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 [terminé] Kidding me ? | Heaton

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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
Une tête de six pieds de long qu'il tire en arrivant devant la porte et un long soupire absolument pas retenu lui échappe des naseaux. Il relève ses yeux blasés sur son coéquipier avant de le pointer du doigt "J'te préviens tu m'revaudras ça !" oui parce que non a la base il n'avait pas du tout prévu de passer son aprem à faire de la peinture pour mamie. Non à la base il pensait en profiter pour être peinard, potentiellement sortir un peu et profiter du soleil. Douce illusion ! Non mais sans dec. Mais il a cédé. Non pas vraiment grâce aux arguments d'Heath sur la charité et les bonnes actions mais plutôt pour qu'il arrête de l'emmerder avec ça. Il a réussi son coup au final. En même temps est ce que c'est si étonnant que ça de pas pouvoir être sans cœur tranquillement face à un pompier ? Usant mais efficace. Quand la porte s'ouvre sur la vieille dame et un grand sourire étire ses lèvres. Qu'est ce qu'il fout la ? Il est pas à sa place, il se sent presque hypocrite, mais bon, maintenant qu'il est la. Il fait juste un signe de la main et laisse Heath parler. Après tout c'était lui qu'avait dit qu'ils venaient, lui qui l'avait traîné ici et lui qui savait comment parler. A ça pour savoir comment parler il sait oui, dans n'importe quelle situation d'ailleurs. Il se rappelle très bien de sa première rencontre avec lui. Enfin, deuxième techniquement vu que la première c'était pour le sortir de la bagnole après un accident. Ce p'tit con qui était venu s'amuser à l'afficher comme gay. Mais ça avait été marrant. Faut dire que si ça l'avait pas fait rire ils ne se seraient pas revu, ça aurait même pu partir en fight le connaissant. Mais Heath c'était un espèce de taré bon vivant alors c'était cool. Enfin sauf quand il l’entraînait dans des projets bizarres comme la. Mais bon il a accepté de venir alors il va éviter d'être désagréable, avec la vieille en tout cas. Il l'a suit à l'intérieur, jusqu'à la pièce à repeindre. Grimace un peu en voyant la balayette qui lui sert de chien. Il espère qu'elle va pas leur demander de le sortir pour qu'il fasse sa crotte non plus. Non normalement ça devrait aller, c'est dans ses capacités ça. Une fois seul dans la pièce il s'accroupis pour ouvrir le gros pot de peinture qui se révèle être bleu ciel "Wow sérieusement ? Tu crois qu'elle nous en voudras si on peint des petits oiseaux aussi ? Et des nuages ? Hey, ça peut donner un style !" laissez faire l'artiste ! Soyons honnête, en dehors des bonhommes battons la seule chose qu'il doit savoir dessiner parce qu'il a toujours été un gamin qui s'amusait à en dessiner partout, ce sont les bites. Un sourire étire à nouveau le coin de ses lèvres et il trempe son doigt dans la peinture avant de se relever et de venir lui en foutre sur le bout du nez. Aah oui ça c'est très con mais ça le fait beaucoup rire ! "P't'être qu'ça va être marrant en fin de compte !"

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(#) [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mar 5 Mai - 3:13
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
Je ne suis pas peu fier d’être ici à ses côtés. Tu sais à quel point tu peux casser les pieds de tes proches quand tu as une idée derrière la tête. Tu n’as pas peur de débarquer dans une pièce après un refus, armé de ton plus beau panneau blindé d’images, de montages et d’arguments censés convaincre le bougre qui ose te dire non. Parce que t’es comme ça, toi. Tu ne prends jamais non comme réponse et tu n’as pas peur de tout donner pour faire changer les autres d’avis. Certains pourraient s’en offusquer et me trouver détestable rien que pour cela, mais je n’ai généralement droit qu’à une légère pointe d’agacement avant la victoire. Ils finissent par te trouver mignon, à te démener comme un dingue pour arriver à obtenir ce que tu veux. Tu n’as pas eu à insister très longtemps avec Ash, tu as commencé par l’accabler en le poussant à se sentir mal puis tu l’as bombardé de compromis jusqu’à ce qu’il en accepte un. Je lui en dois une, il a refusé de nommer ce qu’était ma dette, surement qu’il continue à réfléchir à cela, mais j’ai accepté sans réfléchir. Jamais un challenge ne m’a fait reculer, de toute manière. Je n’ai pas froid aux yeux, pas peur de la trouille et certainement pas la moindre inquiétude au sujet d’Ash et de représailles qui pourraient lui permettre de me mettre dans la même position que lui le jour où je l’ai charrié dans ce bar à la vue de tous. Tu adores te remémorer cette soirée. Tu aurais pu prendre un poing dans la figure, mais tu as toujours adoré jouer avec le feu… Tu n’es pas pompier pour rien. Je presse mon index contre le bouton de la sonnette de la vieille dame. Le bruit est tel qu’il pourrait réveiller tout le quartier mais elle demeure sourde comme un pot, il lui faut au moins tout cela pour entendre correctement. « Un deal est un deal, je tiendrais ma part du marché ! » La senior nous ouvre et nous accueille avec de bons mots. Elle est visiblement émue de nous voir ici et les larmes qui font pétiller ses yeux me chamboulent. Tu es comme ça, toi… Tu adores rendre service aux autres, tu détestes être témoin d’une solitude à laquelle tu ne peux rien alors tu consacres une partie de ton temps libre à leur venir en aide, à leur tenir compagnie à eux, qui sont laissés de côté. Impossible qu’il ne soit pas un petit peu touché lui aussi, j’ai les yeux qui pétillent à mon tour lorsque je lui adresse ce regard complice qui veut tout dire. Tu comprends maintenant, pourquoi je t’ai trainé ici ? Pas sûr qu’il l’interprète exactement comme je le voudrais, mais c’est l’intention qui compte. Nous entrons et je prends soin de refermer la porte derrière nous. Entre deux éléments de conversation, la vieille dame nous mène jusqu’à cette pièce à repeindre et… Clairement, une touche de fraicheur ne sera pas de trop pour redonner vie à ce qui devait être un grand bureau. « Nous n’avons besoin de rien, mais promis, nous n’hésiterons pas à vous appeler dans le cas contraire. À tout à l’heure ! » Elle s’éloigne, allume la télé bien trop fort à mon goût et j’en profite pour refermer la porte du bureau pour nous offrir une sorte d’intimité. « Je n’ai pas menti lorsque je t’ai averti qu’il y avait du taf. »

La couleur de la peinture est pour le moins… Criarde ? J’ignore si le mot est suffisamment puissant pour décrire ce que nous avons devant les yeux. Je grimace, très amusé et accueille les suggestions de mon vis-à-vis avec un rictus. « Des oiseaux que tu prendrais le temps de dessiner comme un enfant à la petite école ? En forme de V ? » Je me mordille la lèvre, taquin au possible et attrape un pinceau, loin de m’attendre à sa vilaine attaque. « Tu n’as pas osé ? Dis-moi que tu n’as pas osé ! » Je porte mes doigts à ma figure et… Tu sais qu’il a osé. « La vengeance est un plat qui se mange froid, j’te préviens ! » Je ne compte pas agir maintenant, ce serait bien trop facile. Le moment opportun se présentera, juste quand il oubliera tout de cette scène. « Tiens, prends donc un pinceau et… À défaut d’avoir une serviette… » Je me penche et frotte le bout de mon nez contre son t-shirt. « Ah, voilà, c’est mieux comme ça ! »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mar 5 Mai - 21:18
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ft @Heath Romeo
Pourquoi être venu le voir lui ? Ça c'était la bonne question ! Il doit en avoir des âmes charitables dans sont entourage. Rien que dans ses collègues déjà et même en dehors. Et pourtant c'est lui qu'il est venu emmerder. Peut-être justement parce qu'il savait que ça l'emmerderait ? Oui, ça doit être ça, Heath semble avoir une forte attraction pour tout ce qui est d'enquiquiner ses potes. En tout cas lui ça lui tien à cœur. Suffis de voir le regard qu'il tourne vers lui au moment où ils suivent la vieille dame à l'intérieur. Merde il va pas se mettre à chialer non plus ? La sensibilité d'une gonzesse j'vous jure. Si demain il lui propose de regarder Titanic il va commencer à s'inquiéter Ash. Peut-être qu'il aurait eu cette compassion moins enfouis s'il avait grandis avec sa mère. Possible. Mais en attendant tout ce qu'il peut se dire en voyant la vieille c'est que sa mère n'aura jamais eu l'occasion de l'être elle même et d'avoir le plaisir de devenir une assistée qu'accueil des mecs chez elle pour faire le sale boulot à sa place. Alors il préfère éviter d'y penser et tant pis si ça doit se manifester par un manque de compassion. De toute façon, se mettre à chialer à la simple vue d'une dame âgée c'est bien la dernière chose qu'il veut. « Nous n’avons besoin de rien, mais promis, nous n’hésiterons pas à vous appeler dans le cas contraire. À tout à l’heure ! » trop poli ce mec, à la fin de la journée elle va lui proposer de se caser avec sa petite fille c'est sûr ! Enfin ou son p'tit fils. « Je n’ai pas menti lorsque je t’ai averti qu’il y avait du taf. » aaah ben ça ! Sûr qu'il ne l'a pas amené ici que pour repeindre un tabouret "Non mais t'as mentis en disant qu'on avait besoin de rien, j'aurais pas dis non à un verre moi" ou du saucisson ? Ben en fait tout est bon à prendre pour se remplir la panse ! Bon... au boulot du coup. Ça aurait pu être pire que bleu ciel, ça aurait pu être rose fushia ou même orange en soit. Mais reste qu'il ne s'y attendait pas. « Des oiseaux que tu prendrais le temps de dessiner comme un enfant à la petite école ? En forme de V ? » sourcils haussés et front plissé il relève les yeux sur lui "Ben quoi c'est pas comme ça que ça se dessine ?" il les a toujours dessiner comme ça lui. Hey c'est à ça que ça ressemble de loin quand on voit juste les ailes qui battent le vent non ? « Tu n’as pas osé ? Dis-moi que tu n’as pas osé ! » cette fois ci son sourire s'étire jusqu'à ses oreilles et laisse apparaître toutes ses dents. Particulièrement fière de cette connerie qu'aurait effectivement fait tout gamin de cinq ans ! "Hey, faut voir la vie en couleur un peu mon pote !" dommage qu'ils n'aient pas d'autres peintures il aurait été ravis de lui coloriser toute sa jolie p'tite gueule ! « La vengeance est un plat qui se mange froid, j’te préviens ! » toujours très amusé il lui envoie un double bisou de loin et lui fait un clin d’œil "Oh tu sais moi tant que ça se mange" ouais l'estomac est éveillé, va falloir faire avec ! « Tiens, prends donc un pinceau et… À défaut d’avoir une serviette… » il attrape le pinceau alors que ses yeux se plissent, suspicieux de le voir si prêt s'approcher "Mais... ! Ca attaque les fringues carrément ! Okay !" il retient ! C'est de la tête aux pieds qu'il va le repeindre ! Si bien qu'une fois devant le mur on ne le verra plus. Bon par contre... Les pinceaux, elle est bien gentille mais elle a pas de rouleau la dame ? Bah il espère qu'elle sera pas très exigeante mais okay c'est partis. Il décide enfin de se mettre au travail et trempe son pinceau dans la peinture pour commencer à l'étaler sur le mur "La prochaine fois c'est moi qui choisis l'activité de la journée. T'as déjà été dans un club de strip ? Je t'assure que y'a une bien plus belle vue que celle sur.. le ciel" on va dire ça comme ça. Bon c'est plus une activité de soirée que de journée pour le coup mais au final peu importe "Comment t'es arrivé à te taper c'plan la ? C'est toi elle qu'est venu te demander de l'aide ou toi qui lui a demandé si elle en avait besoin ? T'es dans un genre d'association bénévole ou un truc comme ça ?" ben ouais il réinterroge tout de même. Est ce qu'il fait ça lui même ou est ce que c'est parce qu'il est dans un groupe avec d'autres personnes.

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mar 5 Mai - 23:21
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ft @Ashton Saltzman
Il est encore tôt, en ce milieu d’après-midi, mais je pense avoir complètement sous-estimé la quantité de travail à abattre ici. La pièce semblait nettement plus petite lorsque je suis passé par ici la dernière fois, quelques semaines en arrière, avec les enfants de cette vieille dame. L’ancien bureau était encombré de meubles, de fournitures entassées depuis des années et je n’ai clairement pas eu de rôle à jouer dans le tri qui a été effectué dans l’intervalle. Dieu merci, je veux bien rendre service mais pas à ce point-là. Ils ont bien bossé, le bureau est vide, le papier peint a été retiré dans les règles de l’art et les murs n’attendent plus qu’un bon coup de pinceau pour regagner en éclat. Pourquoi avoir demandé à Ashton de m’accompagner ? Il n’était pas mon dernier choix, pour commencer. Au contraire, tu n’as imaginé personne d’autre que lui pour te donner un coup de main. Tu avais pleinement confiance en tes capacités, tu savais qu’il finirait par accepter tôt ou tard. Il l’a fait, plus tôt que prévu. Je pensais devoir être plus coriace que cela mais je ne vais pas me plaindre de ne pas avoir eu besoin de l’être. Il est là, aujourd’hui, il honneur une parole sur laquelle je ne doutais pas le moins du monde. Tu ne sais pas pourquoi mais tu lui fais confiance. Tu ne le connais pourtant pas plus que cela, un sauvetage digne de ce nom, une légère humiliation dans un bar quelques jours plus tard et puis quelques soirées partagées. Tu ne saurais même pas expliquer pourquoi vous avez sympathisé lui et toi. Pourquoi pas, après tout ? Il est une bouffée d’oxygène au beau milieu d’un quotidien que j’aime régulièrement bouleverser. Il a des prunelles que j’adore fait décoller avec mes bêtises, lorsque je le provoque sciemment. Tu es persuadé qu’il se ment à lui-même sur certaines choses. « Il est un peu tôt pour l’alcool et les biscuits salés… En revanche, j’te propose un deal… » Je transforme ce qui était un plan déjà acquis d’avance dans mon esprit en une sorte de petit jeu. « J’te paie un coup à boire si on ne termine pas trop tard, même si c’est clairement mal barré pour le moment. » Une proposition honorable, n’est-ce pas ? « Dans le cas contraire, j’te paie l’apéro et des burgers à la maison… Sauf si… » Je ne perds jamais le nord, surtout face à un tel partenaire que je peux constamment confronter à ce qui nous a permis de sympathiser en premier lieu. « Sauf si t’es trop apeuré à l’idée de te transformer en dessert pour me suivre jusqu’à chez moi ! » Je ponctue mes propos d’un clin d’œil provocateur à souhait. Les yeux dorénavant rivés sur ce mur, à imaginer des oiseaux en « V ». « Et tes bonhommes, laisse-moi deviner… Des petits bâtons ? Comment tu dessines les doigts ? » Je me moque clairement de lui, conscient de ne pas être loin devant, avec mes piètres capacités plastiques. Je n’ai jamais été bon en dessin, à mon plus grand dam.

Il ose commettre l’affront de me barbouiller le nez avec de la peinture. Ne s’attendait-il pas logiquement à me voir lui rendre la monnaie de sa pièce ? Je me montre plus vilain que lui, certes, puisque son t-shirt en prend un coup, maintenant plein de peinture bleue, mais sa réaction en vaut largement le détour. J’ai cette larme au bord des yeux, la faute à un rire que j’ai du mal à contenir. « À moins de te mettre tout nu, genre tout de suite… Tu risques malheureusement de devoir t’habituer à avoir de la peinture plein les fringues… C’est surement plus agréable que d’en avoir plein les boules, cela dit. » Haussement d’épaules innocent, loin d’avoir la réponse à une telle comparaison. « Je me suis douté que nous n’aurions que des pinceaux… J’ai prévu le coup avec des rouleaux d’urgence, dans mon coffre. » Je l’abandonne brièvement le temps de les récupérer et de revenir fièrement armé de ces deux rouleaux que nous pourrions considérer comme notre messie à nous. « Tiens… J’te sens bien trop empoté avec ton pinceau. » Je lui tire la langue, plonge mon rouleau dans la peinture et me met au travail. Effectivement, la progression semble nettement plus maitrisée et rapide. La première couche ne devrait pas être un problème malgré la surface. « Je ne suis jamais contre une bonne dose de plaisir pour les yeux, tu seras le premier, qui plus est… J’veux dire, à me trainer là-bas. » Je n’ai jamais mis les pieds dans une boite de striptease, ça n’a jamais été une priorité à vrai dire. Il m’interroge et une petite trentaine de secondes doit s’écouler, le temps de me remémorer le fil des événements. « Nous sommes intervenus ici avec l’ambulance il y a six mois. Je n’ai pas réussi à faire repartir le cœur de son mari. Nous nous sommes rendus à son enterrement, mon collègue et moi, et ses enfants nous ont expliqué qu’ils habitaient tous très loin et que leur mère ne voulait pas abandonner cette maison dans laquelle elle a toujours vécu… J’pense que c’était sa manière à elle de se sentir proche de son mari, de se donner l’illusion qu’il était toujours là. » Je marque une pause. J’ai toujours été bien trop empathique pour mon propre bien. « Beaucoup pensent que les pompiers ne font que bondir dans les incendies et se rendre sur des accidents… Mais une partie de notre quotidien consiste aussi à prendre soin de notre communauté. Nous sommes passés une ou deux fois chez cette petite dame et, de fil en aiguille, j’ai accepté de donner un coup de main à ses enfants qui ne pouvaient pas assurer l’intégralité des rénovations sur la durée de leurs vacances ici… Ce bureau, c’est là que nous avons tenté de ranimer son mari et quelque part… Quelque part je pense qu’elle affronte son deuil en redécorant la pièce, en bouleversant les choses. Étape par étape. »
     


