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 (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)

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i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so..
Le son de l’eau de la piscine qui bouge sous le vent léger, ses yeux fixés sur des lignes et des lignes, la même depuis une vingtaine de minutes, un soupir qui s’échappe de ses lèvres. Pression P, Volume V, Température T, en les réunissant on obtient P,2V,T,2n,2m,2N. C’est presque son cerveau, qui fait mal, à Riley, il fronce les sourcils. Comment ?Maths de merde..” Il y a presque un grognement qui lui échappe quand il pose le bouquin au bout du transat, au bord de la piscine, et qu’il attrape son cahier pour essayer de la comprendre, sa formule. Une fois. Qu’il gribouille par dessus. Deux fois. Blacked out. Trois fois, gommée. Quatrième.. Et il lève les yeux au ciel. “Gna, gna, gna, it’s not rocket science, putain imagine, c’est..” Un grognement de frustration et il balance son crayon à l’autre bout, au fond de la piscine. Sciences de merde, ça devrait pas être si compliqué, s’il pouvait réfléchir pour une fois.

Il souffle, Riley, alors qu’il pousse les bouquins avec son pied sur le sol à côté du transat, qu’il s’allonge, même sur son chapeau en raphia, sans aucun problème, et qu’il essaye de s’aérer un peu, sous sa chemise bleue marine rayée de blanc. Puis d’un toucher de son doigt sur son téléphone, une musique recommence à sortir des haut parleurs, installés par son père, autour de l’espace piscine. And you’re singing a song, thinking this is the life. Et il replace ses lunettes de soleil sur son nez, referme les yeux et souffle un coup. C’est pas grave, il reprendra ses révisions dans cinq minutes.

Puis, les bruits de pas. Il ouvre pas les yeux, il s’en fou. “J’ai balancé mon crayon au fond d’ta piscine, faudra aller le récupérer, moi j’y plonge pas.” Qu’il dit, pensant que c’est que papa. Mais ça fait beaucoup de pas, que pour papa. Alors après une seconde, il se redresse à peine, rouvre les yeux et à la vision des cousins, fait glisser ses lunettes du haut de son nez. “..Sérieusement ?” Une pause.

Écoute Riley-..” c’est Arthur qui essaye, une seconde.

..Tu m’pètes les couilles.” Il soupire.

..Le vocabulaire ?

Il lève les yeux en se rallongeant et en secouant la tête, l’étudiant. Même pas il allait y faire attention, aux paysans, aux cousins qui cherchaient qu’à avoir de la sympathie mal placée, à ceux qui méritaient pas vraiment de lui adresser la parole. “Dans l’dictionnaire, dégage-moi ça.” Pause. “T’iras le chercher tout seul ton crayon, du con.” Et il y a la bouche de Riley qui s’ouvre en grand, comme si c’était la pire chose qu’on lui ai dit, d’un air choqué, pour de vrai. “Pardon ?” Et l’avocat hausse les épaules, alors qu’il fait quelques pas en arrière.

..Et tu comptes les foutre où tout ceux-là exactement ?

T’as un lit double et un clic-clac. Y sont trois, fait l’calcul, ingénieur.” Merci papa.

Et il trace sa route pour se barrer, vite, et Riley y sait exactement pourquoi. “ILS VONT PAS-..” Pause. “Espèce de—… Parce que j’me tape pas assez de boulets à l’université ?!” Il l’entend, la cousine qui murmure un sympa, et un regard noir qui l’atteind, elle, avant qu’il lève les yeux au ciel avec un soupir qui aurait pu avoir l’air d’être la sortie entière de son âme quittant son corps. “Franchement, ta gueule.

Alors il se rassoit, Riley, il enlève les lunettes et les pose presque aggressivement sur le sol, à côté, en récupérant son cahier. Claquement de doigts vers les cousins. “Eh, boulet numéro un, va m’chercher mon crayon. Au fond de la piscine. Te nois pas, j’ai pas l’temps de m’occuper de t’enterrer après.” Sans même lever ses yeux de la même phrase, encore. Parce que les maths d’ingénieur, c’est tellement plus intéressant et tellement moins chiant que ses cousins, au fond.

@Andy Chevallier
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(#) (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Mer 7 Juil - 2:13
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Vous allez voir ! On va passer de bonnes vacances ! C’peux pas être si terrible que ça !

