@Juliet Brown et @Sasha Caldwell Juliet avait quasiment élu domicile dans son bureau. Ça ne paraissait pas vraiment, bien honnêtement. Toutefois, elle passait la majeure partie de son temps ici, dans cette pièce vitrée, sublimement décorée de plante verte et d’accessoire déco sublime. Juliet aimait son bureau, il était sans prétention, ouvert, lumineux. Elle y trouvait sa place, elle était talentueuse à son job, elle laissait sa marque, elle était une patronne tout de même apprécié quoique depuis un an, elle commençait à faire un peu peur aux employés. Son job était devenue sa seule vocation, son seul intérêt, ce qui faisait qu’elle prenait un peu trop tout personnel. Enfin, personne ne lui dirait, après tout, elle est la fille du grand patron. Puis, Juliet elle avait l’oeil pour faire les bon deals financier, elle avait permis à beaucoup d’avoir de bons bonus, elle avait aussi mis des gens à la porte, mais ils n’étaient plus là pour se plaindre. Juliet travaillait sur un projet d’expansion, elle portait un joli tailleur noir, elle buvait un café alors qu’on était en après-midi et elle passa bien proche de s'étouffer alors qu’elle vit passer un fantôme du nom de Sasha de le couloir avec son père. Ils semblaient revenir du lunch, si Juliet avait coupé tous les ponts possible avec Sasha, son père, lui, l’aimait autant, peut-être même plus que lorsqu’il devait épouser sa fille. Ça la mettait en rogne de voir son père jouer ami-ami avec son ex, elle ne comprenait pas vraiment cette relation, elle aurait préféré qu’il son côté à elle, sa fille, mais non. Elle se mit à tapper un courriel avec beaucoup de vigueur. Elle gardait ses yeux bien rivés sur son ordinateur alors qu’elle entendit la porte de son bureau s’ouvrir puis se fermer. Elle savait qu’il était là, mais elle voulait ignorer le tout. Il lui dit bonjour, elle n’eut pas le choix de relever son regard sur Sasha. “Je suis occupée. Tu peux continuer ton lunch avec mon père si tu veux, il semble avoir tellement de chose à te dire.” Elle n’était pas si occupée, mais elle ignorait Sasha depuis des années, faignant les bonjour dans les soirées mondaines où elle devait être d’apparence polie, mais sans plus. Il ne semblait pas bouger, elle partira d’elle-même au besoin. Elle décida même de se lever tout de suite, elle était prête à s’enfuir sans dire un autre mot quand l’intercom du bureau annonça que personne ne pouvait sortir de la pièce où ils étaient, de fermer les portes et de la verrouiller. Juliet s’empressa de verrouiller sa porte de bureau et de descendre les toiles des vitres. Elle retourna à son bureau pour travailler ignorant la présence, maintenant imposée, de son ex-fiancé.
a story was a form of telepathy. by means of inking symbols onto a page.
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résumé du personnage
né à sur le base miliataire de Fort Hood, Texas / Fils d'un militaire américain et d'une infirmière ukrainienne / diplômé en Computer Science de la Texas Tech University, il se spécialise dans l'intelligence artificielle / a fondé une start-up et investi dans pas mal de projet à droite et à gauche / nouveau riche, il a toujours l'impression de devoir se prouver auprès des gens de la haute qu'il côtoie / a eu des problèmes avec l'alcool et a causé un accident qui a été couvert à l'époque par le père de son ex-fiancée / a fait une cure de desintox en secret / a quitté sa fiancée après neuf ans de relation, quelques mois avant leur mariage, pour pouvoir fréquenter Siobhan / n'a pas de très bonnes relations avec les enfants de sa femme / parle ukrainien mais ne sait pas le lire ni l'écrire / n'est jamais ponctuel / est un gros fan de soccer / il vit avec sa femme mais conserve un loft où il va se réfugier de temps en temps pour avoir son "me time" / sait jouer du piano