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Jeu 7 Mai - 19:19
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« Il est un peu tôt pour l’alcool et les biscuits salés… En revanche, j’te propose un deal… » Il plisse les yeux, méfiant. On sait jamais avec lui, suffit de voir dans quoi il l'a embarqué aujourd'hui ! Mais il se méfie de lui même aussi, il sait qu'il est un peu trop fier pour résister à un bon défis. « J’te paie un coup à boire si on ne termine pas trop tard, même si c’est clairement mal barré pour le moment. Dans le cas contraire, j’te paie l’apéro et des burgers à la maison… Sauf si… » Il arque un sourcil. Quoi ? Mais ? Il est pas logique son deal ? Et sauf si quoi ? « Sauf si t’es trop apeuré à l’idée de te transformer en dessert pour me suivre jusqu’à chez moi ! » un rire franc lui échappé. Ah ouais d'accord ça joue la provoc ! "Mec déjà d'une entre juste un verre ou bien un apéro + de la bouffe tu me pousses grave à trainer plutôt qu'à être rapide et efficace pis de deux..." il bombe un peu le torse en prenant un air de cador "J'ai peur de rien moi qu'est c'tu crois ? Par contre touche à ta queue wesh" la sienne il peut s'en charger tout seul. Qu'il garde ses trucs de gay pour lui hein faut pas pousser non plus. Mais de toute façon il ne se fait pas de soucis. Heath sait qu'il n'ai pas gay, n'est ce pas.. N'est ce pas ?! Y'a aucune raison pour qu'il tente quoi que ce soit avec lui, personne n'aime se prendre de râteau. Il aime juste le provoquer c'est tout, ça l'amuse et il sait pourquoi parce que lui aussi ça l'amuse toujours de provoquer. « Et tes bonhommes, laisse-moi deviner… Des petits bâtons ? Comment tu dessines les doigts ? » un léger rire lui échappe à nouveau "Quels doigts ?" à la limite s'il doit partir dans les détails il peut dessiner la bite mais les doigts... il prend même pas toujours la peine de faire les yeux et la bouche alors les doigts il peut toujours se les foutre dans l'.. okay. « À moins de te mettre tout nu, genre tout de suite… » qu'il fasse gaffe à ce qu'il dit parce que ça Ash en est tout à fait capable ! Pas sûr que la vieille dame ne fasse pas une attaque en revenant dans la pièce par contre ! Heureusement ils ont un pompier sur place. « Tu risques malheureusement de devoir t’habituer à avoir de la peinture plein les fringues… C’est surement plus agréable que d’en avoir plein les boules, cela dit. » Plein les boules ? Sa bouche s'ouvre alors qu'il lève l'index comme illuminé par cette idée "Hey mais attend faudrait essayer ! Enfin et se doucher juste après parce que quand ça sèche ça doit être beaucoup moins cool mais t'imagines la sensation de se barbouiller les couilles au pinceau ? Ça doit être dément" ça le fait rire à imaginer, faudra qu'il essaye "Bon et froid aussi" mais tant pis juste pour le tripe, et après il rince directement. Le temps qu'il parte chercher ses rouleaux l'ex taulard continue à peindre l'angle à la jointure des deux murs avec son pinceau tout en sifflotant. Ça serait peut-être moins ennuyant qu'il ne le pensait finalement à deux « Tiens… J’te sens bien trop empoté avec ton pinceau. » pour toute réponse à cette pique accompagnée d'un tirage de langue il relève fièrement le majeur à quelques centimètres de son visage, bras tendu vers lui, avant de prendre le rouleau en souriant. Ceci dit heureusement qu'il en a pris parce que ça va tout de suite beaucoup plus vite « Je ne suis jamais contre une bonne dose de plaisir pour les yeux, tu seras le premier, qui plus est… J’veux dire, à me trainer là-bas. » son sourire étire un peu plus ses lèvres "Parce que d'habitude c'est toi qui tire les gens la bas c'est ça ? Je m'en doutais mon cochon !" enfin du coup ça doit être pour mater des hommes lui. Le club de strip auquel il pensait ils y verraient bien plus de femmes que d'hommes mais peut-être bien que ça pourrait lui plaire aussi après tout ! Il écoute attentivement le pompier énumérer tout ce qu'il s'est passé pour qu'il en arrive à se retrouvé chargé de peindre ce bureau. Autant dire qu'il ne s'attendait pas du tout à une histoire comme celle la. Ash ne peut s'empêcher de regarder le sol de la pièce et d'imaginer la scène quand il entend que c'est ici qu'il a essayé de réanimer le mari en question. "Ben putain elle est déprimante ton histoire" maintenant qu'il sait il se sent presque plus le droit de plaisanter, presque "J'vais éviter de me mettre tout nu du coup, pt'être, parait que c'est pas respectueux" on sait jamais, genre si le fantôme de son mari est encore la tout ça ! Enfin, il doit s'en foutre un peu après tout s'il est mort. "Donc Pompier, assistante sociale, peintre, je vais t'appeler Mère Theresa en fait !" enrôleur professionnel aussi, il savait s'y prendre cet emmerdeur ! Il retrempe son rouleur dans la peinture et reprend "T'as tellement un coeur de nounours, j'me demande si t'as déjà fait un truc de mal ou d'con dans ta vie" il arque un sourcil en tournant son regard vers lui. Oui oui c'est une question, ça amène même à répondre par des anecdotes et avec détails s'il vous plait ! Ben ouais il est trop parfait même s'il aime enquiquiner du coup il a du mal à l'imaginer en train de faire des vrais conneries, enfin des trucs pas forcément cool pour d'autres gens en tout cas.

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Jeu 7 Mai - 21:19
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ft @Ashton Saltzman
Il est important de reconnaitre que je suis un garçon plutôt sympathique. À rebondir sur une simple petite phrase prononcée comme ça, pour emmerder le monde et me contredire dans la foulée. Je propose un deal à Ashton, du genre vraiment honorable avec une porte volontairement laissée entrouverte pour qu’il puisse avoir la satisfaction de choisir de rester – ou non – lui-même pour le repas après cet apéro que je lui propose. Que nous soyons débarrassés de cette tâche très tôt ou non, je lui proposerais de rester à la maison pour partager de bons burgers avec d’excellentes frites maison bien grasses. Maison, tu ne sais pas si elles le sont vraiment. Tout ce que tu sais c’est que le couple de retraités qui a lancé son enseigne de restauration rapide l’année dernière semble sincère et que leurs frites sont véritablement les meilleures frites que tu as pu déguster jusqu’à maintenant. Ne parlons même pas de leurs burgers aux milles ingrédients et saveurs percutantes. Une perche n’en serait pas une si elle n’était pas tendue comme je le fais, avec un sous-entendu de balancer l’air de rien, le plus innocemment du monde. Son rire est communicatif et m’infecte immédiatement. C’est peut-être finalement pour cette raison que j’ai pensé à lui en premier, parce qu’il me fait véritablement du bien. Lorsque je le quitte, à la fin de la journée, je me sens toujours en pleine forme, heureux… Léger. Aucune prise de tête, jamais, mais des insinuations et une volonté commune de donner tort à l’autre qui anime constamment nos conversations. « Tu n’as peur de rien, ça veut dire que t’es prêt à prendre le risque et à te transformer en dessert en l’assumant jusqu’au bout ? Pour ne pas avoir à dire que tu as finalement reculé, c’est ça ? » Je joue sur les mots, sur ses mots non sans une immense pointe de provocation qui définie plutôt bien notre relation depuis le tout début. « Je n’ai pas envie de me toucher… Mais si tu veux le faire pour moi, vas-y ! » Je bombe le torse et ondule du bassin, comme pour lui laisser la liberté de me mettre la main au panier. Il n’en fera rien, je le sais. J’avoue que l’inverse me prendrait de court. Je ne me suis jamais préparé à ce qu’il puisse véritablement entrer dans mon jeu, même si je reste intimement persuadé qu’il se cache des choses à lui-même. Tu ne juges pas cela, tu serais sacrément mal placé pour le faire sachant que toi aussi, le petit hétéro, tu es loin de tout reconnaitre… N’est-ce pas ? J’ai toujours été ouvert d’esprit et prêt à admettre que l’attirance ne se limitait pas à un genre. L’admettre ne veut pas dire que ça arrivera.

Les oiseaux, les bonhommes, même combat pour nous deux même si je me refuse à l’informer de mes propres faiblesses en matière de dessin. Je préfère me moquer de lui, comme toujours, et de ses piètres qualités de dessinateur. « T’es comme ça toi… J’imagine que tu distingues aussi les hommes des femmes en leur traçant trois traits au-dessus du cailloux en guise de cheveux ? » Je glousse comme un adolescent, de bon cœur, mes abdominaux contractés comme jamais. Pire qu’un travail poussé en salle de sport. Le sport par le rire est peut-être un concept à creuser, qui sait, il y a de quoi se faire du fric facilement non ? Les gens adhèrent tellement à tout et à rien de nos jours… Un mot, une connerie et le voilà en train de s’emballer, visiblement inspiré par ma bêtise. « J’en connais un qui, ce soir, va chouraver un pot de peinture pour se peinturlurer les testicules… J’peux t’aider si tu veux, pour l’expérience. Parce qu’il sera difficile de te tenir la queue, de tremper le pinceau dans la peinture et de te peindre les boules tout en tenant la caméra pour immortaliser cela… Parce qu’il faut clairement immortaliser tout cela pour la postérité ! » Je suis hilare à cette idée. Je ne reculerais même pas devant une telle folie, c’est typique ce que Roman et moi pourrions décider de faire sur un coup de tête, avec nos idées à la con. « Très froid et genre… La sensation doit être étrange aussi… C’est liquide et épais à la fois… Pas le truc qu’on a l’habitude d’avoir sur les burnes ! » Je baisse d’un ton, comme pour m’assurer que la vieille dame ne nous entendra pas. Aucun risque, elle est sourde comme un pot, mais sait-on jamais. Revenu de la voiture avec des rouleaux, je suis accueilli par un magnifique doigt d’honneur fièrement tendu spécialement pour moi. « Quel magnifique doigt, un peu tordu cela dit… » Un clin d’œil et me voilà à nouveau accaparé par ce mur sur lequel je me défoule avec beaucoup d’entrain et d’énergie. Le plus tôt nous en aurons terminé avec la première couche, le plus tôt nous pourrons imaginer savourer une bonne bière en attendant notre montagne de frites.

Ce qu’il me propose comme prochain plan me plait. Une forme de générosité quand on y pense, parce qu’il nous faudra probablement débourser quelques billets pour remercier ces jeunes filles très peu habillées. Les encourager à poursuivre sur cet voie, à continuer l’exploration de leur art très… Personnel. La plupart d’entre elles ne sont là que pour un temps, parce qu’utiliser leur corps pour empocher un maximum d’argent en peu de temps semble être leur seule moyen d’entrevoir un avenir meilleur. Et voilà, tu es encore bien trop empathique, à avoir de la peine pour elles, prêt à débourser plus que de raison pour mettre fin à leur calvaire alors que certaines d’entre elles le font réellement par plaisir. « Pas besoin d’un club de striptease pour tirer… Surtout que c’est une légende urbaine, non ? Tu ne peux pas vraiment tirer ton coup là-bas… Si ? » Le doute m’assaille, je suis finalement très peu au courant de ce genre de choses et certainement pas intéressé à l’idée de m’offrir cela… Le sujet devient extrêmement sérieux, je lui raconte tout, du début à la fin, retrace l’itinéraire nous ayant mené à cette baraque aujourd’hui, à repeindre un bureau qui me colle des frissons et me ramène à une défaite qu’il m’a fallu digérer. Il me fait rire à se raviser sur sa nudité par peur d’une vengeance tout droit venue de l’au-delà. « T’as raison, j’ai entendu dire que son fantôme hantait encore les lieux et qu’il découpait à la cisaille le zboub de tout mal autrui qui oserait se déshabiller ici ! » J’ai très envie d’exploser de rire mais je me retiens, optant plutôt pour un haussement exagéré de sourcils censé apporter un gage d’authenticité à mon histoire… On est loin du résultat escompté. Il me questionne et j’opte à nouveau pour un silence qui en dit long. J’ai besoin d’un moment pour réfléchir à cela. Tu n’as jamais été foncièrement mauvais, tu n’as pas fait grand-chose de mal dans ta vie… T’as toujours été une bonne personne. « Très honnêtement… La pire crasse que j’ai pu faire c’est balancer des crottes de chien sur la porte d’entrée d’une voisine insupportable quelques années en arrière… Les joies de l’adolescence et de la maturité… » Je me gratte le crâne, presque exaspéré en repensant à mon attitude de l’époque. « Je me suis emparé du revolver de mon père un jour, je l’ai pointé sur ma tempe… J’voulais tirer et m’exploser le crane sur le tableau qu’il affectionnait le plus… J’me disais qu’il serait au moins attristé pour quelque chose… Il adorait vraiment cette toile… » Mouais, je n’aurais peut-être pas dû confesser cela finalement… « Et toi ? Mon petit doigt me dit que t’es passé expert en la matière et que tu dois avoir des tas d’histoires à raconter ! »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Ven 8 Mai - 20:07
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« Tu n’as peur de rien, ça veut dire que t’es prêt à prendre le risque et à te transformer en dessert en l’assumant jusqu’au bout ? Pour ne pas avoir à dire que tu as finalement reculé, c’est ça ? » mais il ne s'arrête jamais c'est fou ! Non il n'a pas peur de finir en dessert uniquement parce qu'il sait que ça n'arrivera pas. Et puis à la base c'est pas quand on recule qu'on se fait enculer ? Heath ne s'arrêtera jamais de le provoquer, c'est sûr, encore et toujours, et il sait pourquoi. Cet accident où il l'a pris pour un gay, il aurait dû se contenter de dire qu'ils n'étaient pas ensemble au lieu de répondre qu'il avait pas une tête à sucer des queues. Mais y'avait fallu qu'il tombe sur un gay, qui plus est un gay qui prend du coup à malin plaisir à le titiller la dessus depuis ! « Je n’ai pas envie de me toucher… Mais si tu veux le faire pour moi, vas-y ! » il se passe la langue sur les lèvres avant de mordre l'inférieure tout en souriant "Ecoute" son pinceau retrouve refuge dans le peau de peinture et il se rapproche de lui pour venir caler ses deux mains autour du visage de l'homme qui le surplombe d'un bon dix centimètres, l'obligeant à relever sa propre tête pour le regarder dans les yeux "Je sais que je suis irrésistible et que c'est dur de résister à la tentation quand je déambule sous tes yeux mon petit, mais tu manques un peu de seins pour que j'ai envie de te tripoter" un sourire étire à nouveau ses lèvres et il lui donne une petite tape sur la joue avant de lui coller un big smack et de s'éloigner pour reprendre son pinceau "T'en fais pas ton petit cœur brisé s'en remettra un jour" il peut bien le charrier un peu lui aussi « T’es comme ça toi… J’imagine que tu distingues aussi les hommes des femmes en leur traçant trois traits au-dessus du cailloux en guise de cheveux ? » une mine faussement offusqué il se pose dramatiquement la main sur le coeur "C'est totalement faux comment peux tu imaginer une seule seconde que je fasse ça ? Alors que y'a aussi des femmes avec trois poils sur le cailloux, j'te jure c'est effrayant ! Non je fais un triangle pour la p'tite jupe, tu sais comme sur les portes des chiottes" ben ouais plus simple non ? Enfin dans tout les cas ça reste trois traits en fait. « J’en connais un qui, ce soir, va chouraver un pot de peinture pour se peinturlurer les testicules… J’peux t’aider si tu veux, pour l’expérience. Parce qu’il sera difficile de te tenir la queue, de tremper le pinceau dans la peinture et de te peindre les boules tout en tenant la caméra pour immortaliser cela… Parce qu’il faut clairement immortaliser tout cela pour la postérité ! » alors c'est très étrange à imaginer comme scène mais allez savoir pourquoi ça le fait beaucoup rire ! « Très froid et genre… La sensation doit être étrange aussi… C’est liquide et épais à la fois… Pas le truc qu’on a l’habitude d’avoir sur les burnes ! » sa tête se tourne lentement vers lui sourcils haussés "Ah ouais ça sent le connaisseur ! Ça fait combien de temps que tu pratiques ça tout les dimanches matin ? Mais tu marques un point faut filmer ça ! Ça fera une super vidéo à passer pour mon mariage !" ça fera potentiellement fuir tout les coincés du cul. Tris sélectif. Devrait-il être désolé de penser comme ça et de kiffer des idées aussi connes ? Probablement. Est ce qu'il l'est pour autant, certainement pas. « Quel magnifique doigt, un peu tordu cela dit… » c'est vrai qu'ils sont un peu tordus ses doigts, pas des doigts de fée, des doigts abîmés "Elle s'en plaignent pas" Non elles se plaignent bien plus de son caractère et de son romantisme absent que de ses doigts en général soyons franc. Faut dire qu'Ash, c'est pas vraiment le prince charmant, heureusement qu'elles le recherchent pas toutes il serait dans la merde sinon. Mais assez de doigt en l'air il se remet au boulot parce que mine de rien il a pas vraiment envie de partir d'ici quand il fera nuit. Y'a tout de même des choses bien plus intéressantes à faire. Le club de strip fait d'ailleurs partis de ce genre de choses intéressantes « Pas besoin d’un club de striptease pour tirer… Surtout que c’est une légende urbaine, non ? Tu ne peux pas vraiment tirer ton coup là-bas… Si ? » Quoi ? Non mais il parlait de tirer les gens avec lui la bas au lieu de se faire tirer la bas, de les entraîner avec lui quoi pas de baiser non mais quel cochon ! Quoi que, il l'a probablement très bien compris en fait. Il secoue la tête en souriant "Non c'est des strip-teaseuses pas des putes mon lapin, mais si c'est ce qui t'intéresse on peut aussi aller aux putes" oh y'a des putes hommes aussi hein, moins mais y'en a, il devrait trouver son bonheur ! Enfin, ça reste à voir, vu que visiblement lui c'est proposer de repeindre des pièces aux vieilles dames qui le fais bander. Même si pour le coup il ne s'imaginait pas une histoire aussi complexe derrière. Ah oui oui il s'était clairement imaginé qu'ils avaient discuté ensemble et qu'il lui avait proposé de l'aider, juste ça. En même temps, ça aurait pu être crédible vu le potentiel Mère Theresa d'Heath « T’as raison, j’ai entendu dire que son fantôme hantait encore les lieux et qu’il découpait à la cisaille le zboub de tout mal autrui qui oserait se déshabiller ici ! » sa main descend remettre en place son paquet "J'vais le garder j'crois, j'l'aime bien" c'est un sacrifice qu'il n'est pas prêt à faire ça non. Déjà dix ans sans pouvoir faire autre chose que se l'astiquer ça avait été particulièrement long alors maintenant et depuis sa sortie il a bien trop envie de continuer à s'en servir ! Les fantômes hantent les mauvais garçons, ça serait pas illogique qu'il veuille s'en prendre à lui ! Par contre Heath est probablement hors de danger la dessus mais il est curieux de savoir « Très honnêtement… La pire crasse que j’ai pu faire c’est balancer des crottes de chien sur la porte d’entrée d’une voisine insupportable quelques années en arrière… Les joies de l’adolescence et de la maturité… » à nouveau il éclate de rire en l'imaginant faire. "Putain, du caca de chien ! Okay okay c'est gentillet mais tellement dégueu que j'accepte" après tout il a touché de la merde pour sa connerie, ça mérite bien un peu de reconnaissance ! « Je me suis emparé du revolver de mon père un jour, je l’ai pointé sur ma tempe… J’voulais tirer et m’exploser le crane sur le tableau qu’il affectionnait le plus… J’me disais qu’il serait au moins attristé pour quelque chose… Il adorait vraiment cette toile… » son sourire s'amoindris à chaque nouveau mot qu'il prononce jusqu'à disparaître complètement. Alors ça c'est beaucoup moins drôle. « Et toi ? Mon petit doigt me dit que t’es passé expert en la matière et que tu dois avoir des tas d’histoires à raconter ! » des histoires il en a plein oui. Trop en fait et la liste s'agrandis encore et toujours "Le pire que j'ai fais c'est probablement le jour où j'ai mis volontairement le feu à un appartement" ça va lui faire plaisir au pompier d'apprendre ça "Ça m'a valu dix ans de taule" ou comment faire une émission de confessions intimes avec comme contexte la repeinte d'un bureau. Il soupire et relâche son bras "Pourquoi t'as voulu de flinguer bordel ? J'en ai fais des choses débiles dans ma vie mais alors la je te cède la palme !" Il le pointe du doigt "Si tu te suicides j'vais te chercher en enfer et j'te tue une deuxième fois t'es prévenu" ben ouais ça lui fait mal quelque part d'apprendre ça. Il s'y est un peu attaché à ce petit et se dire qu'il pourrait rendre l'âme du jour au lendemain comme ça well.. nop ! Il se remet à peindre, plus vraiment avec la même bonne humeur "Il a fait quoi ton salaud de daron ? S'il le faut j'vais aller lui donner une vraie raison de pleurer moi" il ne sait pas ce qu'il lui a fait mais pour le pousser au suicide ça a vraiment dû être une raclure de bidet.

