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 Hors les murs [Mia]

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Ulrich Von Kuffner
‹ the light of a real enemy ›
Ulrich Von Kuffner
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Chaque action a ses conséquences.
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Mia Hors les murs
prénom titre du rp.

résumé du personnage
Ulrich fait partie des nantis, descendant de la noblesse et n'ayant jamais connu que le luxe. Il est imbu de lui-même et de son statut, ainsi que quelque peu misogyne. C'est un jeune homme intelligent et charmant, aux tendances manipulatrices cachant derrière ses tendance à l'auto-contrôle une mésestime croissante et des TCA. Il s'adule autant qu'il se déteste.
Il est accro au sexe et a été diagnostiqué positif au HIV il y a bientôt dix ans, ce dont il ne parle à personne.

messages : 22
rps : 2
name : Callum
faceclaim : Finn WIttrock
intervention fortuna : peu importe
trigger warning : warning : Sexe, Misogynie, TCA, Bodyshaming, Maladie (même si aucun ne sont réellement développé)
trigger : Aucun dans le cadre des RPs
gif : Morning routine
âge : 33 ans
statut civil : Célibataire, sans enfants (officiellement)
occupation : Rantier de métier, avocat par passion et pour le côté sexy de la toge.
habitation : Un F2 à Downtown
disponibilité : Dispo 1/4
code couleur : #DAA520


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Hors les murs

Hors les murs [Mia] Ahs-horror

Mars 2023

Les paupières closes et le menton relevé, tu soupires une buée opaque contre la vitre de ta cabine de douche, profitant de cette sensation grisante de l'eau chaude contre ton visage, ruisselant contre ton corps nu, complètement offert à cette douce torture suivant tes exercices quotidiens.
Dieu que tu appréciais ces instants hors du temps. Hors de la vie réelle et de toutes tes obligations.
Là, seul dans ta salle de bain, tu n'avais plus besoin de faire semblant. Plus besoin de jouer le moindre rôle.
Tu vivais là un instant de paix qui, malheureusement, ne durerait pas.
Sitôt quitté l'habitacle, tu repris durement pieds dans la réalité. Une réalité que t'imposait ton miroir, positionné de façon à ce que la première chose que tu vois soi ton reflet, comme pour te  rappeler qui tu étais et ce qu'on attendait de toi.
Être beau. Charmant. Cultivé. Ambitieux.
Un roc au sourire charmeur, mais aux dents acérées, le regard alerte et le corps avenant.
Un corps que tu fixais depuis plusieurs minutes maintenant, emmitouflé dans une serviette que tu laissas tomber au sol afin de l'inspecter, comme chaque jour.
Et comme chaque jour, cette contemplation te tiras un rictus désabusé.
C'était ainsi depuis de nombreuses années maintenant -depuis toujours, sans doute-. Ton corps t'inspirait tour à tour narcissisme et dégoût. Tu te trouvais tantôt magnifique, la perfection faite homme, tantôt comme l'être le plus abject que cette terre ait jamais porté.
Tu étais à la fois trop et pas assez.
Trop gros, trop moue, trop vieux, pas assez musclé, pas assez grand, pas assez bien proportionné...
Parfois, tu souriais à ton miroir, cancanant devant ton reflet et ses démonstrations de forces, bandant tes muscles et bombant ton torse avec une fierté exacerbée.
D'autres fois, tu détaillais chaque centimètre carré de ton anatomie, pinçant les plis et replis de ton corps que tu trouvais disgracieux avec la furieuse envie de les découper en petits morceau jusqu'à devenir l'idéal de beauté à laquelle tu aspirais.
Depuis la découverte de ta maladie, et à mesure des années passant et des marques que l'âge apposait sur ton corps, tu avais l'impression que cette voix dénigrantes se faisait de plus en plus fréquente.
Tu avais peur, si peur de vieillir.

Mais aujourd'hui, tu étais dans un bon jour et, après avoir séché ce corps que tu adulais tant que tu l’exécrais, tu jetas ta serviette au linge sale avant d'enfiler un jean sur mesure surplombé d'une chemise en coton mettant subtilement ta musculature en valeur.
Souriant à ton reflet, tu coiffas tes cheveux avec soin avant de te parfumer légèrement et quitter ta salle de bain.
Ce soir, tu avais rendez-vous avec une jeune femme. Mia.
Et si d'aucun trouveraient sans doute présomptueux de parler de rendez-vous lorsqu'il s'agissait en réalité d'une invitation à aller boire un café avec une collègue, tu jugeais que tout entretiens en dehors de la vie professionnel avec une personne du sexe opposé pouvait être décemment considéré comme un rendez-vous.
Car si cela faisait plusieurs mois que tu croisais Mia dans les couloirs des tribunaux, ayant parfois eu affaire à ses services de psychocriminologue lors d'affaires nécessitant des expertises psy, ce serait la première fois que vous vous verrez en dehors des murs de ces maisons de la justice.
C'était toi qui, après quelques mots et sourires échangés, avait choisi de lui proposé de vous retrouver autour d'un café durant vos repos et elle avait accepté. Signe de plus pour toi s'il en fallait qu'il s'agissait bien d'un rendez-vous.

