everybody say cheese (w/miles).

[ everybody say cheese. ]

w/ @miles hannigan
Rapide coup d’œil à sa montre ornant son poignet gauche, Celia réalisait qu’il ne lui restait plus énormément de temps. D’une vitesse affolante, la Dunne attrapait son sac à main, lançant banalement à la jolie secrétaire, assise derrière son bureau, de dire qu’elle était sortie si on la cherchait, ne lui laissant même pas la possibilité de répondre quoique ce soit avant que sa silhouette disparaisse dans l’ascenseur. Au gardien de sécurité, Celia offre un sourire rapide, déverrouillant les portières de la voiture d’un coup de pouce sur le bouton et son corps entier s’engouffrait dans celle-ci. En temps normal, si Celia avait rendez-vous avec son frère pour x raisons, elle se permettait de faire la distance à pieds entre le cabinet d’avocats et l’université, ce qui lui permettait, pas la même occasion de prendre l’air un peu. Néanmoins, cette fois, elle accusait un retard qui ne lui ressemblait pas à Celia. Toujours trop ponctuelle. Toujours à l’heure, peu importe les circonstances. Cette fois, son esprit avait été captivé par autre chose, probablement par les nombreux documents lui permettant de défendre son prochain client. Un jour, se disait-elle, quand la pile d’informations augmentait de manière considérable, Celia serait libre de tout cela. Que l’étau autour de son cou disparaîtrait éternellement. Jusqu’à ce que ce jour se réalise, Celia devait continuer de jouer le jeu de la parfaite Celia Dunne. Le son de ses escarpins qui cognaient sur le plancher était le seul qui parvenait aux oreilles de la blonde. Parmi la foule d’étudiants, elle se frayait un chemin, à travers eux, pour finalement rejoindre sa destination. Cette fois, Celia ne s’était pas perdu, c’était une première. « Callum ? » Elle avait remarqué l’absence de son frère dans la pièce et malgré tout, Celia avait ressenti le besoin de le confirmer en appelant son nom sans recevoir de réponse. La déception se frayant un chemin jusqu’à ses traits, sa main qui cherchait son portable dans son sac à main, Celia était sur le point de lui envoyer un message, s’assurant de reprogrammer ce dîner entre eux, avant de remarquer une ombre derrière elle, relevant les yeux et apercevant Miles. « Jamais bien loin de son meilleur ami, à ce que je vois. » Tous les deux, professeurs à l’université, Celia avait toujours l’impression de les croiser ensemble. N’ayant toujours pas compris comment leur amitié fonctionnait. Ils étaient si... différents l’un de l’autre. Comme ils étaient, eux aussi. « Si tu le cherches, il n’est pas là. Si tu désires lui laisser un message, il faut que ce dernier soit important sinon oublie. » Ton moqueur pour Miles. C’était ainsi qu’elle le saluait, délaissant son masque sérieux quelques minutes lorsque Celia se trouvait en sa présence.

