsque nos corps se retrouvent et s’épousent en un océan d’étreintes brûlantes et particulièrement langoureuses.



« Je confirme qu’être amoureux de son beau-frère ça ferait mauvais genre… En plus d’être terriblement cliché ! » Je me mordille la lèvre, espiègle, et caresse son épiderme du bout des doigts, retrace un parcours invisible, dont moi seul possède les secrets. « Es-tu à nouveau en train de me sous-estimer ? Bien-sûr que je résisterais à la tentation de venir glisser mon grain de sel à tes préparations. Je te laisserais faire de A à Z, sans rien dire. » Je confirme en hochant la tête, persuadé d’être capable d’une telle chose. Je prendrais bien trop de plaisir à l’admirer, de toute manière. Je n’aurais pas besoin de davantage d’action ou d’investissement. Je ne me risquerais surtout pas à tout faire capoter le soir d’une première rencontre capitale avec les membres de sa fratrie. Je suis peut-être inconscient, impulsivité professionnelle oblige, mais pas suffisamment fou au point de prendre de tels risques. « Ne crois pas être le seul concerné… Si j’ai l’air aussi confiant et complet c’est parce que tu es là, à mes côtés. » Deux pièces d’une même œuvre d’art qui ne veut rien dire lorsque l’assemblage n’est pas parfaitement assuré. Un potentiel qui ne se révèle que dans cet enchevêtrement particulier et pas autrement. Nous ne pouvons être aliénés, c’est en tout cas ce que je crois de tout mon cœur. « Tu as plutôt intérêt à avoir raison… Je t’arracherais le cœur, si tu oses renoncer à moi du jour au lendemain. » Fidèle à moi-même, à l’aise lorsqu’une dose d’humour peut être injectée à tout cela pour ne surtout pas révéler trop profondément mes sentiments et mes appréhensions. « Une grande famille et plein d’animaux de compagnie, yes sir ! » Je confirme en un vif hochement de tête, comme s’il s’agissait d’une évidence. J’étouffe un rictus contre son épaule lorsqu’il mentionne un jardinier qui pourrait me faire sombrer. « Je ne suis pas Eva Longoria, babe… En revanche, comment dire non à Jesse Metcalfe à l’époque Desperate Housewives ? » Je me mordille la lèvre, complice, prêt à recevoir un coup de poing, un murmure ou n’importe quelle autre réaction de ce genre pour signifier son mécontentement. Un pancake partagé contre ses lèvres, une satisfaction reconnue à demi-mot et un changement de position qui lui permet de dominer la scène et de m’offrir tout le loisir de l’admirer, de caresser sa peau et d’en dévorer les traits. « Tu devrais à nouveau croquer dans un pancake, dans ce cas… Mes lèvres n’ont déjà plus le goût de ce dernier. » Appel à la sulfure, comme s’il était impossible de réagir autrement en sa compagnie. Il m’attire, c’est chimique, sentimental et physique. Le trio infernal.          



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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Ven 23 Juil - 17:51
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w/ @Heath Romeo


Des plaisanteries à peine dissimulées qui étiraient les lèvres du jeune juif, avide de cette rencontre entre sa fratrie et son copain. Il en connaissait mieux que quiconque les enjeux, mais aussi ce que ça évoquerait d’en arriver là. Présenter un jeune homme, affirmer être amoureux et prêt à faire sa vie avec une seule et unique personne. Des choses que Yaël n’avait pas envisagées et ne pensait même pas mériter. Puis il était revenu dans sa vie, comme si leur couple n’avait jamais pris fin et redevenant ce garçon fidèle, amouracher du plus parfait des hommes. Certain devait l’envier d’avoir réussi où d’autres n’avaient eut droit qu’à des ébats passagers ou des relations de courte durée. « Je sais, je l’ai dit nous ne formons qu’un. » Les deux côtés d’une médaille, la lune et le soleil, le chaud et le froid, le feu et la glace, tout ça coexistait en harmonie. Un besoin de l’un comme de l’autre pour survivre, tout comme eux. Une chose qui ne changerait pas, tout du moins pas pour le moment. Plongeant son regard dans le sien, il ne répondait que par un sourire. Sachant pertinemment que son cœur, lui appartenait déjà et donc ne pouvait être arraché, mais il n’en disait rien. Laissant le silence apporter réponse à cela. Des plans d’avenir. Un avenir que Yaël n’avait jamais pris le temps de réfléchir et qui dressait au-dessus de sa tête un drapeau sombre. Il préférait éviter le sujet, ne pas entrer dans les détails, pas maintenant, pas à cet instant, mais un jour. Lointain. Il entrait dans sa plaisanterie, mais ses mots laissaient le bouclé pris au dépourvu. « Ah parce que tu lui dirais oui ? » disait-il en venant lui mordre l’épaule, peut enclin à le voir exposer ses fantasmes d’acteurs ainsi. « Que je t’y prenne. » continuait-il en passant cette morsure d’un baiser délicat. Comme celui qui le trahissait un instant plus tard, mais la capitulation arrivait, goûtant ce pancake préparé par ses soins. Seulement, il n’était pas aussi désirable que lui et ça, Yaël ne manquait pas de le préciser. Plongeant sur lui, se dressant sur ce corps étendu, il affichait un sourire. « Je n’ai pas besoin de ce goût pour apprécier tes lèvres. » Un nouveau baiser qui annonçait un Noël chaud. Une journée où leur amour pouvait être libre de s’exprimer sans personne pour les déranger. Un moment, que Yaël ne pourrait oublier et qui le rendrait impatient pour le prochain Noël.
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))    Sam 24 Juil - 5:26
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(#) Re: santa tell me ((yeath x'mas))   
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