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 take my hand, take my whole life too (elena)

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Victoria Esteves
‹ the light of a real enemy ›
Victoria Esteves
messages : 1959
rps : 118
name : dday, audrey.
faceclaim : kristina tonteri-young | boneecho (avatar) ; old money (signature) ; softavasilva (gif signature) ; aly&aj (lyrics)
multinicks : leah chatterton (v. kirby), charlotte cosgrave (s. c. hook), whitney reed (l. harrier), johanna huang (s. hsu) & noelle reynolds (e. purnell).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : parents toxiques, relation toxique, violences conjugales, infidélité, décès d'un proche, deuil, self hatred.
trigger : suicide, idées suicidaires.
gif : take my hand, take my whole life too (elena) Gdv3rLb
âge : (vingt-sept ans) et pour une rare fois, une pointe d'optimisme pour ce que la vie te réserve, comme quoi tes trente ans à venir ne sont plus si terrifiants.
statut civil : (mariée à elena) une union célébrée à vegas sur un coup de tête, mais assurément la meilleure décision que t'as jamais prise.
occupation : (policière) un métier qui te passionne pas plus que ça, mais au moins la paie est décente.
habitation : (33, faubourg marigny) un petit appartement que tu partages avec des colocs, c'est pas plus mal.
disponibilité : non dispo.
code couleur : #58A291


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[ take my hand, take my whole life, too ]
@elena esteves & victoria esteves
Dire que tu débordes d’un enthousiasme inhabituel de ta part serait sans doute l’euphémisme du siècle. T’es limite en train de vibrer sur le siège du taxi tellement t’as hâte d’arriver à l’aéroport. Autant dire que ce n’est pas un soudain amour pour le voyage aérien - non plutôt crever - c’est juste pour la voir elle, pour pouvoir vous envoler pour ce qui serait, assurément, le plus beau jour de ta vie. Même qu’en fait, dire que t’as hâte ne traduit pas l’entièreté de ce que tu ressens, cette énergie particulière qui t’a empêché de penser à autre chose que la femme de ta vie depuis qu’elle a lancé l’idée de vous marier spontanément à Las Vegas. Le bon sens aurait peut-être du te dire que ce n’était pas l’idée du siècle, que même si te marier avec Elena est une évidence depuis toujours, un mariage à l’improviste revient sans doute à précipiter les choses un peu trop. Sauf que le bon sens ne t’est pas venu en tête, n’a pas pu faire un barrage à ce que ton coeur voulait plus que tout.
Tu serais Victoria Esteves sous peu, tu serais sa femme.
Et putain t’as surement jamais été aussi heureuse qu’à t’imaginer dans quelques heures.
Même la sécurité ne parvient pas à te décourager. Tu vois les regards de travers des douaniers qui se demandent surement pourquoi t’as un sourire plaqué sur tes lèvres pendant que tu traverses quelque chose de franchement désagréable - ou alors ce qui est contenu dans le sac que Charlie t’a donné en te faisant promettre de pas ouvrir ce que tu regrettes vaguement maintenant que tu l’a passé dans les machines de la sécurité. Les vêtements sont bien rangés dans la petite valise que tu traines en plus du sac, même ceux d’Elena que tu n’as pas non plus eu le droit de voir.
Mais qu’importe, une fois la sécurité passée tu peux retrouver ta fiancée, ta presque femme et tous les regards de travers du monde valent ça.

On pourrait quand même se demander comment ton visage peut s’illuminer encore plus considérant que ton sourire a pratiquement pas quitté tes lèvres de la journée. Mais il s’étire lorsque ton regard se pose sur Elena. Tu laisserais presque tomber ton bagage à main pour aller la prendre dans tes bras, si tu n’étais pas vaguement consciente que ça risquerait de vous causer des problèmes à la sécurité. Alors tu presses le pas jusqu’à sa hauteur pour finalement laisser la valise au sol et l’attirer vers toi. Il y a tellement de choses que tu voudrais dire, tellement de choses que tu voudrais faire, mais là, en plein milieu d’un aéroport, tu te dis que ce n’est peut-être pas le bon moment. Tu fais au mieux, un de tes mains trouve sa joue pour la relever vers toi et te permettre de l’embrasser. C’est plus chaste que tu le voudrais, plus doux, mais vous êtes dans un lieu public. « I missed you so much darling. » Ça aussi c’est plus doux que voulu, mais qu’importe, c’est aussi terriblement vrai. Son voyage au Portugal a été écourté pour qu’elle revienne t’épouser, mais t’as quand même l’impression de ne pas l’avoir vu pendant mille ans. Et ça c’est en comptant les FaceTime et les innombrables sms envoyés. Tu l’aimes à ce point là, c’est tout ce qu’il faut comprendre.

