silver moon's sparkling... so kiss me ((charles))

[ silver moon's sparkling... so kiss me ]

L’hospitalité dont faisait preuve Charles la mettait en confiance. Étrange sachant que le jeune homme chez qui elle avait atterri, elle ne le connaissait pas plus que cela. Pourtant, en le regardant, elle pouvait bien voir un homme charmant, il véhiculait de bonne vibration, un côté chaleureux et attachant. Tout comme l’avait été Sean autrefois… Dure réalité. Elle avait acceptée de prendre une douche, bien élevée, elle ne pouvait pas refuser deux fois. Et en toute honnêteté, elle en avait grandement besoin. Les pommettes rougis par la chaleur qui se dégageait de la douche, ses cheveux encore mouillés et portant ses vêtements à lui, elle sortait de la pièce, restant tout de même sur le seuil de la porte en cherchant du regard le brun. Elle croisait son regard, changé pour la nuit, elle réalisait ce qu’elle s’apprêtait à faire. Aussitôt elle baissait le regard, ses joues lui brûlant sous sa peau moustachée. « Oui. » soufflait-elle avec timidité. « Je te remercie. » formulait-elle en faisant un pas vers lui, relevant ses prunelles claires pour le regarder. Ne parvenant pas à garder le contact bien longtemps, elle baissait à nouveau son regard et cette fois, elle remarquait la transparence du t-shirt sur sa peau. Croisant ses bras, elle en venait à cacher sa poitrine. Dans l’empressement de se vêtir et celui de ne pas trop monopoliser la salle de bain, elle n’avait pas fait attention à un détail désormais assez flagrant. Si la gêne l’avait déjà gagnée, le cramoisie peignant ses oreilles ne pouvait que confirmer cela.

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w/ @Siobhan Caldwell

À ma question, tu sembles soudainement rougir et ça ne te rend que d'autant plus belle. Eh merde. T'es en couple, j'ai pas trop le droit de penser comme ça... et pourtant, j'peux pas m'en empêcher.Un pas vers moi et tu relèves tes yeux de biches qui me font fondre un peu plus avant de regarder a nouveau au sol. Je suis ton regard et avise ta poitrine qui pointe légèrement à travers le tissu, relevant à mon tour rapidement la tête et me raclant la gorge. « You mh.. you look a bit shaken up still.. do you want to go lay down for the night? Or we can stay up and talk if you'd like. » À ce stade, je n'étais pas bien difficile et m’accommoderais de ce qui te plaisait le plus. Tu devais être épuisé après ce qui s'était passé. En prime, Dieu sait combien de temps tu avais passé à endurer tout ça avant de m'appeler.

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w/ @charles davenport

Sa soirée lui avait échappée, non pas qu’à l’habitude lorsque Sean perdait le contrôle rien ne dérape. Bien au contraire, mais cette fois, elle l’avait appeler lui. Sans savoir pourquoi, elle s’était souvenu de son numéro et parmi tous ces gens, c’est lui qu’elle avait choisit. Et désormais là debout devant Charles, elle se sentait gênée et un peu bête d’en être arrivée là. Pourquoi le mêler à toute cette histoire ? Il n’avait rien demandé et elle lui avait imposé tout cela, lui offrant une entrée fracassante dans sa vie. Les bras posés sur sa poitrine, tentant en vain de dissimuler sa poitrine qu’il avait eu le temps de voir, elle regardait le sol. Cette gêne accaparant ses idées, brouillant ses sens. « Oui, je crois que je ferais mieux d’aller dormir. » soufflait-elle après un moment de réflexion. Elle se hissait sur la pointe de ses pieds et venait poser ses lèvres sur sa joue, le contact de sa peau chaude sur la pulpe de ses lèvres la fit frissonner. « Je crois me souvenir où ta chambre se trouve. » Elle se devait de s’en éloigner, au plus vite. C’était dangereux, mais pas au sens violent du terme, elle craignait plutôt sa gêne et sa force d’attachement — qui ne craquerait pas pour un prince volant au secours de la demoiselle ! Ses talons revenant aux sols, elle prenait la direction de la chambre. Avant de franchir la porte, elle se tournait lui souhaitant une « bonne nuit ». Elle finissait par disparaître et allait se réfugier dans le lit. Envelopper de son odeur, ne cessant de repenser à cette soirée, Siobhan poussait un soupir en comprenant qu’elle ne parviendrait pas à trouver le sommeil. Elle avait beau se retourner dans le lit, rien n’a faire, cette arôme musqué envahissait ses narines et réveillait ses sens. Au bout de plusieurs minutes, elle se levait sortant de la chambre et marchant vers le salon, elle s’arrêtait à l’entrée de celui-ci. « Dis, tu dors ? »

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