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| [ amelia feuerstein ] 24 ans | en couple | strip-teaseuse & infirmière sans diplome | sad realityâge, lieu de naissance › 24 ans d'agonie, d'apnée, en équilibre au bord du vide. 24 ans de tempêtes coincée à la Nouvelle-Orléans sans jamais pouvoir s'échapper. 24 errances, 24 années de sursis, à se demander, quand est-ce qu'elle arrêtera enfin de respirer. origines, nationalité ›feuerstein, des origines allemandes, famille en fuite pendant la seconde guerre mondiale, échapper à la montée du nationalisme et à la haine envers leur religion. Aujourd'hui il reste une trace de yiddish parlé avec les grands parents, pas grand chose, des vendredi soirs à la synagogue. Sur ses papiers y a bien écrit américaine, la question ne se pose plus, immigrée de troisième génération, elle est bien ancrée. statut civil, orientation › en couple depuis trop longtemps, premier amour et surement le dernier. Ils ont grandit ensemble, la question ne s'est pas posée. quand est-ce que tu lui diras que tu ne l'aime pas. C'est plus vraiment beau, plus vraiment doux, c'est la trace de ses doigts imprimés dans sa peau, c'est sa violence en guise de bouquet de rose, les épines qui déchirent l'épiderme. Pourtant elle n'arrive pas, à le quitter, à se libérer, trop attachée, la peur du vide, la peur de tout, la peur de ce que ça serait sans lui, sans rien. de crever encore une fois. Elle ne s'est jamais posée la question : c'est les hommes qu'elle aime, à moins qu'on lui prouve le contraire, mais l'éducation trop rigide et sa religion omniprésente l'empêche d'enlever ses œillères. job, statut financier › en galère d'argent, et ça depuis toujours. A enchainer les petits boulots merdique pour gagner de quoi payer le loyer de demain. Depuis quelque temps on lui a proposé une place dans un strip-club où elle faisait le ménage, les conditions sont honnêtes, le patron est correcte, les clients pas si méchants. C'est mieux que rien, une certaine fierté quand elle monte sur scène, la gène passée. C'est plus d'argent qu'elle n'en a jamais eu entre les mains. Pour sa famille elle est réceptionniste dans un hotel de luxe, plus simple de mentir comme ça que de devoir subir les foudres de ses frères, de son père, de sa mère. statut familial › une famille trop nombreuse, les générations qui se marchent dessus dans la maison, des grands parents jusqu'aux petits enfants, ça se bouscule dans un capharnaüm étrange. Deux grands frères trop protecteurs, une nièce élevée comme sa fille. à la nouvelle orléans depuis › toujours, elle n'en a pas bougé, rêverait de s'évader. maternelle | effacée | douce | solitaire | silencieuse | feux intérieur | secrète | accrochée à la vie | aimante | cassée | mélancoliqueEven if I'm not here to stay.(famille) trop importante, chez les Feuerstein et leur maison en bordel, quand grand-père était encore là, ça tournait à peu près droit, mais depuis sa mort, ça déborde. Ca se marche dessus, ça se gueule dessus, ça se rentre dedans, dans une ambiance brûlante. Feuerstein où ça gueule en Yiddish, toujours l'odeur de la hallot dans le four qui plane, et les bougies parfumées de grand-mère. C'est les larmes de la petite dernière, c'est les rires des frères, c'est les larmes de la mère, c'est les grondements du père, c'est les silences d'Amelia dans tout ce brouhaha. (mauvaise élève) pas très douée Amelia, pas le temps non plus, à aider maman à la boulangerie plutôt que de faire ses devoirs, à préférer suivre les deux grands plutôt que de fourrer son nez dans les livres. Du mal avec les chiffres, avec les mots, pourtant elle redouble d'efforts Amelia, promis elle réussira, pas comme les autres : on compte sur toi. Alors l'échec est un peu plus cuisant, quand le diplôme lui file entre les doigts une première fois, qu'il faut redoubler pour y arriver. (douce mélancolie) qui colle à la peau, comme sa tante, des humeurs variantes, sans savoir pourquoi. Des soirées à pleurer dans l'oreiller, l'incapacité de se lever, puis toutes ces fois où elle pourrait refaire le monde. Y a ce moment de trop, comme un dérapage, un soir de novembre : un trop pleins de cachets volés dans un tiroir, ça finit à l’hôpital et ça place un nom sur ses idées noires : bipolarité, gamine mal aimée, les gènes d'une famille de désaxés. Mais les traitements ça coûte cher, alors elle fait comme si, oublie trop souvent, efface l'étape psy. (Elijah) l'Amour avec un grand A, avec lui depuis qu'elle a 15 ans. Un peu plus grand, du genre sale gosse, au sourire ravageur et au regard malicieux. Elijah, son univers, c'est écrit il parait, qu'ils finiront ensemble, la bague au doigt, le mariage heureux, et les enfants nombres. cette blague. La jalousie derrière les sourires d'Elijah, les caresses aussi douces que du papier de verre, première claque à 20 ans, première fracture à 22 ans, et ça ne va pas en s'arrangeant. Y a pas grand monde qui le devine, Amelia trop silencieuse, pour avouer la vérité, que ça fait bien longtemps, qu'il ne la fait plus rêver. Elle voudrait s'enfuir, qu'il ne revienne jamais, pourtant n'arrive pas à le repousser, chaque soir quand il la rejoint, elle sait pas se défiler. Alors elle ferme les yeux Amelia, imagine ailleurs,s'envole encore une fois.