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 make you feel my love (elena)

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Victoria Esteves
‹ the light of a real enemy ›
Victoria Esteves
messages : 1959
rps : 118
name : dday, audrey.
faceclaim : kristina tonteri-young | boneecho (avatar) ; old money (signature) ; softavasilva (gif signature) ; aly&aj (lyrics)
multinicks : leah chatterton (v. kirby), charlotte cosgrave (s. c. hook), whitney reed (l. harrier), johanna huang (s. hsu) & noelle reynolds (e. purnell).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : parents toxiques, relation toxique, violences conjugales, infidélité, décès d'un proche, deuil, self hatred.
trigger : suicide, idées suicidaires.
gif : make you feel my love (elena) Gdv3rLb
âge : (vingt-sept ans) et pour une rare fois, une pointe d'optimisme pour ce que la vie te réserve, comme quoi tes trente ans à venir ne sont plus si terrifiants.
statut civil : (mariée à elena) une union célébrée à vegas sur un coup de tête, mais assurément la meilleure décision que t'as jamais prise.
occupation : (policière) un métier qui te passionne pas plus que ça, mais au moins la paie est décente.
habitation : (33, faubourg marigny) un petit appartement que tu partages avec des colocs, c'est pas plus mal.
disponibilité : non dispo.
code couleur : #58A291


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[ make you feel my love ]
@elena esteves et victoria pearson
Pour quelqu’un qui se préparait à aller voir quelqu’un avec qui t’as partagé ta vie pendant cinq ans (ou six en fait), t’es étrangement nerveuse. Tu peux pas t’en empêcher alors que tu changes de tenue pour la troisième fois en dix minutes. Captain Ronron a déjà décroché du cirque dans lequel tu t’es lancée, réalisant bien qu’il n’aurait pas droit à de petites papouilles dans l’immédiat. « Leo, what do you think about this one ? » Ta voix s’élève dans l’appartement alors que tu ressors avec ton nouveau choix de tenue. La question est inutile considérant qu’un instant plus tard, tu reprends. « Never mind I’ll change. » Tu ne sais même pas si ta colocataire fait attention, mais tu retournes dans ta chambre pour finalement revenir à la première tenue que tu avais sortie. Tans pis pour l’envie d’être un peu plus charmante que dans tes vêtements habituels, tu sais pertinemment que les jupes ne sont pas fait pour toi et tu connais assez Elena pour supposer qu’elle finirait par avoir froid faute d’avoir mis assez de vêtements pour la température du soir. Un pull est donc le choix idéal, tout comme le sont les pantalons noir trois-quarts que tu enfiles. Est-ce que c’est parfait ? Non, t’es même pas pleinement satisfaite de ton choix, mais tu supporterais encore moins d’être en retard pour votre rencard.

Vous aviez convenu de vous rejoindre directement sur place dans un souci d’éviter la tentation de rentrer ensemble et ainsi gâcher la précieuse résolution d’y aller doucement. Est-ce que ça fonctionnerait ? Il est permis d’en douter, surtout considérant qu’elle était restée le soir même où vous les aviez faites. D’où la nécessité de mettre toutes les chances de votre côté, même si ça implique de vous mettre vous-mêmes des bâtons dans les roues. C’est que pour une questions très annexe, que pour que vous évitiez de tomber bien rapidement vers l’instantanéité.
Cela dit, ça ne t’empêche certainement pas de prendre d’autres décisions un peu idiotes. Tu t’arrêtes chez un fleuriste en chemin. Ce n’est pas une décision réfléchie ou quoi que ce soit. Tu t’es juste arrêtée en le voyant, te demandant si ça c’était une chose normale à faire pour un premier rencard. La réponse est sans doute non, mais tu ressors quand même de la place avec une petite plante verte. Ce n’est peut-être pas aussi traditionnel qu’un beau bouquet de fleurs, mais considérant celle que tu allais rejoindre, ça te semble plus approprié, plus digne d’elle. Même si au fond, qui sait si tu allais vraiment lui offrir, si t’allais pas décidé que c’était complètement idiot en arrivant au planétarium.

T’es d’ailleurs la première de vous deux à arriver - ce qui n’a rien d’étonnant vu ta propension à angoisser à l’idée de déranger les autres avec un retard. Autant dire que ça te rassure d’être la seule à attendre à côté de l’entrée, t’efforçant de sembler le moins sympathique possible pour éviter que qui que ce soit d’autre ne vienne te parler. Ça fonctionne peut-être… jusqu’à ce que ton regard se pose sur Elena et que ton visage s’illumine en moins d’un instant. N’importe qui dans les parages pourrait aisément voir à quel point tu l’aimes dans cette seule interaction, dans le seul fait que tes yeux brillent en se posant sur elle, à l’idée qu’elle est là pour passer la soirée avec toi. C’est différent de vos rencontres habituels, c’est différent parce que c’était réfléchi pour une fois, parce que c’est presque traditionnel comme rencard - du moins si on oublie votre historique chaotique. « Hey you. » Tu te rapproches pour venir attraper sa main, comme un automatisme. « I’m so glad to visit this with you. » Quoi qu’en vérité, n’importe quel endroit t’aurais plu en sa compagnie. Mais les étoiles ça fait rêver, ça te donne envie de penser à un monde meilleur, une vie avec elle aussi.