w/ @Juliet Brown Ce n’était sans doute pas très orthodoxe de continuer à fréquenter le père de son ex-fiancée, mais Sasha avait depuis bien longtemps cessé de se laisser dicter par les règles établies. S’il s’était un peu plus soucié de la bienséance, il n’aurait pas quitté Juliet de la sorte après tout. Non pas qu’il estimait avoir fait les choses autrement que dans les règles de l’art : il était tombé amoureux – subitement, lourdement – et après quelques semaines de réflexion, avait mis fin à une relation qui aurait de toute manière était altérée. Malgré ce que les mauvaises langues avaient pu dire, Sasha avait réellement aimé Juliet. Il avait même encore beaucoup d’affection pour elle. Aurait-il pu rester avec elle sans être malheureux ? Oui. Il y avait un confort et une simplicité dans leurs interactions qui venaient de nombreuses années passés ensemble et d’états d’esprit particulièrement compatibles. Mais Siobhan était entré dans sa vie sans crier garde et, face à de tels sentiments, Sasha avait fait ce qu’il pensait le plus juste. Tout cela pour dire que cette décision n’avait pas été simple et que, malgré ses actions, Sasha avait encore du mal à se défaire de cette période de sa vie. Le père de Juliet avait été un pilier et un soutien dans la vie de Sasha ces dernières années et, au-delà du business qu’ils faisaient encore ensemble, c’était une personne qu’il affectionnait particulièrement et qu’il ne se voyait pas ne plus revoir. Sasha avait également essayé de rétablir un maigre contact avec Juliet, après quelques temps. Il réalisait que c’était un peu salop de sa part et un peu inespéré aussi, mais il trouvait ça stupide d’avoir des nouvelles de la jeune femme via interlocuteurs interposés. Ca valait le coup d’essayer, même s’il comprenait qu’elle ne veuille plus entendre parler de lui. C’est bien pourquoi, lorsqu’il la vit ce jour-là à travers la vitre de son bureau, il ne put s’empêcher d’aller la voir. « Bonjour Juliet » dit-il simplement en entrant dans le bureau après avoir toqué brièvement à la porte. Mais aussitôt elle lui coupait l’herbe sous le pied, sans grandes surprise. Le sarcasme était lourd dans sa voix et Sasha accusa le coup sans rien dire. Il se doutait bien qu’elle n’appréciait guère qu’il fréquente encore son père. Il soupira légèrement. « Écoutes Juliet… » commença-t-il, prêt à la retenir, à s’excuser - il n’en savait rien à vrai dire – lorsqu’une voix s’éleva de nulle part. Le temps que Sasha intègre l’avertissement, Juliet s’exécutait déjà avec professionnalisme, verrouillant toutes les issues avant de se remettre à son bureau. Uh. « Promis, j’y suis pour rien » tenta-t-il d’ironiser, d’ici là qu’elle pense qu’il ait lancé une fausse alerte pour la bloquer ici avec lui.
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Juliet avait quasiment élu domicile dans son bureau. Ça ne paraissait pas vraiment, bien honnêtement. Toutefois, elle passait la majeure partie de son temps ici, dans cette pièce vitrée, sublimement décorée de plante verte et d’accessoire déco sublime. Juliet aimait son bureau, il était sans prétention, ouvert, lumineux. Elle y trouvait sa place, elle était talentueuse à son job, elle laissait sa marque, elle était une patronne tout de même apprécié quoique depuis un an, elle commençait à faire un peu peur aux employés. Son job était devenue sa seule vocation, son seul intérêt, ce qui faisait qu’elle prenait un peu trop tout personnel. Enfin, personne ne lui dirait, après tout, elle est la fille du grand patron. Puis, Juliet elle avait l’oeil pour faire les bon deals financier, elle avait permis à beaucoup d’avoir de bons bonus, elle avait aussi mis des gens à la porte, mais ils n’étaient plus là pour se plaindre. Juliet travaillait sur un projet d’expansion, elle portait un joli tailleur noir, elle buvait un café alors qu’on était en après-midi et elle passa bien proche de s'étouffer alors qu’elle vit passer un fantôme du nom de Sasha de le couloir avec son père. Ils semblaient revenir du lunch, si Juliet avait coupé tous les ponts possible avec Sasha, son père, lui, l’aimait autant, peut-être même plus que lorsqu’il devait épouser sa fille. Ça la mettait en