/ awards session

☾ ☾ ☾
everybody say cheese.
w/ @celia dunne

Un. Deux. Trois. En rythme que tu es, ton pied tape en cœur sur cette chanson. T’es pas le genre de mec qui a le rythme dans la peau, mais là.. là tu essaies, plonger dans tes copies, ton pied s’éclate au son qui passe dans tes oreilles. Logiquement tu ne devrais pas avoir tes écouteurs en classe, logiquement.. mais personne n’est là pour te faire la moral. Encore moins tes étudiants et quand bien même l’un voudrait te voir, il a juste passer sa main devant toi.. ou pas. C’est vrai que ce n’est pas la meilleure technique pour être joignable, mais dans le fond : le veux-tu vraiment ? Pas totalement. Tu aimes bien être dans ta bulle. Rien que toi. Juste toi et les copies, ça tu peux pas y échapper. Tu as essayé une fois, mais d’après le directeur, il faut des notes. Il faut un justificatif qu’ils soient passés entre tes mains.. une preuve qu’ils ont réussi.. seulement toi et les copies.. eh bien on ne peut pas dire que vous soyez amis. Oh que non. Tu trouves des idées de sujets, là c’est plus des questions techniques. Le projet final reste la photographie. Tu n’es pas professeur de littérature, pas encore, non on va éviter ce sujet. Pas que tu sois mauvais en littérature, mais tu aimes rendre à César ce qui est à César. En clair, ce n’est pas ta spécialité, tout comme tu vas pas te présente demain pour faire un cours d’économie alors que tu n’y comprends absolument rien. Pas faute qu’il ait tenté de t’expliquer. Cause perdue que tu es, ou bien juste que tu n’arrives pas à avoir la même logique. C’est ce que tu te dis, toi l’esprit libre, l’électron qui vogue en fonction de ses inspirations. Tiens en parlant d’inspiration, ton ventre crie famine, tu relèves les yeux vers la pendule. Il est l’heure. L’heure de te remplir la pense, rassemblant tes affaires dans ton sac, en bandoulière de préférence. Oui tu es comme tes étudiants et alors ? C’est d’ailleurs arrivé qu’on te prenne pour un étudiant, mais non, tu es bien enseignant. Surtout les jours où tu n’as pas ta barbe, là on te prend pour un bébé sortir du ventre de sa mère. Une chance que tu n’aies pas la tâche de lait au coin des lèvres. Tes écouteurs toujours à leur place, tu avances au gré du vent dans les couloirs, passant bien sûr vers sa salle. Histoire de voir s’il a faim. Ton sourire s’élargit en voyant cette petite silhouette blonde qui n’a pas lieu d’être là. Perdue qu’elle est ou juste à la recherche de son aînée. Sûrement ça. Tu ne dis rien et viens te placer derrière elle, enlevant délicatement tes écouteurs. Ses mots te font sourire, tes pupilles partant vers le ciel ou plutôt le plafond de cette salle. Elle enchaîne la Dunne et tu la reconnais bien là. « C’est étrange car je tombe rarement sur sa boîte vocal, aurais-tu ce malheur ? » petit sourire narquois. Tu rentres dans son jeu, mais rien de méchant. « alors qu’est-ce qui t’amène ici Dunne junior ? Tu t’es perdue ou alors t’as envie d’apprendre ? Si c’est ça j’te recommande pas ses cours, sont soporifique.. » tu lèves tes mains pour te dédommager « pas moi qui le dit, mais les bruits de couloirs. » pas d’aîné dans le coin, ce dernier doit être parti dans ses tourments. Tu ne prends pas la peine de vérifier ton téléphone. Tu le connais. Tu regardes la petite blonde, « j’allais manger un bout, ça te dit de m’accompagner ? J’suis pas l’homme que tu désirais voir, mais j’peux essayer de combler ce vide ou plutôt d’éluder tes soucis. » sourire qui ne quitte pas tes lèvres. Tu aimes bien sa présence, son regard qui .. envoûtant. Y a quelque chose qui change lorsqu’elle est là, mais tu ne saurais pas dire quoi..

/ awards session

[ everybody say cheese. ]

w/ @miles hannigan
Celia lui avait offert un rire faux, levant les yeux au ciel puis le regardant de nouveau avec un léger sourire. Elle le jalousait, Miles, Celia, parce qu’il respirait la liberté. Il avait cette chance de ne pas faire parti d’une famille en constant besoin de contrôler ses faits et gestes, demandant toujours une perfection absolue. Les choses étaient simples. Rien ne semblait le déranger. Toujours là avec sa bonne humeur et ses blagues pourries. Son écoute attentive. Son épaule réconfortante et son support. Elle lui avait dit des confidences que Celia n’avait dites à personne d’autres. Avec lui, c’était simple, elle ne ressentait pas le besoin d’être constamment parfaite parce que lorsqu’elle l’était, Miles n’hésitait pas à le lui dire de se décoincer. Il semblait, d’ailleurs, apprécier sa présence malgré les piques qu’il lui lançait souvent lorsqu’ils étaient ensemble. Pour sa part, la Dunne appréciait sa présence, ne cherchait pas à s’enfuir en le voyant arriver. Avec le temps, leur relation avait d’ailleurs changé du tout au tout. Au début, elle ne pensait pas être en mesure supporter son humeur contagieuse, maintenant elle était ravie de voir le visage souriant de Miles. Il apportait de la fraîcheur dans sa journée. Certes, cela ne remplaçait pas les instants où elle pouvait se plaindre de la famille avec Callum, mais c’était proche de s’y trouver. Au moins, se disait Celia, elle renforcerait ses abdos à force de trop rire ou alors des rides apparaîtraient à force de sourire. « J’ai le malheur d’être sa sœur déjà, si tu veux savoir. Alors, évidemment que j’ai le malheur de tomber sur sa boîte. Il m’endure depuis ma naissance, il mérite une pause ici et là. » Répliquait Celia, le dos bien droit, ce ton fier dans la voix, pointant, par la suite, une évidence, ce qui ne blessait aucunement Celia. Ils avaient tous les deux des vies respectives et Celia respectait cela. « Les bruits du couloir me chuchotent aussi que les cours de photographie sont ennuyants. On raconte même que le professeur qui donne ce cours est un peu dingue. Je ne sais plus qui croire maintenant. » Ses mains se lèvent, à son tour, imitant le même geste fait il y a quelques secondes de Miles. « Le seul cours qui vaut le détour, c’est celui du droit, mais chut ce n’est pas moi qui le dis. Les deux autres sont ennuyants à mort. » Son doigt devant sa bouche, elle jetait un coup d’œil autour d’eux comme si cela devait rester secret entre eux avant d’éclater de rire, perturbant le silence qui régnait dans le couloir. « Je ne pense pas être en mesure de me permettre les conseils de monsieur Hannigan, j’ai déjà mon psychologue qui me coûte trop cher, je n’imagine pas tes prix. » Répondait Celia, faisant mine de réfléchir à sa proposition. « Mais si cette session est gratuite, je suis preneuse. » Ajoutait-elle avec un sourire moqueur, son ventre criant famine, son petit-déjeuner étant bien loin, désormais. « Dans tous les cas, allons-y, tu fais un bon remplaçant, ne me déçois pas jeune homme sinon je ne reviendrais plus ici. » Ajoutait Celia en tournant les talons, prenant la direction du lieu où se trouvait la nourriture.