C’est ce que tu as tenu comme discours à Adriana et Louis en arrivant, histoire de les rassurer. T’es sans doute le seul à être enjoué à cette idée. Mouais. Moyennement convaincu les autres. Tu te répètes, ça peut pas être pire que l’université, et surtout pas pire que le travail. Entourés de richous toutes les soirées, prendre des vacances te fera du bien. Mais où est-ce que tu prends tes vacances ? Eh bah du côté “richous as fuck” de la famille. On a vu mieux comme cadre. Pourquoi vous vous plaignez !? Grand jardin. Piscine. Barbecue. Écran télé plus grand qu’un pan de mur de ton appart. Y’a vraiment pas de quoi se plaindre. Votre oncle vous accueille. Le sourire faux aux lèvres. Sourire faux que tu ne supportes pas et que tu sais très bien - pas du tout - imiter juste pour te foutre avec délicatesse de la tronche d’Arthur, votre oncle avocat à qui la vie réussi. Bah oui. Et cela vous tombe dessus, comme la lame de la guillotine sur la nuque de Robespierre.

On ne veut pas de vous. Pas de toi. D’Adriana. Pas de Louis. Cela se voit. Cela se sent. Au début, vous vous êtes tous dit que ce serait une bonne idée. Une bonne idée ? Tous ? Non. En vérité tu es sans doute le seul à savoir trouver que cela pourrait être une super idée que de revenir voir Riley, Arthur et Maria pour les vacances. Quel accueil. Quelle politesse. Arthur compte vous foutre où ? Bah devines, crétin. L’avocat ne vous veux pas dans ses pattes. Alors vous êtes foutus dans les pattes de son fils. Tel père, tel fils. Mais tu crois quand même qu’il peut être gentil au fond. Bien au fond. Troisième porte à droite, quatrième sous-sol, cinquième cadenas, troisième code. Un soupir traverse tes lèvres lorsque ton regard se pose sur l’imposante pile de livres de ton cousin. C’est pas possible. Prendre du temps pour lui. Il ne sait vraisemblablement pas faire. Se reposer non plus. Ce gamin a dut naître avant l’invention du fun. Ennuyant le cousin Mathias. Tu croises les bras, les épaules lâches. Posture détendue. Puis le dialogue de sourd avec ton oncle. Cela te saoulerait presque déjà si tu n’étais pas en vacances et si tu n’étais pas là dans l’optique de te détendre, de passer du bon temps avec toute la clique. Et cela continue. Boulets. Boulets. Vous êtes des boulets pour l’aîné des enfants de la famille. C’est lui le boulet. Il te veut quoi l’ingénieur ? Que tu ailles dans l’eau ? Mauvaise idée te hurles ta conscience. Surtout après l'appellation. Boulet n°1. Comme si tu n’avais pas de prénom. Comme si tu étais à son service. Le chihuahua te demande d’aller chercher son crayon au fond de l’eau. Sans te noyer. Il sait que tu ne sais pas nager ? Que tu as peur de te noyer ? Bah oui. L’abrutis était là quand tu t’es mangé le rebord de la piscine comme un demeuré. Un regard entendu échangé avec les deux autres, ils te font bien comprendre que un, c’était une très mauvaise idée d’accepter l’invitation d’Arthur, que deux, c’est toi le boulet n°1 parce que tu es le premier né de toute ce petit monde, que trois, aucun des deux ne va te sauver le cul.

Si la princesse insiste.

Et tu te mets à rire. A rire d’un rire enjoué, enfantin presque. Cristallin. De bonnes vacances. Y’a pas de raisons que cela se passe mal voyons. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Se noyer. En dehors de ça, y’a que des bons côtés ! Se faire ignorer. Se faire insulter à longueur de journée. Oui, bon, on a compris. Vous allez regretter - ou pas - vos vacances en la compagnie de Riley. Tu te rapproches de l’eau, remontant tes manches de veste de survêtement - malgré la chaleur, tu ne peux pas t’en passer de cette veste - virant tes chaussures. Ton reflet dans l’eau, il oscille que très légèrement. Et l’angoisse monte. Si tu sautes, tu vas finir au fond de l’eau. T’as pas pied. Tu ne sais pas nager. Tu te recules. Un regard lancé à Riley qui ne vous regarde même pas. Embrouille à plein nez. Tu ne vas pas aller dans l’eau. C’est mort de harchi mort. Tu ramasses une des pierres, les galets que l’on met souvent en décoration proche des piscines, pour le lancer dans l’eau. Plouf. Caillou Andy à l’eau. Rire étouffé de la part de ton frangin. Tu ne fais pas de bruit. T’es en chaussettes. Tu récupères un de tes propres crayons, un de tes crayons de dessins. Tu vas t’en vouloir de lui laisser un morceau de ton matériel mon chou, tu le sais. Mais eh, c’est pour Riley. Et surtout pour éviter de finir tremper de la tête aux pieds. Tu contournes le transat sur lequel le cachalot - ou l’esturgeon, parce que caviar, richesse, tout ça - est affalé sur ses livres et ses maths très compliqués pour un cerveau artistique et hyperactif comme le tiens. Dans le dos du transat, tu viens pendre le crayon dans le champ de vision de Riley.

