La chaleur étouffante n'empêche pas les fêtard‧e‧s de profiter de l'ambiance des clubs. En effet, la piste de danse est, comme d'habitude, plus que comblée et la musique fait bouger les corps dans tout l'établissement. Les plus affecté‧e‧s par la chaleur peuvent également se tourner vers le bar pour déguster quelques cocktails rafraichissants. On pourrait presque croire à une soirée normale, fusse-t-elle accablée par la chaleur, jusqu'à ce que le club entier se fasse sombre d'un coup. La musique s'arrête également plongeant les lieux dans un silence et une noirceur inquiétante. La cause ? Une panne d'électricité en raison des températures grimantes. La foule jusque là occupée par la bonne ambiance se fait moins docile. Quand certain‧e‧s commencent à paniquer et chercher la sortie à tout prix, y aura-t-il des personnes plus posées pour les aider ?
Adream doesn't become realiy by magic. It takes sweat, determination, and hardwork.
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Who's that desi man ?
Jayesh est musicien, de toute son âme et de tout son coeur. D'origine et nationalité Indienne, il y est très attaché. Sa famille lui manque, mais sa vie, c'est surtout son piano. Aujourd'hui compositeur et interprète pour le Louisiana Philharmonic ainsi que professeur de musique à l'université, il réalise peu à peu ses rêves, de vivre et partager la musique. Depuis qu'il est installé à NOLA il rêve d'ouvrir une école de musique gratuite et ouverte à tous, au beau milieu d'un quartier populaire.
statut civil : le cœur retombé en adolescence, un train qui file à toute allure avec Tendaï
occupation : pianiste, professeur, interprète et compositeur
habitation : Warehouse District (loft)
disponibilité : surtout le weekend
code couleur : #138808
mes trophées :
Je sais pas trop ce qui m'a pris d'accepter. C'est pas trop mon genre, d'aller dans des clubs. Mais bon... Tendaï n'était pas dispo ce soir, et je ne voyais pas assez souvent Alisha pour refuser. J'étais content d'être avec elle, après tout.
Cela dit, je dois être un vieux con dans ma tête, même si j'ai pas trente ans. Accoudé au bar, je bois un jus de fruit, je trouve la musique trop forte et trop electro pour avoir envie de danser dessus. Mais je ne suis pas un vieil aigri pour autant, alors je souris, regarde Alisha s'amuser, et me laisse parfois entraîner sur la piste de danse. Je dois être trop timide, et pas assez fier de mon corps, pour apprécier les boîtes de nuit.
Je suis presque soulagé quand la musique s'arrête. Les lumières se sont éteintes également en même temps, alors j'attends un genre d'annonce, d'anniversaire, d'enterrement de vie d'avant mariage, un truc comme ça. Mais rien.
La panique commence à faire place, il n'y a plus que les issus de secours qui brisent légèrement l'obscurité, comme un halo divin. J'attrape la main de mon amie - espérant que ce soit elle, pour l'emmener vers le bar. Je n'ai pas envie de me retrouver au milieu d'un mouvement de foule. Au pire, si ça dégénère, on pourra toujours monter sur le comptoir pour éviter de se faire piétiner...
- Ça va ? Je préfère m'en assurer. C'est sûrement une panne d'électricité. Ça reviendra bientôt.
J'ai vécu ça presque toute ma vie, sauf depuis que je suis aux USA. Chez moi, le jus, c'était pour ainsi dire intermittent, alors je ne m'inquiète pas. Je ne prends même pas la peine de sortir mon téléphone pour en allumer la torche, déjà beaucoup de personnes s'en sont chargées, ça devenait plus clair.
statut civil : divorcé depuis plus de trois ans, il profite de son célibat même s'il doit admettre que la solitude commence à lui peser
occupation : producteur télé et de podcasts // co-propriétaire du Night Star
habitation : #781, downtown
disponibilité : dispo 3/8
code couleur : #7d9337
[ intrigue ]
@alisha gautier@jayesh madari Le printemps vient à peine de débuter et déjà les grosses chaleurs se font sentir. Chaque année, Jemma est surprise par les températures accablantes de la Nouvelle-Orléans, comme si elle n’y était pas habituée. Elle se plaint toute la journée, mais en réalité, elle aime beaucoup cette saison puisqu’elle est synonyme de sorties sur les terrasses, de pique-niques au parc entre amis et d’odeur de barbecue qui emplit l’air humide des rues de NOLA. Chaque soirée incite à la célébration, peu importe la raison. Et ce soir, il n’y a aucune occasion de festoyer, si ce n’est que de célébrer le fait d’être vivant. Accompagnée de Dave, son partenaire de travail, mais surtout de beuverie, elle se déhanche sur la piste de danse, mojito à la main. Jem n’est pas une grande fan de danse, elle n’est d’ailleurs pas très douée non plus, mais ce soir, rien ne peut l’arrêter. Elle est dans une sorte de transe que seule une envie soudaine de faire pipi pourrait briser. Et c’est d’ailleurs ce qui se produit.
- Je reviens, j’dois aller aux toilettes! crie-t-elle à Dave en pointant vaguement du doigt l’entrée de la salle de bain pour femmes. La musique est tellement forte qu’il ne doit pas avoir compris un mot de ce qu’elle a dit, mais il acquiesce malgré tout. En marchant, Jemma pose son verre vide sur le comptoir du bar sans s’arrêter. Elle se met en file, puis sort son téléphone de son sac à main. La pile est presque morte et elle a oublié son chargeur au bureau. Ce n’est pas bien grave, elle dormira probablement sur le canapé de Dave comme il lui arrive fréquemment de le faire après une soirée bien arrosée. Elle pourra toujours lui emprunter son chargeur.