/ awards session

☾ ☾ ☾
everybody say cheese.
w/ @celia dunne

Sourire qui ne s’échappe pas, au contraire il reste là, figé sur ton visage. Surtout en sa présence, tu ne saurais dire pourquoi.. de base tu es quelqu’un de souriant, de jovial, toujours là pour faire sourire ton entourage. Parfois sans le vouloir, mais là.. là c’est différent tu te sens bien. Pourtant vous êtes différents, la Dunne n’est pas la sœur de son frère pour rien. Deux semblables. Une famille. Et toi. Les gens se demandent comment ? Comment vous avez fait pour être amis. Comment tu as fait pour les supporter ou inversement. Tu ne saurais pas dire, une école, un uniforme, des gens et un tp. Puis lui. Et surtout Lyla, c’est part elle que tu es rentré dans ce nouveau cercle, mais elle était différente. Elle n’appartenait pas à ce monde de fanfreluche, ce monde si superficiel qui ressent le besoin de juger à outrance. Sûrement pour taire les complexes intérieur, toi c’est ce que tu penses. Et clairement : tu t’en fous. Tu t’en fous de ce qu’on pense de toi, de ce que les gens disent ou autre. Tu t’en moques comme de ta première chemise. Parce que tu pars du principe qu’on a qu’une vie et clairement tu n’as pas envie de te faire chier avec des balivernes, des prises de tête futiles. Tu veux respirer, vivre, profiter. Alors oui tu es toi même, entier jusqu’au bout des pieds, certes il t’arrive des trous à tes chaussettes, mais ça tu le passes sous silence. Ça pourrait faire désordre, surtout auprès des Dunnes, on ne sait jamais. Boutade que tu penses et sourire qui s’agrandit à sa répartie. Parce qu’elle en a la jolie blonde face à toi. « J’peux comprendre, j’me demande comment Ken arrive à supporter tes échos. Sûrement un abus de masturbation.. il paraît que ces choses rendent sourdes.. fin il paraît ou alors il vit constamment avec des boules quies. » tu hausses les épaules. Oui tu parles comme ça et alors ?C’est toi, tu ne vas pas changer pour ne pas choquer les oreilles de mademoiselle. Puis soyons franc : elle a entendu pire. « on l’saura jamais.. comme pour ses bruits de couloir. J’peux parfaitement comprendre ces commérages, mais qu’est-ce que la dinguerie? Ça s’trouve il est tout à fait normal et c’est eux qui sont déjantés ? On ne sait pas ce qu’est vraiment la folie, avant d’y avoir goûté et là encore.. » lui dis-tu simplement en prenant un air faussement sérieux. Un mélange entre le chapelier et un philosophe du dimanche, il faut dire que tu dormais souvent durant les cours de philosophie. Tu n’avais rien contre, mais tu n’aimais pas ton prof. Lorsque l’on écoute votre joute verbal, on aurait dû mal à croire que vous vous appréciez et pourtant.. pourtant tu n’es pas toujours cru ou déjanté dans tes propos. Il t’arrive d’être là, pour elle, pour la réconforter ou juste l’écouter. Tes yeux suivent les siens et tu approuves d’un coup de tête, son secret est bien gardé avec toi.. même s’il s’agit d’une bêtise, tu ne diras rien. Tu fais le jette de te zipper la bouche. Cela restera entre vous, comme beaucoup de chose. « Parce que tu m’as d’jà vu te faire payer ? Même si je devrais, apparemment ton psy a trouvé le filon pour te dépouiller. » tu feins de réfléchir un instant, « au pire tu m’offres le repas, histoire de rentabiliser tout ça. Puis bon si tu n’es pas sûre de revenir, autant que j’en tire à mon compte aussi ! » dis-tu le plus simplement du monde. Grand sourire sur le visage, tu l’invites à te suivre. Tu connais un petit endroit sympa, au calme et où les pâtes sont exceptionnels. « alors que se passe-t-il dans ton conte de fée ? » lui demandes-tu tout en marchant vers l’endroit. Sa compagnie est simple à ton goût et tu aimes ça. Tu aimes aussi la ramener sur la terre ferme, mais elle a compris. Elle a compris depuis le temps que ça ne servait à rien de feindre ce qu’elle n’est pas en ta présence. Les balais dans le cul, c’est pas ton délire, tu préfères l’avoir en main, quoique tu préfères l’aspirateur.