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(#) make you feel my love (elena)    Ven 16 Déc - 3:48
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Elena Esteves
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Elena Esteves
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so i heard the bad news, nobody likes me and I'm gonna die alone in my bedroom looking at strangers on my telephone
liste des rps
prénom titre du rp.
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résumé du personnage
petite flique merdique, copine merdique, amie merdique, sous ses grands airs qui puent la surdose de confiance, elena ne s'aime pas beaucoup. gamine de parents riches avec une jolie propension à délaisser leur gosse, elena s'est forgée sur le champ de ruines d'un mariage en lambeaux pour construire cet ensemble qui tient à peine debout, un peu poétique dans son chaos de vulgarité. elena, c'est une grande enfant qui pue le prosaïsme, l'inconscience de ses privilèges et l'auto-justification de ses comportements malsains, mais c'est quelqu'un qui essaie, qui crève d'envie de faire mieux, de devenir quelqu'un de sympa et de bien.

messages : 2605
rps : 89
name : gouinette parle trop, anna
faceclaim : alba baptista + murdock.
multinicks : elena esteves (a. baptista), abel cafferty (j. mullarkey), leo washington (f. pugh), clementine saylor (b. howey), ianthe braddock (h. schafer).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : relation toxique, quotidien policier, négligence parentale.
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âge : 27 ans tout rond (19/01), et pour une fois un grand optimisme.
statut civil : a épousé victoria dans un mariage hâté à vegas, qui s'avère être sûrement la meilleure décision de sa vie.
occupation : elle a abandonné une justice corrompue pour une autre en devenant assistante du procureur local, s'enfonçant encore plus dans de la paperasse de merde.
habitation : un petit appart avec beaucoup de plantes mortes dans le vieux carré
disponibilité : bientôt (0/4)


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[ make you feel my love ]
elena esteves et @victoria pearson
Fidèle à elle-même, Elena avait mis sa tenue de sous-vêtements la plus slutty par dessous des vêtements pas bien plus modestes pour le grand soir, davantage gênée par l'absence de frivolité et de décolleté que par les températures logées dans le négatif ; c'était le genre d'événements qu'on ne loupait pas, un premier rencard. Le genre qui n'arrivait qu'une seule fois dans une relation – preuve en est : un an après la débâcle, et près de six ans depuis leur rencontre, Elena et Victoria n'avaient jamais eu l'occasion de sortir ensemble dans la période charnière du début de toute relation. Pas en tant que couple, ni en tant qu'amies ; véritablement comme avec une personne qu'on apprécie assez pour lui donner la chance de rentrer un peu plus dans notre vie. C'était une sensation toute nouvelle, le genre qui lui foutait des papillons au bide si horribles qu'ils lui faisaient penser à une indigestion ou un début d'appendicite ; c'était aussi le genre de souvenirs qu'on chérissait toute une vie, quand ça avait marché, et c'était là tout l'enjeu : il fallait que ça marche.

D'où le décolleté affligeant, les bras à l'air pour vanter des muscles affinés et précisés depuis leur rupture, d'où le gros bouquet de fleur exubérant avec un sachet d'oursons chocolat à la guimauve coincé dans la même main. D'où, aussi, les dix minutes de retard – Elena n'était pas un être de ponctualité ni de sens du temporaire. Au lieu de quoi, l'être chaotique qu'elle représente se prend une fleur dans le visage alors qu'elle court sur ses talons pour rejoindre son rencard – le simple mot lui donne envie de vomir des papillons – devant le planétarium. Victoria, de son côté, est bien sûr en avance ; certaines choses de changent pas, comme le sourire amoureux et désespérément niais qu'elles s'échangent jusqu'à se retrouver, ou la piètre tentative de cacher leurs cadeaux dans le dos pour que l'autre ne le voit pas. « Hey. » C'est tout ce qu'elle dit en arrivant à son niveau, se sentant soudain bête de ne pas savoir comment lui dire bonjour et se contentant d'un grand sourire qui la laisse sur sa faim. « Sorry I'm late, I was. Doing. Stuff. » Victoria devra se contenter de son explication nébuleuse qu'elle étouffe derrière le bouquet de huit fois sa taille et le sachet de confiseries qu'elle tend au bout du bras : « Got you this, though. » Elle la laisse lui décharger les bras et les laisse retomber balants sur le côté, l'air profondément stupide avec son sourire enamouré, infoutue de savoir quoi faire de son corps soudain trop embarrassant, sinon crier mentalement ILOVEYOUILOVEYOUILOVEYOU pendant les trois prochaines heures. Le réflexe suivant, c'est de la lorgner intégralement de haut en bas avec les joues rouges d'un ado maladroit : « You're beautiful. » Parce qu'Elena l'a toujours trouvée parfaite, quoi qu'elle fasse ou porte ; qu'elle a toujours favorisé les tenues simples pour le côté pratique et qu'elle ne voit dans ce sweat que la perspective d'une soirée à coller sa joue sur son épaule pour s'enivrer de son odeur et coller sa main froide dans son dos. Pour l'heure, cela dit, elle se contentera de son sourire chaleureux, de sa main dans la sienne, et de toutes ces possibilités sur lesquelles elles peuvent se rebâtir.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Sam 17 Déc - 23:25
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statut civil : (mariée à elena) une union célébrée à vegas sur un coup de tête, mais assurément la meilleure décision que t'as jamais prise.
occupation : (policière) un métier qui te passionne pas plus que ça, mais au moins la paie est décente.
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[ make you feel my love ]
@elena esteves et victoria pearson
T’es toute impatiente de voir Elena arriver au point où t’as du mal à tenir en place. Ce n’est pas dans tes habitudes, dans ta nature et pourtant, dans le moment, il n’y a que les papillons qui s’emballent dans ton ventre à l’idée de passer la soirée avec elle. Ceux qui virevoltent un peu plus lorsque ton regard se pose sur sa silhouette. T’es contente de la voir, c’est évident à ton sourire éclatant, celui que tu ne cherches pas même pas à camoufler. Tu n’as pas à le faire pour une rare fois, pour une première fois dans votre relation. Tu peux la regarder avec tout l’amour que tu lui portes dans les yeux. Et oui, peut-être que tu louches un peu vers son décolleté presque immédiatement, mais c’est d’une façon totalement respectueuse.
Tu passes ensuite vers le reste, vers l’énorme bouquet qu’elle tient et le sac de confiseries qu’elle te tend. « You’re always late, it’s fine. » Il n’y a aucun reproche dans ta voix, juste une douceur qui lui a toujours été réservée. « You didn’t have to, but thanks I love it. » Ça te fait plaisir qu’elle l’ait fait cela dit, c’est évident. Ça se voit dans le brillant de tes yeux, dans ton sourire qui s’étire un peu plus alors que tu t’efforces de récupérer tout ce qu’elle te donne. Ça fait beaucoup de choses à jongler d’un coup, mais qu’importe. « I got you something too. » C’est moins extravagant, mais c’est réfléchi. Il te faut un moment digne d’une équilibriste avant de lui présenter la petite plante verte. « Hm. I thought it could bring a little life back to your apartment. » Puis qui sait, elle pourrait penser à toi en la voyant. La plante grandirait avec vous, c’est aussi pour ça que t’as choisi une plante plutôt qu’un bouquet, pour l’espoir que ça pouvait représenter.