Et voilà mon chat ! Ton crayon, tout sec en plus.

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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Jeu 8 Juil - 20:22
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i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so..
Au fond, Riley n’avait jamais vraiment aimé la présence des cousins. L’habitude d’être seul, enfant unique, dès son plus jeune âge, les cousins qui semblent trop loin, tout le temps, et seul le babysitter avec qui il avait réussi à connecter, de dix ans son aîné. Les plus jeunes, enfants de son âge, étaient toujours trop bruyants, à crier, à jouer, à parler un peu trop pour son goût. Alors il les avait toujours repoussé. En grandissant seul, en s’élevant seul après son départ, sans personne qui ne comprenait vraiment, il avait préféré ne plus s’attacher, ne plus laisser qui que ce soit s’approcher de trop près. Parce que les gens, ils le déçoivent toujours.

Ce n’était pas de la haine, pas de l’indifférence, juste l’envie de ne pas en avoir quelque chose à foutre, parce que s’en faire pour quelqu’un, de s’il était présent ou non, ça finissait toujours par faire mal. Alors que ses études, elles, l’aidaient plus à déconnecter, à s’échapper, à les ignorer.

Le surnom, princesse, il l’ignore complètement, Riley, ses yeux complètement perdus dans les lignes de son cahier, les calculs et explications qui lui donnent mal au crâne, qui l’empêchent vraiment de réfléchir, qui font mal au coeur. T’es pas assez intelligent pour ça, qu’elle dit, la voix odieuse dans sa tête, qu’il tente de chasser tout les jours, tout le temps. Parce que c’était constant, pas assez bien pour tout et n’importe quoi.

Et puis le crayon qui apparaît, Riley qui l’attrape sans un mot, sans un merci, juste un hochement de tête pour faire comme si. Ses dents qui mordent ses doigts un peu, de concentration, une ou deux lignes écrites en brouillon sur son cahier, raturé encore une fois.. Et tiens, c’est étrange, il écrit d’une façon plus grasse, celui-là, de crayon ? Sûrement la faute de l’eau. Secoue la tête pour se le sortir de la tête, quand il gribouille d’autres formules sur son cahier.

Et merci, c’est pour les chiens ?” Adriana, qui ouvre sa gueule avec l’accent mexicain. Du coup, Riley, il lève les yeux vers eux, un silence pendant un moment alors qu’il fronce les sourcils.

Tu vas dormir chez moi. J’ai pas d’remerciement à donner, c’est plutôt l’inverse.” Il secoue la tête quand elle hausse un sourcil, que ça a l’air de l’agacer suffisamment pour qu’elle l’ignore, même elle, et qu’elle se décide de commencer à se barrer. Tant mieux, il a mieux à faire.

On est d’ta famille. Y’a pas de remerciement à faire.

De ma famille..?” Une autre pause, et il les scanne, les trois, un par un, de haut en bas, avant qu’il pouffe, sans se retenir. “..Pas habillé comme ça, Sanchez, essaye encore.” Et un signe de la main pour qu’elle se casse, le crayon en main.

C’est quand il attire son attention, le crayon, qu’il l’observe pendant un moment ou deux, avant de poser son regard sur Andy pendant un instant. C’est pas le sien. Il le sait, il sait qu’Andy sait, mais d’une certaine façon, ça le touche presque. Le seul hic, c’est qu’il ne sait pas comment le faire comprendre. Alors ça doit lui prendre quelques secondes avant qu’il ne le pose sur le cahier. “M’appelle pas mon chat.” Il finit par dire, mais d’une façon un peu moins aggressive, sa façon à lui de le remercier.

Silence, pendant une seconde encore, et puis son regard retombe sur le cousin qui a bien voulu l’aider. “Tu veux une bière ?” Qu’il demande, en sortant une – sans alcool, mesdames et messieurs – de la glacière à ses côtés, sa main qui la tend vers Andy. Tiens, pour une fois, tu vas reconnaître qu’il existe quand il est à côté ?

Oui.
Pour une fois.


Même qu’il en ferme son cahier, qu’il le pose sur le côté, parce qu’il a besoin d’une pause, il dira. Parce qu’il en a marre de rien comprendre, surtout.