/ awards session

[ everybody say cheese. ]

w/ @miles hannigan
Une expression de choc visible aux traits, le rouge lui montant aux joues, sa bouche ne pouvant s’empêcher de former un o sous les mots de Miles. Le commentaire par rapport à Ken, elle était capable d’en faire omission, Jonah n’étant pas au goût de tout le monde et ce détail, Celia l’acceptait sans problème tant et aussi longtemps qu’il respectait l’amour qu’elle possédait à son égard. « Wow, je vois que parler sans réfléchir c’est toujours en toi. C’est bien ne change jamais Miles, ça serait malheureux pour mes oreilles. » C’était tout ce que la Dunne avait été dans la capacité de répondre, préférant éviter une conversation sur l’homme de sa vie. Lentement, mais sûrement sa gêne se dissipait, laissant place à un sourire qui, selon elle, était mieux pour la situation parce que Miles, il voyait à travers ce rideau de fausse vierge. Ou du moins, il préférait ne pas agir comme si elle l’était toujours comme la plupart des gens que Celia rencontrait. Il voyait au-delà de la sainteté. « La dinguerie, c’est de payer une fortune pour un cours de photographie ou même de politique. Mais ça, ce n’est que mon avis. » Elle n’était pas sérieuse, Celia. Miles avait un talent pour la photo, elle l’avait vu, admirant même son travail, un détail que Celia ne comptait pas lui avouer de sitôt afin d’éviter de voir sa tête enflée plus qu’elle ne l’était déjà. Callum était doué pour enseigner la politique, de ce qu’elle avait entendu, rendant un sujet ennuyant, pour certains, davantage intéressant. C’était Celia qui était prise entre un rêve et une obligation. La pâtisserie et le droit. Pourtant, dans le droit, elle excellait. Certes, c’était un métier épuisant par moment et malgré tout, Celia l’aimait ce métier. Ce n’était tout simplement pas sa passion et elle redoutait le jour où elle admettrait cette vérité à ses parents, où elle leur annoncerait quitter le monde juridique pour se concentrer sur autre chose qui rapportait moins ou pas du tout de notoriété. De quoi donner une crise cardiaque à son père, si Celia y pensait en profondeur. « Tu n’as pas tort, tu devrais commencer à me charger, tu pourrais te faire une fortune avec moi. Bien sûr, faudrait que je commence à appliquer tes conseils, mais pense aux économies que tu pourrais te faire, en plus ce n’est même pas mon argent. » Qu’elle avait répondu Celia en lui offrant un sourire. « Trop pauvre pour se payer à manger Miles ? Tu peux me le dire, tu sais. Ça me fait toujours plaisir de donner au suivant. » C’était presque mesquin ce qu’elle lui disait pourtant ce n’était pas du tout son intention à Celia. Elle ne possédait pas une seule once de méchanceté dans son corps la blonde. Elle était simplement maladroite dans son humour et savait que Miles ne lui en tiendrait pas rigueur. « Tout va bien dans mon conte de fées, merci de t’intéresser à ma vie sentimentale Miles, c’est grandement apprécié. » Répondait Celia en le suivant à travers les étudiants du campus. En temps normal, ça ne lui dérangeait pas de parler de sa vie sentimentale, elle avait simplement besoin d’avoir la bonne audience. « Et toi Miles ? Comment ça se déroule ? Toujours aussi amoureux d’Yzma ? » Parce que depuis qu’elle le connaissait et l’avait laissé entrer dans sa vie, Celia ne l’avait jamais connu en couple.