Tu vogues toujours sur ton petit nuage lorsque ta main capte la sienne et que l’autre récupère la valise. T’es tellement heureuse dans ce moment précis que tu n’angoisses même pas sur le vol à venir. Tu te dis vaguement que ce sera forcément moins pire que celui pour aller au Brésil, mais au fond, qu’importe. Elena serait là et vous allez vous marier une fois à Vegas, est-ce qu’il y a vraiment autre chose qui peut compter plus dans la balance ? Non, bien sur que non. C’est donc avec un minimum de sérénité que tu t’installes sur ton siège. Ta main quitte à peine celle de la Brésilienne, juste quand c’est absolument nécessaire. « I can’t wait to be your wife. » Vous l’avez dit à de nombreuses reprises, par sms, mais le dire de vive voix, ça te secoue encore plus. Victoria Esteves, comme ce serait beau. « I love you, more than anything. » Ça aussi tu l’as dit pas mal, mais tu le dirais autant de fois que possible, parce que ce ne sera jamais suffisant. Qu’importe si ça se voit dans tes yeux, si ça se trahit dans chacun de tes gestes, t’as besoin de le dire, de lui dire à quel point t’as envie de l’épouser.
C’est d’ailleurs pour ça qu’il n’y a qu’une question à poser quand l’avion atterri. « Are we going straight to the chapel ? I need to get changed. » Oui parce qu’aller vous marier tout de suite n’est évidemment pas le problème. Non, c’est plutôt le fait que t’as besoin d’enfiler la robe que t’as acheté avec Alisha. Vous avez mis du temps pour ça et t’espères qu’elle aura l’effet escompté alors autant t’assurer de prendre le temps pour ça. Le reste tu t’en fiches, tu marierais Elena dans l’aéroport si ça te permettrait d’être sa femme plus vite.

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(#) take my hand, take my whole life too (elena)    Mar 10 Jan - 22:54
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Elena Esteves
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so i heard the bad news, nobody likes me and I'm gonna die alone in my bedroom looking at strangers on my telephone
liste des rps
prénom titre du rp.
prénom titre du rp.

résumé du personnage
petite flique merdique, copine merdique, amie merdique, sous ses grands airs qui puent la surdose de confiance, elena ne s'aime pas beaucoup. gamine de parents riches avec une jolie propension à délaisser leur gosse, elena s'est forgée sur le champ de ruines d'un mariage en lambeaux pour construire cet ensemble qui tient à peine debout, un peu poétique dans son chaos de vulgarité. elena, c'est une grande enfant qui pue le prosaïsme, l'inconscience de ses privilèges et l'auto-justification de ses comportements malsains, mais c'est quelqu'un qui essaie, qui crève d'envie de faire mieux, de devenir quelqu'un de sympa et de bien.

messages : 2605
rps : 89
name : princesse mononoprix, anna
faceclaim : alba baptista + murdock.
multinicks : elena esteves (a. baptista), abel cafferty (j. mullarkey), leo washington (f. pugh), clementine saylor (b. howey), ianthe braddock (h. schafer).
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : relation toxique, quotidien policier, négligence parentale.
trigger : /
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âge : 27 ans tout rond (19/01), et pour une fois un grand optimisme.
statut civil : a épousé victoria dans un mariage hâté à vegas, qui s'avère être sûrement la meilleure décision de sa vie.
occupation : elle a abandonné une justice corrompue pour une autre en devenant assistante du procureur local, s'enfonçant encore plus dans de la paperasse de merde.
habitation : un petit appart avec beaucoup de plantes mortes dans le vieux carré
disponibilité : bientôt (0/4)


