Ohana Brooks ‹ the light of a real enemy › champ sous l'avatar : where's my mind?.
résumé du personnage
Née d'une mère bien trop jeune pour assumer son rôle, Ohana a été abandonnée à la naissance et confiée à sa grand-mère. Elle ne connait rien de ses origines excepté son sang canadien qui traîne là sans qu'elle n'en sache plus. Elle a tenté de devenir danseuse étoile avant de tout abandonner pour devenir danseuse de cabaret. Encore une fois, elle démissionne pour exceller dans son rôle de mannequin. Depuis cette année, elle a été promue au rôle de chasseuse de têtes. messages : 633 rps : 4
name : g.
faceclaim : zendaya coleman @andthesunrisesagain
intervention fortuna : peu importe
trigger warning : warning : abandon, polyamour, vulagrité
trigger : inceste, pédophilie, viol, toxic relationship
gif : âge : vingt-sept ans de pur bonheur et de totale improvisation, elle ne panique pas à l'idée de vieillir, elle se dit que c'est dans l'ordre des choses et qu'il ne faut pas se tracasser pour ça; juste profiter.
statut civil : célibataire qui le vit assez mal, elle doit l'avouer. ressentant toujours ce besoin d'offrir un amour qu'elle n'a pu recevoir durant son enfance, elle déteste l'idée d'être seule. elle se dit polyamoureuse mais ne le crie pas sur les toits, ça ne passe pas auprès de tout le monde.
occupation : chasseuse de têtes dans une agence de mannequinat de la ville. entre voyages et cartes de visite, ohana court partout pour trouver de nouveaux profils à débaucher pour la boîte.
habitation : en colocation avec la terrible noëlle
disponibilité : dispo.
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| [ you and me against the world] @Ohana Brooks & @Ianthe Braddock Ohana pianotait férocement sur son téléphone, tentant de régler des problèmes de dernières minutes avant de rejoindre Ianthe dans son appartement. A partir comme ça sans prévenir, elle s’était foutue dans une merde noire au travail et autant dire que sa supérieure n’était en rien ravie de la savoir en vadrouille alors que la période des recrutements commençait à pointer le bout de son nez. Mais la brune n’en avait que faire, franchement ce travail lui importait peu, son rêve c’était ce foutu cabaret dans lequel elle ne pouvait malheureusement retourner.
Elle ajusta son sac de voyage sur ses frêles petites épaules et quitta le hall de l’aéroport pour héler un taxi qui passait par là. La nuit était déjà bien tombée et autant dire qu’elle se sentait perdue dans cette ville qu’elle ne connaissait que de nom. Mais qu’est-ce qu’elle s’en fichait. Depuis qu’elle avait retrouvé Ianthe dans cette chambre d’hôtel, tout chez cette femme l’obsédait et la frustrait. Il avait été bien trop douloureux que de la voir partir après de telles retrouvailles, elle l’avait dans la peau.
La route défila sous ses yeux fatigués du voyage mais le palpitant était excité à l’idée de pouvoir sentir à nouveau sa chaleur contre la sienne, son odeur dans son monde et sa voix dans le creux de ses oreilles. Les photos n’avaient pas suffit à assouvir un désir ardent, les appels n’avaient pas suffit à satisfaire un manque trépident. Elle eut tout de même le réflexe de prévenir son amie de son arrivée imminente et fit attention à se recoiffer. Il fallait être parfaite, et même si elle avait fait un trajet épuisant, Ohana avait fait attention à sa tenue. Toujours dans ses plus beaux atours lorsqu’il s’agissait de rendre visite à la belle de son cœur inavoué. Elle n’était pas prête à voir la lingerie qu’elle avait enfilé et…
Ah, elle était arrivée. Elle offrit un sourire poli au chauffeur et s’extirpa de la voiture, sans oublier son magnifique sac de randonnée et scruta la façade de l’immeuble. Bon logiquement, elle ne s’était pas trompée. Logiquement. Il lui fallut une poignée de minutes supplémentaires pour se retrouver devant la bonne porte et toquer. Elle dut se retenir de tabasser la porte, il était tard quand même.
Et voilà qu’elle s’ouvre et le sourire d’Ohana s’illumine. Ianthe. Sans plus attendre, elle se jeta dans ses bras dans un baiser passionné. Elle n’en pouvait plus d’attendre, de rester sage, de culpabiliser de vouloir être avec celle qui faisait de sa vie un paradis artificiel depuis cinq ans. « Ianthe…. » souffla-t-elle
/ awards session | | (#) you and me against the world | Oanthe #2 Jeu 1 Juin - 11:04 |
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