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Sam 9 Mai - 0:21
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
J’ignore pourquoi je prends un tel plaisir à le pousser dans ses retranchements. Je n’ai rien à en tirer personnellement, si ce n’est peut-être la satisfaction d’avoir eu raison sur ma première intuition. Qui suis-je pour me vanter d’une telle chose, cela dit ? Personne et c’est ce qui me donnerait parfois envie de reculer. Tu es bien trop hilare pour le faire, tu adores cette douce symphonie qui résonne dans l’air au fil du match qui se déroule constamment lorsque vous êtes ensemble. Je me demande parfois si l’un d’entre nous parviendra à une victoire digne de ce nom. Comment se matérialiserait-elle, tu n’as jamais pensé à cela. Un succès aurait pour signification la découverte de sa bisexualité mais comment se retranscrirait-elle ? Il ne l’admettra clairement jamais comme ça, au détour d’une conversation ou d’une blague. Tu ne sais pas jusqu’où tu serais prêt à t’embarquer pour avoir le dernier mot toi aussi. Les hommes et toi, vous n’avez jamais fait rien fait ensemble. Toujours de bons potos aux corps nettement plus appréciables à regarder que le tiens, des gars sur qui tu pourrais aisément fantasmer parce qu’ils sont canons et que tu sais le reconnaitre, mais plus ? Le cas ne s’est jamais présenté à moi. Est-ce parce qu’aucun mec ne m’a jamais suffisamment trouvé mignon pour essayer de me séduire ? Tu pourrais aisément le comprendre, même si le pompier est censé faire fantasmer… La profession n’est définitivement plus ce qu’elle n’était. Tu démissionnerais presque, pour la peine. Non je déconne, si je m’étais basé sur un métier pour mettre un maximum de gens dans mon lit, j’imagine que je serais plutôt devenu flic… Les menottes font toujours leur petit effet, malgré la haine pour le job en lui-même. Tu n’as jamais compris le paradoxe, tu détestes te prendre une contravention pour avoir roulé trop vite, tu insultes la terre entière et plus particulièrement ceux qui t’ont pris la main dans le sac mais tu taillerais bien une petite pipe au flic qui t’arrête sur le bord de la route malgré tout, en passant. Je fais le beau, le goût de la victoire sur mes lèvres mais il me surprend en m’attrapant le visage entre ses deux grosses mains musclées. T’es tenté de donner du crédit à l’expression populaire qui voudrait que le reste suive… T’aurais presque envie de voir, du coup… Enfin… Pour la science. Il me dérobe un baiser ultra rapide, même pas le temps de réaliser qu’il est déjà loin, en train de se pavaner. « J’étais prêt à t’accorder du crédit, le bénéfice du doute… Presque même prêt à battre en retraite mais l’électricité ne ment pas, l’alchimie non plus… » Je le pointe d’un doigt prétentieux. Tu ignores combien de bêtises tu peux aligner en une minute. « Tu te damnerais pour voir ce fessier musclé à souhait et rebondi sautiller sur ton petit asticot tout frêle… » Je me retourne pour illustrer mon propos avec ce boule qui chamboule. Ce doit être la seule partie de mon corps que je trouve mignonne, avec laquelle je ne suis pas trop critique. Éclat de rire bien trop sincère pour être contenu lorsqu’il mentionne les femmes qui ont trois poils sur le caillou. « Elles ne sont pas venues ici pour souffrir okay ? Respecte-les un peu ! » Je tente de reprendre mon souffle. Voilà pourquoi tu aimes passer du temps avec lui. Tu te sens vraiment bien, vivant, hilare en permanence. Sur le qui-vive aussi, mais de la plus agréable des manières. Tu guettes toujours le prochain geste, à vouloir anticiper sur sa prochaine action, la vanne suivante.

« Je vois, mais du coup tu caractérises comment la femme qui ne porte pas une jupe mais un jean ? » Je me mordille la lèvre, une pointe de défi dans le regard. Forcément, il aurait été beaucoup trop simple de lui accorder un peu de répit. Ce n’est clairement pas le genre de la maison. « Une telle vidéo serait plus adaptée pour ton enterrement de vie de garçon… J’ai peur que tu offusques du monde, à ton mariage, si tu balances une vidéo de tes couilles avec une montagne de peintures… Sauf si tu débarques ensuite avec un tableau qui représente une forme d’art… Disons… Abstraite… Une toile que tu aurais décidé de peindre avec tes testicules. » Ce serait une manière admirable de tenter le rebond, avec un fail et la belle famille de choquée pour le restant de ses jours. « Réserve-moi une place de choix à ton mariage, j’veux être là pour danser sur les cendres de ton couple en prétendant ne pas connaitre cette partie de toi lorsque ta belle famille me questionnera à ce sujet ! » Un beau doigt d’honneur, tordu, comme la plupart de ses doigts éprouvés par des bagarres ? L’idée me passe par la tête sans paraitre illogique. « Elles ne vont clairement pas se plaindre… C’est déjà la seule chose qu’elles peuvent apprécier à défaut d’une queue digne de ce nom… » J’hausse les épaules l’air désolé. Tu ne l’es pas vraiment, comme toujours. Un sorry not sorry d’anthologie. « Tu devrais te renseigner, j’crois qu’ils font des chirurgies pour se grossir le sexe maintenant… Bon, ça ne règlera pas tes problèmes de chrono mais bon… T’auras au moins tout bon sur l’un des critères ! » Je lui souris, accompagne mes conseils d’un clin d’œil détestable. Tu adores être avec lui, il est le seul à te faire te sentir ainsi. Les sujets fusent, ils sont d’une variété qui pourrait donner le tournis si nous n’étions pas aussi allumés l’un que l’autre. Les putes, les fantômes, tout y passe. « Gentillet, gentillet… Essaie de trouver la crotte idéale pour qu’elle ne dégouline pas partout quand tu essaies de la prendre… Pas trop dur pour qu’elle laisse des traces quand tu la balance en direction de ta cible… J’te jure que ça prend du temps ! Tout le monde n’arrive pas à mettre la main sur la perle rare. » Et puis soudainement je vrille, je ne sais pas pourquoi je m’embarque là-dedans, pourquoi j’ose parler de trucs sur lesquels j’évite de mettre des mots généralement. Les démons, tu préfères les affronter dans ton petit placard, à l’abri des regards. Par chance, il ne semble pas relever puisqu’il partage sa pire expérience, la pire chose qu’il se soit décidé à faire et… « Le pompier en moi a très envie de te frapper… Mais puisque j’suis contre la violence lorsqu’elle n’est pas sexuelle… » Je me penche pour gorger mon rouleau de peinture et le lance dans sa direction pour l’asperger au maximum de liquide. « Tiens, c’est pour l’intervention supplémentaire et les inhalations de fumée qui tueront un peu plus rapidement les pompiers qui sont intervenus en leur créant un cancer des poumons ! » Les gens oublient ce détail, la bataille parait tellement anodine et silencieuse qu’ils ne font pas le rapprochement et pourtant… Pourtant la plupart des pompiers meurent d’un cancer des poumons quelques années maximum après l’âge de la retraite… S’ils ne meurent pas avant. Un drame, surtout quand le département refuse de prendre en charge les factures médicales qui ruinent ceux qui, la veille, étaient des héros aux yeux du monde entier. « Dix ans de taule… Dur… » Vite, un truc pour alléger l’atmosphère. « C’est là-bas que tu as compris que tu aimais te faire défoncer l’cul en ramassant la savonnette ? » Une partie de moi s’indigne d’une telle remarque. Et s’il avait vraiment vécu cela ? T’es vraiment le roi des cons, Heath. J’ignore s’il perçoit la panique qui me gagne à cet instant mais je suis presque rassuré de rebondir sur mes propres fêlures… Tu as le contrôle, au moins. Sa réaction est mignonne. Tu te sens con mais… Ça te ferait presque plaisir. « J’ai eu des moments sombres, comme tout le monde. J’ai été très seul, lorsque j’étais gosse… » Je me concentre sur mon rouleau dont le rythme effréné semble soudainement avoir gagné en puissance contre ce mur. « T’es prêt pour un peu de pathos ? » J’étouffe un rictus, bien trop conscient de l’aspect faire pleurer dans les chaumières de mon histoire. « Pour faire simple… Je suis l’exemple qu’utilisent mes parents lorsqu’ils parlent de leurs erreurs de jeunesse et de l’importance de se protéger quand tu baises… J’ai été rabaissé, laissé seul face à moi-même et je n’ai rien trouvé de mieux que de compenser avec de la bouffe… Cercle vicieux oblige, j’ai grossi, encore et encore, jusqu’à être plus large que haut. Raison de plus pour nourrir leur déception… Un jour… J’me suis dit qu’il était temps de dire stop, alors je l’ai fait… Je suis parti dans cette pièce avec la ferme intention d’en finir… Puis j’suppose que je n’ai pas eu le cran. » Mon père… Mes parents… Il y aurait des tas de choses à dire sur eux. « Tous les parents ne sont pas faits pour le devenir. Je suis nettement plus heureux sans eux et cette affirmation doit être partagée de leur côté, où qu’ils soient actuellement en train de vivre leur meilleur vie ! » Le silence gagne la pièce, je ne m’en rends compte qu’après une ou deux minutes parce que j’étais bien trop concentré sur ma peinture. « J’ai cassé l’ambiance, ça y est ? J’mérite pas la médaille, d’autres ont des vies bien plus pourries que la mienne… Puis j’suis là… Avec mon sourire de tombeur, prêt à te séduire plus que jamais… C’est tout ce qui compte ! »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Dim 10 Mai - 0:52
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ft @Heath Romeo
C'est un drôle d'oiseau qu'il a la devant lui. Mais lui aussi il est pas bien normal, il le sait. Tordu qu'il est. Déséquilibré par rapport à tout ce qu'on a pu lui rentrer dans le crâne à coup de burin. Et malgré ça c'est une agréable légèreté qui flotte autour d'eux et les enveloppe. Et il s'en fiche bien de lui faire un smack, il en fait à tout le monde et depuis longtemps, pour lui c'est comme claquer la bise. Ça n'a rien de gay. De toute façon il n'est pas gay et c'est pas le fait qu'Heath le soit qui va changer le sens de ce geste pour lui. « J’étais prêt à t’accorder du crédit, le bénéfice du doute… Presque même prêt à battre en retraite mais l’électricité ne ment pas, l’alchimie non plus… » prêt à battre en retraite, non mais quel gros mytho celui la ! Comme si y'avait une once de chance qu'il le lâche de si tôt avec ça. Il est peut-être con mais pas au point de gober ça tout de même "L'électricité ? Ah oui non ça c'est parce que j'me suis pris un coup de jus une fois donc tu vois depuis j'suis électrisant comme gars !" un smack et il s'emporte le p'tit. Bien sûr qu'il sait qu'il plaisante, il ne réagirait pas pareil s'il le pensait sérieux c'est une évidence « Tu te damnerais pour voir ce fessier musclé à souhait et rebondi sautiller sur ton petit asticot tout frêle… » l'avantage c'est qu'ils vont tout les deux chercher leurs vannes dans une cours de récrée de primaire ! "J'aurais pas besoin de me damner, suffirait que je baisse mon froc pour que tu sautes dessus" avec cette image de mec toujours en manque qu'il renvoyait, même pas ça le surprendrait ! « Elles ne sont pas venues ici pour souffrir okay ? Respecte-les un peu ! » ben quoi ? Il s'est pas montré irrespectueux pour une fois ! Il a juste constaté un fait... non ? « Je vois, mais du coup tu caractérises comment la femme qui ne porte pas une jupe mais un jean ? » un simple haussement d'épaules et une réponse qui vient des plus naturellement possible "J'la dessine pas" ben c'est bon il va pas se casser la tête, s'il veut dessiner une fille il lui met une jupe. Sinon après ça va être quoi ? Comment il caractérise une femme en pantalon et sans cheveux ? Ah c'est vrai que pour la vidéo ça correspond mieux à son enterrement de vie de garçon, maintenant qu'il le dit ! Ceci dit ça reste plus drôle à son mariage même s'il a bien l'impression que personne ne partagerait son avis lors du mariage, pas même la mariée en fait. Un peu d'humour quoi merde tout le monde a déjà vu des couilles ! Même les gamines de sept ans ont déjà tapé zizi sur google image donc ça va hein. "Hey franchement je pourrais ! Mais j'crois que j'comprendrais jamais comment les gens peuvent appeler ça de l'art" l'art content pour rien la. Sérieux maintenant tout est de l'art et tout le monde est un artiste. Ça décrédibilise ceux qui sont de vrais artistes à ses yeux, ceux qui font vraiment des choses puissantes et pas juste une connerie qui leur est passé par la tête en se branlant sous la douche le matin avant de prétendre que c'est de l'art. Il est presque persuadé que s'il exposait une lunette de chiotte avec un point de peinture rouge dessus y'aurait des gens ébahis devant à se dire que ça a une signification vraiment profonde. Hallucinant. « Réserve-moi une place de choix à ton mariage, j’veux être là pour danser sur les cendres de ton couple en prétendant ne pas connaitre cette partie de toi lorsque ta belle famille me questionnera à ce sujet ! » un éclat de rire lui échappe à nouveau et il reprend de la peinture sur son rouleau pour se remettre au travail "C'est ça et prendre le risque que tu me roules une pelle avant la mariée" ce fou, il en serait probablement capable ! « Elles ne vont clairement pas se plaindre… C’est déjà la seule chose qu’elles peuvent apprécier à défaut d’une queue digne de ce nom… » un léger sourire accroché aux lèvres il tourne la tête vers lui, sourcils haussés. C'est une invitation à lui foutre dans la bouche pour lui montrer la taille réelle et le faire taire par la même occasion ? « Tu devrais te renseigner, j’crois qu’ils font des chirurgies pour se grossir le sexe maintenant… Bon, ça ne règlera pas tes problèmes de chrono mais bon… T’auras au moins tout bon sur l’un des critères ! » une chirurgie pour se faire grossir le sexe. Okay ce mec a vu trop de pubs apparaître sur son ordi suite à du matage de porno intensif "Tu sais gros tu parles tellement de ma bite que je vais finir par penser que t'en crève réellement d'envie !" non il ne pouvait pas s'offusquer de remarques sur son sexe en sachant qu'il ne l'avait jamais vu soyons logique. Non elle est pas hors norme sa bite c'est vrai, elle est dans la moyenne, mais il sait s'en servir, c'est le principal non ? Une grimace amusée tord son visage quand il lui détail les textures des crottes. Sans déconner "Mais c'est que t'as du en tripoter pas mal pour en trouver bonnes ! Je t'imagines en train de les chercher dans l'herbe maintenant" il en peut plus de rire, vraiment c'est dégueulasse. Oui il a l'habitude des trucs dégueu mais la merde c'est clairement pas son dada ! Mais ça devient beaucoup plus sérieux qu'un simple sujet pipi caca d'un coup et il n'a plus vraiment envie de rire « Le pompier en moi a très envie de te frapper… Mais puisque j’suis contre la violence lorsqu’elle n’est pas sexuelle… » oh monsieur aime la violence sexuelle ? Pourquoi ça ne le surprend pas ? Sans préavis il se reçoit une éjac de peinture sur la gueule et les fringues et écarte les bras d'un air de dire "Sérieusement ?" wesh il va lui retourner le pot sur la tronche c'est pas possible autrement ! « Tiens, c’est pour l’intervention supplémentaire et les inhalations de fumée qui tueront un peu plus rapidement les pompiers qui sont intervenus en leur créant un cancer des poumons ! » il lève les yeux au ciel et rabaisse les bras. Objectivement il a pas tord il doit bien le reconnaître mais.. "Je regretterais jamais ce que j'ai fais ce jour la, désolé" ça aurait même été bonus si les parents de cet appart avaient été dedans au moment voulu. Mais même si ça n'avait pas été le cas ça avait servis à quelque chose et ça avait enlever son p'tit voisin de leurs griffes. C'est pas pour rien qu'il a plaidé coupable, il a porté ses couilles parce qu'il était hors de question de baratiner qu'il regrettait son geste. « C’est là-bas que tu as compris que tu aimais te faire défoncer l’cul en ramassant la savonnette ? » il arrive tout de même à lui arracher un léger sourire à nouveau "J'ai toujours préféré me faire défoncer la gueule que la rondelle mon chou. Mais toi faut pas que tu finisses en prison" parce que lui il avait bien peur qu'il se fasse réellement défoncé. Il y avait échappé parce qu'il avait fini par s'imposer mais ça avait été compliqué au début quand il s'était retrouvé le p'tit jeune au milieu des adultes. Pas eu d'autre choix que de devenir encore plus un gros bourrin pour se faire un minimum respecter. Mais lui, Heath, a défaut de se faire défoncer la rondelle il a bien faillit se faire sauter la cervelle. Et ça, ça l'inquiète, il a envie de savoir pourquoi il a voulu faire une connerie pareil. Oui il a raison tout le monde a eu des moments sombres dans sa vie c'est pas pour autant que tout le monde a voulu se faire sauter le caisson donc y'a forcément plus que ça "Vas y balance" bien sûr qu'il est prêt, il a pas posé une telle question en se disant que ça serait une réponse en une phrase pas trop dramatique. Il l'écoute attentivement. Lui une erreur ? Encore si ça avait été lui il aurait compris, il sait qu'il est un désastre pour ce monde mais Heath la seule chose de méchante qu'il ai fait dans sa vie c'est jeter de la merde sur une porte et à côté de ça il sauve des vies et aide les mamies. A le voir comme ça il a beaucoup de mal à l'imaginer gros, mais en soit c'est une bonne chose qu'il ai pu si bien ce sortir de ce cercle infernal. Il ne le diras pas pour pas le miner plus mais pour le coup il est content de savoir qu'il n'avait pas eu de couilles à ce moment la, sinon il ne serait plus la pour en parler.. Tout les parents ne sont pas fait pour le devenir non. Il n'avait que des preuves de cette vérité tout au long de sa vie. Les seuls bons parents qu'il ai connu sont Karim et sa femme. Paye l'injustice de savoir que, lui qui est bon, a perdu femme et enfant. Normal de vouloir faire justice soit même quand on voit que la vie fait les choses de façon si bancale. Pas pour rien qu'il a foutu le feu. « J’ai cassé l’ambiance, ça y est ? J’mérite pas la médaille, d’autres ont des vies bien plus pourries que la mienne… Puis j’suis là… Avec mon sourire de tombeur, prêt à te séduire plus que jamais… C’est tout ce qui compte ! » "Fuck off laisse tomber c'est des pauvres connards ils te méritent absolument pas !" non il n'a absolument pas écouté ce qu'il lui a dit juste avant, il a cette histoire qui lui reste en tête "File leur adresse j'vais leur remettre les pensées en place moi" rouleau reposé et portable dégainé il est prêt à noter. On ne peut plus sérieux.

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Dim 10 Mai - 17:33
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ft @Ashton Saltzman
Les opposés s’attirent mais les weirdos n’ont pas besoin d’attraction pour se reconnaitre mutuellement lorsque leurs chemins se croisent. Rien n’arrive sans raison, je l’ai toujours pensé. Chaque épreuve apporte son lot de leçons à tirer, d’opportunités à saisir pour avancer et faire de nouvelles rencontres. Parfois même pour ouvrir les yeux sur certaines choses. L’esprit semble enclin à une clairvoyance digne de ce nom dans les moments les plus tragiques. Et si tu avais été ce bagage positif. Cette découverte lié à son accident de voiture. Lui, l’ivrogne amoché et coincé dans la voiture de son pote, ivre et inconscient contre son volant après un impact. Toi, le pompier chargé de les désincarcérer pour qu’ils puissent être pris en charge par les services compétents. Ce jour-là, Ashton n’a été victime que de quelques blessures superficielles mais il y a largement gagné au change puisqu’il est là, aujourd’hui, à tes côtés et que vous avez une drôle de manière de fonctionner l’un en la présence de l’autre. Une dynamique inhabituelle, qui bouscule la stabilité de mon petit quotidien pour le meilleur. Il n’y a rien de tel que d’être maintenu constamment en haleine, sur le qui-vive pour se sentir vivant sans avoir à se jeter dans des incendies. Parce qu’en général, ta dose d’adrénaline te vient de là, du danger qui émane de la plupart de vos interventions. J’ignore si la manière dont il me fait me sentir est saine, mais elle l’est surement plus que lorsque je me repose sur des flammes pour me sentir vivant. Tu ne sais même pas comment intégrer ce ressenti, cette sensation de légèreté qui te gagne à son contact. Tu as toujours été très mauvais à cela et définitivement pas du genre à te prendre la tête pour tenter d’interpréter les signes. J’aime être surpris, pourquoi vouloir absolument tout expliquer au risque de se prendre la tête et de rendre les choses étranges ? « Ah, t’es un genre de superhéros depuis ce jour, c’est ça ? Tu peux filer une bonne décharge électrique à la première personne qui te provoque. » J’ai l’œil rieur, les yeux constamment rivés sur lui, à l’admirer faire le pitre, pas vraiment concentré sur ma tâche, je l’avoue. « Je me dois néanmoins de te mettre en garde. Il s’avère que je suis également un superhéros. Je maitrise un autre élément, l’eau… Autant te dire que nous avoir tous les deux dans la même pièce c’est extrêmement dangereux. » Électrocution assurée. Surtout quand il balance des conneries sous forme de perches qui m’amusent bien trop pour que je puisse résister au désir de les saisir au vol. « Tu fais erreur. Tu peux baisser ton froc, tu ne verras que la pitié dans mon regard… J’peux faire semblant d’être excité si tu veux… Prétendre que je suis face à une lance d’incendie digne de ce nom… C’est ça… Ça qui me donne envie de sautiller partout. » Tu joues, tu ne manque pas une opportunité de placer une petite remarque salace pour le faire réagir à son tour. Il est trop bon public pour mon propre bien. [i]Vous courez tous les deux à votre propre perte ! Air déçu, doigt accusateur, regard dopé à la protestation. « J’te pensais pas comme ça, à négliger les femmes dès lors qu’elles n’entrent pas dans tes cases. Toi, j’suis sûr que tu as soutenu Trump pendant sa campagne. Tu as testé le cocktail à base de gel hydroalcoolique ? » Je me mordille la lèvre, exaspéré par la stupidité de notre Président. Le pire dans tout cela, c’est que je suis intervenu quelques heures plus tard sur un couple qui a vraiment ingéré du gel hydroalcoolique… Ou comment perdre davantage encore foi en l’Humanité.