(Accident) Qui vient ruiner sa vie, sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi ni comment. C'est la voiture qui vient la percuter, vol plané pour finir sur le par-brise, les os du corps en miettes. C'est un miracle qu'elle puisse de nouveau marcher, que sa colonne ai été épargnée. Y a eu le coma, deux mois de silence, dans un noir complet, des séquelles qui lui restent : cicatrices sur un corps recousu comme on peu, une raideur dans la main droite, et des trous dans la mémoire qu'elle passe sous silence. Délit de fuite, il n'a jamais été attrapé, au fond, elle voudrait juste oublier. Pourtant parfois, elle aimerait le retrouver, lui faire payer tout ce qu'il lui a enlevé : sans l'accident surement qu'elle aurait aujourd'hui son diplome d'infirmière, pas obligée de raquer pour payer le loyer. (infirmière) du genre raté, encore et encore, sans un diplome en poche, recoud les grand frères et leurs amis, recouds ceux qui veulent pas trop éveiller les foules, quelques billets glissés dans sa poche contre une soirée en compagnie de ses aiguilles et de son fil, à réparer les grands blessés. Elle a sa petite réputation parmi les jouets cassés de la Nouvelle Orléans, princesse aux yeux fatigués, celle qui vous remet à votre place d'une voix trop douce, le temps de vous rafistoler. (mère) ou presque, quand une copine d'un de ses frères a déposé le bébé sur leur porte avant de se casser, petit bout de gamine qu'Amelia a ramassé. Un frère inapte pour être père, des parents surbookés, elle s'occupe de Lyra comme elle peut, avec beaucoup d'amour, beaucoup de patience, et beaucoup de volonté. Elle voudrait la protéger du reste du monde, de cette saloperie de vie qui leur colle à la peau, de la malchance légendaire des Feuerstein. T'en fais pas beauté, ça va aller. (deux cent à l'heure)sans jamais s'arrêter, jamais de temps pour elle, sauf entre minuit et deux, la cigarette entre les lèvres, à regarder le ciel et à se demander : au fait c'est comment ailleurs ? (transparente) sur scène, son secret à elle, quand elle danse et se dénude : quelques billets à glisser dans ses poches et un sourire du bout des lèvres. Elle ne fait jamais les privés Amelia, elle n'accepte jamais les réguliers non plus. Pas provocante pour deux sous, ferme les yeux sur scène pour ne les rouvrir qu'à la fin. Corps couturé qu'elle accepte qu'à cet instant, se dévoiler sous le nom de Scar, jeu de mots qui la fait marrer. Ils sont bien là bas, pas exploités, une jolie famille, qu'elle n'ose pas encore présenter à la réalité. (futur) elle ne sait pas trop ce qu'elle attend de demain Amelia, surement un peu de paix, surement un peu moins d'aléas. Elle voudrait ne plus avoir à craindre les poings d'Elijah, elle voudrait que la douleur fantôme dans ses doigts disparaisse, elle voudrait gagner au loto pour payer à Lyra une éducation qui la mènera loin, elle voudrait pouvoir soulager sa mère, son père, elle voudrait que ses frères soient moins cons, elle voudrait tellement de chose Amelia...Ouais. Peut être un peu trop, qui sait. Pas sur que ça arrivera.one day, maybe we'll meet again.- pseudo, prénom › the hanged man, on reste dans le thème du mystique - âge, pays › 25 ans et toutes mes dents, la france - avatar, crédits › maia mitchell + uc - type de personnage › inventée - comment as-tu connu le forum ? › un petit oiseau est venu me murmurer le lien sur discord - autres, une dédicace › écrire ici. - Spoiler:
Un lien avec un membre@lazar jonsson (mensonges cicatriciels) il a ruiné sa vie, Lazar, au volant de la voiture. Il a ruiné sa vie, en la renversant un soir. Elle en porte les cicatrices à même la peau, à même la vie. Il ne le lui a jamais dit, la laissant seule sur le pavé agonisante, dans le flou à son réveil, et même des années après il n'a toujours pas craché la vérité. Pourtant ils se sont de nouveau fracassé, Lazar et elle, alors qu'elle le recoud comme elle peut après ses combats trop violents, alors qu'elle a le cœur qui frémis, ne serait-ce qu'un instant. Si elle savait, surement qu'elle ne rêverait pas autant. Si elle savait, surement qu'elle ne le sauverait pas autant. le laisser crever et se vider de son sang, oeil pour oeil, dent pour dent Deux recherches de liens(♂ou♀/des rafistolés) de ceux qu'elle a recousu avec douceur, de ceux qu'elle a sauvé de la misère, de ceux qui sont venu s'échouer, un instant, entre ses bras, à serrer les dents quand elle passe l'alcool sur les plaies. (♂ou♀/des usés) du cerveau, comme elle, fatigués de la vie, réunions maladroites à l'hopital, par ci ou par là. Amelia n'est pas régulière, oublie trop souvent, refuse d'accepter. Pourtant vous vous y croisez, encore, encore, encore. Comme une farce du destin, à croire que vous êtes liés.
/ awards session | (#) foule sentimentale Lun 16 Sep - 14:11 |
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