/ awards session

☾ ☾ ☾
everybody say cheese.
w/ @celia dunne

Cash, c’est ce que tu es. C’est toi. Tu ne supportes pas tourner autour du pot, ou bien taire la vérité. Toute façon tu pars du principe, qu’elle finit toujours par se savoir. Alors pourquoi chipoter ? Il est vrai que tu pourrais mettre des formes, utiliser un jargon moins grossier. Bon ça c’est pas toi qui le dirait, mais la princesse ici présente.. tu t’en moques de son avis. Elle peut jouer les princesses avec qui elle veut, avec toi ça ne prend pas une secondes. Depuis que tu lui as gentiment dit de se retirer le balai qu’elle avait dans le cul.. eh bien la Dunne est.. naturelle avec toi.. bon par moment le naturel se cache, car elle a son masque de tous les jours. Ce que tu peux comprendre, jouer les princesses à longueur de temps.. eh bien à force ça devient une habitude. Tu te contentes de sourire, n’acceptant pas qu’elle se la joue avec toi. Puis elle pourra dire ce qu’elle voudra, ça lui déplaît pas que tu sois cash avec elle. C’est toi. Tu ne vas pas changer juste pour elle.. enfin pas comme ça. « Tes oreilles adorent mes mélodies, ose dire le contraire, » que tu te contentes de lui répondre. Grand sourire sur ton visage. Tu ignores les remarques. Puis tu aimes sa répartie. Là, elle n’agit pas en princesse, oh que non. Puis elle sait très bien te remettre à ta place quant il faut. Il va s’en dire que lorsque tu la taquines, il n’y a jamais de méchanceté.. tu ne t’en prends à l’homme de sa vie. Loin de toi cette idée, tu le connais pas, juste de nom et des histoires que Celia peut te dire. Alors non tu n’irais pas le critiquer, tu évoques ici un fait. Une boutade, rien de plus. Elle le sait. Elle sait que tu n’es pas comme ça, pas de ce genre là. Pas toi. Rigolant à sa remarque sur les cours, le prix, venant d’elle, ça te fait doucement rire.. y a encore quelques années, tu aurais pensé la même chose. Payer pour apprendre la photographie, débourser des sommes astronomiques pour.. pas grand-chose au final. La photographie, ça s’apprend sur le tas.. voilà pourquoi tu n’aimes pas les examens, à tes yeux tu ne peux pas juger un élève réellement. Celui qui est très scolaire, va réussir les examens écrits, mais saurait-il l’appliquer ? Là est toute la question. Mais tu t’y prête, tu respectes le code que le directeur t’a donné. Parce que c’est ainsi.. tu ne bronches pas et fais. Oui tu as changé sur ce point, mais étrangement tu aimes enseigner. Voir ces gamins qui boivent tes paroles, te considèrent comme un génie ou un maître, tu le vois bien à la manière dont-ils te parlent.. toi ça te fait rire. S’ils savaient que dans le fond, tu n’as pas fait de grandes études, mais plutôt de grand voyage.. mais tu te taies. Là n’est pas le sujet, tu dois leur enseigner, ton art, ta passion, certaines sont doués, tu le vois.. puis d’autres sont là pour les UES facilement gagner. Alors oui sa remarque te fait sourire, mais tu ne dis rien. Réfléchissant à sa remarque.. « Il est vrai que je pourrais aisément vivre sur une île, loin de tout, avec Yzma bien sûr.. ton psy doit t’adorer en vrai.. » que tu lui rétorques. « non mais j’aime pas extorquer aux jeunes princesses, je préfères qu’elle m’invite à manger. J’y vois là plus d’intérêt. Et non je ne suis pas pauvre, vois ici ta BA de la journée. Puis si cela t’arrange je veux bien être dans le besoin.. si ça me permet de manger en ta compagnie.. » qu’est-ce que tu ferai pas pour passer du temps avec elle.. bon d’un côté c’est vrai.. « Puis bon t’es plus riche que moi. » que tu finis par ajouter. Ne perdant pas le nord. Tu rigoles et lui ouvres la porte. Tu meurs de faim.. qu’elle se rassure, tu ne l’emmènes pas dans un palace. Oh que non. Tu as des goûts simples. Regardant le menu, tu écoutes ses propos. Ravi de l’entendre, vraiment? Tu ne te poses pas la question, tu sais juste que tu vas devoir creuser.. « Toujours, elle ronronne de plaisir en me voyant, que veux-tu je ne peux résister. » ta Yzma vaut tout l’amour du monde, c’est bien elle qui a réussi à te faire rester ici.. « J’ai croisé mon ex, elle s’est excusée, vous les femmes être très.. » tu ne saurais comment dire.. « surprenante. » que tu finis par ajouter. Oui voilà pourquoi tu préfères ton chat. « Bon alors. Qu’est-ce qui t’amène vraiment, hormis le manque de ton frère. Je vois bien à tes traits qu’un truc est.. différent, » mais tu peux te tromper après tout. Tu n’es pas psy..

/ awards session

[ everybody say cheese. ]