« C’est facile, mon lapin. Pour que quelque chose soit reconnu comme artistique, prétends qu’un sens est caché derrière un simple trait. Sors dans la rue pour mettre la main sur deux ou trois abrutis qui pensent être les rois du monde, les intellectuels suprêmes et laisse-les s’extasier et prétendre qu’ils sont émus par le néant artistique qu’est ta toile… MAGIE, tu te transforme soudainement en cet artiste à la mode. » Je lève les yeux au ciel, l’art correspond à tout et n’importe quoi dorénavant. L’abstrait, ça n’a jamais été mon truc. Je me suis toujours passionné pour des œuvres concrètes, qui ne reposent pas uniquement sur l’œil du spectateur. Le street art, tu adores cela. Tu pourrais passer des heures et des heures à admirer les œuvres présentées de manière éphémère. « Tu en meurs d’envie… Ce serait l’orgasme ultime pour toi, que je débarque au moment où le prêtre prononce cette fameuse phrase, s’opposer ou se taire à jamais, et que j’hurle à la mort pour t’empêcher d’épouser ta femme… » Je marque une pause pour le regarder de haut en bas, hilare. « Si tu tiens vraiment à m’embrasser goulument, pas besoin d’attendre le mariage hein… Tu peux y aller maintenant. Je donne énormément de ma personne, si tu ne l’avais pas encore remarqué. » Je n’en manque pas une, le contraire serait difficile avec un tel partenaire. Et puis les aventures, le passé, les mauvaises choses… Des actes… Concrètement rien ne semble me venir à l’esprit si ce n’est cette histoire de crottes balancées sur la porte d’entrée et les fenêtres de ce couple détestable lorsque j’étais adolescent. « Pas besoin de tripoter avec un œil de lynx comme le mien. Mais je te confirme que je ne laisse jamais rien au hasard. J’ai pris le temps de trouver le package idéal avant de me lancer… Il fallait que je puisse faire honneur à ce qui allait devenir ma réputation de petit fumier ! Ou merdeux, la thématique reste la même. » Le pire, dans tout cela, c’est que je suis resté devant leur façade, fièrement. J’ai patiemment attendu qu’ils sortent, qu’ils constatent et qu’ils comprennent qu’il s’agissait de moi. Tu n’as jamais été du genre à fuir les problèmes. Lorsque tu agissais, tu le faisais en connaissance de cause. Tu as pris un sacré savon, ce jour-là, mais tu leur a tenu tête jusqu’au bout. Les convictions avant tout.

Et puis le premier degré prend le dessus de manière extrêmement surprenante. Nos confessions ne sont surement pas ce que nous attendions d’un tel sujet au départ et pourtant… Tu n’iras pas jusqu’à affirmer que tu es content d’entre cela, mais vous passez un cap. Il n’est pas seulement question de taquineries et tu apprécies cela. Tu apprécies d’entrevoir d’autres horizons, d’autres pistes à explorer. « Pourquoi l’avoir fait ? Mettre le feu… Prendre le risque de tuer des gens… Finir en taule pour cela… Je refuse de croire que tu l’as fait juste comme ça, pour passer le temps. Tu es bien trop intelligent pour cela… Impulsif, peut-être, mais pas stupide. Quelle était la raison ? » Je nage en eaux troubles, je le sais. Il pourrait m’envoyer sur les roses de mille manières pour ne pas avoir à se justifier mais j’ai envie de croire qu’il le fera. Qu’il fera preuve d’autant de transparence que moi sur mes propres failles. « Je ne risque pas d’aller en prison, mon lapin. Il y a prescription pour ma mitraillette d’excréments. Je plaiderais coupable sans faiblir, cela dit. » Et puis je parle, l’humour ne me protègera pas de cette exploration conjuguée au passé. Je déteste revenir sur cette période, sur cette solitude, cette isolation. Je ne me suis jamais senti aussi abandonné de toute ma vie. Le supplice s’est étendu sur plusieurs années et réaliser aujourd’hui que seul le suicide semblait suffisamment puissant pour me sortir d’un tel pas… Tu prends conscience de la détresse dans laquelle tu étais, des séquelles que tu as conservé après toutes ces années. Tu n’as pas besoin de chercher plus loin pour justifier cette peur de l’engagement qui te donne constamment envie de prendre la fuite. Cette confiance que tu as bien du mal à accorder aux autres dès lors qu’il n’est plus question de plaisanter. Ne parlons même pas de l’image que tu as de toi-même. Tu n’es pas désirable. C’est peut-être d’ailleurs pour cette raison que tu titilles constamment les autres sans jamais te mettre en avant… Sans jamais utiliser ton physique comme un argument car tu sais que le poids ne réside pas dans l’argument, mais dans l’obèse que tu étais… L’obèse que tu seras toujours. Le fait qu’il s’emballe de la sorte me touche. Je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que personne n’a jamais réagi comme ça. Faudrait-il encore en parler, pour laisser une telle opportunité aux autres. « Ces gens-là sont morts à mes yeux… Je sais à quel point cela peut sembler froid et horrible de parler ainsi de ses parents… Mais ils n’existent plus pour moi. » Vous avez coupé les ponts progressivement, tu n’as pas eu de nouvelles d’eux depuis plus d’un an. Les deux années précédentes, il ne s’agissait que d’un SMS envoyé pour le nouvel an, pour les anniversaires… Les codes auxquels ils ont renoncé pour mon plus grand bien. L’hypocrisie ne passera plus par moi. « Ils m’ont rendu le meilleur service du monde, cela dit… Ils m’ont permis de ne pas devenir comme eux… De me tourner vers les autres, d’aider ceux que personne n’a envie de porter vers le haut… Comme moi à l’époque. » Toujours chercher le positif. Le silence nous gagne à nouveau, quelques minutes s’écoulent, laps de temps durant lequel la peinture avance finalement un petit peu. Il est concentré et j’en profite pour souffler, à peine audible, pudeur oblige. « Merci… »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Lun 11 Mai - 17:47
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« Ah, t’es un genre de superhéros depuis ce jour, c’est ça ? Tu peux filer une bonne décharge électrique à la première personne qui te provoque. » il écarte les bras, un grand sourire aux lèvres "T'as tout compris !" c'est plutôt cool comme super pouvoir non ? Bon en revanche le côté héro il est beaucoup moins présent faut bien le reconnaître. Mêmes les quelques gestes potentiellement héroïque qu'il a pu faire on été des catastrophes. Faire les choses correctement faut croire qu'il ne sait pas. Après, il ne cherche pas non plus à jouer les justicier. Non il fait simplement les choses comme elles lui viennent, les conneries autant que le reste. « Je me dois néanmoins de te mettre en garde. Il s’avère que je suis également un superhéros. Je maitrise un autre élément, l’eau… Autant te dire que nous avoir tous les deux dans la même pièce c’est extrêmement dangereux. » ah tien voilà qui est intéressant. Alors c'est seulement quand ils sont dans la même pièce qu'il disjoncte autant que lui du coup ? "Pratique pour un pompier, heureusement que t'as pas peur des étincelles du coup parce que j'te préviens" il le pointe de son pinceaux comme pour appuyer un peu plus ce qu'il s'apprête à dire "C'est pas parce que tu mouilles comme une petite salope que tu vas éteindre mon grand feu !" celui qu'il a au derche clairement oui. « Tu fais erreur. Tu peux baisser ton froc, tu ne verras que la pitié dans mon regard… J’peux faire semblant d’être excité si tu veux… Prétendre que je suis face à une lance d’incendie digne de ce nom… C’est ça… Ça qui me donne envie de sautiller partout. » d'accord d'accord Heath est encore plus un surexcité de la bite que lui, à croire qu'il sautillerait effectivement partout et surtout sur chaque queue qui dépasserait et qu'il pourrait s'enfiler c'est dingue ! En revanche.. "De la pitié" sa main vient frapper contre son front. Toujours la même vanne c'est infernal ! « J’te pensais pas comme ça, à négliger les femmes dès lors qu’elles n’entrent pas dans tes cases. Toi, j’suis sûr que tu as soutenu Trump pendant sa campagne. Tu as testé le cocktail à base de gel hydroalcoolique ? » Trump... c'est grave si parfois dans ses propos il retrouve son père ? Ouais putain c'est grave. "Ben oui ! Et du coup comme tu vois je suis immunisé à tout virus, indestructible ! Et toi si t'avales cette magnifique peinture bleue tu peux te transformer en schtroumpf, tu sais ?" c'est bon, pas besoin de préciser qu'il a pas voté Orange is the new president, il est con mais tout de même pas à ce point et Heath le sait très bien. Son petit discours sur l'art lui arrache un rire sonore "J'suis ravis de voir que j'suis pas le seul à penser ça !" et heureusement parce que ça l'aurait gavé d'entendre toute une défense avec intro et conclusion sur cette forme d'art absurde. « Tu en meurs d’envie… Ce serait l’orgasme ultime pour toi, que je débarque au moment où le prêtre prononce cette fameuse phrase, s’opposer ou se taire à jamais, et que j’hurle à la mort pour t’empêcher d’épouser ta femme… » il cligne des yeux en le regardant. Il a beau savoir qu'il dit ça pour rire et pour l'emmerder il se demande parfois s'il n'est pas réellement en train de se monter ses fantasmes dans sa tête. « Si tu tiens vraiment à m’embrasser goulument, pas besoin d’attendre le mariage hein… Tu peux y aller maintenant. Je donne énormément de ma personne, si tu ne l’avais pas encore remarqué. » il se remet à rire finalement et secoue la tête de gauche à droite "Ecoute mon chou, je sais que c'est dur pour toi qui est fou amoureux de moi mais j'suis pas un homme facile tu vois" bien sûr que si et il ne s'en est jamais caché. Mais qu'avec les filles par contre ! Pour le coup il est pas vraiment difficile, il a vraiment couché avec tout type de physique, c'est pas vraiment ça qui l'arrête. Du coup il ne saurait même pas dire où vont ses préférences à ce sujet la ! Sujet bien plus intéressant que celui des différentes textures de merdes d'ailleurs parce qu'à chaque fois qu'il rajoute des détails il ne peut pas s'empêcher de l'imaginer dans sa tête. Yerk. Il choisis de ne pas en rajouter, que le sujet passe. Mais il ne s'attendait pas à une deuxième révélation bien moins amusante. « Pourquoi l’avoir fait ? Mettre le feu… Prendre le risque de tuer des gens… Finir en taule pour cela… Je refuse de croire que tu l’as fait juste comme ça, pour passer le temps. Tu es bien trop intelligent pour cela… Impulsif, peut-être, mais pas stupide. Quelle était la raison ? » son front se plisse sous le haussement de ses sourcils "Intelligent ?" ah ben on est loin du t'as voté Trump finalement ! Preuve que c'est passé à un sujet sérieux. Il soupire un instant. Non évidemment que ça n'était pas juste pour passer le temps. Il pouvait cramer des bouts de plastiques pour ça met pas un appart entier qu'il avait au préalable enduis d'essence. Bien sûr que c'était pas impulsif, c'était prémédité et c'est bien pour ça qu'il a fait dix ans de taule "Pour te la faire courte y'avait un gosse qui vivait à côté, je l'aimais bien, quand j'ai compris qu'il se faisait défoncer la gueule violemment et régulièrement par ses vieux j'ai pas supporté. J'ai fini par agir. Ils sont par mort mais au moins ils se sont vu retirer sa garde quand les services sociaux se sont enfin plongé sérieusement sur leur cas. Il s'est retrouvé en orphelinat le gamin, mais au moins il se faisait plus taper dessus. Et j'vais peut-être te dégoûter mais si les parents avaient crevé le seul regret que j'aurais pu éprouver aurait été celui de finir mes jours en taule, mais certainement pas le fait qu'ils y soient passés." au moins il est honnête. Ça peut faire froid dans le dos parfois c'est vrai. Ash est violent et même dangereux. C'est écris dans le dossier que la prison avait sur lui, c'est ce qui l'a aussi empêché de sortir plus tôt pour bonne conduite. Mais ayant été condamné en étant mineur il a au moins l'avantage que ça n'apparaisse pas sur son casier judiciaire sinon il aurait encore bien plus galéré que ça à trouver un job. « Je ne risque pas d’aller en prison, mon lapin. Il y a prescription pour ma mitraillette d’excréments. Je plaiderais coupable sans faiblir, cela dit. » le sourire lui revient, le sortant des souvenirs énervant qu'il avait de ses voisins "C'est bien, faut porter ses couilles dans la vie" ben ouais même pour une crotte lancée contre une porte tout à fait ! En écoutant l'histoire d'Heath il a l'impression quelque part de revivre ce sentiment. Encore des parents indignent, au point qu'il a failli se foutre en l'air putain c'est pas rien ! Ça le gave tout ces gens qui font des gosses pour pas assurer derrière. Si un jour Ash venait accidentellement à faire un gosse, prêt ou non il assumerait. Et personne, personne ne ferait de mal à son gosse sans en subir les conséquences. Conséquences qui porteraient son nom. Il ne sait pas pourquoi ce sujet le touche plus que d'autres qui ont pourtant autant d'importance, mais ça a toujours été comme ça. Quand sa demi-soeur a survécu à l'accident qui a tué sa mère, son beau père et son demi frère, son père a refusé de l'accueillir chez eux. Sous prétexte qu'elle n'était pas sa fille. Mais Athéna restait tout de même la sœur d'Ash. Peut-être que c'est à partir de la finalement que le comportement parents-enfants est devenu un sujet sensible pour lui. « Ces gens-là sont morts à mes yeux… Je sais à quel point cela peut sembler froid et horrible de parler ainsi de ses parents… Mais ils n’existent plus pour moi. » après ce qu'il a dit plus tôt il ne peut carrément pas juger. En fait c'est plus que ça, il le comprend. Même s'il leur aurait bien casser la gueule quand même, juste pour le retour de bâton. Peut-être bien qu'il se prend pour un justicier finalement de temps en temps. « Ils m’ont rendu le meilleur service du monde, cela dit… » il arque un sourcil, surpris « Ils m’ont permis de ne pas devenir comme eux… De me tourner vers les autres, d’aider ceux que personne n’a envie de porter vers le haut… Comme moi à l’époque. » Hm. Il essaye de ne pas ressembler à son père mais il lui ressemble c'est un fait. Élevé par lui seul à la dure, à coup de pression pour être un homme un vrai. "Nan c'est grâce à toi ça ducon, ils t'ont enfoncé et t'as failli y rester, c'est ça qu'ils t'ont apporté. Toi t'as choisis de te relever et de te battre, et aussi d'aider les autres mais ça c'est uniquement par ta force à toi. Leur attribut pas ce mérite. Tout les enfants martyrisés ne finissent pas par devenir de bonnes personnes comme toi, donc tu vois, c'est pas la situation, c'est juste la personne que t'as choisis d'être toi" qu'il profite de ce moment de soutient parce que c'est pas tout les jours qu'il sort un truc pareil, avec un minimum de profondeur et d'intelligence. Il laisse retomber le rouleau dans le pot de peinture, éclaboussant le sol au passage bien que couvert de bâches donc sécurisé "Allez viens la !" il écarte les bras pour serrer cette grande perche contre lui. Accolade amicale pour lui montrer son soutien moral. Et le tâcher aussi au passage, maintenant qu'il se rappelle qu'il lui a envoyé un jet de peinture dessus juste avant, peinture encore fraîche évidemment. "T'es quelqu'un de bien ma poule, bon.. t'es un spécialiste en crotte mais t'as d'autres trucs qui brillent un peu plus dans ton CV. Puis en dehors de ton CV t'es un type cool !" taquin de ouf et parfois un peu lourd mais bon, il l'est aussi donc au final. Il se détache de lui et lui tapote à deux reprise la joue. "Pigé ?"

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mar 12 Mai - 1:58
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
Il écarte grand les bras, loin de la posture traditionnelle du superhéros, prêt à fièrement porter les couleurs du rôle que je lui devine après découverte de ses pouvoirs électriques. « Les héros ont généralement une manière plus… Héroïque de se présenter aux gens par contre… Un bras levé, poing en l’air… Les mains collés contre les hanches, le torse bombé… Quelque chose quoi… La, tu as juste l’air d’un con ! » Sourire en coin, épaules que je prends un malin plaisir à hocher le plus innocemment du monde, l’air de rien. « Un pompier ne recule jamais devant le danger, mon petit… Il s’y frotte ! » Et je n’utilise pas du tout ce terme parce qu’il a autant de double sens que lorsqu’il parle de mouiller comme une petite salope pour faire le parallèle entre ma lance qui accable les flammes d’une forte quantité d’eau et mon caleçon prétendument mis à rude épreuve par l’excitation et le désir que j’éprouve pour lui. S’il savait, tu joues énormément de cette attirance pour le pousser, pour le défier, parce que tu aimes le voir rebondir à chaque perche que tu prends plaisir à lui tendre. Tu ne ressens rien pour lui d’autre qu’un appétit pour l’exubérance. Avide de trouver la réflexion ou le geste qui, un jour, parviendra à le mettre mal à l’aise et à le faire reculer pour que la victoire s’impose naturellement. Je déteste les égalités, la compétition n’est saine que si elle permet le dépassement et je n’en suis pas encore arrivé là. À vrai dire, j’ignore jusqu’où je pourrais aller pour avoir le dernier mot, pour prouver par A + B que j’ai raison et qu’il a tort. Serais-tu capable de lui faire du rentre-dedans plus sérieusement ? De mettre à exécution certaines de tes paroles les plus… Provocatrices ? Tu n’en sais rien. Ce doit être la première fois que tu te poses la question et tu ne le fais pas par hésitation, ni pour passer à l’action. « Tu devrais faire attention, les petites salopes dans mon genre mouillent pour gagner, pas pour voir les grands feux leur résister ! » Un clin d’œil et une manière détournée de réaffirmer qu’un défi, quel qu’il soit, ne se balance pas à la légère. Surtout quand il fait face à un mec comme toi, qui ne recule devant rien, pas même la stupidité, par appétit pour la folie et les challenges ridicules. Les vannes s’enchainent à un rythme infernal, si bien qu’une personne qui débarquerait et serait forcée d’assister à un tel match aurait bien du mal à garder le rythme. « Ce qui est certain, en revanche, c’est que tu n’es pas immunisé à la bêtise humaine ! » Je ne voudrais pas qu’il en soit autrement. S’il était hyper premier degré et sérieux, j’imagine que nos chemins ne se seraient jamais recroisés. Au pire des cas, je serais effectivement retombé sur lui au bar, mais sans aucune bêtise pour le rendre mémorable, je ne l’aurais peut-être même pas reconnu. Un mec comme lui, tu ne peux tout simplement pas l’oublier. Que tu aimes ou que tu détestes ce qu’il représente, tu es toujours tenté de pencher pour un extrême ou un autre sans possibilité de te positionner dans un confortable entre-deux. Je n’ai jamais aimé cet espèce de milieu dans lequel il est possible de caser un sacré paquet de personnes. Une manière moins méchante et franche d’avouer qu’ils ne marquent pas les esprits et qu’ils n’ont aucun impact sur ton quotidien. Ce sont les gens que tu as la capacité d’oublier sans même t’en rendre compte. Les amis Facebook dont tu te souviens ponctuellement lorsqu’ils partagent un truc qui atterrit sur ton mur par le plus grand des hasards ou lorsqu’un pote tente une description qui ne semble pas te parler jusqu’à ce qu’un détail fasse la différence et que tu termines par prononcer le fameux ‘‘Ah oui, lui !’’ que tout le monde utilise au moins une fois dans sa vie. « Ah non, pas en schtroumpf… Avoir l’herbe fraichement tondue qui te chatouille les couilles… On a connu mieux. J’accepte de l’avaler si j’deviens soudainement un Avatar… Tu sais, hyper grand, musclé, avec une grande queue qu’il est possible de relier à tout et n’importe quoi ! » James Cameron parviendrait à sublimer n’importe quel sujet. Il est parvenu à le faire avec les Aliens, les Piranhas, les Françaises dessinées dans le Titanic… Ou l’Iceberg, si le plan buée dans une vieille voiture ne vous inspire pas. Okay, elle était facile, celle-là. Ce mec est un génie, tout simplement.