Même si pour l’instant, c’est surtout beaucoup trop de choses dans vos mains pour que vous puissiez vous lancer dans la visite. Tu réfléchis à une solution lorsque la voix d’Elena s’élève à nouveau et vient pigmenter ton visage de rouge, comme si t’avais jamais entendu un compliment de ta vie. C’est différent quand ça vient d’elle, ça l’a toujours été. « Look who’s talking. You look amazing. » C’est plus que ça, elle est parfaite. Et tu peux pas réprimer la pointe de fierté dans ta voix, celle qui découle du fait que c’est avec toi que la Brésilienne a décidé de passer sa soirée. Ça te sidère toujours autant de savoir que quelqu’un comme elle peut t’aimer, peut te trouver belle de cette façon. C’est une sensation enivrante quand tout va bien. « Maybe we can leave all this in my car for now so we don’t have to think about it when we’re walking. » Et puis, surtout, comme ça tu pourras glisser ta main dans la sienne, comme l’automatisme qui te prend aussitôt le tout ranger dans ton véhicule. Tu serres doucement sa main dans la tienne avant de t’approcher un peu pour déposer tes lèvres sur sa joue. Ce n’est pas exactement l’impulsion qui t’est venue, mais vous avez dit doucement alors autant commencer par ça, sans lui crier à quel point tu l’aimes même si ça relève de l’évidence. Tu reprends plutôt le compliment que tu lui as fait plus tôt, le rectifie du même coup. « You’re amazing, I can’t believe you stopped for marshmallows. » Ça explique très certainement son retard, entre ça et l’énorme bouquet, mais au fond ça importe peu à tes yeux. Elle est là, pour passer la soirée avec toi et c’est tout ce qui compte. C’est pour ça que tu l’entraines vers l’entrée du planétarium, tes doigts entremêlés dans les siens, ton pouce venant doucement caresser sa peau.
Tu voudrais être nulle part ailleurs en fait.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Dim 18 Déc - 4:17
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Elena Esteves
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elena esteves et @victoria pearson
« Dang, here go my hopes of you forgetting this part of my personality », feint-elle de râler quand Victoria lui fait remarquer qu'elle est toujours en retard – ce qui n'est pas fondamentalement faux. Elle s’en fout, cela dit, parce qu’elle a l’excuse parfaite de s’être faite belle, suffisamment pour capter le regard de Victoria qui s’égare à la naissance de son décolleté, et d’avoir récupéré des présents assez modestes mais suffisamment touchant pour apercevoir les joues rosies de son rencard du soir. A son tour, de jongler maladroitement pour récupérer un cadeau sous forme de plante verte, encore vivante et heureuse d’être là - voilà longtemps qu’elle n’en avait pas vue de pareille. « Dunno what you mean. My place is perfectly alive. » Elle feint l’ignorance d’un sourire innocent surmonté de sourcils taquins, caressant une feuille de la plante du bout du doigt, comme par peur de la tuer d’emblée - ce qui arrivera bien assez tôt. « Thank you », souffle-t-elle, la plaisanterie passée. « This one won't die, you have my word. » Autant que cela veuille dire pour l’anti-Midas qu’elle est, tuant tout ce qu’elle daigne toucher ; l’idée est là, mais la bonne volonté suffit rarement à sauver les végétaux qui rentrent chez elle.

Elle est magnifique, Victoria ; encore plus quand ses joues prennent cette teinte rouge qu’elle aime tant faire ressortir chez elle. Le compliment est sincère, pourtant, le visage empourpré de sa propriétaire comme témoin, et c’est d’autant plus frustrant qu’elles doivent revenir au tout début de leur relation et qu’Elena a presque oublié comment communiquer ce genre de choses sans lui sauter tout de suite dessus. Peut-être que c’est un énième aspect positif de leur plan pour aller doucement : devoir se réapprendre dans tous les sens du terme, repartir de zéro et redécouvrir comment se plaire et s'apprécier. « Yeah, let's dump all that in your car, then. » L'Elena d'il y a quelques mois aurait directement su qu'elles ne seraient pas revenues au planétarium après – celle d'aujourd'hui ronge son frein, réellement emballée à l'idée d'apprendre une nouvelle fois à connaître son date. Ainsi, au lieu de se bousculer sur les sièges ou de la plaquer contre une portière fermée, elle prend sa main et noue leurs doigts avec un sourire de plaisir non dissimulé. « Of course I stopped for marshmallows. Anyone who takes you on a date without gifting you marshmallows is not worth your time. Confucius said it, not me. » Ça ressemble surtout à un prétexte à la con pour écarter toute concurrence, mais elle garde un air sérieux en secouant la tête d'une manière convaincue.

« I'm glad we're doing this. » Pas seulement ça, le rencard au planétarium, mais surtout ça, le premier date qu'elles n'ont jamais eu ni cessé d'espérer, ça, une occasion d'apprendre à se connaître en prenant tout leur temps, en plein jour plutôt qu'à l'abri de leurs appartements à craindre que Samuel ne se pointe. Cette fois-ci, elles peuvent faire les choses dans le bon ordre et sans avoir à se cacher, Elena peut porter la main de Victoria à ses lèvres pour embrasser légèrement ses doigts, l'observer amoureusement pendant qu'elles prennent leurs billets d'entrée et sautiller comme une gamine dans la première salle qui présente un petit film sur le système solaire. Il est certainement intéressant, mais la Brésilienne ne sait pas se taire plus de cinq minutes pour se concentrer sur autre chose que sa voisine. « So this is the part where we ask each other dumb questions because we've never met before. Right? » Un sourire joue sur ses lèvres mais l'idée n'est pas moins sérieuse ; elles se connaissent l'une l'autre davantage que chacune ne se connaît, mais malgré ça, il y a beaucoup qu'elle ignore de Victoria en-dehors de son pire, de son plus vulnérable et de son plus sensible. Elle voudrait la connaître davantage à son plus beau, son plus simple ; le dénué d'artifices qu'on ne voit pas sans explicitement le saisir. « Okay. D'you like stargazing? » Sur l'écran de tissu, l'anneau de Saturne tourne avec ses millions de satellites. « No, wait. Would you rather go back to the prehistoric era and bring technology with you, or go on a planet to set a camp there, but start from scratch? And there are space dinos and shit? » L'idée ne la tient que quelques secondes où elle plisse les sourcils pour y réfléchir, avant d'ajouter une nouvelle fois d'un ton rêveur : « We should definitely go stargazing after we're done here. »