@Andy Chevallier
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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Lun 12 Juil - 1:16
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Il se saisit du crayon que tu abandonnes à son sort. De toute manière, si ce n’est pas lui qui mâchouille le crayon, c’est toi qui allait le faire. Vous avez cette espèce de mauvaise habitude en commun, toujours à mâchouiller vos crayons, stylos, depuis tout petit. Toi par manque de concentration et lui, sans doute, par trop grande concentration. Ne l’appelle pas “mon chat”. C’est dit avec plus de douceur que d’habitude. Tu le remarques ? Évidemment que tu le remarques, il faudrait être tombé sur la tête pour ne pas remarquer que monsieur Préciosité en Chef s’est légèrement adouci. Signe de remerciement sans doute. Oui, tu vas prendre cela comme un signe de remerciement. Et tu souris, de plus belle, si bien que l’on pourrait presque te demander pourquoi est-ce que tu souris comme un con. Question à laquelle tu répondrais en haussant les épaules, en disant “pour rien” juste pour ne pas mettre ton cousin dans l’ambarra.

Promis, j’arrête, je réserve ça pour quelqu’un d’autre.

Tu vas vraiment arrêter de l’appeler “mon chat” ? Oui, puisque tu le lui a promis. De toute façon, tu appelles déjà quelqu’un “chaton” ou encore “mon chat”, Scar. Mademoiselle Ainstrom. Ta coloc. Ouais, c’est elle que tu appelles mon chat, celle qui a le prénom de l’un des pires méchants de Disney de la terre. Oh combien de toi tu as pu te sentir menacé à la sauce Simba face à elle avant que tu ne réussisses à la faire éclater de rire avec ton regard perdu. Dans un élan de gentillesse insoupçonnée, il te propose une bière. Ce à quoi tu réponds, avec un peu trop d’enthousiasme, tout en venant t’asseoir proche de lui, mais pas trop. Pas sur le transat, tu le laisses à sa Majesté Mathias. Tu préfères de loin le sol et son confort précaire. Il en ferme même son cahier. Amen. Apporter les offrandes. Il a compris, le pauvre Riley, que trop travailler ne mène qu’à la migraine, au ras-le-bol et à l’envie de tout envoyer chier dans la piscine.

Bah merci écoute, c’est gentil de ta part !

Le châtain sort la bière de la glacière, erh, sans alcool, tant pis, comme on dit, la fête est plus folle. Mouais, avec quelqu’un d’aussi Riley, c’est compliqué d’avoir une fête de folie sans alcool. Tiens, d’ailleurs, tu y penses, mais vous n’avez jamais cherché à squatter la grande baraque Mathias pour faire une spooka-booga-teuf, dans le dos de vos parents, digne des meilleurs films de série B américaines. Oncle Arthur ne voudrait jamais, et encore moins Riley. Trop de monde. Trop de bruit. Trop de “paysans”. Tu décapsules ta bouteille de bière - toujours autant sans alcool, cela ne sert à rien de penser que l’alcool va venir en priant la sainte Grande Ours - de ton briquet avant de proposer silencieusement à Riley qui accepte que tu le lui fasse.

Tiens, pour toi ! Tu vois, prendre un peu de temps pour toi ne fait pas de mal ! Trop travaillé, c’est pas bon. Bon, pas assez c’est pas bon non plus, bien évidemment. Et désolé, vraiment, si notre présence dérange. Mais j’suis sûr qu’on peut s’amuser, regardes, juste là, c’est déjà cool !

Tu ne lui balances pas tout. Pas tout de suite. Pas tout ce que tu peux penser sur lui, qu’au fond, il est sans doute très gentil, qu’il vaut plus que l’image que son père et lui renvoient. Tu gardes ça pour plus tard, pour - encore une fois- lui prouver qu’il n’est pas un mauvais gars. Parce que c’est un peu ça ton “jeu” avec Riley, lui prouver sans cesse qu’il n’est pas si mauvais, qu’il peut être lui-même avec toi à côté, que tu ne le jugeras pas comme tu ne juges pas sa meilleure amie. Tu ne juges personne toi. T’es pas dans le jugement.

Et j’suis super fier de toi, ouais, que tu t’sois lancé dans des études si compliquées, franchement, pas grand monde le peut. Oncle Arthur c’est quelque chose aussi, mais toi. Les étoiles, les planètes et tout le reste pour les fusées, c’est du génie. Faut être un génie pour faire ça, et honnêtement, t’en es un, faut juste que tu apprennes à lâcher du leste par moment, comme là !