Arrivé en avance à votre point de rendez-vous, tu laissas ton regard traîner le long des passants, cherchant des yeux celle sensée te rejoindre, souriant à certaines femmes dont les yeux se posaient sur toi un peu trop longtemps pour leur propre bien.
Si tu n'avais d'impératifs, sans doute que tu aurais inviter l'une ou l'autre à te rejoindre. Sans doute d'ailleurs que si Mia ne venait pas, c'était ce que tu feras. Tu ne te formalisais pas vraiment de la femme avec laquelle tu passerais la soirée, tant qu'elle était mignonne et pas trop farouche.
Un long soupire s'échappa d'entre tes lèvres à cette pensée alors que tu plongeais ta main dans la poche de ta veste par instinct, jouant machinalement avec la boite à bonbon servant à cacher ton traitement.
Les filles pas trop farouches... Voilà ou elles t'avaient mené.
Tu n'eus cependant pas l’occasion de t'appesantir plus en avant sur ta situation que tu aperçus du coin de l’œil l’objet de tes convoitise approcher, faisant naître un sourire charmeur à la commissure de tes lèvres alors que tu quittais le mur contre lequel tu t'étais adossé pour venir à sa rencontre.
« Bonjour... » La saluas-tu, le regard pétillant et le sourire charmant avant de lui ouvrir la porte du café dans un geste voulu galant. « Si je puis me permettre, je te conseille leur latte macchiotto. Il est le plus proche que tu puisses trouvé en Amérique de ce qui se fait en Italie »

@Mia Crane
/ awards session

Mia Crane aime ce message

(#) Hors les murs [Mia]    Sam 25 Mar - 21:14
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Mia Crane
‹ the light of a real enemy ›
Mia Crane
messages : 25
rps : 3
name : Nikita
faceclaim : Emma Stone + bambieyes (tumblr).
intervention fortuna : oui
trigger warning : Warning : deuil, personnalité addictive, dysfonctionnement émotionnel, anxiété, sexe, vulgarités.
Trigger : à discuter avec les partenaires RP sans soucis !
gif : Hors les murs [Mia] Tumblr_inline_ns8gw0bqyZ1qlt39u_250
âge : Trente années qu'elle a bien senti passer.
statut civil : Célibataire, fait fuir toute conquête éventuelle avec sa gestion émotionnelle désastreuse.
occupation : Psychocriminologue titulaire et de renom au NOPD, mais aussi chez elle parce que chaque nouveau cas est une excuse pour canaliser sa tension interne.
habitation : La miss se la coule douce dans l'appartement spacieux n°420 au Vieux Carré.
disponibilité : Disponible à fond.
code couleur : Mia speaks loudly in #E49B0F.


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hors les murs
don't judge a book by its cover. you never know what people are going through. give him a chance: he might surprise you.
Ce moment, j'en ai connu au moins mille. Il est temps de me préparer pour rejoindre un collègue à un rendez-vous. Je me sens bizarre quand je me dis ça, parce qu'en réalité, on n'a jamais dit clairement que c'en était un. Seulement des mecs comme lui j'en ai croisé plusieurs, et je sais que quand ils proposent de se voir en dehors du boulot, c'est rarement pour trier les lentilles. Ou alors, ils le précisent. "Mia, tu voudrais bien qu'on se voie pour travailler sur tel cas ?" Bon, il y a aussi les cas où le boulot ne sert que de prétexte et une fois que j'entre dans leur champ de vision, je comprends directement qu'ils souhaitent me parler d'autre chose que de scènes de crimes et d'alibis. C'est pas grave, ça fait partie du jeu. Je le comprends volontiers.

Ulrich, cet avocat avec qui j'ai déjà travaillé dans le cadre de plusieurs cas, a pris sa chance et m'a invitée à le rejoindre ce soir pour discuter hors des murs du boulot, ce que j'ai très bien compris. Au moins, la demande est honnête ! Ce que je redoute, c'est que sa drague devienne lourde au bout d'un moment. Jusqu'ici, flirter avec lui dans les couloirs ne m'a pas dérangée et m'a même plu, mais il faut dire que malgré tout, le contexte du travail me protège, plus ou moins. Surtout, il me freine. Peu, mais assez. Contrairement à dehors, où j'ai tendance à davantage me défouler. La preuve, je me fais actuellement beaucoup trop belle pour un simple collègue (outfit ici). J'y peux rien, c'est dans ma nature, ça ne le choquera pas de me voir si bien apprêtée, vu que je le suis d'ordinaire dans ma profession ! J'ose espérer qu'il se sentira même flatté que je lui fasse l'honneur de m'être si bien habillée et maquillée pour venir lui taper la discussion dans un café.

[...]

Visiblement mon collègue ponctuel est très content de me voir, à en juger par le sourire en coin dessiné sur ses lèvres lorsqu'il m'aperçoit arriver près du café. « Bonjour... » Je réponds à sa salutation d'un mouvement de tête et pénètre dans l'établissement dont Ulrich me tient la porte. « Si je puis me permettre, je te conseille leur latte macchiatto. Il est le plus proche que tu puisses trouver en Amérique de ce qui se fait en Italie. » Bon conseil, mais comme souvent j'ai plutôt envie de n'en faire qu'à ma tête. « Merci du conseil, mais c'est mal me connaître que de penser que je vais le suivre. » Un petit clin d'oeil malicieux au jeune homme en ma compagnie et me voilà déjà en train de m'installer à la table pour deux personnes qui m'attirait le plus. Quand je vous dis que je suis parfois difficile à suivre, c'est pas des conneries. La serveuse ne tarde pas à arriver à notre niveau pour nous demander si nous savons déjà ce que nous désirons commander. « Bonjour ! Je voudrais votre cocktail le plus alcoolisé s'il vous plait, vous en avez il me semble ! » Elle acquiesce d'un hochement de tête et prend note. « Quant à mon ami il prendra un latte macchiatto. C'est bien ça, Ulrich ? » Ce qui est sûr, c'est que tu n'as plus à prouver que tu es une femme de pouvoir.

(c) princessecapricieuse
/ awards session

Ulrich Von Kuffner aime ce message

(#) Re: Hors les murs [Mia]    Jeu 20 Avr - 19:35
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