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Victoria Esteves aime ce message

(#) Re: make you feel my love (elena)    Sam 24 Déc - 14:51
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@elena esteves et victoria pearson
Difficile d’ignorer le fait qu’Elena n’a jamais été très ponctuelle ou de ne pas imaginer son appartement comme un cimetière de plantes mortes, mais tu n’insistes sur aucun de ces points. Tu préfères observer sa réaction au cadeau que tu lui offres, de profiter de la vague de chaleur qui vient enserrer ton coeur lorsqu’elle affirme que cette plante-là survivrait contrairement aux autres. Est-ce que tu y crois ? Pas particulièrement, tu connais l’historique de la Brésilienne à ce sujet, mais ça ne change rien. Tu ne peux que lui adresser un doux sourire. « I believe in you. » C’est sincère, mais inutile. Tu ne lui en voudrais pas s’il fallait que la plante perde tragiquement sa vie une fois dans l’appartement maudit. T’as peut-être choisi ça comme cadeau pour l’espoir que ça peut représenter, mais la seule intention de ta vis-à-vis te suffit.
Ça a toujours été comme ça quand ça la concerne après tout. Il en va de même pour les compliments qu’elle t’adresse, ceux qui t’affectent bien plus du seul fait qu’ils viennent d’elle. Ça rend difficile d’ignorer l’envie de te laisser plus aller sur le moment, de l’embrasser avec tout l’amour que tu lui portes, mais tu t’efforces de t’en tenir à ce que vous aviez dit. Doucement. Vous le faites ensemble, alors que vous vous contentez de tout déposer dans ta voiture et de revenir vers le planétarium. « Confucius, really ? » Tu ne la prends pas au sérieux, c’est évident, mais tu fais mine que oui. « I guess it’s a good thing that my date is the best and thought of marshmallows. » C’est aussi une bonne chose que tu n’as pas l’intention d’avoir d’autres dates qu’elle. Tu pourrais le souligner, mais c’est l’évidence même à tes yeux. Ça se sent de la façon dont tu serres sa main dans la tienne, au sourire que tu lui adresses. Ça dépasse tout entendement à vrai dire. « Me too. » Bien sur que t’es contente, vous avez attendu tellement longtemps pour ça, pour ce premier rencard qui n’est jamais venu dans vos années de relation. « There’s nowhere else I’d rather be. » Et avec personne d’autre surtout. Le planétarium n’importe pas vraiment dans la balance. Juste elle.

Elle qui rend chaque moment meilleur, même les plus inconséquents comme l’achat des billets et vous installer dans la petite salle pour regarder un film sur le système solaire. Est-ce que tu t’y intéresses un seul instant ? T’essaies, tient à peine plus longtemps qu’Elena avant de t’en détourner. Elle attire ton attention nécessairement, comme si tu n’étais qu’une planète tournant autour de l’astre qu’elle est, brillante comme elle est. « Yes, exactly. » T’es partante pour ça, partante pour lui poser toutes les questions les plus stupides pour apprendre à la connaitre à nouveau, pour découvrir chaque facette de sa personne, surtout celles que tu n’as pas encore eu l’occasion de voir. Tu connais les moins beaux côtés de la Brésilienne, celles que les souffrances que tu lui as infligées ont créées ou découvertes. Tu ne connais pas tout le reste, pas assez à ton goût. Peu importe que tu la connais mieux que tu ne te connais toi même, ce n’est pas assez. Ça ne le sera peut-être jamais.
C’est Elena qui pose la première question - sans surprise. La réponse se fait évidente, mais elle n’est pas partagée puisqu’elle est interrompue avant même d’être lancée dans le monde. Tu dois t’efforcer de ne pas rire l’entendant. Tu ne le fais pas, par respect pour les autres spectateurs, mais surtout parce que tu n’as aucun mal à imaginer ta vis-à-vis beaucoup trop sérieuse à ce sujet. Si bien que tu t’efforces de l’être aussi, tu penses longuement, lentement à ce qu’elle te demande. Tu ne t’arrêtes que lorsqu’elle revient à l’idée de base. « We should. I would love to. » Parce que t’aimes bien regarder les étoiles, parce que ça te semble être une bien meilleure idée avec elle à tes côtés. « And I would definitely prefer to go back to the prehistoric era with technology. I don’t think I would survive starting from scratch. » À vrai dire, tu sais que tu ne pourrais pas survivre. Tu ne pourrais pas te nourrir de ramen instantanés, la base de ton alimentation sans Leo pour te sauver. « But I do have to say that space dinos sound amazing. » Tu n’as pas de mal à imaginer la chose, même dans un coin de ton esprit.