J’explose de rire, vraiment naturellement cette fois, lorsqu’il invoque la carte de l’homme facile. « Mon lapin, tu es la définition même de la facilité. Si je disposais d’une poitrine généreuse et d’un vagin, tu serais déjà en train de me prendre en levrette au milieu des pots de peinture… Quand tu auras admis ta bisexualité, tu seras prêt à le faire également pour les hommes… » Clin d’œil provocateur, qui ne manquera pas de le faire réagir. C’est l’objectif, après tout. Je pointe à mon tour ce pinceau dans sa direction, pas le moins du monde inquiété par la peinture qui goutte de partout sur les bâches. « Je suis cet ange gardien qui apparait pour te faire réaliser ce que tu es réellement… My work here is almost done ! Tu es bientôt prêt à réaliser la prophétie, à embrasser ton destin ! » Josephine, Ange Gardien n’a qu’à bien se tenir. Elle a une sacrée concurrence en ma personne, l’acting et les effets spéciaux en plus. Je ne m’attendais pas à abandonner la lourdeur de mes plaisanteries et la lourdeur tout aussi risible de ses ritournelles pour m’aventurer du côté obscur de l’amitié. Celle qui permet d’aborder des sujets lourds, celle qui me donne suffisamment d’aisance pour oser l’interpeler sur les circonstances de cet incendie qui lui a valu autant d’années de prison. Tu es pompier, tu es le premier à témoigner en cas d’incendie. Tu t’es déjà rendu à quelques procès pour réaliser ton devoir… Son acte a été qualifié d’incendie criminel. « Ah, j’ai prononcé ce mot à haute voix ? » L’intelligence, elle est indéniable chez ce garçon, mais il serait bien trop simple de l’admettre deux fois de suite. Ce n’est pas le genre de la maison. « Toujours à se concentrer sur les petits détails sans importance, celui-là ! » Son récit me touche, forcément. Trop d’empathie en toi, mon vieux. J’acquiesce régulièrement pour l’encourager à continuer sans prononcer le moindre mot. Mon corps est traversé par un frisson désagréable et, soudain, Ashton prend une autre dimension. « J’devrais pas le dire, pas en étant pompier. Mais… Tu sais quoi, au diable tout cela… T’es un putain de héros, mec ! Pas un héros sans personnalité, parfait sur toutes les coutures… T’es un putain de Deadpool, ma poule ! » Je tapote son épaule, presque tendrement. Un moment très court, une seconde d’admiration que j’envoie valser pour enchainer sur ce propre parcours chaotique qu’est le mien. Peut-être serais-tu parvenu à te libérer de tes démons si toi aussi, tu avais foutu le feu à cette immense baraque dans laquelle vous viviez tes parents et toi. Ses propos me vont droit au cœur, forcément. Il met un immense coup de pied dans la fourmilière mais son point de vue sur la question est rafraichissant. Tu réalises qu’il a raison. Tu ne leur dois pas ce que tu es aujourd’hui. La seule chose que tu peux leur devoir, c’est ta naissance. Le reste… Le reste c’est toi. Tu n’as fait que survivre toutes ces années jusqu’à devenir ce que tu es. Des cendres de ton enfance a fini par jaillir un Phoenix élégant, blindé de cicatrices, de traces d’un passé qui le hantera à jamais, mais d’une élégance authentique. L’image du Phoenix, les cendres, l’embrasement… Comme si chaque décision, chaque description, chaque métaphore pointait du doigt cette évidence : Je n’ai pas choisi mon métier par hasard.

Il te tend les bras et tu hésites… Ouais, parce que t’es pas du tout habitué, même si très tactile. Et puis merde, tu ne sais même pas pourquoi tu as cogité alors que la solution parait évidente. Je l’enlace, une accolade musclée et appréciable. Une tendresse insoupçonnée le concernant. Comme quoi, on apprend constamment à découvrir les autres, de nouveaux aspects qui apportent de la richesse à une personnalité. Il est unique en son genre, Ashton. Et quelque part, tu te surprends à espérer qu’il restera d’une manière ou d’une autre dans ton paysage pour continuer à l’éclairer, à le ponctuer de fous rires, de moments de folie… De légèreté et de mots prononcés avec une franchise formidablement rafraichissante. Il est un parfait jongleur, un équilibriste qui sait rebondir comme il se doit. Je le serre un moment et reprends mes distances une fois le moment venu. « Pigé si tu acceptes de piger que tu l’es aussi… Vraiment… T’es quelqu’un de bien ! » Je serais prêt à parier qu’il pensera le contraire sous prétexte qu’il a fait de la taule, qu’il ne prend pas toujours les bonnes décisions ou qu’il est souvent hermétique aux autres mais je ne me trompe pas… Il est juste incroyablement complexe. « J’ai de la peinture partout… On est lié par un espèce de pacte maintenant ! »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Jeu 14 Mai - 23:25
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« Les héros ont généralement une manière plus… Héroïque de se présenter aux gens par contre… Un bras levé, poing en l’air… Les mains collés contre les hanches, le torse bombé… Quelque chose quoi… La, tu as juste l’air d’un con ! » Comment ça juste l'air con ? C'est pas sa position ça c'est sa tête, rien à voir. Oui il le sait bien qu'il a une tête de con mais pas de bol il est né avec alors il fait avec "Je les emmerde j'ai décidé de ne pas faire comme les autres" presque ironique quand on sait la pression qu'il se met pour entrer dans le moule de cette image virile clichée du mec qu'on a usé à ses oreilles pendant bien trop longtemps. « Un pompier ne recule jamais devant le danger, mon petit… Il s’y frotte ! » le coin de ses lèvres s'étire à cette allusion "J'savais bien que tout les pompiers étaient des frotteurs... mon grand !" Bizarrement il l'imagine très bien venir se frotter à lui mais il s'en passera tout de même. Ça serait fâcheux de lui provoquer une érection alors que c'est même pas en blanc que le mur doit être repeint. « Tu devrais faire attention, les petites salopes dans mon genre mouillent pour gagner, pas pour voir les grands feux leur résister ! » ne pas éclater de rire, ne pas éclater de rire. Oops trop tard ! "Aaah mais c'est un discours de prostitué qu'tu m'fais la chéri ! J'suis déçu, moi qui pensait que tu étais dans la charité !" ceci dit il ne doute pas de ses paroles. Il est persuadé que s'il le mettait au défis il pourrait aller vraiment très loin. Défis un peu trop risqué, il s'en voudrait d'avoir à lui coller un pain tout de même. « Ce qui est certain, en revanche, c’est que tu n’es pas immunisé à la bêtise humaine ! » Ah mais s'il existe un remède à ça qu'on le garde bien loin de lui il ne veut pas en voir la couleur ! Dieu que sa vie serait ennuyante sans cette touche de folie et de grande stupidité, ou en tout cas suffisamment grande pour faire toutes les conneries qui peuvent lui passer par la tête. « Ah non, pas en schtroumpf… Avoir l’herbe fraîchement tondue qui te chatouille les couilles… On a connu mieux. » il hausse les épaules "T'as qu'à pas te balader à poil espèce de gros pervers !" l'hôpital qui se fout de la charité oui, parait-il. « J’accepte de l’avaler si j’deviens soudainement un Avatar… Tu sais, hyper grand, musclé, avec une grande queue qu’il est possible de relier à tout et n’importe quoi ! » un rire lui échappe encore alors qu'il secoue la tête de gauche à droite en reprenant sa peinture "Grand et musclé tu l'es déjà, par contre pour le reste, je suis pas sûr que la peinture soit assez puissante, t'en demandes trop la" une grande queue qui se relie à tout et n'importe quoi, please ! On peut bien dire de lui son camarade n'est pas mieux ! Il éclate de rire Heath, genre vraiment, un éclat fort, distinct et particulièrement spontané « Mon lapin, tu es la définition même de la facilité. Si je disposais d’une poitrine généreuse et d’un vagin, tu serais déjà en train de me prendre en levrette au milieu des pots de peinture… » il hoche la tête pour confirmer. Clairement oui, y'avait de grandes chances ! Surtout si la version féminine d'Heath était aussi allumeuse que la masculine ! « Quand tu auras admis ta bisexualité, tu seras prêt à le faire également pour les hommes… » Oh my.. "C'est ce que t'as fais aussi quand t'as compris que t'étais gay ? Prendre en levrette tout les mecs qui te faisaient un clin d’œil ?" il se demande tien, quand est ce qu'il l'a assumé la demoiselle qui est en lui, le pompier. « Je suis cet ange gardien qui apparait pour te faire réaliser ce que tu es réellement… My work here is almost done ! Tu es bientôt prêt à réaliser la prophétie, à embrasser ton destin ! » il est fou ce mec ! C'est plus à prouver ! Mais bon, ça le fait rire au fond "Oh je l'embrasserai crois moi ! Et j'embrasserai aussi ces deux beaux seins à mon destin, ses ptits tétons tout roses et son gros cul galbé" aaaah la poésie ! Et encore, il s'est montré soft la ! Il aurait pu partir dans les détails, et surtout dans ce qu'il ferait une fois passé le stade des baisers. En tout cas ce sont d'agréables pensées qui viennent s'imager à son esprit. Agréables pensées totalement évaporée par de sujets bien plus sérieux, ne se prêtant, pour le coup, pas vraiment à des plaisanterie sexuelles. Quoi que, avec ces deux la, on ne sait jamais. « Ah, j’ai prononcé ce mot à haute voix ? » doigt bien rapidement pointé vers lui "Yup et c'est trop tard pour le retiré !" ah ben après le coup de la petite bite il va quand même pas se passer d'un compliment mettant en avant ses capacités neuronales, ça serait bien dommage. « Toujours à se concentrer sur les petits détails sans importance, celui-là ! » Ooh la il aurait pu lui répondre qu'il ne devrait pas se plaindre d'avoir en face de lui quelqu'un capable d'accorder de l'importance à ce qu'il a dans son pantalon du coup. Il aurait pu. Mais Heath aurait probablement accepté d'entendre que le fait qu'il s'intéresse à son sexe et il n'avait pas envie d'encore entendre parler de sa bisexualité. Pas maintenant. Pas alors qu'il parle d'Andrej, je petit voisin qu'il n'a jamais pu revoir après ça. Le dernier à qui il a parlé avant de se laisser embarquer dans les couloirs de son calvaire. « J’devrais pas le dire, pas en étant pompier. Mais… Tu sais quoi, au diable tout cela… T’es un putain de héros, mec ! Pas un héros sans personnalité, parfait sur toutes les coutures… T’es un putain de Deadpool, ma poule ! » il hausse les sourcils. Surpris par cette réaction. Réaction si positive alors que ce qu'il a fait semble si mauvais qu'il s'est tapé dix ans de taule pour le payer. Et si, certes, la vanne le fait sourire, ça le touche aussi. Réellement. Parce que, si dans sa tête ça restera toujours la bonne chose à faire de séparer le p'tit et ses parents, même si la façon de faire laissait à désirer, et bien il n'est plus le seul à le penser à présent. Et c'est pas un criminel ou un pourris qui lui dit ça. Mais un pompier et un type bien. Sa parole a plus de poids, plus de valeur et ça lui va droit au cœur. "Ben tu sais quoi mec, j'crois qu'il vient de se passer un putain de truc la, parce que pour une fois ben.. J'sais pas quoi dire" c'est vrai la, il a rien à rétorquer. Il peut préciser que c'est pas un héro ou encore que s'il en est un il fait partis des plus cons oui mais c'est pas grave au final. Parce que c'est vrai que, même s'il l'a mal fait, il a fait le nécessaire et il a rendu justice à ce gamin. A entendre ce que lui raconte Heath sur son enfance il se dit qu'au final, si ça avait été lui son voisin, l'histoire se serait terminé de la même façon. En tout il le pense. S'il avait su tout ça en vivant à côté, l'ado qu'il était à l'époque aurait également fait un joli feu de joie. Au sens propre du terme. Un feu de joie. De libération même. Il est prêt à aller leur casser la gueule aujourd'hui même. A défaut de pouvoir se charger de ça, il peut peut-être essayer d'aider le pompier, à sa manière, avec ses mots probablement imparfaits mais qui traduisent ses pensées. Et avec une accolade, geste significatif à ses yeux. Le soutient « Pigé si tu acceptes de piger que tu l’es aussi… Vraiment… T’es quelqu’un de bien ! » les yeux levés au ciel alors qu'un léger souffle amusé lui échappe des narines "Hey tu crois vraiment que je t'ai attendu pour savoir que j'étais une personne extraordinaire qui illuminait la vie de chaque personnes qu'elle croise ?" s'en sortir avec de l'humour. Une pirouette, ça il sait faire. Il n'en pense pas un traître mot bien sûr mais le fait de ne pas l'avoir dit sérieusement fait que ça n'est pas un mensonge au final. « J’ai de la peinture partout… On est lié par un espèce de pacte maintenant ! » ça y est ça revient à la normal ! "Parce qu'on s'est retrouvés collés l'un à l'autre par une sauce ? Ouais, parait qu'ça rapproche !" Il se penche pour attraper le rouleau et se redresse pour lui poquer le bout du nez avec, encore, maintenant qu'il était propre à nouveau ! Un grand sourire aux lèvres il se remet au travail qui, au final a déjà bien avancé. C'est d'ailleurs après encore seulement quelques coups de rouleau qu'il se rend compte que la première couche semble terminée "Bon ben faut attendre que ça sèche maintenant ! La deuxième couche sera pour un autre jour nan ?" ils ont bien bossé après tout la ! "Apéro ?" il s'en frotte les mains d'avance ! Aaah ben ouais ! Ça le tente beaucoup plus que la deuxième couche de peinture la !

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Ven 15 Mai - 8:51
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
Je le regarde faire, me délecte avec amusement de ses gros yeux qui s’écarquillent lorsque j’ose l’accuser d’avoir l’air con en se tenant de la sorte. « Quel est le programme ? Tu comptes mener une campagne intensive pour faire changer les choses… T’en prendre à Marvel directement ? Tu devrais leur proposer de t’embaucher, de faire de toi la prochaine vedette de la phase… Attends… J’sais plus à quelle phase on en est, maintenant qu’ils en ont terminé avec Avengers et Tony Stark…» Je marque une pause et, étincelle dans mon regard, celle qui laisse présager une remarque dont nous seuls avons le secret. « C’est le moment où jamais, mon gars. Aux dernières nouvelles ils voulaient introduire un superhéros gay… Ce rôle est fait pour toi, si tu veux mon avis. » Clin d’œil provocateur, qui ne manquera pas de le faire réagir. Je l’entends déjà me dire que le personnage m’ira comme un gant et qu’il me laisse, en bon Seigneur qu’il est, l’opportunité d’occuper une telle position. Tu commences à anticiper sur ses réactions, peut-être commences-tu à trop bien le connaitre. Sa remarque sur les pompiers me fait sourire, forcément. « Je me suis toujours dit que tu ferais un excellent pompier. J’comprends pourquoi, maintenant. » Je n’en manque jamais une, je vous l’accorde. Les pompiers se frottent réellement au danger, je ne compte même plus le nombre de fois où je suis ressorti d’une intervention avec des égratignures ou pire que cela. Les chats et leur nombre de vies peuvent aller se rhabiller. Tu es le niveau supérieur de flirt avec la Grande Faucheuse. Elle et toi, vous avez l’habitude de vous étreindre… Jusqu’au jour où elle te cassera en deux. Je n’en reviens pas du niveau de mes punchline. J’ai l’habitude de viser un peu plus haut, même en matière de vannes en dessous de la ceinture. Le débit, le rythme endiablé de nos échanges me pousse dans mes retranchements. Je ne connais pas plus vivifiant. « L’un ne va pas sans l’autre, chéri. J’anticipe déjà sur mon passage au Purgatoire. La charité pour le bien, la prostitution pour le mal même si… Bon… Quitte à choisir, j’préfèrerais atterrir en Enfer. » Surprenant ? Tout dépend du point de vue et de l’image qu’on se fait de l’Enfer. « Des diables et des diablesses, la chaleur, les barbecues infinis… La possibilité de faire des tas de mauvaises choses… J’vois pas en quoi c’est plus effrayant que de se retrouver entouré de bouseux en blanc qui paradent comme une putain de secte d’imbéciles heureux… Eurk… Ce serait mon Enfer personnel, ça ! » Je marque une pause pour me secouer, comme pour évacuer le dégoût et l’horreur qui me gagne à cette idée. « Tu me suivrais jusqu’en Enfer ? » Petit regard de chien battu presque inutile. Je suis profondément persuadé que, tel que présenté précédemment, son cœur balance lui aussi naturellement vers les troupes du Diable. « Je reste dans le thème, mais dois-je te rappeler qu’à l’origine, Adam et Ève se baladaient complètement nus ? Les vêtements, franchement… C’est grave surfait ! » Le son d’une telle affirmation a une résonnance particulière dans mon esprit. Logique, quand on sait que quelques années tout juste en arrière, les vêtements semblaient être mes seuls alliés contre certaines moqueries. Je ne retirais jamais mon t-shirt, même à la piscine, pour ne pas prendre le risque d’être pointé du doigt pour mon obésité. Tu n’allais plus à la piscine à cause de cela. Tu étais toujours sifflé par les maitres-nageurs qui exigeaient que tu retires ton seul bouclier pour rejoindre les bassins… Les lacs, après cela, sont devenus tes seuls alliés. À choisir, je préférerais largement me transformer en Avatar, la peinture ne pourra rien pour nous, bien évidemment. Éclat de rire, à nouveau, après une série supplémentaire de remarques censées mettre en avant sa bisexualité. Il ne lâche rien, mais tu n’en attendais pas moins de lui. Une telle attitude est normale, surtout quand tu marines dans ton propre déni depuis un moment maintenant. Tu pourrais à nouveau faire le lien avec ton obésité. Tu n’es peut-être plus ce petit gros maintenant, mais tu ne parviens pas à te percevoir différemment. Tu l’es, et tu le seras toujours à tes yeux. Tu imagines que son image de parfait petit hétérosexuel doit être la même, surtout après avoir été ramené à cela une bonne partie de sa vie. « Première information digne d’intérêt : ne laisse jamais la meuf que tu pourrais vouloir pécho seule avec moi. J’ai un appétit insatiable et je ne me contente pas d’un genre ou d’un autre. J’aime la simplicité et l’océan de possibilités qui s’ouvre à tout individu qui accepte de reconnaitre que l’attirance n’est pas une question de vagin ou de pénis. » Il semble persuadé que je suis gay. S’il savait que la seule bite que j’ai touché dans ma vie, au sens sexuel du terme, c’est la mienne. « Fais-moi un clin d’œil et tu en auras le cœur net ! » Ultime provocation, pour le principe de rebondir à nouveau, inlassablement. Je ne manque pas d’énergie, encore moins lorsqu’il est question de taquiner. Il a une définition bien différente de la prophétie que j’aime invoquer, une vision qui me fait rire, bien entendu. « Quel poète ! Tu me mets les frissons. Les larmes, tout ! »

Et puis sans trop comprendre comment ni pourquoi, nous nous retrouvons sur une route bien inédite. Un premier degré glaçant, émouvant aussi. Un partage différent, mais tout aussi appréciable du point de vue relationnel. Il gagne une épaisseur particulière, qui le rend nettement plus touchant et clairement moins unidimensionnel. Tu n’avais pas besoin de partager des malheurs pour être conscient qu’il ne se limitait pas à quelques plaisanteries et allusions sexuelles. Tu es juste directement confronté à cela et plus aucune place ne semble être laissée au doute. Je ne devrais pas prononcer ces mots. Tolérer les actions qu’il a pu perpétrer par le passé parce qu’il s’agit d’un incendie criminel et je connais l’ensemble des issues d’un tel cas de figure. Ce scénario, je l’ai rencontré plus d’une fois dans ma vie, des vies dérobées à la clé, et j’en garde un goût amer mais… Mais tu sens qu’il y a bien plus à cela, tu n’as pas besoin de lui demander tous les détails puisqu’il a été suffisamment loin pour te donner une vue d’ensemble. « Non ? Tu as appris à fermer ta gueule, pour une fois ? » Énième tirage de langue qui permet d’alléger l’ambiance tout en restant proche de la tonalité actuelle. « Le môme… Tu sais ce qu’il est devenu ? » À sa place, même en taule, je ne sais pas si j’aurais été capable de laisser cette partie de ma vie derrière moi. Une partie de moi aurait forcément voulu savoir. Le voudrait encore aujourd’hui. Il est profondément bon, Ashton. Qu’il soit prêt à se l’admettre ou non. Se l’admettre, il a beaucoup de choses à réaliser, finalement. Il lève les yeux au ciel pour accueillir mes propos et retombe forcément sur ses pattes avec une petite vanne qui nous permet de quitter cet épisode premier degré pour revenir à ce que nous maitrisons le mieux au monde. « Ah ça… Je ne connais aucune manière de se rapprocher aussi clairement ! » Nouveau rictus et passage à l’action. Non, tu ne t’attaques pas à lui pour extraire ce fameux nectar mentionné sous forme de sous-entendu. Tu reprends ton rouleau et tu te bouges les fesses pour terminer cette première couche. Le travail est terminé, il l’est pour aujourd’hui. « Je reviendrais la semaine prochaine pour appliquer la deuxième couche… Si tu veux te joindre à moi ! » Je ne le supplierais pas, cette fois, et mon petit doigt me dit que je n’aurais pas besoin d’insister. « Chose promise, chose due ! Tu as bien mérité des burgers, en supplément ! » Il m’a été d’une aide précieuse aujourd’hui et je ne saurais comment le remercier autrement. « J’peux te laisser nettoyer rapidement pendant que je vais la chercher et lui dire qu’on repassera d’ici quelques jours ? J’te rejoins à la voiture. » Je ne lui laisse pas le temps de s’indigner du sale travail que je lui laisse sur les bras que, déjà, je m’éloigne pour rejoindre une autre pièce après lui avoir balancé mes clés de voiture. Tant pis pour la dégaine avec laquelle je me présente, peinturluré de partout.