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[ take my hand, take my whole life, too ]
elena esteves & @victoria esteves
tw: horny teenager crap
Vegas, c'était l'impulsion la plus totale. Elle avait jamais été très organisée, Elena ; plutôt du genre à se laisser porter et à suivre son instinct plutôt qu'un plan défini, quitte à tout foirer par manque de préparation. Elle vivait au jour le jour sans chercher d'infos sur le lendemain, elle prenait les défis à bras le corps quand ils se présentaient sans chercher à les anticiper – tout faciles à éviter soient-ils, ce qui était à la fois sa plus grande force et sa plus pitoyable faiblesse. Et pourtant, toute prête à l'impromptu doit-elle, toute versée dans l'art de l'improvisation qu'elle se sente, proposer à Victoria de se marier du jour au lendemain à Vegas est un territoire foutrement inconnu. Son éducation chrétienne lui a inculqué qu'un mariage se fait dans une église, avec les représentants appropriés et tout un cercle familial et amical : l'union est reconnue par la meute devant Dieu lui-même selon une suite de préceptes appropriés et respectés depuis la nuit des temps. Las Vegas, c'est pour les cons, les impies, c'est digne d'un soir de cuite juste avant de passer à McDo, c'est le plus gros cliché que porte leur pays et ce n'est pas approprié pour un amour vrai et qui se veut durable, le genre salvateur sous les yeux du tout puissant.

Pourtant c'est ce qu'elle fait, quittant le Portugal sur un coup de tête avec ses valises et un adieu pressé à son père et à sa sœur, parce que l'amour n'attend pas. Si Elena a pigé un truc, dans toutes ses conneries, c'est qu'à force de ravaler les émotions et repousser les échéances, elle a failli la perdre et elle n'a plus ce luxe. Et que tant pis pour l'union sur un coin de table, avec des robes trouvées à la dernière minute et sans public à part des mecs blasés qui font que ça de leur vie : la symbolique y est, dans le geste, pas besoin de bouquets magnifiques ou d'un putain d'orgue pour que Dieu les couvre et les bénisse, il les aime n'importe où et Elena n'a pas envie de passer une seconde de plus sans avoir Victoria comme femme. Elle a trop souvent failli la perdre pour reculer l'échéance, comme si cette fois était la dernière, l'ultimatum avant la fin.

Alors elle fond dans ses bras sans retenue, valise balancée aux quatre vents sans plus un regard. « Fuck, it's been ages », c'est tout ce qu'elle lâche dans un soupir dramatique alors que ses bras serrent la taille de son amante pour la garder le plus près possible, retrouver son odeur rassurante, la chaleur de son corps et les bras qui lui ont trop manqué. Elle pourrait rester là des heures, si l'envie pressante d'aller à Las Vegas ne se faisait pas sentir ; elle se laisse traîner comme un enfant sage, tout sourire alors qu'elle ne quitte pas sa future femme des yeux, s'installant à côté d'elle dans l'avion sans lâcher sa main ni la lâcher d'une semelle. « I love you the most », souffle-t-elle en retour, « how I've waited this long to ask you to marry me is above me. » Non, Vegas ne semble définitivement pas une impulsion vaine et regrettable.
L'avion atterrit trop longtemps après, sûrement encore plus pour leurs voisins de places qui ont dû les supporter, Elena avec sa robe attachée sur un cintre et recouverte d'un emballage spoiler-proof qu'elle trimbale en tous sens encore plus. « No, we're not », qu’elle confirme à sa voisine de siège avec un rictus de gamine prise en flag : bien sûr qu’il faut passer au motel en premier lieu, notamment pour se changer. Notamment. « But I can't guarantee we'll be at the chapel too early. » Elle profite de la foule qui se presse hors de l’avion pour se pencher vers l'oreille de Victoria et lui glisser : « I crave you so bad I might die if I don't taste you. » Elle se relève avec un sourire malicieux, mais un regard pas moins brûlant ; les jours passés sans se voir se cumulent en un manque de proximité qui s'amplifie avec la perspective du mariage à venir.