Ton regard passe de ta voisine de siège vers l’écran, comme si t’essayais de capter l’entièreté du film sur un sujet que tu connais déjà assez. Ce n’est pas aussi intéressant qu’Elena. Tu déposes ta tête contre son épaule. « And you then ? » Parce que tu ne peux qu’être intéressée par sa réponse. Elle pourrait te parler de la météo que tu l’écouterais avec attention. « What would you have as a pet if you could have anything ? » T’as aucun mal à imaginer la Brésilienne avec quelque chose de gigantesque, un t-rex s’il fallait, mais tout lui irait au fond - sauf une plante de plus qu’elle tuerait invariablement.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Mer 28 Déc - 3:10
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Elena Esteves
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petite flique merdique, copine merdique, amie merdique, sous ses grands airs qui puent la surdose de confiance, elena ne s'aime pas beaucoup. gamine de parents riches avec une jolie propension à délaisser leur gosse, elena s'est forgée sur le champ de ruines d'un mariage en lambeaux pour construire cet ensemble qui tient à peine debout, un peu poétique dans son chaos de vulgarité. elena, c'est une grande enfant qui pue le prosaïsme, l'inconscience de ses privilèges et l'auto-justification de ses comportements malsains, mais c'est quelqu'un qui essaie, qui crève d'envie de faire mieux, de devenir quelqu'un de sympa et de bien.

messages : 2605
rps : 89
name : gouinette parle trop, anna
faceclaim : alba baptista + murdock.
multinicks : elena esteves (a. baptista), abel cafferty (j. mullarkey), leo washington (f. pugh), clementine saylor (b. howey), ianthe braddock (h. schafer).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : relation toxique, quotidien policier, négligence parentale.
trigger : /
gif : make you feel my love (elena) 0ce3bc206cd7ffb34448ffe6505d933a254c1d91
âge : 27 ans tout rond (19/01), et pour une fois un grand optimisme.
statut civil : a épousé victoria dans un mariage hâté à vegas, qui s'avère être sûrement la meilleure décision de sa vie.
occupation : elle a abandonné une justice corrompue pour une autre en devenant assistante du procureur local, s'enfonçant encore plus dans de la paperasse de merde.
habitation : un petit appart avec beaucoup de plantes mortes dans le vieux carré
disponibilité : bientôt (0/4)


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[ make you feel my love ]
elena esteves et @victoria esteves
Elena n’a jamais été très patiente, ni douée pour faire les choses doucement plutôt que sous l’impulsion ; Victoria en a toujours été le prime exemple : elle n’a pas attendu le premier rencard avant d’avouer ses sentiments à la jeune femme et d’ailleurs, elles n’ont jamais eu de premier rencard. Elles ont tout fait à l’envers, se sont rencontrées dans le dos de l’homme dont Victoria était amoureuse, ont entamé une relation en secret en attendant que les choses se tassent avec lui. C’était si intense que ça n’avait pas laissé la place au concept même de prendre son temps : pour la première fois, Elena était amoureuse d’une femme qu’elle ne voulait pas laisser partir, et qu’importait les conséquences. Elle les avait payées au prix fort, et elle l’avait rendu à Victoria au double. Non, il n’y avait jamais eu de place au répit, à la lenteur, ou à la réflexion. Ce soir, c’était l’occasion de se rattraper ; cette tentative d’une nouvelle relation, plus lente et mieux articulée, était une opportunité de rédemption, et elle avait conscience de l’importance de la démarche. Elle avait du mal à ronger son frein, pourtant. Victoria était belle, avec l’amour qui débordait de ses yeux et ses doigts autour des siens, confiants et chaleureux. Le reste ne comptait plus : ni Samuel, ni Ida, ni quelque erreur qu’elles aient pu commettre par le passé.

« So like, no space dinos », conclut-elle sans réussir à entièrement cacher sa déception enfantine jusqu’à ce que Victoria ajoute une parenthèse évidente sur la présence desdits dinosaures de l’espace. La tête de sa voisine tombe sur son épaule et il lui faut s’emparer de tout son self-control pour ne pas embrasser son crâne, son front, ses lèvres ; elle se contente à la place de poser sa joue contre sa tête, difficilement concentrée sur l’écran, sa main retrouvant celle de Victoria pour entrelacer leurs doigts. C’est peut-être déjà trop intime pour un premier rencard, mais ni l’une ni l’autre ne semble vouloir faire autrement. Lentement, mais jamais trop. De toute façon, effacer tout leur historique semble impossible. « I dunno, I like the idea of starting from scratch, eating roots and drinking river water. Figuring shit out as we go, get a proper fresh start as humankind, and all that. » Un shhhht colérique retentit derrière elles et Elena retient un rire, se penchant davantage vers sa voisine pour poursuivre en chuchotant : « Or maybe I’m romanticizing it and we’d die after two minutes eaten by space raptors, who the fuck knows. » Elle n’a jamais été très intéressée par l’idée d’une dystopie quelle qu’elle soit, encore moins avec des changements à cette échelle. Repartir de zéro sur une autre planète, ce serait déplacer le problème dans un autre coin de l’espace : pas énormément de changements, donc, voire même aucun. « Next country you wanna visit, then, if you want to go back to the cretaceous period? » Finalement, l’autre idée lui plaît davantage, à elle aussi. Elle se demande ce qu’elle foutrait, avec toute la technologie d’aujourd’hui mais à l’époque. Est-ce qu’ils pourraient même respirer ? Est-ce qu’ils retourneraient à la pangée ? « Would there even be countries? » finit-elle par demander à voix haute, remarquant la Terre vue de haut à l’écran.