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Lun 18 Mai - 19:06
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
Mais.. ? Il part vraiment loin quand il s'y met le coco ! Il arrive même à le perdre dans ses avengers et tout le bordel. Il a juste dis qu'il voulait pas faire comme eux à la base du calme ! Complètement dingue ce mec j'vous jure ! « C’est le moment où jamais, mon gars. Aux dernières nouvelles ils voulaient introduire un superhéros gay… Ce rôle est fait pour toi, si tu veux mon avis. » il lève les yeux au ciel. C'est sûr qu'il part loin, on va forcément loin quand on s'arrête jamais et ça c'est typique de lui ! Il a beau savoir qu'il n'a rien de gay il faut qu'il le taquine avec ça à longueur de temps. "Toi t'es tellement frustré de pas pouvoir avoir ma bite dans ton cul que tu rêves de fantasmer sur moi en collant fluo maintenant !" pitié ! "Naan j'serais un super héro anonyme moi, comme Zorro tu vois !" il a un peu plus de style que ces mecs avec leurs slibar sur leur futal nan ? Des profs de gym du ptit écran d'il y a quelques décennies, manque plus que le bandeau dans les cheveux. « Je me suis toujours dit que tu ferais un excellent pompier. J’comprends pourquoi, maintenant. » son sourire s'étire de ce ping-pong incessant entre eux deux "Tu comprendras pourquoi le jour où tu verras mon gros tuyaux d'arrosage surtout, il gicle loin !" Ash ? Dégueulasse ? Jamais voyons ! Toujours dans la finesse et la subtilité. « L’un ne va pas sans l’autre, chéri. J’anticipe déjà sur mon passage au Purgatoire. La charité pour le bien, la prostitution pour le mal même si… Bon… Quitte à choisir, j’préfèrerais atterrir en Enfer. » hashtag le dernier endroit où on peut encore fumer sur terre, non ? C'est pas pour ça ? « Des diables et des diablesses, la chaleur, les barbecues infinis… La possibilité de faire des tas de mauvaises choses… J’vois pas en quoi c’est plus effrayant que de se retrouver entouré de bouseux en blanc qui paradent comme une putain de secte d’imbéciles heureux… Eurk… Ce serait mon Enfer personnel, ça ! » ah ben si ça s'en rapproche ! C'est la vision que tout le monde a un peu du Paradis et de l'Enfer ouais. Ou l'enfer est finalement le paradis et que le paradis devient un enfer. Et si au paradis on ne revivait que les meilleurs jours de notre vie et qu'en enfer on ne revivait que les pires. Et si au paradis on faisait la fiesta tout le temps, qu'on pouvait faire absolument tout ce qui nous fait plaisir, boire comme des trous sans jamais avoir la gueule de bois, baiser à tout vas, fumer comme des pompiers et sans avoir jamais peur de crever vu qu'on est déjà mort ? Et si en enfer les seuls qui font des barbucs sont nos bourreaux et passent la sainte journée à nous torturer, nous réduire en pièce, nous violer et nous rendre barge ? Techniquement ça a un sens plus logique dans sa vision du paradis et de l'enfer que le cliché des toges blanches et des diablesses en cuir noir de l'autre côté. Si c'est ça, ouais, il va tout de suite en enfer. Et si c'est son enfer personnel à Heath, le paradis qu'il décrit, alors peut-être que c'est ça qu'il va retrouver en allant en enfer, peut-être bien que tout le monde se retrouve dans son enfer personnel ? « Tu me suivrais jusqu’en Enfer ? » C'est quoi cette question ? Il a cru qu'ils étaient des amoureux maintenant ? C'est perturbant ça "L'enfer il est sur terre, et j'ai pas vraiment envie d'y retourner. Alors je vais me contenter de profiter de la vie à fond tu vois, et quand j'crèverais je pourrirais sous-terre, ou bien je cramerais et mon âme avec. Y'aura plus rien" ça c'est sa vision à lui, pas sa vision de l'enfer, juste de la mort. Pour lui y'a plus rien après. Les neurones meurent et c'est la fin. Tout reste n'est qu'une douce illusion que l'être humain a inventé et s'évertue à croire pour se rassurer. Mais il a conscience qu'Heath disait tout ça sur le ton de l'humour et qui a peut-être un peu alourdis la choses et cassé le délire alors il reprend "Mais entre les chaudasses et les frigides je fais le même choix que toi !" mais son âme elle a été condamnée dans leur monde, et il a payé pour ça. Pourtant il s'est qu'à chaque fois qu'il fait une connerie qui va trop loin il la remet en jeu son âme et prend le risque d'y retourner dans cet enfer où on te fait payer tes pêchés. Parce que là-bas, t'as plus de droits. Là-bas c'est un peu comme si t'étais plus considéré comme un être humain. On te fait croire que si, avec quelques beaux discours et des matons qui interviennent quand ils ont le temps et surtout, pas trop vite, mais le fait est que tu peux crever du jour au lendemain et que tout le monde s'en fichera. Ton corps sera évacué et basta. Le sang au sol nettoyé. Là-bas, si tu sais pas utiliser tes poings pour te protéger ou bien ta tête pour te faire protéger, tu passes ton temps à flipper. « Je reste dans le thème, mais dois-je te rappeler qu’à l’origine, Adam et Ève se baladaient complètement nus ? Les vêtements, franchement… C’est grave surfait ! » un rire franc lui échappe et le fait revenir sur terre "Ouais, c'est ce qu'elles disent toutes une fois qu'elles m'ont vu sans" oui ça le fait beaucoup rire ! Mais c'est vrai que si tout le monde se balade à poil lui ça lui convient hein ! Ça rince les yeux ! Et puis, il n'a pas honte de son propre corps. Oh il prétend pas qu'il est beau, ou seulement pour rire mais il se dit que y'a pire, qu'il est dans la moyenne et ça lui convient « Première information digne d’intérêt : ne laisse jamais la meuf que tu pourrais vouloir pécho seule avec moi. J’ai un appétit insatiable et je ne me contente pas d’un genre ou d’un autre. J’aime la simplicité et l’océan de possibilités qui s’ouvre à tout individu qui accepte de reconnaitre que l’attirance n’est pas une question de vagin ou de pénis. » Mais noooon ! Il est bi lui ? Alors la oui ça lui en bouche un coin, il le pensait vraiment cent pour cent gay ! « Fais-moi un clin d’œil et tu en auras le cœur net ! » il secoue la tête de gauche à droite "Le cœur net de rien du tout ma couille ! C'est un joli ptit discours utopique que tu nous sors la mais c'est faux, le sexe ça compte ! Mais pour ce qui est de laisser une nana que je veux me faire en ta présence c'est pas un problème ça, on peut partager. Après tout, à moins que tu décides de te caser avec on aura probablement l'occasion de se la faire tout les deux !" franchement il s'en fiche bien que la nana ai déjà baisé un de ses potes ou non, si jamais elle a envie de le baiser lui il sera toujours dispo et ça changera absolument rien à leur baise. Non pour le coup il ne fait pas partis des mecs qui veulent pas "les restent" de ses potes, ça il a toujours trouvé ça un peu con. Techniquement à moins de se taper des vierges elles sont toutes déjà passées par une ou plusieurs bites donc c'est débile. Et puis clairement, il préfèrent les femmes avec de l'expérience que les vierges. Y'a que l'idée de leur faire découvrir le sexe qui fait bander dans les vierges sérieux, parce que pour tout le reste ben c'est loin d'être ce qu'il y a de mieux. « Quel poète ! Tu me mets les frissons. Les larmes, tout ! » une certaine fierté dans les yeux il relève un peu la mâchoire "Ouais je sais je sais, ce talent je l'ai dans l'sang" ou pas en fait.

Nul doute qu'avec ce qu'il a vécu, au final, s'il existe, il ira au paradis ce bonhomme. Ouais c'est un type bien qui l'a pas eu facile mais qu'a réussi à s'en sortir. Et d'ailleurs venant d'un type bien du coup il ne s'attendait pas à l'entendre approuver ce qu'il a fait pour se retrouver en prison. C'est surprenant mais putain ça fait du bien de se sentir compris. « Non ? Tu as appris à fermer ta gueule, pour une fois ? » okay d'accord il l'a un peu mérité celle la c'est vrai, et cherché même vu qu'il lui a lui même tendu la perche 'Faut croire que les miracles existent, mais ils sont rares je te préviens donc non j'suis probablement assez loin de l'avoir appris" ouais ça n'arrive pas tout les jours faut pas pousser, il est encore bien loin du stade où il se dit lui même qu'il devrait la fermer. « Le môme… Tu sais ce qu’il est devenu ? » ouais il sait. Enfin il s'est ce qu'il s'est passé sur le moment, pas ce qu'il est devenu ensuite alors il hausse simplement les épaules "J'sais juste qu'il s'est retrouvé en orphelinat, que ses parents ont eu la garde retiré" ça sœur aussi, enfin demi-sœur, elle a fini en orphelinat mais il ne va pas se lancer la dedans. Il pourrait, il n'a pas peur de raconter son passé mais ça reste une longue histoire avec pas mal de drama et ils en ont eu la dose la. Faut dire qu'ils en ont vécu la dose en fait. Suffis de voir ce qu'il lui raconte. Pour en arriver à l'envie de se flinguer c'est quand même que ça a été définitivement beaucoup trop loin. « Ah ça… Je ne connais aucune manière de se rapprocher aussi clairement ! » le rire prend à nouveau sa place. C'est vrai, la dessus il ne peut pas le contredire ! Sperme collant, créateur de liens depuis... la nuit des temps en fait non ? « Je reviendrais la semaine prochaine pour appliquer la deuxième couche… Si tu veux te joindre à moi ! » il prend un air de réflexion, bouche légèrement avancer en avant et l'index qui vient les tapoter pendant qu'il regarde en l'air, faussement pensif "Hmm allez, si t'es sage, j'envisagerais d'éventuellement te donner un coup de main, dans ma grande bonté !" il repose ses yeux sur lui et son sourire réapparait "Ou un coup de pied, si jamais t'es pas sage" coup de main ou coup de pied, au choix ! C'est à lui de voir maintenant ! Comme s'il allait rester sage le bonhomme, il est convaincu que d'ici à ce qu'ils arrivent chez lui il aura fait encore une dizaine d'allusion à son orientation sexuelle qu'il lui a inventé. « Chose promise, chose due ! Tu as bien mérité des burgers, en supplément ! » "Aaaaah !" ses mains se rejoignent en un clap avant de se frotter, se régalant d'avance de ce magnifique plat de malbouffe comme il aime ! « J’peux te laisser nettoyer rapidement pendant que je vais la chercher et lui dire qu’on repassera d’ici quelques jours ? J’te rejoins à la voiture. » Pardon ? Visage perplexe, il a bien compris ce qu'il a compris ? Deshillusion, indignation ! Il manque pas de toupet le pèpère ! Ouais bon d'accord il aurait pu faire la même ! Il attrape tout de même les clés qu'il lui lance en ronchonnant dans sa barbe "Ouais ouais c'est ça allez papoter entre gonzesses, et on laisse l'homme faire le sale boulot pfff" bon en soit y'a pas grand chose à faire. Les baches vont rester la alors il se contente de fermer le pot, de poser les pinceaux dessus et rouleaux dessus puis de replier les escabeaux. En voulant s'essuyer les mains sur son tee-shirt il se rend compte qu'en fait il se salit encore plus, ayant oublié la peinture qui le recouvrait. "Oh pis merde" il retire son tee-shirt, le balance sur son épaule et sort de la baraque, faisant un signe de main pour dire au revoir. Ca va elle va pas être choquer mamie, elle en a probablement vu d'autres des mecs à poil, puis la il a encore eu la descende de garder son pantalon. Mais avant de rentrer dans la bagnole il se rend compte quand même qu'en s'asseyant il va la tâcher, et ça franchement ça lui ferait mal au cœur. Ouais il bosse avec des bagnoles donc forcément. Et puis c'est pas la sienne la tout de même. Bon ben tant pis, il retire aussi son futal, fout le tout en boule et retourné sur la plage arrière et se cale donc en boxer derrière le volant. Le temps qu'Heath revienne il reprend son portable pour mettre un fond musical et son paquet de clopes pour s'en griller une. En le voyant revenir il le pointe du menton "Fait gaffe à pas salir ta caisse Cendrillon ou tu devras tout nettoyer" il rentre ses jambes et referme la portière pour mettre le contact et s'attacher "Ah, et c'est moi qui conduit !" au moins la dessus il peut lui faire confiance, c'est son job. Certes il l'a rencontré sur un accident mais c'était pas lui au volant. Il ouvre la fenêtre et balance son mégot pour enfin démarrer. Il sait où il habite donc c'est assez tranquille pour s'y rendre. Détendu, il se met même à chantonner avec la musique, plus fort pendant les refrains vu qu'il connait mieux les paroles. Ah c'est du grand art ! Ouais il chante pas très juste on ne va pas se mentir. Une fois garé il sort de la bagnole, récupère ses fringues, son portable et ses clopes et le suit jusqu'à chez lui. Une fois à l'intérieur il balance ses fringues en boule sur son canap et lève, victorieux, les bras en l'air, poings serrés "EEET PANIER !!!" Yass ! Il se tourne vers lui et avance la main pour qu'il check dedans "I'm a fucking dieu du stade !" toujours dans la modestie oui !