Le chauffeur de taxi conduit en prenant soigneusement soin d'éviter de les regarder alors qu'Elena a posé sa tête contre l'épaule de Victoria tout près de son cou. Sa jambe s'agite sous l'impatience, elle s'échappe du véhicule à l'arrivée comme si sa vie en dépendait pour traîner Victoria jusqu'à la chambre. Matelas trop fin, tapisserie immonde, lampe cassée : elle ne fait attention rien qu'à ses lèvres contre celles de sa fiancée, à ses mains autour de son cou, à la hâte qu'elle n'a jamais su gérer. « I can't believe you're going to be my wife », murmure-t-elle d'une voix étouffée alors que son nez se frotte doucement contre le sien. Prendre son temps : c'est ce que son cœur lui exhorte, parce qu'elle a besoin de regarder tout au fond de ses yeux, de caresser son visage, de lui montrer qu'elle l'aime autrement que par le sexe, et elle ne sait que peu faire mais elle apprendra. « I've never been this happy in my life, ever. » Une main se faufile sous le haut de Victoria, subrepticement, autant pour chercher ses réactions que pour retrouver la peau de son dos et la caresser du bout des doigts d'un geste réconfortant. « Just one technicality, you can't see my dress before we're at the altar. » Menton vers le ciel alors qu'elle se hisse sur la pointe des pieds pour poser son front au sien, elle accentue l'inclinaison pour retrouver ses lèvres. C'est fiévreux, cette fois ; la main tire sur son haut pour lui intimer de le quitter, sans pour autant se montrer impatiente : il s'agit de se changer, et Elena est presque prête à sagement s'y tenir. « And I can't see yours either. So one of us is gonna have to go first. » La main est presque chaste quand elle déboutonne le jean de son amante, faussement innocente, pas moins prête à s'arrêter pour sauter dans le premier taxi jusqu'à leur autel.

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(#) Re: take my hand, take my whole life too (elena)    Jeu 12 Jan - 14:03
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Tu devrais pas être si charmée et pourtant tu ne peux pas t’empêcher de fondre devant le cliché qu’Elena t’offre. I love you the most. Tu peux pas t’empêcher de sourire un peu plus, même si y’a une drôle d’envie de pleurer qui se fait sentir. Ce serait des larmes de joie, les plus belles jamais versées parce que t’es juste tellement heureuse. « I love you to infinity and beyond. » C’est con, parce que c’est définitivement pas un concours, mais ça vient naturellement. Tu profites de cette liberté même si elle cadre pas avec qui t’as l’impression d’être. « I don’t know what we were thinking, we should never have waited this long. » Pour vous marier, pour enfin vous passer la bague aux doigts. Il y a plein de raisons logiques derrière cette attente, derrière tout ce temps qui s’est écoulé, mais dans le moment présent elles n’importent plus. Seule l’idée d’enfin l’épouser prime et c’est la meilleure décision que t’auras jamais prise. Le fait que ce soit un mariage à Vegas, quelque chose qui est normalement synonyme de décisions prises par des gens bourrés qui devraient définitivement revoir leurs priorités.
Dans votre cas c’est juste une brillante idée, un éclair de génie que vous auriez du avoir avant.
C’est pour ça que l’idée d’aller directement à la chapelle te traverse l’esprit, que tu la considères longuement même lorsque Elena confirme que non, qu’il y a autre chose avant. Vous changez oui, bien sur. C’est ce que t’as dit toi-même, mais ça t’apparait à présent être un obstacle au moment tant attendu.
Ou peut-être qu’obstacle c’est pas le bon mot en fait, il disparait très certainement de ton esprit à ce qu’elle ajoute, à ce qu’elle te souffle à l’oreille. Le rouge vient rapidement teinter tes joues, les pointes de tes oreilles, en raison de ce qu’elle dit, oui, mais aussi (et surtout) du regard brûlant que tu croises. « I can’t believe you. » Comme si tu pensais pas plus ou moins la même chose, comme si ta voix n’était pas rauque d’un désir presque palpable, comme si ton ventre ne s’enflammait pas à l’idée de pouvoir enfin la retrouver. Ça ne fait pas si longtemps que vous ne vous êtes pas vu, mais t’as l’impression que chaque jour a duré beaucoup trop longtemps.