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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Mer 14 Juil - 19:56
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Il l’écoute qu’à moitié, le cousin, Riley. Parce que ça entre par une oreille, ça se perds au milieu des mathématiques trop compliqués, et ça ressort par la même oreille avec un vertige et une envie de se noyer sous la fatigue et les chiffres au lieu de l’alphabet qu’ils lui ont foutu au milieu. Quand il lui tend la bière, il espère presque qu’il comprenne que c’est pour le remercier, pour le crayon qui lui appartient certainement qu’il lui a donné, et il se rend compte qu’Adriana et Louis ont disparu d’autour de la piscine.

Probablement qu’il a déjà gonflé la mexicaine et que Louis l’a suivie pour la calmer.

T’as raison, calme la paysanne, elle est chez moi, elle respecte mes règles.

C’est pour ça, peut-être, qu’il a fermé son cahier. Parce qu’il peut en supporter qu’un à la fois, pas tous ensemble, parce qu’il a passé son enfance, son adolescence entièrement seul, et que les trois qui font du bruit dans ses oreilles en même temps ? Il préférait dissocier et se concentrer sur ses cours plutôt que de faire comme s’ils étaient là.

Alors quand il propose de lui ouvrir la bière, Riley hoche juste la tête. Il a rien pour l’ouvrir, là, de toute façon, et il n’avait pas trop envie de se niquer les mains à essayer de le faire. “Merci.” Pour une fois, un remerciement à voix haute avant qu’il ne boive une ou deux gorgées de la bière. Ça rafraîchit, ça fait du bien. “C’qui me dérange c’est qu’ils ont cinq putain d’chambres dans la villa et pourtant ils vous foutent dans mon studio.” Parce qu’évidemment, ils ne voulaient pas des cousins dans la partie principale de la villa. Il comprenait, dans le fond, c’était pour ça que la famille venait très peu, maintenant. Une once de richesse par an, ça devait certainement leur suffir.

C’est stupide, quand même, de juger les autres parce qu’ils ont moins. Il en a conscience, Riley, mais il sait pas faire autrement.

J’fais juste une pause.” Il finit par dire, alors qu’il se rallonge sur son transat, qu’il retire les lunettes de soleil pour jeter un regard à Andy. “Comme tu dis, c’est compliqué comme études, et j’y comprends quedal à leur thermodynamique de merde, donc tant que ça rentre pas, faut que je continue.” Un long soupir, et sa voix qui se casse presque quand il dit qu’il y comprend rien. Une façon d’impliquer si j’y comprends rien c’est que je dois pas être fait pour ça. “T’as de la chance, toi.” Il finit par avouer. “Si tu fais des études courtes et qu’ça te mène pas à un énorme boulot qui rapporte.. Vraiment trop pour juste une personne, Amber ira pas te dire que t’es qu’un imbécile qui mérite pas d’être son héritier.

Une pause, il fronce les sourcils quand il remet les lunettes aux verres opaques sur son nez. “Oublie ça. Si t’en parles j’te casse le nez.Avec sa force de mouche, évidemment.

Ses doigts aggripent son iPhone dernier cri pendant une seconde, probablement pour regarder l’heure, vérifier vite fait les vingt-deux messages non-lus de ses amis, et de certaines filles sur Instagram, avant qu’il ne le lâche de nouveau sur le meuble, se lève pour retirer ses fringues et son chapeau – pour se retrouver en maillot, et qu’il aille vers la piscine. “..Tu veux v’nir ? Promis j’te noie pas. J’ai une bouée, même, si t’as peur.” Un ton un peu moqueur, mais plus gentil que ce qu’il serait d’habitude, s’il y avait quelqu’un d’autre autour.

@Andy Chevallier
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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Mar 20 Juil - 18:55
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Ft. Riley Mathias
Tu peux comprendre ce qui le fait chier. Arthur vous invite, mais il vous fout dans l’espace de son fils. Peut-être est-ce là une veine tentative d’offrir de la compagnie pour Riley. Mais compliqué d’offrir de la compagnie à quelqu’un qui clame ne pas en vouloir, à quelqu’un qui clame haut et fort, corps et âme, vouloir de la paix, vouloir être tranquille pour travailler, réviser. Il fait juste une pause et toi, couillon de la lune que tu es, tu as l’impression d’avoir gagné une bataille. Pas la Guerre, mais déjà une bataille. Peut-être que tu réussiras à le faire mater ce film d’horreur ce soir, si Louis et Adriana ne veulent pas, tant pis pour eux. Mais t’es bien décidé à caler Riley devant Conjuring. Son discours ne change rien à l’admiration que tu lui portes, que tu portes aux études qu’il fait. Puis il te dit que toi tu as de la chance, parce que ta mère ne te fera jamais chier si tu te plantes, si tu changes de voie, parce que ta mère, elle n’est pas comme ses frères. En soit, le brun n’a pas totalement tord. Maman est assez tranquille là dessus, elle veut juste que toi épanouie, ce que toute mère devrait vouloir pour ses enfants. Puis la menace. Signée Riley Mathias. Tu en hausses un peu les épaules.