w/ @miles hannigan
Les apparences comptaient chez les Dunne. Le dos bien droit, l’apparence parfaite, le sourire faux et l’obligation de respect. Sa place à Celia, elle la connaissait. C’était auprès d’un homme, enfantant sa progéniture et s’assurer de son bien-être. Parfois, elle se demandait si son père ne l’aurait pas vendu au plus offrant s’il avait été dans une autre époque. Sa liberté, elle était imaginaire à Celia, n’existait que quelques minutes avant qu’on vienne l’arracher de ses rêves pour la repositionner dans cette réalité comme si elle n’était qu’un simple pion sur l’échiquier. C’était peut-être l’une des raisons pour laquelle Celia appréciait la compagnie de Miles parce qu’auprès de lui, c’était facile. Il n’y avait pas chichi. Il n’y avait pas de complication. Elle était en mesure de parler librement sans qu’on lui porte un jugement quelconque et ces moments comme ceux-ci, elle en avait besoin comme si sa vie en dépendait, lui permettant de s’évader de sa tour d’ivoire « Sans la présence de mon avocat, je ne dirai rien. » Ça l’amusait, Celia, d’utiliser cette excuse alors qu’elle était en mesure de se défendre soi-même, le code pénal pratiquement tatoué sur le corps, les mots imprégnés dans sa mémoire jusqu’à la fin de son existence. Ces livres, elle les connaissait peut-être même plus que la Bible. Également parce qu’admettre que ses oreilles adoraient la mélodie de sa voix et de ses commentaires, elle n’en était pas dans la capacité, du moins pas devant lui, pas lorsqu’ils étaient tous les deux. Peut-être toute seule, elle le ferait. Peut-être que dans sa tête, elle l’avait fait. « Mon psy m’adore. Je suis une patiente facile qui s’ouvre facilement et je le paie bien.. » Parler à un psychologue, elle ne l’avait fait qu’à quelques reprises, à la suite de cet incident. C’était la seule fois où Celia s’était senti dans l’obligation de parler de ses sentiments comme si ceux-ci étaient réellement importants et il l’était. Ça lui avait pris une certaine période de temps avant d’accepter que ce n’était pas de sa faute cette agression. Sa voix la sortant de ce souvenir qui était toujours aussi douloureux lorsque son esprit décidait de ressortir cette journée difficile et inoubliable, peu importe les efforts qu’elle y mettait Celia. « Donc, de ce que je comprends, c’est que tu adores ma compagnie. Je te comprends, on me répète constamment que je suis une personne agréable. » Miles, ce n’était pas la notoriété ou les contacts bien placés. Il lui avait fait comprendre, depuis un temps maintenant, qu’il n’avait pas besoin de côtoyer la Celia coincée et fausse et Celia, elle s’efforçait à lui offrir une Celia moins rigide, plus facile d’accès. « Tu penses pas qu’elle ronronne parce qu’elle veut quelque chose en retour ? » Qu’elle avait demandé, moqueuse avant de froncer les sourcils, enregistrant les mots qu’il venait de prononcer et analysant ceux-ci. « Je vous comprends pas les hommes, ça vous choque qu’on vous présente des excuses et ça vous choque quand on n’accepte pas nos fautes. Jamais satisfaits ces hommes. » Sous ses mots, elle secouait la tête, désolée. Puis elle soupirait. « J’avais besoin de sortir du cabinet, prendre l’air et mes copines travaillent et je ne sais pas comment l’expliquer et je préfère ne pas m’étaler sur le sujet. On mange et on prétend que tout va bien, d’accord ? » Admettait-elle d’une voix cette fois plus sérieuse que les autres.

/ awards session

☾ ☾ ☾
everybody say cheese.
w/ @celia dunne

Les apparences sont parfois trompeuses… certains en ont besoin pour se sentir important, pour montrer le prestige, pour se montrer. Parfois on pense qu’une personne est coincé ou bien décalé. Oui les gens mettent des étiquettes, juste sur une apparence, une première rencontre. Si on se fit aux apparences, tu n’aurais jamais dû fréquenter cette famille. Toi le gamin décalé, le gamin qui a été élevé par trois hommes. Ce qui n’est pas conventionnel, pas dans les normes bibliques. Toi le gamin qui a voyagé, qui a vécu une vie sur les routes. Qui a croisé des gens différents, aux mœurs légères, différentes de ce que tu avais l’habitude de voir ici même. Oui vous êtes différents. C’est ça qui te plaît. C’est ça qui rapproche, toi tu en es convaincu. Tu ne cherches pas des gens qui te ressemble, si tu voulais converger avec toi même, tu te mettrais face à un miroir. Non tu as besoin de cette différence, tu as besoin du contact humain, aussi étrange soit-il. Tes élèves sont tous hétérocycles, leurs ethnicités divergent et cela te plaît. Tu aimes voir leurs expressions, leurs personnalités dans leur rendus. C’est aussi pour ça que tu aimes la photographie, on ne peut pas mentir devant un objectif, enfin à tes yeux. Bien sûr qu’on le peut, tout est une question d’angle, de point de vue.. tu sais que Celia ment parfaitement devant les objectifs familiaux. Qu’elle joue à merveille le rôle de la petite princesse.. tu n’en doutes pas, tout comme son frère. Tu les connais assez pour voir dans leurs iris le vrai du faux. Ça te plaît. Toi tu aimes leurs différences, tu l’acceptes. Cependant tu mets toujours un point d’honneur à ce qu’ils soient eux même en ta présence.. non parce que toi les courbettes, les ‘je t’impressionne’ ça ne fonctionne pas. Impressionnable ? Absolument pas. Gars cool que tu es, franc et légèrement sûr de tes choix et par moment de toi. Ce qui est important dans la vie. Alors oui votre amitié vous plaît. Tu aimes sa légèreté en ta présence, le fait qu’elle ose et se lâche.. pas complètement, mais suffisamment. Assez pour te donner envie de reprendre une part du gâteau. Oui tu aimes les moments avec la belle, comme avec son frère. Tu aimes converger avec eux, te prendre pour un psy.. bon ça ce n’est pas qu’avec eux. À croire que tu es d’une bonne oreille. Yzma en est la preuve, tu peux l’écouter miauler durant des heures.. sans bouger d’un pouce. Oui tu es l’alpha, faut pas déconner, elle a beau obtenir toutes tes faveurs, tu ne cèdes pas facilement.. enfin la nuit tu lui montres que ce n’est pas le moment des câlins. Elle ronchonne, te montrant son mécontentement, mais tu obtiens gain de cause. « Pourquoi tu ronronnes quand tu veux un truc ? » Que tu réponds du tact au tac, toujours avec autant de cash et de naturel. Sans sourciller, après tout c’est comme ça entre vous. Puis ce que tu dis est vrai, Yzma adore ronronnr. Cependant en ce moment, elle fait bien trop sa loi à ton goût, alors n’abusons pas des bonnes choses. Un peu comme la compagnie de la princesse. Chaque minute est précieuse, tu ne voudrais pas en gâcher une. Gardant en mémoire l’idée de te faire payer, pour tes consultations privées. Il est vrai que tu irais loin avec tout ce que tu sais.. mais le but d’un ami, n’est-il pas d’écouter de ceux qui l’entourent sans sourciller ? Affirmatif. On peut dire que tu fais ton job à merveille. Souriant à ses mots, oui tu es un homme, oui tu n’es pas content.. enfin tu n’en sais rien. « Ta représentation masculine me paraît trop .. généralisé ? Bien sûr que ça me choque, mais dans le sens que je m’y attendais pas. Je ne voyais pas pourquoi elle s’excusait, pour moi c’était de l’histoire ancienne. Rien de bien méchant, l’être humain est programmé pour en faire baver.. enfin » tu réfléchis un instant. Mode philosophe, actionné. Ce n’est pourtant pas la matière que tu enseignes, mais allez savoir en présence de Celia, une partie de moi resurgit. Après tout tu n’es pas juste une pretty face. T’en as dans le ciboulot. « Et pourquoi on doit ‘prétendre’, perso tout va bien, mais pourquoi toi, tu dois prétendre. J’te rappelle qu’on est en demi consultation. Allez femme, fais en sorte que ce repas me rapporte bien plus que des frites ! » que tu lui dis sur un ton des plus chaleureux. Grand sourire. Oui tu vas la faire parler, qu’elle le veuille ou non. Elle n’est pas là par hasard, personne n’est là par hasard. A part celui qui a vu de la lumière et qui est entré.. mais lui c’est autre chose.