rogne de voir son père jouer ami-ami avec son ex, elle ne comprenait pas vraiment cette relation, elle aurait préféré qu’il son côté à elle, sa fille, mais non. Elle se mit à tapper un courriel avec beaucoup de vigueur. Elle gardait ses yeux bien rivés sur son ordinateur alors qu’elle entendit la porte de son bureau s’ouvrir puis se fermer. Elle savait qu’il était là, mais elle voulait ignorer le tout. Il lui dit bonjour, elle n’eut pas le choix de relever son regard sur Sasha. “Je suis occupée. Tu peux continuer ton lunch avec mon père si tu veux, il semble avoir tellement de chose à te dire.” Elle n’était pas si occupée, mais elle ignorait Sasha depuis des années, faignant les bonjour dans les soirées mondaines où elle devait être d’apparence polie, mais sans plus. Il ne semblait pas bouger, elle partira d’elle-même au besoin. Elle décida même de se lever tout de suite, elle était prête à s’enfuir sans dire un autre mot quand l’intercom du bureau annonça que personne ne pouvait sortir de la pièce où ils étaient, de fermer les portes et de la verrouiller. Juliet s’empressa de verrouiller sa porte de bureau et de descendre les toiles des vitres. Elle retourna à son bureau pour travailler ignorant la présence, maintenant imposée, de son ex-fiancé. 
Ce n’était sans doute pas très orthodoxe de continuer à fréquenter le père de son ex-fiancée, mais Sasha avait depuis bien longtemps cessé de se laisser dicter par les règles établies. S’il s’était un peu plus soucié de la bienséance, il n’aurait pas quitté Juliet de la sorte après tout. Non pas qu’il estimait avoir fait les choses autrement que dans les règles de l’art : il était tombé amoureux – subitement, lourdement – et après quelques semaines de réflexion, avait mis fin à une relation qui aurait de toute manière était altérée. Malgré ce que les mauvaises langues avaient pu dire, Sasha avait réellement aimé Juliet. Il avait même encore beaucoup d’affection pour elle. Aurait-il pu rester avec elle sans être malheureux ? Oui. Il y avait un confort et une simplicité dans leurs interactions qui venaient de nombreuses années passés ensemble et d’états d’esprit particulièrement compatibles. Mais Siobhan était entré dans sa vie sans crier garde et, face à de tels sentiments, Sasha avait fait ce qu’il pensait le plus juste. Tout cela pour dire que cette décision n’avait pas été simple et que, malgré ses actions, Sasha avait encore du mal à se défaire de cette période de sa vie. Le père de Juliet avait été un pilier et un soutien dans la vie de Sasha ces dernières années et, au-delà du business qu’ils faisaient encore ensemble, c’était une personne qu’il affectionnait particulièrement et qu’il ne se voyait pas ne plus revoir. Sasha avait également essayé de rétablir un maigre contact avec Juliet, après quelques temps. Il réalisait que c’était un peu salop de sa part et un peu inespéré aussi, mais il trouvait ça stupide d’avoir des nouvelles de la jeune femme via interlocuteurs interposés. Ca valait le coup d’essayer, même s’il comprenait qu’elle ne veuille plus entendre parler de lui. C’est bien pourquoi, lorsqu’il la vit ce jour-là à travers la vitre de son bureau, il ne put s’empêcher d’aller la voir. « Bonjour Juliet » dit-il simplement en entrant dans le bureau après avoir toqué brièvement à la porte. Mais aussitôt elle lui coupait l’herbe sous le pied, sans grandes surprise. Le sarcasme était lourd dans sa voix et Sasha accusa le coup sans rien dire. Il se doutait bien qu’elle n’appréciait guère qu’il fréquente encore son père. Il soupira légèrement. « Écoutes Juliet… » commença-t-il, prêt à la retenir, à s’excuser - il n’en savait rien à vrai dire – lorsqu’une voix s’éleva de nulle part. Le temps que Sasha intègre l’avertissement, Juliet s’exécutait déjà avec professionnalisme, verrouillant toutes les issues avant de se remettre à son bureau. Uh. « Promis, j’y suis pour rien » tenta-t-il d’ironiser, d’ici là qu’elle pense qu’il ait lancé une fausse alerte pour la bloquer ici avec lui.