• rp d'intégration // Rain & Wolfgang

[ rp d’intégration ]

@Rain Aspen et @Wolfgang Salazar
La soirée a été bien arrosée, beaucoup trop d'ailleurs. Vous avez enchainé les verres un peu trop vite pour en arriver à un stade où vos ami·e·s vous ont pris les clés des mains pour vous mettre dans un taxi. L'adresse que vous avez donné cependant, n'était pas la vôtre et vous voilà maintenant en train d'arpenter une rue dans laquelle vous n'habitez pas. L'alcool toujours bien actif vous guide jusqu'à une maison dont la porte est miraculeusement déverrouillée. Vous entrez donc, retirez votre manteau et vous vous installez, persuadé·e d'être chez vous. Mais une autre personne habite ici, et lorsqu'elle vous trouve affalé·e sur son canapé, quelle sera sa réaction ? Va-t-elle appeler la police ? Ou prendre pitié de vous en voyant que vous avez bien trop bu ce soir ?

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Un dernier verre. Le dernier des derniers, promis ! C'est ce qu'il répète avant qu'enfin, le plus adulte de ses amis décrète qu'il est temps de rentrer. Il a juste le temps de prendre ses affaires, enfiler sa veste et le voilà dehors. Pas le temps de plus protester, il avait été mis dans un taxi direction chez lui. Enfin, en théorie il aurait du rentrer chez lui. Embrumé et embrouillé par l'alcool, la bouche devenue pâteuse, les mots n'étaient pas sortis de la façon dont il l'aurait voulu. Le chauffeur avait réussi à en tirer une adresse, tant bien que mal mais bien loin du réel lieu d'habitation du jeune détective. Loin de se douter qu'il n'était pas chez lui, il était sorti du taxi essayant de garder la face (un minimum). Il lui faut un moment pour replacer une rue qui n'est finalement pas la sienne. C'est pas grave, qu'il se dit, il doit pas être loin. Il titube un peu, s'appuie sur les rétroviseurs des voitures pour éviter un tête à tête avec le bitume, finit par tomber sur une porte qui ressemble un peu à la sienne. La poignée s'actionne comme par magie et il n'en faut pas plus pour convaincre Wolfgang qu'il est bien chez lui. Pas la force de se trainer jusqu'à son lit, de toute façon, il reconnait pas le couloir alors il préfère le canapé. Il se laisse tomber dessus avec fracas, éclate de rire au bruit qu'il fait. Les yeux se ferment doucement, pour une fois, le sommeil vient si facilement s'emparer du brun. Même pas le temps d'enlever sa veste, il ronfle sur le canapé, la bouche grande ouverte. C'est un autre grand bruit et la lumière qui s'allume qui le fait se réveiller en sursaut et crier. "Qui va là !" En pointant la porte d'où vient la lumière du doigt.

@Rain Aspen :cat:

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