Alors autant dire que si t’as pas l’air d’une ado en rut comme ta fiancée, c’est uniquement grâce à un contrôle d’acier sur ta personne. Tu ne te fais pas prier pour la suivre jusqu’à la chambre après avoir réglé la facture du taxi avec un empressement évident - tant pis si t’as donné un peu trop d’argent du moment que tu peux te retrouver seule avec Elena. Tu regardes même pas la chambre quand vous y entrez, ton regard est uniquement sur elle avant que tes yeux ne se ferment quand ses lèvres trouvent les tiennes. Tes mains viennent se poser de façon à l’approcher le plus près de toi possible. « Believe it. I can hardly wait. » D’être sa femme, d’enfin porter son nom. Tout ce que ça implique n’est pas perdu à tes yeux même s’il est difficile de garder tout ça en tête dans le moment présent. Difficile d’aller à l’encontre de l’envie criante de proximité après tout, quand il suffise que sa main passe sous ton haut pour que tu frissonnes. « It’s only the beginning, I’ll make sure of that. » Ça pourrait sonner tendancieux - ce l’est peut-être un peu - si ce n’était de la tendresse évidente qui teinte tes paroles. Tu ferais tout ce que tu peux pour rendre Elena heureuse, c’est une promesse que tu ne fais pas à la légère - qui vient aussi avec un lot de mauvaises idées qui pourrait être inquiétant si ce n’était pas si loin dans ton esprit.
Pour l’instant, il n’y a que la Brésilienne, que le besoin de la sentir encore plus près de toi, que ce qu’elle dit - même si ça ne te plait pas particulièrement. Tu ne te fais pas prier pour te débarrasser de ton haut que t’envoie valser un peu plus loin dès qu’elle t’indique qu’il est de trop. « Do we have to ? » L’idée d’être séparée d’elle, encore une fois, même si ce n’est que pour l’espace de quelques minutes ne te plait pas particulièrement. « I mean technically we’re not supposed to have sex before mariage does that mean we should stop ? » Tu joues avec les concepts comme tu peux, pas très intéressée par la théorie au fond, t’essaies juste de la faire réagir. Ça se voit à ton petit sourire, celui qui se devine encore sur tes lèvres lorsqu’elles viennent s’écraser contre celle d’Elena avec une insistance évidente. « I want you. » Tu délaisses ses lèvres pour venir déposer des baisers le long de sa mâchoire, descendant vers son cou. « I want to be you wife. » Tu continues ton chemin, doucement retenant l’envie de laisser ta trace (tu le feras après le mariage). « I want to be yours I don’t care about dresses. » Tu te fiches éperdument du malheur que c’est supposé entrainer. Le pire est derrière vous, de ça t’es certaine (ou pleine d’espoir au choix). Même si bon, commencer à lui retirer son haut n’est peut-être pas la meilleure façon de lui dire que vous devriez partir pour la chapelle avant tout. Disons simplement que t’as envie d’être sienne de toutes les façons possibles.

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(#) Re: take my hand, take my whole life too (elena)    Jeu 12 Jan - 22:55
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âge : 27 ans tout rond (19/01), et pour une fois un grand optimisme.
statut civil : a épousé victoria dans un mariage hâté à vegas, qui s'avère être sûrement la meilleure décision de sa vie.
occupation : elle a abandonné une justice corrompue pour une autre en devenant assistante du procureur local, s'enfonçant encore plus dans de la paperasse de merde.
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elena esteves & @victoria esteves
tw: mention de seske
Étreindre Victoria a une saveur toute nouvelle et particulière, maintenant qu’elle a pu se faire à l’idée qu’elle ne la prendrait plus jamais dans ses bras - c’est un renouveau, une bénédiction, un cadeau divin et elle compte en prendre soin, cette fois-ci. Qu’importe si elle ne sait pas faire : elle apprendra, avec force patience et remises en question, parce qu’elle y dévouera sa vie jusqu’à comprendre tout à fait ce qu’on attend d’elle, et le faire à la perfection. Cette fois-ci, pourtant, elle n’a pas l’audace de le promettre à haute voix : elle se contente de se le jurer pour elle-même, ou de partir de son propre chef si elle s’apercevait un jour qu’elle rendait Victoria malheureuse. Elle s’est résolue à ça, aussi : elle ne peut pas tant faire mieux, alors que les plaies sont toujours ouvertes. Rien que les panser et montrer patte blanche jusqu’à ce qu’elles se referment et se guérissent et qu’elles puissent se faire confiance à nouveau, sans détours ni mauvaise foi.