La projection se termine et leurs mains ne se délient pas alors qu’elles suivent la maigre foule du soir jusqu’à la première salle de l’exposition, dédiée au système solaire. Des mobiles représentatifs de chaque planète sont pendus depuis le plafond, auquel est indiqué une carte des différentes constellations. « I’d get a raccoon. Or a squirrel, or a hedgehog. A feisty little bastard. I’d call it Jarrod because I feel like that’s the worst name a pet could have. » Ses yeux sont immédiatement attirés par de petites expositions censées répliquer le sol de chaque planète, surmontés de petits écrans décrivant l’atmosphère, la concentration d’oxygène et la chaleur ambiante. La petite brune y colle son nez, comme une gamine curieuse, fascinée par le spectacle alors qu’elle était partie pour n’être fascinée que par Victoria. « Oooooh, or maybe like a bear. Imagine how comfy the cuddles would be. » Elle observe le sable fin attribué à Jupiter et le désigne à Victoria comme pour lui montrer à quel point le spectacle est surréaliste. Elle ne connaît pas grand-chose à tout ça, Elena. Forcément, ça lui fait envie. « D’you want other pets? Like, I mean. If you had the time, the space, and if your cat wasn’t such a lone wolf. » Elle passe au sol de Pluton tout en marmonnant ooooh, or a wolf, l’attention divisée sur trop d’éléments tout autant fascinants les uns que les autres. Elle est passée à Saturne qu’elle regarde avec grande attention quand elle reprend la parole : « Soooo, Victoria… » Elle s’applique à garder un ton indéniablement sérieux, aussi strict que celui d’une inconnue, ravalant un sourire en coin. « What do you want from a relationship? » La question semble anecdotique mais elle est sincère, se rend-elle compte ; elles n’en ont jamais vraiment discuté, de ça non plus, et leurs retrouvailles semblent propice à un état des lieux. « Don’t look at me, I’m just asking the standard first date questions. » Elle ponctue la protestation par un haussement de sourcils taquin, faussement assuré.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Mar 24 Jan - 14:15
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Victoria Esteves
‹ the light of a real enemy ›
Victoria Esteves
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faceclaim : kristina tonteri-young | boneecho (avatar) ; old money (signature) ; softavasilva (gif signature) ; aly&aj (lyrics)
multinicks : leah chatterton (v. kirby), charlotte cosgrave (s. c. hook), whitney reed (l. harrier), johanna huang (s. hsu) & noelle reynolds (e. purnell).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : parents toxiques, relation toxique, violences conjugales, infidélité, décès d'un proche, deuil, self hatred.
trigger : suicide, idées suicidaires.
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âge : (vingt-sept ans) et pour une rare fois, une pointe d'optimisme pour ce que la vie te réserve, comme quoi tes trente ans à venir ne sont plus si terrifiants.
statut civil : (mariée à elena) une union célébrée à vegas sur un coup de tête, mais assurément la meilleure décision que t'as jamais prise.
occupation : (policière) un métier qui te passionne pas plus que ça, mais au moins la paie est décente.
habitation : (33, faubourg marigny) un petit appartement que tu partages avec des colocs, c'est pas plus mal.
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[ make you feel my love ]
@elena esteves et victoria pearson
Difficile d’ignorer la déception dans la réaction d’Elena et pourtant, t’en as pas eu besoin pour ajouter une précision importante à la réponse que t’as offerte. Ce n’est pas uniquement pour lui faire plaisir, c’est aussi parce que l’idée de dinosaures de l’espace est géniale en elle-même. Il faudrait être complètement con pour prétendre le contraire. Le choix de ton interlocutrice se justifie toutefois par plus que cette simple donnée, elle évoque le fait de repartir à zéro, de décider comment s’y prendre et au final tu dois admettre que ce n’est pas si horrible quand elle en parle ainsi. Ça suffirait presque à te convaincre. Et quand les shhhht colériques se font entendre, tu préfères ignorer les autres spectateurs pour te concentrer un peu plus sur ta voisine. Tu dois surtout retenir l’aveu qui te vient, celui t’irait mourir mangée par des raptors de l’espace avec elle si elle voulait - comme si tu n’étais pas déjà certaine que tu irais n’importe où et à n’importe quelle époque pour être avec la Brésilienne. C’est la vérité en soit, mais ce n’est pas une chose à dire dans un premier rencard, même si c’est une date chargée de bien trop d’émotions pour que ce soit aussi simplement qualifié. « Maybe you would figure everything out. » Parce que si quelqu’un peut le faire à tes yeux, c’est Elena, peu importe ce qu’elle en disait. Tu fais le commentaire plus pour montrer la foi que t’as en elle que quoi que ce soit d’autres. Tant pis si c’est un peu intense, un peu trop.
Tu fais au moins l’effort de ne pas t’attarder, de sauter tout de suite sur la question suivante sans même que tu en connaisses la réponse parce que… est-ce qu’il y avait seulement des pays à cette époque ? Tu ne peux pas t’empêcher de sourire un peu plus lorsque la voix d’Elena fait écho à ta réflexion. « I don’t know if there would be countries, but that spot would be nice. » Tu pointes l’écran en direction de… l’Afrique ? l’Amérique du Sud ? T’en sais trop rien à vrai dire, tes connaissances en géographie ne servant strictement à rien à l’époque où les continents étaient différemment placés. « Anywhere would be fine actually. » Quitte à recommencer dans le passé, autant ne pas se limiter sur l’endroit où débarquer.

Lorsque la représentation se termine, vous vous glissez hors de la salle à la suite de la foule sans même lâcher l’emprise que vous avez l’une sur l’autre. Tu ne t’en soucies pas, bien trop à ta place avec ta main dans celle d’Elena. Tu poses un regard émerveillé sur tout ce qui vous entoure, les différentes maquettes mises en place autant sur le plafond que sur tes présentoirs. Sans doute que tu pourrais y perdre bien du temps à tout lire et chercher à tout apprendre si ce n’était de la compagnie. Avec la Brésilienne, tu te retrouves bien plus intéressée par ses réactions « I could see you with a feisty racoon, I feel like it’d match your energy. » Tu la taquines, pas trop sérieuse, pas assez pour que ça sonne comme une quelconque critique de ce que tu connais d’elle au-delà de ce supposé premier rencard. Puis, de toute façon, vu toute l’affection qui brille dans tes yeux, difficile de penser que t’as une critique à formuler la concernant. « Or we would lose you in the bear’s hug. » Que tu dis en pouffant légèrement, cette fois, c’est une pointe - un peu gratuite - au sujet de sa taille. Pas que tu sois beaucoup plus grande qu’elle, mais face à un ours, vous feriez pâle figure toutes les deux.
Ton regard passe ensuite d’Elena vers ce qu’elle te désigne te laissant émerveiller par Jupiter pendant un bref instant. « For sure. I’d love to have a dog or maybe another cat. » Le chien a toujours fait partie de la vie dont tu as rêvée avec la Brésilienne, entre ça et les enfants, la petite maison. Un peu plus et tu faisais le remake du rêve américain version lesbienne… et ouais non en fait c’est exactement ça. « Maybe even something more exotic if I believe the captain would accept that. » Tu doutes que ton chat se montre très ouvert à l’idée de partager son quotidien avec quoi que ce soit. Il accepte déjà qu’à moitié tes colocataires. « And you ? Would it be be another plant or something a little more lively ? » Sans doute que tu devrais t’inquiéter à l’idée qu’elle adopte un animal, mais en soit ce n’est pas un problème si c’est avec toi. Et ouais non doucement vous aviez dit.