/ awards session

[ everybody say cheese. ]

w/ @miles hannigan
Pour être honnête, Celia n’avait jamais compris l’attraction autour des chats. Les chiens, elle comprenait parce qu’ils bougeaient et il était plus facile de faire une activité physique avec ceux-ci, mais un chat ? Un chat, non. Ils dorment, mangent et décident de faire de l’activité physique aux petites heures du matin. Rapide coup d’œil, ses sourcils se foncent sous la question et finalement elle secoua la tête. « Bien sûr que non. J’ai toujours ce que je désire dès la première demande, de toute façon. » Répondit-elle rapidement, avec cet air hautain largement emprunté à sa mère, sans aucun scrupule. Après tout, cette femme lui a tout enseigné dès son plus jeune âge alors forcément que Celia se permettait de s’inspirer de cette dernière. Elle réfléchit aux mots de Miles, hésitant entre développer un peu plus le sujet ou faire une dernière remarque et se taire par la suite. Parce qu’il y a des mots qu’elle avait envie de prononcer, de laisser s’échapper de ses lèvres pour s’envoler dans les airs afin de se rendre jusqu’aux tympans de Miles. « Il n’y a rien de mal à présenter des excuses pour une histoire ancienne. D’accepter qu’on a fait une erreur et pour nous permettre d’avancer, il faut se délaisser de tous les poids qu’on traîne. Si je ne me trompe pas, c’est même une étape des alcooliques anonymes, par contre ne me cite pas là-dessus. » Finissait-elle par prononcer, sans le regarder, les yeux bien droits devant elle, se frayant un chemin, suivant Miles parce qu’il était celui qui connaissait les lieux, pas elle. Ce qui était assez étrange vu le nombre de fois que la Dunne traînait dans ces couloirs, elle devrait savoir le chemin jusqu’à la cafétéria, mais ce n’était pas du tout le cas. Son cerveau ne semblait pas vouloir retenir cette information. Par contre, demandez-lui de retenir le code pénal en entier et ça, ça elle y arrivait, sans aucun problème. « Moi, je dois constamment prétendre. Prétendre que je partage les valeurs de ma famille. Que je suis Républicaine. Que je suis heureuse de voir mon chemin être déjà façonné sans que je puisse y faire quoique ce soit. Donc, prétendre, c’est devenu une deuxième nature chez moi. » Avouait-elle, accompagnant le tout d’un simple haussement d’épaules comme si elle acceptait, désormais, d’être l’oiseau prise dans sa cage dorée. « Tu peux continuer d’être aussi chaleureux, je ne compte pas m’étaler plus sur ce sujet. Je n’en ai pas envie. » Cette fois, sa voix n’était pas aussi douce, presque autoritaire. Finalement, elle s’arrêta derrière le corps d’un homme, probablement étudiant, pour faire la file, elle patienta son tour, ses iris contemplant les choix multiples de cette fameuse cafétéria. « Tu prends quoi pour manger ? » Questionnait-elle en posant ses iris sur lui.