Tu veux que j’dise ça à qui ? Franchement, ça reste entre nous deux.

Tu bois un peu de ta bière tout en assistant à la mise en maillot de bain de ton cousin. Bon, soyons clair, de vous à toi, Riley, il est gay. Et il a surtout un putain de beau cul dans ce foutu maillot de bain. Tu mattes !? Non. Parce que c’est la famille. C’est le cousin. Le fils du grand-frère de ta mère. Mais il faut se rendre à l’évidence, un cul pareil et être aussi précieux, porter des chemises à fleurs et faire du patinage artistique, le monsieur, il est pas hétéro en face. Il se donne des airs, mais toi et ta foutue sensibilité aux ondes des gens, des auras des gens, tu sens qu’il est gay comme un pinçon le cousin. Il te propose de le rejoindre, te promettant de ne pas te noyer, ahah très drôle Princesse Précieuse. Tu lèches la feuille pour ta cigarette avant de l’allumer. Eh, ça va, vous êtes dehors, tu fais attention à ne pas cendrer de partout et cela fera l’affaire.

J’finis ça et- ah ouais grave, j’veux bien la bouée ! J’vais avoir l’air ridicule comme pas permis mais bon, le ridicule tue pas. Dis moi, c’est celle avec le petit flamant rose ? Ou celle canard que tu as ?

Aucune pression à l’idée d’être ridicule, parce que ton existence est déjà bien ridicule en elle-même. Tu t’accordes avec toi-même - parfois appelé le Conseil pour que cela passe mieux, que cela sonne classe - pour dire que tu es ridicule, que ta vie est ridicule, mais au moins, tu vis la vie pleinement, ne te prenant pas la tête. Tu es libre. Tu es riche et libre. Terminant ta cigarette dans ton cendrier de poche, pas une cendre sur la terrasse, pas un mégot sur la terrasse. Rien ne peut dire que tu as fumé ta petite cigarette. Tu vires t-shirt, tu vires short. Tu vires tout ce qui peut t’empêcher d’aller nager avant de rejoindre Riley, t’asseyant au bord de la piscine, mettant juste un bout de tes jambes dans l’eau de la piscine.

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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Jeu 22 Juil - 5:09
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Tu veux qu’il dise ça à qui ? C’est pas débile, comme question. Mais Riley, il s’en fou, au fond, parce qu’il se doit de lui dire de ne pas répéter, parce que les Mathias, ils ont toujours eu cette apparence de famille parfaite, avec le gosse qui fait ce qu’il veut, qui réussit tout ce qu’il entreprend : études, patinage artistique, n’importe quelle chose à laquelle il s’inscrit, c’est premier prix sur premier prix, médailles d’ors sur médailles d’ors, et les infortunes médailles de bronze ou d’argent sont effacées, oubliées au fond d’un carton au fond de la cave, même s’il était fier de sa prestation ce jour-là, Riley. On en parle pas, qu’il dirait, papa, t’étais pas suffisamment bon. Et nul à chier, c’est pas un comportement de Mathias. Mais devant les autres, c’est grand sourire, la réussite, tout ce qu’ils savent faire. Pas la pression sociale, la pression de réussir pour ne pas être l’échec, la déception, l’horrible descendance que papa aimera probablement tout autant qu’il aime le reste de la famille. Non, Riley, il ne voulait pas être un deuxième Adam, ou une deuxième Amber, aux yeux d’Arthur.

Et puis, il s’est rapproché de la piscine, dans son maillot de bain qui fait riche, avec le bronzage déjà parfait qu’il a – pour le temps passé dehors à réviser, principalement – et un corps d’athlète de patinage artistique, mais avec son tout petit mètre soixante-cinq. Il y a un rire qui lui échappe quand il accepte pour la bouée. “Les deux. Certains amis de papa ont des enfants donc on les ressort souvent pour eux.” Du coup, il a attrapé le canard, la plus ancienne des bouées qu’ils aient, qui porte toujours le bout de sparadraps des temps anciens avec le nom d’Andy ayant pris la flotte écrit dessus. Il attend peut-être dix, vingt secondes devant la machine pour le regonfler, histoire de ne vraiment pas noyer Andy, et de l’envoyer sur la piscine, suivi de l’immense flotteur en forme de transat gonflable, qu’il y pose pour ensuite y caler son cul et se pousser du bord de la piscine vers le milieu.