Quoi que le doucement prend peut-être un peu le bord avec la question d’Elena. Elle assure que c’est une question standard et même si t’as envie de la contredire sur ce point, tu réalises que t’as pas d’expérience pour le faire. Tu doutes pouvoir compter les rencards que t’as eu avec Samuel - t’es certaine de ne pas avoir envie de les compter - et tu n’en as pas eu avec la Brésilienne, pas vraiment. « Should I give you the standard and boring answer then ? Something like I want someone who love me for me and stuff like that. » Le pire c’est que ce n’est pas faux. Il y a toujours ce besoin pressant que tu ressens d’être assez pour les autres, au même titre que tu as l’impression de ne jamais l’être. Ta vis-à-vis, mieux que quiconque, doit en être consciente. Mais tu fais l’effort de réfléchir, de vraiment considérer les mots que tu veux mettre sur tes envies. « I want a partnership. Someone I can trust, a family i guess. » Au plus simple, tu pourrais dire que c’est elle que tu veux, qu’elle. Qu’il n’y aura jamais personne d’autre qu’elle. Sauf que tu ne peux pas, même si ça se voit dans tes yeux, dans le fin sourire que tu lui adresses. « What would be a great relationship for you ? » Parce que bon, quitte à poser les bonnes bases dans cette nouvelle relation, autant le faire de tous les côtés. Sans compter le fait qu’au-delà des bases, c’est une réponse qui t’intéresse au plus haut point. T’as envie qu’elle soit heureuse après tout, heureuse avec toi.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Dim 19 Fév - 1:05
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Elena Esteves
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elena esteves et @victoria esteves
« Jarrod the raccoon it is, then. » Le sujet de conversation est aussi aléatoire que léger et c'est exactement ce qui devrait suffire, pour un premier date – et Elena, qui est toujours la première à se prendre au jeu et à le pousser parfois trop loin, tâche de s'en souvenir alors qu'un sentiment proche de la frustration tire dans sa poitrine. Il est incroyablement étrange de se tenir si loin de cette femme qu'elle connaît sous toutes ses coutures, au point où tenir sa main ne lui suffit pas ; l'intimité est insuffisante, la proximité tissée par les années et la force des difficultés ne s'y reflète pas. À bien y réfléchir, elle s'est piégée seule en proposant de se cantonner à ce premier rencard qu'elles n'avaient jamais eu. Le tout lui laisse un sentiment d'insatisfaction immense auquel elle n'a aucune issue à donner, sinon celle de la patience. Et Dieu sait combien Elena en manquait, de patience. « Okay, but I'd let myself die in the sweet embrace of a fluffy hairy bear, even if it meant I'd be its babies' dinner. » Aucun downsides de ce côté-là, à ses yeux. Mais encore une fois, c'est quelque chose de plus tangible qui attire son attention, l'idée d'un concret qu'elles auraient pu avoir et qu'elle tente désespérément de ramener. « A dog would suit you », relance-t-elle, regard dans le vide alors qu'elles passent devant les expositions sans qu'Elena ne s'y attarde trop. Un chien, c'est ce dont elles ont toujours parlé pour elles deux, et ça ressemble fâcheusement à un terrain miné. « With work and stuff? Plants are the safest bet. Otherwise I'd definitely go for a parakeet or a puppy. Teach it all sorts of dumb tricks. » Pourtant le sujet reste et revient de lui-même, et c'est plus fort qu'elle : il faut qu'elle embraye sur ce qu'elles font, ici, là, maintenant ; ce qu'elles cherchent, ce qu'elles veulent. Elle a une soif de réapprendre à connaître Victoria qui se fait impérieuse et dure à dompter, presque autant qu'à comprendre. Parce que ce qu'émet Victoria ressemble drôlement à ce qu'elles auraient pu avoir, si Elena n'avait pas tant merdé ; ça n'échappe ni l'une, ni à l'autre, ni dans leur attitude soudain gênée ni dans leur regard complice qui se cherche avant de se fuir.  

« The same, I guess », répond-elle, peu inspirée, parce qu'elle n'y a jamais réfléchi outre mesure – la réponse avait toujours été si évidente qu'elle n'avait pas eu besoin de mettre de mots sur le fait que c'était Victoria, qu'elle voulait. Et s'il fallait mettre des mots dessus, ce serait exactement ce que la jeune femme représentait pour elle qui ressortirait : « A family, a best friend, someone I can confide in without fear of judgment. Like ideally, if I were to crumble, she'd be there– not to pick me up but to tell me it's gonna be alright. Something like that. » Sa main vient gratter sa nuque alors qu'un sourire en coin gratte sa commissure, mal à l'aise. « Plus three to eleven kids and probably a dog. Obviously. » Son plus gros problème, et ça l'a toujours été, c'est cette foutue impossibilité à rester sérieuse et vulnérable sans recouvrir ses émotions avec une bonne couche de désinvolture. Elena n'est pas de ceux qui se confient ; elle est du genre à vider le pot de confiture rempli de traumas sur la table devant tous les invités avant de grossièrement le ramasser à l'éponge sale à grands renforts de mais j'déconne, hein, haha. Même avec Victoria – surtout quand elle en était la cause. C'est de là, que vient toute cette colère mal contenue, qui déborde toujours d'elle quand elle s'y attend le moins : elle est infoutue de rester sérieuse. « But I must inform you that I've already met the love of my life and I fear no one'll be able to replace her. » Un regard dramatiquement éperdu souligne la plaisanterie pour masquer la réalité qu'il y a derrière – elles ont quitté le premier date depuis un moment, quoiqu'elles fassent pour sauver les apparences. « But I mean, we can shag. » Les sourcils remontent sur son front avec cet air effronté qu'elle se donne perpétuellement pour se montrer forte, sourire de gamine un peu trop confiante en prime. « What about kids, though? Is that something you want? » Si la pensée lui vient qu'elle se projette un peu trop, elle a tôt fait de la refouler.