/ awards session

☾ ☾ ☾
everybody say cheese.
w/ @celia dunne

Ils sont à l’opposée à ces deux-là, c’est à se demander pourquoi ils sont dans la même pièce. Pourquoi ils se parlent ? D’abord lorsqu’on les regarde on ne pense pas tout de suite qu’ils sont opposées, il faut s’approcher, les écouter parler pour comprendre. Comprendre qu’ils ont eu deux éducations différents, qu’ils vivent dans deux mondes différents, mais pourtant ça les empêche de partager un moment.. parfois plus d’un. Il paraît que les opposées s’attirent.. enfin on en est pas encore là. Ils sont amis.. rien que des amis. Tu es loin de pensé autrement concernant la Dunne, elle est la sœur de ton meilleur ami, tu la connais depuis fort longtemps.. elle te juge pas et inversement. Tu nieras pas le fait qu’elle est belle, charmante et que sa façon d’être te plaît, mais c’est .. Celia. Douce Celia. Celia qui vit dans sa prison et ça te fait de la peine. Tu ne dis rien, mais tu n’en penses pas moins. Elle doit sûrement penser que tu es trop frivole, désinvolte, que tu t’arrêtes pas assez sur les choses.. que tu devrais prendre plus le temps.. tellement de possibilité, mais tu t’en moques. Les apparences ne sont que des apparences, qu’une façade de ce que l’individu est vraiment. Toi tu sais qui tu es et c’est ce qui compte à tes yeux. « J’en doute pas, ça m’étonne pas de toi, quoique j’t’aurais bien imaginé ronronner. » que tu ajoutes à ses propos. Votre discussion comporte beaucoup de sous entendus, mais ta naïveté l’emporte.. enfin ça dépend des moments. Il t’arrive aussi de savoir parfaitement ce que tu dis.. de comprendre les mots qui sortent de tes lippes. Là tu n’es pas vulgaire ou curieux, non juste taquin. Juste toi. Sourire qui ne s’émancipe pas. Restant fidèle à toi même, heureux de partager ce petit moment en sa compagnie. De t’épancher sur les aléas de ta vie.. « J’prends note, promis je dirais rien à la prochaine réunion. » lui dis-tu en rigolant. Analysant ce que la jeune femme vient de te dire.. il est vrai qu’elle a raison sur un point, même si tu ne vois pas les choses ainsi.. toi tu vides ton sac, ton ressenti sur le moment.. tu n’attends pas que le temps avance. Tu vis ta vie, qu’importe si ça peut blesser. On a qu’une vie et tu ne désires pas la gâcher en remord, regret ou autre mot en r qui plombe le moral. Non toi tu vis maintenant et non demain. « Oui c’est comme prétendre que tout va bien alors qu’on est le point d’imploser, mais bon.. je ne suis pas ton psy. Juste un ami qui meurt de faim. » que tu rajoutes. Voyant bien qu’elle décide de se ferme comme une huître. Le ton a changé et tu ne veux pas la brusquer, la voir claquer des talons est la dernière chose que tu aimerais voir. Pas aujourd’hui, pas demain non plus. « J’sais pas trop, j’ai envie de pasta, mais d’un côté.. le poulet me fait envie.. » tu réfléchis, voyant les propositions qui s’offrent à toi. T’as jamais aimé les choix, enfin les buffets, tu aimerais bien prendre de tout.. alors te demander de faire un seul choix. Gosh c’est pire que les malheurs de sophie à tes yeux. « et toi ? Une envie en particulier ? » que tu lui demandes, pas besoin de la regarder. La chaleur de sa voix dans ta nuque te suffit à te rassurer. Te dire qu’elle est toujours là. « j’sais que c’est pas luxueux mais tu verras on en a pour son argent, promis la prochaine fois je t’invite dans un autre de mes recoins. » petit-clin pendant que tu avances. Oui y aura une prochaine fois, y a toujours une prochaine fois entre vous. Pourquoi stopper quelque chose qui fonctionne ? Absolument. Une fois le choix fait, tu reprends place à cette petite table, attendant l’arrivée de la blonde. « ça m’a l’air appétissant c’que tu as pris. Maybe une prochaine fois. » tu as opté pour un mélange de pâte à la sauce tomate, un peu de poulet et un peu de pomme de terre. Elles te faisaient envie, oui pas de légume, on est pas jeudi. Y a que le jeudi que tu t’octroies une fringale de légumes. Enfin ça dépend de tes envies surtout. « Oh j’t’ai pas dit. Une amie me tanne pour que je m’inscrive à Tinder… j’ai l’air si désespérer que ça ? » posant ton regard sur elle, tu songes à ce que tu dis « j’te permets pas de penser ça. » que tu rajoutes en fourrant ta fourchette dans ta bouche. Non tu n’es pas désespérer ou en manque. Tu te suffis à toi même.. enfin il n’y a rien de sexuel là dessous..

/ awards session

/ awards session