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mar 19 Mai - 2:23
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
Ashton en nouveau membre des Avengers, premier personnage superhéros ouvertement gay avec une storyline digne de ce nom. Je paierais un ticket de cinéma pour aller voir un tel film, et pas seulement parce qu’il est mon pote. De mémoire, je ne connais que Deadpool comme personnage de cette variété avec une bisexualité assumée. Le mec est quand même fourré avec un vibromasseur au détour d’une scène avec sa copine parce qu’il adore qu’on lui titille le trou du cul. Tu adores Deadpool, et pas uniquement parce que Ryan Reynolds est l’homme de ta vie. Non, tu aurais plaisir à t’asseoir sur son visage, c’est sûr, tu renierais tout ce que tu as pour lui mais… Ah oui, là n’est pas la question. « Qui te dis que j’ai envie de prendre ton chibre ailleurs qu’entre mes lèvres ? Peut-être que j’ai envie de te défoncer tes petites fesses d’hétérosexuel. T’apprendre ce qu’est un vrai orgasme. Une jouissance digne de ce nom. Tu verras, ça change la vie ! » Je suis là, prétentieux comme tout, alors que je ne suis pas en position de parler puisque je n’ai jamais été m’aventurer là-dessous. Demeure que mes potes aux expériences plus développées que moi, Roman le premier, m’ont toujours vanté les délices sous-estimés d’une sollicitation de la prostate. Pas le vieux toucher rectal que tu dois te taper quand tu vas faire un tour chez l’urologue… Non… Le passage dans les règles de l’art. Tu as toujours été très curieux, mais tu ne t’es jamais imaginé demander à ta copine de te faire les fesses… Non… Franchement. Certains couples sont suffisamment ouverts pour s’adonner à ce genre de pratiques et tu as le plus grand respect pour eux. Ils ont tout compris, contrairement à vous tous. « Depuis quand Zorro est-il anonyme ? Tu porterais très mal le bandeau noir et l’espèce de chapeau hideux, qui plus est ! Je t'imagine plutôt avec un bouclier, à la Captain America… » Avec ses muscles mis en valeur dans une combinaison moulante, certes, mais étudiée pour rendre hommage aux formes masculines. Les superhéros n’ont plus le look risible d’antan. Ils auraient presque la classe, maintenant. Héros, pompiers, tout y passe à une allure ahurissante qui me plait, je dois l’avouer. Le mec est maitre en matière de vantardise, je dois lui accorder ce mérite. La compétition est plus rude pour le titre du plus crade d’entre nous. J’ai quelques répliques bien salées qui indigneraient plus d’une personne. « Tu parles, tout est exagéré avec toi… J’demande à voir, sinon c’est juste une légende urbaine de plus ! Et quitte à faire… J’préfère des histoires de Dame Blanche, de Bloody Mary, d’Amityville parce qu’au moins… Il y a un grand frisson, un goût de reviens-y ! » J’hausse les épaules, visiblement déçu par l’enchainement d’affirmations d’un Ashton en lequel je ne crois pas lorsqu’il est question de taille, de performances et d’actions. Je ne crois pas vraiment à ces concepts de Paradis, d’Enfer, de Purgatoire. Je ne crois pas en grand-chose, à vrai dire. Il est difficile pour moi d’accepter de croire qu’une présence divine a des plans pour chacun d’entre nous, qu’elle n’est qu’amour et bonté quand on constate ce qu’il se passe quotidiennement dans la rue. Si Dieu existait, croyez-vous vraiment qu’il tolèrerait la pauvreté, les crises sanitaires, la mort de gosses sans défense, le racisme, la différenciation, la ségrégation, les meurtres, la maladie, la souffrance ? C’est généralement lorsque ton cœur s’emballe et que tu commences à critiquer à tout va que les religieux commencent à bégayer en conceptualisation sur les tests, les trucs auxquels tu crois encore moins et qui te font rire les fesses. « Je serais le premier à rencontrer La Grande Faucheuse de toute manière… Surement d’une mort hyper violente, qui nécessitera de ramasser mes viscères éparpillées un peu partout sur les lieux d’un incendie qui aurait mal tourné, explosions à la clé. Une fois que la Mort et moi on aura baisé, je te dirais ce qu’il en est. Je reviendrais sous la forme d’un fantôme, d’un esprit vengeur et je te ferais un petit topo, tu pourras te préparer. » Si mes amis étaient là, ils se précipiteraient probablement tous pour me taper, s’indigner d’une telle réaction. Il ne s’agit pourtant pas de tristesse, ni même de désespoir. J’ai accepté l’éventualité de mourir, comme le font les militaires lorsqu’ils s’engagent. La mort est une partie intégrante de mon quotidien, ce n’est pas pour rien qu’on nous appelle les soldats du feu. Je n’ai aucun regret, je profite de la vie, de ce qu’elle peut m’apporter au quotidien. Je ne veux pas partir en ayant le sentiment de ne rien avoir accompli, de ne pas avoir eu le temps de dire les choses. Je ne suis peut-être pas le mec le plus expressif au monde, mais les gestes valent mille fois les mots les plus pompeux de cette planète. Je laisse cela aux Présidents, à ces hommes politiques qui nous enculent sans orgasme quotidiennement, à qui on semble constamment en redemander au point de nommer à la tête des pays les plus puissants des mecs comme Trump, Bolsonaro et toute la team d’enfoirés qui font la pluie et le beau temps pendant qu’on crève tous littéralement. L’ambiance semble soudainement bien plus lourde, pesante. Je me sens révolté, comme à chaque fois que je parle politique. Je déteste cela, je les déteste tous pour les choix qu’ils font. Je hais mes compatriotes lorsqu’ils refusent d’ouvrir les yeux et de se scandaliser du traitement réservé à nos immigrants, lorsqu’ils osent soutenir le projet de construction d’un mur censé symboliser une frontière ridicule avec le Mexique… Lorsque je dois me déplacer plus loin que la Nouvelle Orléans pour tenter de sauver des vies, en vain, après une fusillade parce que les armes sont un business à part entière et qu’elles se vendent comme des petits pains. Je déteste avoir à assister à tout cela, à attendre derrière un cordon de sécurité le feu vert pour pénétrer dans un établissement scolaire qui, je le sais, est couvert du sang de gosses qui n’ont pas demandé à se retrouver au milieu d’un tel bordel. Je suis révolté et pourtant Ashton parvient à me ramener à la légèreté de nos conversations. May god bless his soul. Il possède un don unique, Ashton. Lui seul semble parvenir à me faire sourire de la sorte. Son humour gras est génial. Des mecs comme lui, il n’y en a pas assez sur cette planète. Pas assez dans mon quotidien. « Tu parles, il n’y a rien à voir ! » Sans les vêtements, j’entends. Je prononce ces mots, jamais à court d’idées pour le provoquer et l’embêter mais, franchement, à le regarder de plus près je dois quand même admettre qu’il doit être extrêmement sexy. Il a un visage très mignon, un corps plutôt très bien musclé… Tu opterais peut-être pour un coup de tondeuse dans la touffe qui compose sa chevelure, parce qu’elle est trop longue à ton goût. Avec un peu de cire, il te ferait effectivement peut-être tomber à la renverse. Et puis magie, sans prévenir, je balance une bombe digne de ce nom sur ce pauvre Ashton. Je l’ai laissé baigner dans une ignorance qui m’amusait, mais le moment semble venu de lui révéler ma bisexualité. Je pourrais même utiliser le terme hétérosexualité puisque je n’ai jamais eu la moindre relation avec des hommes. Tu es néanmoins de ceux qui estiment que les histoires d’amour ou de cul ne font pas l’orientation. Dès lors que tu es prêt à admettre qu’un garçon pourrait t’inspirer des sentiments non platoniques, tu es bisexuel, un point c’est tout. Nous ne sommes pas en plein milieu d’une dissertation ou d’une thèse, il n’y a rien à prouver avec un exemple concret. « Le sexe ne compte vraiment pas, mon chou. J’suis à deux doigts de concrètement te le prouver par A + B, j’te jure ! » Je serais capable de le faire, par nécessité… Parce que je suis comme ça, moi, un héros du quotidien. Je donne de ma personne pour aider les autres à y voir plus clair. « Okay… Deal… On peut partager mais est-ce que l’on parle aussi d’une option plan à trois, ou juste d’accepter que l’autre puisse entretenir une relation charnelle avec la personne, à part ? » Je n’ai jamais spécialement fantasmé sur les plans à plusieurs, mourir sans avoir testé serait vraiment dommage, cela dit. Quid de l’expression qui affirme que nous n’avons qu’une vie, après tout. Ce mec te déprave sans avoir besoin de t’influencer frontalement. Tu te surprends parfois à être nettement moins sage dans tes pensées, tes suggestions, que ce que tu es habituellement. »[/color] Poète, c’est le terme improbable que j’utilise pour qualifier les mots que peut avoir Ashton avec son langage très… Cru. « Tu n’as jamais pensé à publier un ouvrage ? Tu ferais un tabac, j’te le dis ! J’veux bien devenir ton agent, ton éditeur ou que sais-je. On se fera un max de blé avec une telle manière de t’exprimer ! » Ou pas. Le résultat serait catastrophique… Quoique… Quand on sait le nombre de copies écoulées de la saga Fifty Shades of Grey. J’imagine que tout est possible, finalement.

Puis d’une connerie à une autre, la conversation se mue en une discussion nettement plus sérieuse, profonde et émouvante. Comment ne pas être touché par l’histoire d’Ashton, par cet acte stupide qu’il a commis pour venir en aide à ce gosse ? Il n’a pas eu le bon réflexe, ne s’est pas tourné vers la solution la plus adaptée mais il a agi, contrairement à la plupart d’entre nous. [i]Tu affirmerais presque à haute voix qu’il a des couilles, mais tu sais ô combien les remarques de ce genre peuvent vous embarquer vers d’autres horizons proches du second degré et tu n’as pas envie de cela présentement. Tu veux qu’il comprenne que tu es sincèrement admiratif devant son courage, devant sa résilience.
Il a commis un sacrifice dans l’intérêt de ce môme, il est passé à côté de plusieurs années de sa vie, s’est transformé en taulard, frotté à un danger sur lequel trop peu de gens osent mettre des mots sous prétexte qu’une bonne partie des mecs derrière les barreaux sont de véritables raclures. Ashton n’est pas un enfoiré, il figure plutôt parmi les hommes (comme les femmes, dans les prisons de femmes) qui se retrouvent ici pour une action maladroite aux conséquences bien plus complexes que ce que l’on juge véritablement au moment du procès. J’aimerais trouver la force d’enchainer sur la prison, lui demander des détails à ce sujet mais j’ai peur de ce qu’il pourrait me révéler là-dessus. Je ne suis pas certain de pouvoir tout encaisser sans être pris aux tripes. Je ne veux surtout pas qu’il se sente pris en pitié à cause de cela. Tu te promets de digérer les informations qu’il vient de partager avec toi et d’attendre le moment idéal, plus tard, pour rebondir, pour lui proposer de partager avec toi ce moment que tu devines difficile. La prison n’a jamais été une partie de plaisir pour personne. Certains aiment prétendre qu’ils ont très bien vécu leurs années en taule, mais il ne s’agit la plupart du temps que d’un masque censé protéger de l’abominable vérité. Les prisons américaines ne sont pas des hôtels comme cela peut parfois sembler être le cas ailleurs… L’ADN de notre amitié étant ce qu’elle est, l’humour reprend bientôt l’ascendant sur tout le reste et vient alléger la situation pour le meilleur, et surtout pour le pire. « Tant mieux… Je ne veux pas que tu sois tenté de te taire en ma présence. Pour les pires conneries du monde ou pour les sujets les plus sérieux. » L’humour est moins tranchant, il semble nettement plus hybride mais je veux lui faire comprendre qu’il pourra se confier à moi s’il le souhaite. Je ne veux pas le faire d’une manière trop cheesy qu’il pourrait utiliser pour se moquer de moi, mais le message semble être passé. « Tu n’as jamais eu envie de savoir ce qu’il est devenu après cela… Où il se trouve maintenant ? » Je ne peux pas me mettre à sa place, je ne suis pas passé par ce qu’il a vécu. J’imagine néanmoins que ma curiosité prendrait régulièrement le dessus sur tout le reste.

La première couche est appliquée, notre travail du jour est terminé. Il faudra quelques heures au minimum pour que cette première couche de peinture sèche et soit prête à être recouverte par une deuxième salve que j’envisage d’effectuer en compagnie d’Ashton. Je ne doutais pas une seule seconde de ses capacités mais il a su me prouver qu’il était un partenaire de choc, pourquoi s’en priver ? « Je constate que tu seras obligé de te déplacer dans tous les cas. Mais j’dis ça… J’dis rien. » Victoire assurée, qu’il l’assume ou non pour m’embêter. J’ai un grand sourire aux lèvres qui est en train de trahir la joie que j’éprouve à l’idée de pouvoir remettre le couvert avec lui prochainement. La peinture, seul, c’est extrêmement chronophage. Je préfère largement avoir de la compagnie. Rectification, tu préfères largement l’avoir LUI comme pote de galère. Je l’abandonne à son destin : celui qui consiste à nettoyer rapidement le bordel que nous avons semé cet après-midi pendant que j’explique le déroulé des prochains jours à la vieille dame. Il s’exécute et est le premier à quitter la propriété. La vieille dame, émue aux larmes, est en passe de me faire verser une larme à moi aussi mais je tiens bon. Tu imagines le regard qu’aurait Ashton s’il revenait pour récupérer un truc et qu’il vous voyait tous les deux en train de partager un moment profondément émouvant. Tu en entendrais parler pendant des semaines, des mois… Une éternité. Je quitte la maison à mon tour après avoir salué la vieille dame et arrive à hauteur de ma voiture, non sans avoir un mouvement de recul lorsque je me retrouve face à lui, à moitié nu. « Et c’est moi qui te fais du rentre-dedans ? Coquin ! » Je prends sur moi et me concentre pour ne pas laisser mes yeux se poser sur lui, sur son corps que je devine très agréable à regarder. Tu ne veux pas le mettre mal à l’aise, ni même lui donner l’impression qu’il est un morceau de viande sur lequel tu as vraiment très envie de te jeter. Ce n’est pas vraiment ton style, d’agir de la sorte. « Mec, t’as de la chance, j’suis du genre assez solidaire comme garçon. Par contre, j’te laisserais la joie d’expliquer aux flics qui pourraient nous arrêter pour une raison ou une autre pourquoi nous sommes en boxer en plein milieu de la journée dans une voiture. » Sourire amusé alors que j’envoie valser mon t-shirt sur la plage arrière, déboutonne ma ceinture pour pouvoir glisser la braguette de mon jean vers le bas et le retirer complètement, en caleçon à mon tour. « Tu as intérêt à t’appliquer et à conduire correctement. Je n’assumerais pas d’avoir un accident et de me retrouver avec la deuxième équipe de la caserne à devoir poireauter pour qu’ils puissent nous désincarcérer alors qu’on est à moitié à poil ! » Je n’aurais pas honte, pas plus que j’ai honte de tout le reste. Non, ce serait juste extrêmement embrassant vis-à-vis du Capitaine de leur équipe avec lequel je bosse ponctuellement lorsque j’effectue des remplacements au sein de leur équipe. Il prend la route et m’offre le meilleur trajet de ma vie. Sa version du carpool karaoke est communicative et me pousse à enchainer mes meilleures vocalises en combo avec mes meilleurs chorégraphies. « Les Backstreet Boys peuvent aller se rhabiller. » Ils ont de la concurrence, quelques décennies plus tard, je vous l’accorde mais vous savez quoi… Mieux vaut tard que jamais.

Je profite du trajet pour énoncer la liste des burgers artisanaux au menu de cette adresse dont je raffole. De quoi commander et m’assurer une livraison au moment opportun, d’ici une bonne heure et demie. Le temps d’improviser un apéro digne de ce nom, de se débarbouiller aussi. Arrivés au Manoir déserté par l’ensemble de mes colocataires pour la semaine, je laisse à mon invité le loisir d’entrer le premier. « Tu sais ce que je te propose ? Une bonne bibine et un plongeon dans la piscine… Ou un passage par le jacuzzi, comme tu préfères. Dis-moi ce qui te fait le plus envie ! » L’avantage d’avoir de l’argent et de partager une aussi grosse propriété avec plusieurs potes. Nous vivons à six là-dedans et personne n’est trop à l’étroit. Il faudrait être sacrément exigeant pour se trouver trop restreint par les lieux. Je pourrais me perdre dans cette baraque et pourtant… J’habite ici depuis plusieurs années. Je check d’un poing bien serré et remarque, jamais à court de remarques. « Les dieux du stade n’ont rien sur le dos généralement. Tu ne tiens pas la comparaison, pour le moment. »


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Mer 20 Mai - 23:22
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« Qui te dis que j’ai envie de prendre ton chibre ailleurs qu’entre mes lèvres ? Peut-être que j’ai envie de te défoncer tes petites fesses d’hétérosexuel. T’apprendre ce qu’est un vrai orgasme. Une jouissance digne de ce nom. Tu verras, ça change la vie ! » Pardooon ??? Ah mais des vrais orgasmes il en a eu y'a pas de soucis, des jouissances dignes de ce nom aussi ! Et ça lui convient très bien ! Personne n'introduit quoi que ce soit dans son cul la ! C'est gay. Et lui, il est pas gay, c'est tout. Heath fait bien ce qu'il veut de son cul mais pas de celui d'Ash, ça non, il va s'en passer. Lui, quand il baisse son slip c'est lui qui met la vaseline ! "Ah mais tu sais y'a une solution pour ça. Tu t'allonges dans ton lit, tu ferme les yeux, tu t'endors et la tu rêves" voilà, dans ses rêves il peut bien faire ce qu'il veut mais il sera sympa de le garder pour lui. Parce que lui s'imaginer en train de se faire prendre ça sonne pas du tout normal dans son esprit. Encore pus bizarre que de s'imaginer en train de lui même prendre un homme. « Depuis quand Zorro est-il anonyme ? » Ben ? Zorro a toujours été anonyme, personne ne sait qu'il s'agit de Don Diego De La Vega ! La base quoi ! Olalaaa il va falloir lui refaire sa culture à ce petit ! « Tu porterais très mal le bandeau noir et l’espèce de chapeau hideux, qui plus est ! » Mais oh ! On critique pas Zorro ! J'vous jure ces gosses ! « Je t'imagine plutôt avec un bouclier, à la Captain America… » un doigt qu'il se rentre dans la bouche pour mimer une envie de se faire vomir "Oh pitié nan pas lui ! Il est même pas drôle en plus la tu vas me vexer ! Le relou par excellence ! Pis ce pseudo est si prétentieux, sérieux, Captain America, sans parler de son costume, j'crois que je préfère encore être comparé à Black Widow" ah oui non y'a pas à dire il l'aime pas, c'est probablement même celui qu'il aime le moins. Il aurait pu être flatté pour quasiment n'importe quel autre super héro Marvel. « Tu parles, tout est exagéré avec toi… J’demande à voir, sinon c’est juste une légende urbaine de plus ! Et quitte à faire… J’préfère des histoires de Dame Blanche, de Bloody Mary, d’Amityville parce qu’au moins… Il y a un grand frisson, un goût de reviens-y ! » un rire lui échappe. Un goût de reviens-y. Clairement avec le nombre d'allusion qu'il fait Heath, ce nombre de fois où il réclame de voir sa bite, s'il avait été une fille il serait en train de se faire déglinguer c'est sûr ! Nan mais quelle idée de le provoquer à ce point ? A croire qu'il rêve vraiment qu'il lui défonce le fion pour lui prouver de quoi il est capable avec sa queue. Sinon pourquoi le chercher autant hm ? Il doit bien savoir que provoquer c'était inciter la personne en face de lui rabattre le caquet en prouvant e contraire de ce qu'il dit. Alors oui il commence vraiment à se demander si ça n'est vraiment que de l'humour graveleux ou s'il espère réellement quelque chose. "Contrairement à tes légendes de fantôme, ma légende est réelle et palpable elle" un grand sourire étire ses lèvres. Mais pour l'instant sa bite reste dans son boxer. Pour l'instant. « Je serais le premier à rencontrer La Grande Faucheuse de toute manière… Surement d’une mort hyper violente, qui nécessitera de ramasser mes viscères éparpillées un peu partout sur les lieux d’un incendie qui aurait mal tourné, explosions à la clé. Une fois que la Mort et moi on aura baisé, je te dirais ce qu’il en est. Je reviendrais sous la forme d’un fantôme, d’un esprit vengeur et je te ferais un petit topo, tu pourras te préparer. » ça lui plait pas trop d'imaginer sa mort, surtout d'une telle façon, mais il le sait qu'il risque sa vie constamment dans son job. C'est la vérité "Enfin, j'fais tellement de conneries aussi que peut-être bien que c'est moi qui vais venir te hanter en premier, et complètement nu ça te fera plaisir comme ça !" ouais lui aussi il est suffisamment inconscient pour risquer sa vie pour des conneries un peu trop souvent. Il se rend pas toujours forcément compte. Enfin, il en fait peut-être moins qu'avant c'est vrai mais quand il s'y met il redeviens un vrai gosse. Un gosse qu'on aurait envie de frapper parce que, contrairement à Heath qui fait ça pour la bonne cause, lui il risque sa vie totalement inutilement. « Tu parles, il n’y a rien à voir ! » encore ? Il va vraiment finir par lui foutre dans la bouche pour qu'il arrête de dire des bêtises le pompier ! "Tu dis ça parce que tu m'as jamais vu à poil" il lui fait un bisou de loin ainsi qu'un clin d’œil. Juste par amusement. « Le sexe ne compte vraiment pas, mon chou. J’suis à deux doigts de concrètement te le prouver par A + B, j’te jure ! » quoi, tout ça n'était pas que de la lourde taquinerie ? Il a vraiment l'intention de chercher à le convaincre qu'il peut kiffer les hommes ? Sérieux ? Ou il déconne encore ? Il secoue la tête en souriant, mais le doute persiste tout de même « Okay… Deal… On peut partager mais est-ce que l’on parle aussi d’une option plan à trois, ou juste d’accepter que l’autre puisse entretenir une relation charnelle avec la personne, à part ? » à la base il parlait de deux relations sexuelles différentes mais maintenant qu'il en parle il hausse les épaules "Franchement, même un plan à trois ça me dérange pas je m'en bat les couilles, ça peut même être assez marrant de se taper la même fille en même temps entre bro'" tant qu'ils font rien entre eux. Ça a même quelque chose d'assez viril de se partager une meuf. « Tu n’as jamais pensé à publier un ouvrage ? Tu ferais un tabac, j’te le dis ! J’veux bien devenir ton agent, ton éditeur ou que sais-je. On se fera un max de blé avec une telle manière de t’exprimer ! » bon sang... ça le ferait terriblement rire de publier un truc pareil "Désolé je garde mes supers phrases d'accroche pour séduire les filles" bien sûr que non, enfin, à bien y réfléchir, il n'est pas forcément beaucoup plus délicat dans sa façon de parler avec les filles. Non il est lui même et en général elles apprécient ça. Parce qu'elles ne cherchent pas forcément toutes un prince charmant, un gentleman romantique, non parfois elles veulent juste délirer avec un mec. Et il préfère attirer les filles comme ça à vrai dire. « Tant mieux… Je ne veux pas que tu sois tenté de te taire en ma présence. Pour les pires conneries du monde ou pour les sujets les plus sérieux. » ouais c'est pas vraiment son genre de fermer sa gueule, plutôt de donner son avis même quand on ne lui demande pas. Mais quand on lui fait des compliments sincère c'est vrai qu'il ne sait pas forcément comment réagir, à part en partant sur de l'humour. « Tu n’as jamais eu envie de savoir ce qu’il est devenu après cela… Où il se trouve maintenant ? » bien sûr que ça lui ai passé par la tête, tout comme pour sa sœur mais comment est ce qu'il pourrait les retrouver ? "Il a probablement été adopté et du coup a changé de nom de famille. J'aimerai savoir ce qu'il est devenu mais j'sais pas si le revoir serait une bonne chose. Il a dû construire sa vie, il a pas forcément besoin qu'un fantôme de son passé vienne tout bouleverser" c'est sa logique. Peut-être qu'il ramènerait beaucoup trop de souvenirs douloureux en réapparaissant dans la vie de ce gosse qu'il a considéré comme son petit frère.