Sa paume chaude atteint la peau brûlante du dos de son amante et la caresse délicatement, incrédule et enivrée par un contact qu’elle pensait presque oublié ; c’est si bon, de la retrouver, qu’elle est constamment entre le besoin de savourer et la pulsion presque animale de jeter toute prudence et patience au vent pour la retrouver entièrement, sans se restreindre ou s’embarrasser de quelque autre pensée. Elle se raisonne, pourtant, malgré ses gestes parfois trop osés, parfois carrément incontrôlés ; elle a besoin de se recentrer sur la raison de leur présence à Vegas, par-delà la peau qu’elle veut parsemer de baisers et les abdos sur lesquels elle reste fixée, bouche bée, un peu trop longtemps. « We don’t », répond-elle en automate à la question posée qui lui paraît désormais trop lointaine et nébuleuse. « But we should. I’m paranoid when it comes to traditions. » Tant pis pour le bon point que Victoria vient de soumettre sur le sexe avant le mariage : ça, par contre, elle n’est pas prête à faire un trait dessus. « Fair enough », qu’elle admet d’une voix peu convaincue, tremblante presque, sans savoir si elle doit attribuer ça à l’hésitation à ce que Victoria voit sa robe ou à son propre désir qui menace de la submerger. Elle fond de parts en parts à ce que lui murmure sa fiancée, entre la douleur causée par ce qu’elle a pu lui faire et lui prouver qu’elle va tout réparer, en le temps qu’il faudra, sans plus jamais faillir ; le haut d’Elena disparaît d’un coup de bras dans le vide et son corps brûlant trouve son jumeau, s’y colle alors que ses bras se nouent dans son dos. « Take me then », qu’elle lui murmure alors que son front retrouve le sien, puis son nez, puis qu’elle l’embrasse. Pas de faux-semblants cette fois ni d’innocence prétendue : les mots sont entiers et honnêtes, elle a besoin de la retrouver et de lui montrer qu’elle l’aime de toutes les façons dont elle puisse l’exprimer. « I’m yours completely. » Elle a besoin que Victoria le sache, le comprenne et le croie ; elle a failli tant de fois sur ce plan, de toutes les pires manières. Ses lèvres remontent, trouvent son front, ses sourcils puis ses joues, son nez jusqu’à son menton et sa gorge qu’elle incline d’un doigt. « Always. I’m not going anywhere ever. » Et c’est une promesse, à défaut de savoir en faire de meilleures. « In sickness and in health, and all that shit. » Sa langue passe légèrement sur sa clavicule tandis qu’elle se sert du poids de son corps pour l’entraîner jusqu’au lit.

***

« Okay, dresses, quick. »

Elle a le souffle encore altéré et les émotions éparpillées quand il faut qu’elles se redressent du lit et en sortent, maintenant franchement en retard. « Just don’t look at me too much before we arrive, or just focus on my face or something. » Son visage où le maquillage a sans doute coulé de parts en parts, comme si elle avait couru cinq kilomètres sous la pluie - ou qu’elle s’était envoyée en l’air juste avant d’arriver à la chapelle, ce qui était quand même le plus probable. « Calling a cab », qu’elle crie en sortant des toilettes, l’air d’avoir explosé et s’être éparpillée sur un rayon de 16km2, avec l’expression hagarde de celle qui n’a pas dormi depuis trois jours et qui se réveille en retard pour le boulot. « We have to be there in like 15 minutes. We're so fucking late. » Elle enfile sa propre robe à la va-vite, remonte de façon questionnable la fermeture éclair et évite soigneusement le regard de Victoria pour éviter de voir la sienne. « You good? Need any help? Please say no so we don’t get jinxed. »

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(#) Re: take my hand, take my whole life too (elena)    Jeu 30 Mar - 16:34
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tw: mention de sexe (rien d'explicite)

[ take my hand, take my whole life, too ]
@elena esteves & victoria esteves
Elena réclame le respect des traditions et qu’est-ce que tu peux faire en dehors de lui accorder tout ce qu’elle veut. « Fine, we’ll be careful. » Ce qui ne t’empêche pas de continuer dans tes gestes doucereux, parce que ça, tu n’en vois pas l’intérêt d’arrêter. Elle t’a manquée, bien trop, même si ce n’était l’histoire que de quelques jours loin d’elle. « I promise. » Que tu ajoutes, comme pour chasser les tremblements de sa voix, l’hésitation qui semble s’y trouver. La robe est une chose que tu peux respecter puisque ta fiancée y tient, le reste, ça t’importe peu. T’as besoin d’elle, de la sentir contre toi, d’être sienne sans plus aucune retenue. Pas que ça ait vraiment changé un jour, même lorsque tu l’as chassée de chez toi. Il n’y a toujours eu qu’elle et c’est tout ce dont tu as besoin dans le moment présent. C’est sans doute pour cela que tes yeux brillent d’une forte émotion à ses mots, ceux que tu sais honnêtes, sincères, vrais. C’est presque difficile à croire, presque si ce n’est que t’as l’impression que son coeur bat à l’unisson avec le tien. Tout ce qui s’est passé entre vous joue contre Elena, mais ça ne fait pas le poids dans le moment. Tu chasses tes peurs, les laisses fondre sous les baisers qu’elle dépose sur tes traits. « I love you. » Que tu es sienne relève de l’évidence à tes yeux, c’est tout ce que tu as toujours voulu, dès l’instant où elle est entrée dans ta vie. « I’m never leaving you again. » Tu ne veux pas rappeler les malheurs, tu veux simplement lui dire que t’es aussi là, pour toujours, pour aussi longtemps qu’elle veut de toi. Peut-être que c’était la bonne décision - ou la seule possible - de rompre tout ce qu’il y avait entre vous deux après le cas Ida, mais maintenant, c’est du passé. « Whatever happens, I’m yours, always. » Et t’es certainement sienne dans les moments qui suivent, alors qu’elle t’entraine vers le lit, le coeur emballé dans ta poitrine, prêt à en sortir pour s’afficher pleinement, sans aucune retenue ou tentative de protection.