Fais gaffe avec ta clope, si papa retrouve de la cendre il va faire une syncope.” Une pause. “Tu sais qu’il crise toujours pour les traces qu’on a encore dans le marbre de l’autre fois où tu t’es mangé la piscine ?” Il hausse les épaules, et s’allonger correctement. “Et blah blah blah ça m’a coûté mille balles de le faire nettoyer, et blah blah blah y’a encore des marques.. L’autre fois j’y ai dis qu’il a qu’à juste le remplacer le putain de carreau et il m’a déblatéré tout un théorême sur pourquoi ça reviendrait plus cher alors que bon, ça vaut beaucoup moins cher de remplacer un carreau et de plus nous casser les couilles que d’payer une opération pour nous nettoyer les tympans de toute la merde qu’il y a collé.” Il secoue la tête, une seconde. C’est qu’il a l’habitude de raconter ce qu’il se passe autour, Riley, généralement c’était à India, cependant. Pas à Andy, pas encore.

..Bon, tu veux bouffer quoi ce soir ? Tu crois que les deux autres boulets veulent quoi ?
@Andy Chevallier
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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Sam 31 Juil - 3:46
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Ft. Riley Mathias
Il a les deux. Tu te réjouis peut-être un peu trop, surtout lorsqu’il te sort la plus ancienne, celle avec le canard. Sans doute ta préférée. Celle qui a toujours ce petit pansement que tu avais mis en tant que rustine, avec ton prénom dessus. Ton cousin, c’est une précieuse. Il part de son transat sur le bord de la piscine pour aller dans l’eau. Sur un transat. Surtout fait gaffe avec ta clope, sinon Oncle Arthur va faire une syncope. Souriant comme un gamin fier de sa connerie, tu lui montre ton petit cendrier de poche dans lequel tu cendres et tu jettes tes mégots lorsque tu sais qu’il n’y a pas de cendrier. Tu l’as toujours sur toi, comme ta vieille paire de baskets dégueulasses. Tu sais qu’il crise encore pour les traces de sang que tu as dû laisser petit lorsque tu as fait du grand Andy et que tu t’es mangé le rebord de la piscine. Riley fait à son tour, du grand Riley. La langue de vipère. Il parle sur le cul de son père et toi tu ne dis rien. Tu l’écoutes juste. Tu ne veux pas spécialement t’engager dans la conversation parce que ce n’est pas ton père et comme dirait les plus grands influenceurs “c’est pas ta guerre Billy Bob”. Il ne vaut mieux pas que tu t’en mêles d’ailleurs, cela pourrait te retomber dessus. Tu écrases ta cigarette dans ton petit cendrier de poche avant de jeter le mégot dedans. Tu te redresses lentement, t’étirant en laissant ton dos légèrement craquer sous tes propres gestes. T-shirt viré, bas aussi, tu te retrouves en maillot de bain qui, a contrario de celui de Riley, ne fait pas riche du tout. Presque, c’est le maillot de bain basique, classique. Il est juste de couleur pastelle. Lunettes de soleil sur le nez, tu te rapproches du bord de la piscine, venant t’asseoir sur le rebord. T’as toujours autant peur de te noyer, mais grâce à la bouée, tu sais que tu ne te noiera pas. Et puis, Riley t’a promis de ne pas chercher à te noyer.

Bouffer ? Heu j’sais pas trop ? T’sais, nous à l’appart’ avec Simba on bouffe surtout des pâtes, du riz et … des pâtes. Pour Louis et Adriana j’sais pas. Au pire, tant pis hein, ils n’ont qu’à pas bouder et profiter des vacances. Et si jamais ça n’leur plait pas, tant pis, fallait être là. On va pas leur courir après non plus.

T’aimes ton frère hein, c’est pas ça le soucis, vous êtes fusionnels tous les deux, mais au bout d’un moment, ta trop grande franchise prend le dessus et tu te retrouves à être presque méchant envers lui. Le pauvre, il est juste partit calmer Adriana, pour qu’elle arrête de bouder de la méchanceté gratuite de Riley. Et puis, au pire hein, tu sais ce que ton frère bouffe. Comme toi. Sans doute. Des pâtes. Du riz. Des lentilles. Des nouilles.

Donc j’ai bien envie de te dire … ce que tu veux ? Oooh des crêpes. Il faut des crêpes.