« Hey, look, spaceship », murmure-t-elle, doigt pointé de la façon la moins discrète qui soit envers un des objets de collection qui trône entre la salle système solaire et la salle astronautes. Le panneau ne pas s'installer est posé avec autant de hauteur que le vaisseau en lui-même, et Elena devine aux poignées grossières que les portières sont actionnables. «  Should we sneak in? » C'est toujours sur le même ton de gamine en train de commettre une connerie, sourire en prime et main resserrée dans la sienne pour empêcher mentalement Victoria de dire non.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Sam 13 Mai - 15:07
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@elena esteves et victoria pearson
Mourir dans un câlin brutal d’ours, bizarrement (ou pas), tu n’es pas surprise que c’est une fin qu’Elena accepterait volontiers. Ça te fait sourire, parce que c’est le genre de chose qui vous distingue et qui la rend ô combien attachante. Ça a toujours été comme ça avec Elena, parce que t’es incapable de résister aux réflexions du genre qu’elle se fait. C’est pour ça que t’as un petit air attendri et que tu ne contredis pas son affirmation même si c’est une mauvaise idée de se donner comme nourriture à un ours - ce ne serait même pas suffisant de toute façon. « You think so ? » Tu ne sais pas si ça t’irait vraiment, mais t’as toujours voulu un chien avec elle alors forcément, tu t’attaches à son affirmation, tu penses à tous les plans que vous aviez pu avoir en ce sens. Surtout, tu dois te retenir de trop rebondir, de rappeler que tu ne veux un chien qu’avec elle. C’est difficile de retenir des habitudes qui reviennent trop facilement quand il est question de la Brésilienne, peut-être parce qu’elles ne t’ont jamais quittée. « That’s true, you have such a green thumb after all. » T’en rigoles doucement cette fois, parce qu’il est plus simple de l’embêter sur ce point que d’éviter les commentaires trop sérieux. Ceux-là même qui t’échappe à peine un instant plus tard : « But you’d be great with a dog, I’m sure of that. » Ça vient de la même certitude qui t’habite quand tu imagines Elena avec des enfants, mais c’est une pente bien trop dangereuse pour que tu y penses plus d’un instant.

Pas que tu en soit bien loin quand vient le temps de réfléchir et de partager ce que tu cherches dans un couple. Une question qui pourrait se répondre si simplement, en un seul mot même, si tu te permettrais de faire preuve d’une honnêteté presque destructrice. Tu ne le fais pas, te contentes plutôt de le sous-entendre, de le dire avec tes yeux. Tu ne peux pas faire sans, ton coeur crie tout ça au plus fort de ses capacités, comme s’il priait pour se faire entendre. Ton coeur est con après tout, ça a toujours le cas quand ça la concerne. C’est pour ça qu’il s’emballe nécessairement devant la description de ce qu’elle voudrait d’une relation, ce qui fait un peu trop écho à ce que toi tu cherches pour que tu sois indifférente. Tu prends une grande inspiration, pour t’aider à reprendre un peu de contenance.
Ça ne dure qu’un minuscule instant avant que ta vis-à-vis ne vienne briser le tout avec un manque de sérieux que tu lui reconnais. Tu secoues la tête, sans trop savoir ce que ça te fait de se replier sur ses comportements habituels. En soit tu ne peux pas juger, t’es du genre à avoir la même attitude, le même mécanisme de défense. « Eleven kids, I thought you’d want twelve. » Tu n’es pas plus sérieuse quelle, n’ayant pas envie de te lancer dans de longue tirade, surtout craignant de s’échapper sur un ‘je serais là pour toi’ trop vulnérable. Vous êtes loin d’un premier rencard, vous avez laisser ça en arrière rapidement, mais quand même. Ça ne te protège pas des mots d’Elena, ceux qui viennent balayer ta prudence toute relative à grand coup ‘d’amour de sa vie’. « Oh ? Do I know her ? » Tu feins l’indifférence, essaie de chasser la peur qui s’accroche malgré tout, la crainte qu’une caméra sorte de nulle part et que le coup ne soit qu’une blague de mauvais goût. Tu sais que ce n’est pas le cas, te rattache au fait qu’elle est avec toi, premier rencard supposé ou pas. « I can live with that, you do seem like a catch. » Dans lit ou en dehors, tu restes persuadée qu’elle est la seule femme pour toi, mais ça semble gros à dire, même indirectement. T’essaies d’être sage.

Sagesse qui prend vite le bord à coup de : « Yes. » Quand elle te parle d’enfants. En soit, c’est un oui conditionnel, il y a un ‘avec toi’ qui brûle tes lèvres, qui se fait entendre dans le silence d’un instant. Tu laisse le changement de sujet se faire alors qu’elle te désigne un vaisseau. La peur d’avoir fait une bévue est là. « I’m not sure… » Non en fait t’es parfaitement certaine que vous n’avez pas le droit d’y aller. C’est évident vu le signe, mais c’est aussi le genre de chose qui sont interdites en règle générale. Mais la main d’Elena serre la tienne et nécessairement : « Why not. » Tu te laisse convaincre bien facilement, trop, mais ce n’est pas grave. Tu lui adresses un sourire, avant de regarder autour de vous et ouvrir la porte du vaisseau une fois que la voie est libre. Il est aisé de voir que ce n’est pas fait pour ça, encore moins pour que deux adultes s’y faufilent, mais tant pis. Il y a pire qu’être entassée dans un petit vaisseau dans une proximité enivrante d’Elena. Les apparences du premier date tombent un peu plus alors que tu l’attires vers toi autant que possible. « Let me guess, that’s your move to get girls to fall for you ? Taking them up in space ? » Ta main libre vient lui caresser la joue, bien trop loin des limites que vous vous étiez fixée. « I gotta say that it’s working. » Quoi qu’Elena pourrait bien faire n’importe quoi que ça fonctionnerait sur toi. La preuve, tu laisses ta paume couvrir sa joue pour l’attirer vers toi et l’embrasser. Oui bon, apprendre à vous connaitre, c’est peut-être un peu loin de ton esprit à présent.

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(#) Re: make you feel my love (elena)    Ven 19 Mai - 2:11
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