(...)

Et c’est dans ses bras que tu aurais voulu rester encore bien longtemps, si ce n’était de ce qui vous attends. Ça n’empêche pas la pointe de regret de s’inviter dans le portrait alors que tu te tire hors du lit. Tu sais que vous êtes en retard et ça devrait t’embêter plus que ça. Ça le ferait certainement si tu pouvais seulement regretter le doux moment avec Elena. Puisque c’est impossible… « I’ll look the other way, don’t worry. » Parce qu’elle y tient et que t’as beau être indifférente aux traditions du genre, tu ne lui refuserais pas ça. Tu fouilles pour sortir ta robe de son étui protecteur et les chaussures que t’as amené en prime. Tu ne peux que remercier intérieurement Alisha, celle qui t’a accompagné pour choisir la robe alors que tu l’enfiles sans aucun soucis. Ce n’est rien d’extravagant, parfait pour une cérémonie décidée sur un coup de tête. « It’ll be fine, it was worth it. » Oui bon, malgré tout, t’es tout aussi nerveuse, toute aussi stressée à l’idée d’arriver trop en retard, rien que parce que la dernière chose que tu voudrais, c’est que votre rendez-vous soit annulé. Quoi qu’il faut se demander si les chapelles de mariage de Vegas sont vraiment si ponctuelles et demande la même chose de celleux qui les utilisent. Enfin, tu préfères ne pas tester, ce pourquoi tu termine d’enfiler ta robe et de remonter la fermeture éclaire dans l’espoir que ce soit visuellement correct. « I’m good. » T’aurais eu besoin d’un deuxième avis, mais ce n’est pas le moment.

Alors tu fais de ton mieux pour éviter de poser ton regard sur elle alors que vous embarquez dans le taxi. Ton regard reste plutôt posé vers l’extérieur, balayant les environs avec un intérêt limité. Tu n’es pas là pour voir Vegas, tu t’en fiches même. C’est sur Elena que tu garderais ton regard braqué si c’était une possibilité, mais puisque ce n’est pas le cas, il faut que tu te contentes des lumières trop fortes de la ville. Enfin ça et ta main qui cherche la sienne à l’aveuglette, cherchant tout de même un contact avec celle que tu aimes.
Celle qui serait ta femme, pour toujours.
Le trajet vers la chapelle se fait relativement bien, même s’il n’y a aucun doute quant au fait que vous êtes bien en retard. Tu ne parles pas pendant la route, soudainement plus nerveuse que tu n’aurais cru l’être. Ce n’est pas que tu as peur de faire le mauvais choix, c’est plutôt que ton coeur menace de sortir de ta poitrine à chaque instant, à se dévoiler un peu plus. « I’ll go first to take care of things and then you’ll come ? That way we won’t see anything before the right time. » Tu serres sa main avec douceur. « I love you. » Ça doit être redit, alors que tu ouvres le taxi pour te glisser à l’extérieur. Sous peu elle allait être ta femme, officiellement liée avec toi pour le meilleur et pour le pire.
T’es émue, plus que tu pourrais le dire, c’est sans doute pour ça que t’as déjà les yeux humides lorsqu’on te fait prendre place à côté d’un Elvis sans doute bourré. Qu’importe. Ce sera définitivement le plus beau jour de ta vie. Parce que tu l’aimes à en crever et que tu pourrais enfin le crier sur tous les toits.  

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(#) Re: take my hand, take my whole life too (elena)    Sam 27 Mai - 14:54
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