Amen, tu as réussi à faire un choix. Tu te saisis de la bouée avant de te lancer enfin dans l’eau, faisant attention cependant à ne pas faire trop de vagues pour ne pas déranger son altesse chatrénissime Riley. Parce que là, il fait plus que te tolérer, et ce serait con qu’il ne change d’avis et surtout de comportement vis-à-vis de toi, parce que tu tiens quelque chose, concernant ta théorie comme quoi il est gentil au fond.

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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Mar 10 Aoû - 23:53
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i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so..
ft. andy chevallier
Les bouées, c’était une chose que Riley n’aimait personnellement pas prêter aux enfants qu’il ne connaissait pas. D’une certaine façon, s’il n’était pas le plus grand fan de ses cousins, il se souvenait quand même des jours de vacances, plus jeunes, où il était assit sur le transat trop grand du bord de la piscine, concentré sur les quelques leçons qu’il se devait de réviser, et où il les observait le plus souvent s’amuser dans l’eau, le bonheur qui en émanait et sa propre satisfaction par extension. Il avait toujours eu du mal à s’approcher et à demander s’il pouvait rester avec eux, parce qu’ils étaient bruyants, parce qu’il lui pompaient son énergie en quelques secondes et qu’il n’avait pas l’habitude des autres, mais certainement aussi parce qu’eux trois, ils se connaissaient vachement bien. Et lui, c’était l’étranger qui portait le même sang qui ne passait jamais de temps avec eux.

Ce qui l’agaçait d’autant plus, c’était que les gosses du pote à papa, ils avaient pas un caractère d’enfant. Ils flottaient sur les bouées avec un jus de pomme dans la main et en ordonnant à Hilda de leur rapporter de la bouffe. Pas de bruit, pas de jeu, juste des petits cons prétentieux qui se croient un peu trop chez eux. Une fois, il les avait même engueulé pour la façon qu’ils avaient de parler à Hilda. Il fallait dire qu’au final, c’était Riley qui s’en était prise une par le père des minots parce qu’il n’avait pas le droit de leur parler sur ce ton, et il avait exigé à son père qu’il vire cette famille d’idiots hors de la villa. Riley étant Riley, évidemment, c’est lui qui avait gagné. Depuis, l’autre idiot et ses deux enfants n’étaient même pas revenus à la maison. Et Riley prenait ça pour un pour une fois, papa m’a écouté.

C’est fou comme vous tous vous la fermez immédiatement quand je parle de mon père.” Simple chose qu’il a remarqué, en parlant avec la famille la plupart du temps. Dès que le sujet tournait sur Arthur Mathias, plus personne n’osait respirer trop fort. “J’suis sûr vous en pensez pas moins pourtant mais..” Haussement d’épaules, c’était une grande gueule Riley, et un hypocrite aussi. Il l’ouvrait en grand quand Arthur avait le dos tourné, et quand il était là c’était des sourires faux qui ressemblaient à des vrais, tout le long.

Ouais, bouffer. Vu que t’es là pour un moment va bien falloir que j’te nourrisse, non ?” Des pâtes, du riz, des pâtes. Froncement de sourcils de la part de Riley. Quelle alimentation équilibrée, dis donc. Ils n’ont qu’à pas bouder. Ça lui arrache un pouffement, alors qu’il se retient de sourire. C’est presque comme s’il lui déteignait dessus, dites. “Ce que je v—.. Des crêpes. Va pour les crêpes.” Quelques mots alors qu’il observe le bulldozer qu’est généralement Andy entrer délicatement dans l’eau comme s’il essayait de ne pas réveiller un canard qui dormait dessus. Tiens, c’est nouveau ça. Un haussement de sourcil avant qu’il ne secoue la tête pour l’ignorer, et qu’il pousse l’eau autour de son transat gonflable pour s’approcher de nouveau du bord.

Là est la grosse différence entre Andy et Riley. Si Andy entrait dans la piscine avec l’habileté d’un macaque manchot, Riley il arrivait à en sortir avec grâce et délicatesse, sans même glisser ou quoi que ce soit. Rattrapant ses lunettes de soleil pour les remettre sur son nez, il observe son cousin pendant une seconde. “Je vais aller voir Hilda, qu’elle nous les fasse, du coup. On mange à huit heures.” Qu’il ajoute, en attrapant sa chemise et en s’extirpant des alentours de la piscine, finalement, pour marcher jusqu’à la villa principale.
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(#) Re: (#4) i really wish that i could say it to your face, but i won’t, so.. (ft. andy)    Jeu 14 Oct - 13:52
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