Après avoir fait son petit besoin et lavé ses mains, Jemma retourne au bar pour commander un autre verre. Est-ce qu’elle continue avec un mojito rafraîchissant ou un cocktail plus festif? Un piña colada, peut-être? Ou un hurricane, ce classique de la Nouvelle-Orléans? Elle opte pour la troisième option.
- Un hurricane, s’il-te-plait! énonce-t-elle assez fort tout en se penchant vers le barman pour bien se faire entendre en passant sa commande. Malgré l’achalandage, le service est rapide. Jemma paie son verre et se fraie un chemin sur la piste de danse pour retrouver Dave quand soudain, la musique, les lumières, tout s’éteint. Un hoquet de surprise général se fait entendre alors que la salle est plongée dans le noir total, le silence presque complet. La panique s’en prend à certains, qui commencent à s’énerver sur la piste de danse. Une main s’empare alors de la sienne et l’entraîne vers le bar. Pensant qu’il s’agit de Dave, Jemma se laisse guider. C’est lorsqu’elle entend la voix de celui à qui appartient la main qu’elle réalise qu’il y a erreur sur la personne. Le commentaire se veut malgré tout bienveillant, alors d'être en compagnie d'un inconnu n’inquiète pas vraiment Jemma. Dave ne doit pas être loin de toute manière, et il pourra toujours l’appeler si jamais…
- Ah merde!
De retour au bar, Jemma dépose son cocktail sur le comptoir et fouille dans son sac à la recherche de son téléphone. Comme elle redoutait, voilà que son portable est mort. Elle regarde finalement en direction de celui qui l’a tirée jusque là, la lumière des écrans de téléphone commençant à illuminer l’immense pièce.
- Ça gâche une ambiance en tout cas. Déjà qu’il fait chaud, ça va être un vrai four dans les prochaines minutes.
Fidèle à elle-même, alors que la remarque de son interlocuteur se voulait rassurante, celle de Jemma n’est pas des plus réjouissantes.
- Tu crois qu’ils vont nous laisser sortir? lui demande-t-elle sans trop attendre de réponse. Évidemment, ils ne vont pas les garder enfermés ici à suffoquer. Mais sa question semble terroriser une jeune femme près d’eux, qui se lève en courant vers la sortie. Jemma hausse les épaules et ricane même un peu. L’alcool commence probablement à faire effet.
@Jemma Crewe@jayesh madari Alisha ne travaillait pas ce soir, un jour de repos qu’elle comptait bien rentabiliser en sortant se changer les idées. Sa très chère fleuriste n’étant point disponible pour l’occasion, la violoniste s’était dit qu’il pouvait être sympathique d’inviter son ami de faculté, Jayesh, pour aller danser le temps de quelques heures. Certes, elle connaissait son appétence moindre pour ce genre d’évènements, mais il lui avait semblé amusant que de le traîner hors de sa zone de confort pour qu’il puisse s’amuser en sa charmante compagnie.
Alors que son ami était retourné une nouvelle fois au bar pour commander de quoi se désaltérer ? Alisha -elle- était restée sur la piste de danse, bien heureuse d’avoir fait la rencontre d’une séduisante jeune femme qui menait la danse. Malheureusement pour elles-deux, le courant vint à manquer et voilà que ce monde de vives lumières fut plongé dans le noir complet. L’Hindi cessa immédiatement de danser pour braquer son regard dans l’obscurité totale, se demandant comment elle allait faire pour retrouver son camarade de soirée dans cette foule aux traits désormais masqués.
Elle joua quelque peu des coudes, s’orienta avec le peu d’éclairage qu’il restait pour rejoindre le bar qu’elle attrapa à tatons. Bon c’était déjà ça de fait, maintenant, Jayesh. Elle n’allait tout de même pas crier son prénom dans le noir. Il ne l’entendrait sûrement pas et puis cela ne ferait que mettre de l’huile sur le feu de cette panique déjà bien général. Elle finit par buter sur une personne qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam « Pardon ! » Elle était prête à reprendre son chemin lorsqu’elle capta les traits familiers de son ami dans un bref éclat de téléphone portable. « Ah Jayesh, tu es là ! »
/ awards session
(#)Re: • degré 2 // Alisha, Jayesh, Jemma Mar 3 Mai - 12:08
Fortuna Major
‹ pnj, master of your life ›
messages : 2578
rps : 155
name : no one.
faceclaim : inconnue (monocle.)
trigger warning : warning : peu aborder tous les sujets selon les rps où le pnj intervient !
L’ambiance n’est plus à la fête, mais plutôt à la panique qui semble secouer le club. Il fait pourtant moins sombre grâce à la lumière des téléphones qui s’allument dans la foule. Tout le monde semble attendre que quelque chose se passe : le retour de l’électricité ou l’ouverture des portes. C’est finalement un employé de l’établissement qui vient essayer de capter l’attention des client.e.s en sifflant avec ses doigts. « Il y a une panne d’électricité dans toute la ville. » Il a l’air de s’époumoner le pauvre, à partager l’information. Une nouvelle vague de panique semble secouer le club, mais l’employé tente de poursuivre sur sa lancée. « Nous allons ouvrir les portes pour que vous puissiez sortir. » Une bonne idée en soit, si ce n’était du mouvement de foule que cela provoque. Une majorité des personnes présentes tentent de se précipiter vers la sortie et, tous les trois, vous vous retrouvez bien vite entrainé.e.s malgré vous vers ce qui est - peut-être - une sortie.
Qu’allez-vous faire ?
NB : Ne m'attendez pas pour la suite de votre sujet, je ferai une nouvelle apparition quand vous vous y attendrez le moins !! xoxo FM
/ awards session
(#)Re: • degré 2 // Alisha, Jayesh, Jemma Jeu 12 Mai - 19:46
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