« Je constate que tu seras obligé de te déplacer dans tous les cas. Mais j’dis ça… J’dis rien. » le sourire étire ses lèvres et il hausse les épaules "Si c'est pour te botter le cul ça va c'est une bonne motivation" en réalité se déplacer ça le dérangeait pas. Venir peindre non plus maintenant. Avant d'arriver ici ouais ça le faisait chier d'avance mais au final ils ont passé un bon moment. Enfin bref, du coup c'est à lui de se taper le rangement, ça va que c'est assez rapide. Même plus rapide que de causer avec la vieille dame visiblement. Enfin non, ça c'est surtout parce que c'est Heath qui lui cause, éternel bavard. S'ils avaient inversés les rôles il aurait tout de même été le premier dehors, ça aurait été expéditif. « Et c’est moi qui te fais du rentre-dedans ? Coquin ! » hein quoi ? Ah oui, il est presque nu, c'est vrai. Mais c'est pour la bonne cause il a pensé à sa bagnole ! "T'inquiète pas crois moi tu le sentiras quand j'te rentrerais vraiment dedans" finalement c'est plutôt normal que le pompier lui fasse toutes ces allusions, parce qu'il le taquine beaucoup lui aussi, même si c'est jamais sérieux. Bon pis faut dire qu'il lui tend de sacrés perches, sans mauvais jeu de mots. « Mec, t’as de la chance, j’suis du genre assez solidaire comme garçon. Par contre, j’te laisserais la joie d’expliquer aux flics qui pourraient nous arrêter pour une raison ou une autre pourquoi nous sommes en boxer en plein milieu de la journée dans une voiture. » un rire lui échappe en imaginant la situation "Ben on leur dire qu'on s'est fait arracher nos fringues par un groupe de fangirls qui nous ont pris pour des strip-teaseurs ! comment ça ça a peu de chance de marcher ? Et puis ils font une belle équipe non ? Tout les deux en calbute ! « Tu as intérêt à t’appliquer et à conduire correctement. Je n’assumerais pas d’avoir un accident et de me retrouver avec la deuxième équipe de la caserne à devoir poireauter pour qu’ils puissent nous désincarcérer alors qu’on est à moitié à poil ! » ah lui ça le ferait beaucoup rire ! "T'en fais pas mon grand, j'suis un as du volant ! Et puis si ça te gêne d'être retrouvé à moitié à poil t'as qu'à te foutre complètement à poil" nan en vrai il peut toujours se rhabiller, lui il lui a juste dit ça pour lui éviter de tâcher sa caisse avec de la peinture mais en soit c'est sa bagnole, il fait bien ce qu'il veut. « Les Backstreet Boys peuvent aller se rhabiller. » Exactement ! Et eux peuvent resté déshabillés du coup c'est ça ? Ça lui va ! D'ailleurs il ne prend pas la peine de se rhabiller quand il entre chez lui. A l'aise comme s'il était dans son propre appart. « Tu sais ce que je te propose ? Une bonne bibine et un plongeon dans la piscine… Ou un passage par le jacuzzi, comme tu préfères. Dis-moi ce qui te fait le plus envie ! » "Ouuuh...." il se tourne vers lui en se frottant les mains "C'est qu'c'est intéressant tout ça ! J'opte pour la jacuzzi ! Quitte à profiter autant profiter à fond" il rabaisse son poing une fois qu'Heath a frappé dedans « Les dieux du stade n’ont rien sur le dos généralement. Tu ne tiens pas la comparaison, pour le moment. » Okay, malheureusement pour lui, ils ne sont plus chez la vieille dame "Bon, tu pourras pas dire que tu l'as pas voulu" ça non avec toutes ces fois où il l'invite à le faire depuis qu'ils se sont retrouvés ! Face à lui il se débarrasse de son boxer et lui relève une main pour le lui foutre dedans. Non il est pas pudique, il s'en fiche bien de montrer son cul ou sa teub. Les mains calées au niveau du bassin et donne un ptit coup de menton en avant "Alors heureux ?" ses lèvres s'étirent et il hausses brièvement ses sourcils "Et toi t'as les couilles de baisser ton froc ou tu comptes te baigner habillé comme une gonzesse ?" il se rapproche de lui, relevant la tête pour le regarder tout en la défiant du regard, un léger sourire arrogant accroché aux lèvres.

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Ven 22 Mai - 23:24
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
Les mecs qui n’ont pas l’habitude de s’envoyer en l’air avec des garçons, qui sont sur le point d’embrasser leur bisexualité ou qui refusent de l’admettre ont tous la même réaction. Ce même réflexe qui consiste à imaginer que le sexe homosexuel ne va que dans un sens pour eux. Ils pensent uniquement top quand tu peux découvrir des tas de choses sur ton corps en étant versatile. Ashton réagi exactement comme je l’attendais, bien entendu, en bon mec qui se veut soi-disant hétérosexuel. Je me délecte de son attitude, de plus en plus investi dans cette mission qui, pourtant, part d’un désir ardent de le remettre à sa place et de lui foutre la honte. Tu n’as aucun contrôle sur l’évolution des choses, rien ne laissait présager que vos chemins se recroiseraient après l’accident, point de départ de cette confusion qui, depuis, est une sorte de certitude qui ne cesse de croitre en toi. Notre amitié se développe et les frontières se font plus minces, la confiance me donne des ailes et je m’amuse comme un petit fou. Lui aussi, d’ailleurs, qu’il soit prêt à le reconnaitre ou non. La vérité, c’est que nous nous entendons extrêmement bien tous les deux. Je ne pensais pas cela possible et pourtant, cette journée n’aurait pas eu la même saveur sans lui à mes côtés pour repeindre cette pièce et m’envoyer des vannes à un rythme improbable. « J’ai la fâcheuse habitude de faire de mes rêves des réalités. J’aime le concret, le fantasme ça m’emmerde vite ! » Je le toise du regard, un air de défi dans le regard. Je le pousse, pas après pas, dans ses retranchements avec une seule idée en tête. Celle de voir à quel moment le malaise s’installera dans son esprit, à quel moment exactement il commencera à douter, à ne plus savoir comment réagir, que dire, que faire. À cet instant bien précis, j’aurais plaisir à exploser de rire et à le mettre devant ses propres incertitudes. Je m’en servirais pour poursuivre sur ma lancée en prétendant qu’il prend conscience de sa bisexualité, même si la confusion voudra dire l’inverse dans son esprit. Relancer la partie, un deuxième round avec la même légèreté et les mêmes ingrédients. Je doute qu’il soit possible de s’ennuyer en sa compagnie, c’est ce que j’adore chez lui. Il ne se vexe, ne s’offusque de rien. Il peut tout encaisser sans se prendre le chou. Trop peu de gens ont cette capacité à laisser couler les choses autour d’eux, ils se prennent tous la tête sans arrêt pour rien et j’ai tendance à être exaspéré par tout cela. Zorro est bien trop daté, non, Ashton je l’imagine plutôt mis en valeur sans être trop moulé comme Captain America, avec un bouclier hyper puissant qu’il pourrait tendre à sa guise pour éviter les projectiles et se protéger des attaques de ses ennemis. Ma comparaison ne semble pas à son goût et sa réaction provoque mon hilarité. On ne s’ennuie jamais, avec lui. « Mec, je te compare au cul de l’Amérique et tu trouves encore moyen d’avoir quelque chose à redire ? Sérieusement ? Je suis profondément choqué et déçu, je tiens à le dire. Pour la peine, t’es le plus nul des superhéros… Green Lantern ! » Le plus mauvais en matière d’adaptation cinématographique, je n’ai jamais été suffisamment assidu pour pouvoir en dire autant de ses origines en Comic Book. Kléa est plus calée que moi sur le sujet. Je suis plus à même de balancer des références précises en cinéma d’épouvante. Les thématiques sont plus abouties, plus violentes, plus réelles pour certaines et moins tous publics. « Tu serais bonne en Black Widow though. Je ne me fais aucun souci sur tes compétences en arts martiaux. » Il ferait un tabac dans la peau d’une espionne russe, j’ignore s’il serait vraiment convaincant au moment de se battre au corps à corps mais j’imagine qu’il a appris quelques bonnes prises en Prison. On cherche le positif où on peut le trouver, n’est-ce pas ? En parlant d’épouvante, j’invoque les premières légendes urbaines qui me viennent à l’esprit. Bloody Mary, la Dame Blanche, les trucs que tous les gamins aiment se raconter lorsqu’ils organisent des soirées pyjamas pour se foutre la trouille. Les soirées auxquelles j’étais rarement invité parce que bon… Avoir le petit gros dans les pattes ça n’inspirait personne. Toi, tu as appris à utiliser internet, à t’instruire grâce à ce formidable outil qui, à l’époque, n’était peut-être pas aussi développé qu’il l’est maintenant. Tu as appris à t’instruire, à développer ta sensibilité littéraire, cinématographique, ta culture musicale… Tu as compensé en devant plus intelligent, en te donnant les moyens de réussir. Tu comptais devenir chirurgien par principe, pour enfin rendre fier ton père et puis, finalement, pourquoi l’aurais-tu fait si ta seule motivation le concernait ? « Une légende ne peut pas être réelle, par définition. J’imagine que les historiens et les fans d’occulte ne seront pas tout à fait d’accord avec moi, on pourrait lancer un débat là-dessus mais là n’est pas la question… » Je marque une pause, conscient de partir un peu trop loin. « Tu dis que je suis une chaudière, mais dude, tu n’arrêtes pas de m’inviter implicitement à venir palper hein, j’dis ça j’dis rien. Je vais finir par te prendre aux mots. On m’a appris à ne jamais dire non, par politesse tu vois… La charité, jusqu’au bout ! » Du point de vue du consentement, la remarque pourrait être limite. Elle l’est, mais il sait très bien que je plaisante. Le refus est essentiel, chacun se doit d’être seul maitre à bord du navire que représente l’océan de décisions que n’importe quidam est en droit de prendre le concernant. La mort, je n’ai aucun problème à reconnaitre qu’elle s’en prendra surement à moi en premier. Je ne suis pas spécialement anxieux à l’idée de perdre la vie. Il ne s’agit que de l’ordre naturel des choses. On nait, on foule le sol de cette planète en très mauvais état pendant un moment plus ou moins important, puis on meurt. Aucune rancune à avoir, je m’estime heureux d’être arrivé là où j’en suis, je n’ai peut-être pas tout vécu, mais j’en ai suffisamment fait pour partir le cœur léger et tranquille. Ashton, sans aucune once de jugement, je pense qu’il a encore des tas de choses à vivre. Il n’est pas prêt pour la mort, il doit encore se révéler à lui-même, prendre conscience qu’il est une bonne personne. Être moins sévère vis-à-vis de sa propre image même si, de prime abord, on pourrait penser qu’il est effectivement très à l’aise avec tout cela. Tu es extrêmement bien placé pour savoir qu’il y a un immense fossé entre ce que tu veux bien laisser paraitre et la vérité. Il est détendu du collier, complètement décomplexé mais je reste persuadé que son propre reflet dans le miroir le dégoute intérieurement. Je ne parle pas de son physique clairement très agréable à regarder. « Tu ne seras pas le premier et tu sais pourquoi ? Parce que tu connais le meilleur pompier de la Nouvelle Orléans. Je suis parvenu à faire repartir plus de cœurs que ceux que tu ne pourras jamais briser tout au long de ta carrière de séducteur ! » Un clin d’œil assuré qui sonne comme une promesse. Celle d’être présent, de m’interposer pendant ce grand rendez-vous entre la Faucheuse et sa petite personne. J’en ai perdu des gens, sur le chemin de l’hôpital, après des minutes et des minutes à tout mettre en œuvre pour faire repartir un cœur. Les défaites n’ont fait que renforcer ma volonté, mon désir de faire mieux, d’en découdre. Certains paieraient pour me frapper lorsque je tiens un tel discours, et je les comprends, mais je pense qu’on n’apprend jamais autant sur soi-même et sur ses capacités qu’en étant confronté à la perte. Aussi bien pour les médecins que pour les premiers secours. Chaque défaite est une leçon qui permet d’éviter certaines erreurs, de s’y prendre différemment. « Pas besoin de mourir, si tu veux te mettre nu devant moi tu sais… Je peux prétendre que tu le fais véritablement pour la science, et pas pour d’autres raisons… Une performance digne des Oscars, tu seras bluffé ! » Je me mordille la lèvre pour ne pas me mettre à rigoler tout de suite malgré le désir ardent qui m’assaille et me donne envie de le faire. Bien-sûr qu’il va s’offusquer, à nouveau, et m’offrir une belle réaction à la sauce mec viril hétérosexuel. C’est exactement sur ce terrain que je l’attends. « Peut-être. » Je ne l’ai jamais vu nu, je me moque de lui essentiellement parce qu’un mec semble toujours prêt à soulever des montagnes lorsqu’on s’attaque à ses parties intimes. Les femmes ont raison, lorsqu’elles prétendent qu’on est des animaux. Nous avons une manière parfois exaspérante de réagir dans certaines situations, face à certaines critiques ou doutes formulées. Un besoin discutable de prouver des choses alors qu’il n’est finalement question que de confiance en soi. Nous y sommes, mon insinuation sur les preuves que je pourrais concrètement lui apporter sur le sexe en dépit des genres fait s’immiscer le doute en lui. Le changement est à peine perceptible mais je le guette depuis tellement longtemps que je le capte quasi-instantanément. « Quoi ? T’as soudainement très peur de ce que je pourrais mettre en action pour te le prouver ? » Je me mordille la lèvre à nouveau, l’air affamé, un pas devant l’autre à une lenteur extrême pour me rapprocher de lui comme si je m’apprêtais à le dévorer… Tout ça pour me baisser une fois arrivé à son niveau, m’agenouiller devant lui, le regard rivé sur ses prunelles confuses et… Attraper le pot de peinture à côté de lui. « J’ai surestimé le contenu d’un pot, la moitié d’un deuxième sera nécessaire ! » Je me redresse, espiègle. Il a dû passer par toutes les émotions là, pour mon plus grand plaisir. Tu adores cela, jouer avec le feu, avec les éléments que tu possèdes dans une pièce pour tourner la situation à ton avantage, laisser présager le meilleur – ou le pire – pour mieux laisser l’autre sur un sentiment extrême : peur, excitation, frustration, dégoût, colère… Ashton, il va surement me balancer une vanne bien dégueulasse et évacuer la pression soudainement accumulée en un rire franc. La preuve ? On enchaine sur ma bisexualité, les femmes et les plans à trois. « Le threesome figure parmi les fantasmes que je veux réaliser avant de mourir. Je saurais te le rappeler si j’en ai l’opportunité ! » Que ce soit pour gratifier une demoiselle en lui offrant deux beaux mâles sur un plateau ou pour trouver une manière bien plus amusante de jouer encore. Celle qu’il n’est encore pas prêt à envisager, celle qui rendrait le sexe à trois encore plus sensuel et érotique. Tu pars du principe que chacun doit recevoir de l’attention de ses deux autres partenaires pour qu’un tel plan fonctionne comme il se doit. La bisexualité prend tout son sens, dans des moments comme ceux-là. Tu peux être sur tous les fronts et apprécier l’ensemble des saveurs qui s’offrent à toi. Je n’ai pas honte de laisser mon esprit fertile s’imaginer la scène. Les choses que je pourrais faire à cette beauté fatale tout en m’occupant de la virilité d’Ashton. L’entendre soupirer sous mes sollicitations buccales ne ferait que m’encourager à tout donner en notre partenaire d’un soir. Tu frissonnes… C’est la première fois qu’une telle pensée te traverse le concernant. Tu as toujours plaisanté, joué la carte du flirt sans jamais vraiment ressentir de connexion à ce sujet-là mais… Mais tu ne peux pas nier que l’idée vient de te traverser l’espace d’une image, d’une scène qui pourrait te donner matière à cogiter, à fantasmer, à désirer. « Je retiens… Je t’ai sauvé la vie mais toi tu refuses de partager un secret de fabrication, quelques phrases pour arriver à séduire correctement quelqu’un… Je retiens… Not cool, dude ! » Moue boudeuse sur les lèvres et rouleau qui se presse plus fort pour un ultime passage contre ce mur recouvert d’une première couche de peinture. « Tu risquerais de le ramener à cette période de sa vie qui, malgré tout, a dû être compliquée pour lui. Je ne connais personne qui a trouvé son bonheur en orphelinat même si son quotidien m’avait l’air bien assez cauchemardesque avant l’incendie. » Difficile de prédire une réaction.

Le trajet est amusant, aucun policier rencontré, aucun contrôle qui aurait pu nous mettre dans l’embarras. Je me serais pourtant énormément amusé de le voir justifier notre tenue par l’agression de jeunes femmes qui nous auraient pris pour les stripteaseurs qu’elles attendaient. Je me serais effondré en larmes acting, puissance maximale pour jouer le traumatisme du mec qui n’avait rien demandé à personne et qui, face à une armée de femelles affamées, n’avait pas eu d’autres choix que de prendre la fuite en abandonnant derrière lui sa dignité et ses fringues par la même occasion. Tu regretterais presque de ne pas pouvoir jouer une telle partition, de ne pas pouvoir lui adresser un regard, l’air de rien, pour voir la tête qu’il tirerait en étant témoin d’un tel discours. Arrivés au Manoir, je lui propose de poursuivre la journée et des rayons du soleil qui commencent à faiblir en piquant une tête dans la piscine, ou dans le jacuzzi, au choix. Les deux possibilités aboutissant sur le même désir : se détendre, donner à nos muscles la possibilité de se mettre au repos après un bel après-midi à bosser comme des dingues. « Jacuzzi, excellente idée ! Je vais aller nous chercher des bières, j’te laisse rejoindre le jardin ? » Je pointe du doigt l’extrémité du Manoir. En passant par les baies vitrées du salon il pourra accéder à la terrasse qui, elle-même, mène à l’immense jardin dans lequel la piscine à été construite avec, accolé à elle, le fameux jacuzzi. Il me surprend, mon ultime bafouille semble le faire réagir puisqu’il s’agite et me prend la main pour me refourguer son boxer. Je reste con, l’espace d’une seconde, à le regarder, comme un imbécile, sans réaliser ce qu’il vient de faire. Il a des couilles, tu ne peux pas le nier, et tes yeux viennent naturellement te confirmer que… Oui, il en a une bonne paire ! « Heureux de ? » Je provoque, pour ne pas admettre ma défaite. J’envoie valser son boxer près de nos fringues pleines de peinture et acquiesce face au challenge qu’il semble m’adresser. « J’ai toujours entendu dire qu’on n’était jamais mieux servi que par soi-même. Viens me l’enlever de toi-même ! » Je marque une pause pour feindre l’étonnement, comme si je venais soudainement de me rappeler d’une chose digne d’intérêt. « Ah mais non… Suis-je bête… Tu pourrais avoir peur que j’en profite pour te sauter dessus ! » Tu fais le malin, mais tu as un mal fou à le regarder dans les yeux. Des mecs à poil, tu en as pourtant vu des tonnes dans les vestiaires quand tu pratiquais du sport en équipe. Tu continues d’en voir défiler un nombre incalculable à la caserne, quand vous sortez des douches. Là-bas, tout le monde voit tout le monde à poil tout le temps, un vrai camp naturiste entre deux interventions. Mais là… Tu ne sais pas… Tu n’es pas totalement indifférent, à priori.    


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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Dim 24 Mai - 14:45
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[ Kidding me ]
ft @Heath Romeo
« J’ai la fâcheuse habitude de faire de mes rêves des réalités. J’aime le concret, le fantasme ça m’emmerde vite ! » putain il ne lâche jamais l'affaire c'est dingue ! Il va vraiment finir par penser qu'il l'attire le coco ! "J'suis disons hmm à moitié d'accord avec toi. J'pense que certaines choses doivent rester de l'ordre du fantasme. Mais pour d'autres c'est vraiment le pied de pouvoir les réaliser" La plus part de ceux qu'il a réalisé en tout cas c'était pas mal du tout. Et comme pour tout le monde, y'en a aussi eu des quelques peu décevant parce qu'il s'était un peu trop monté tout son truc dans sa tête et en attendait trop. Oui oui, on ne va pas se mentir, il est fortement possible qu'à une période ses fantasmes aient été fortement influencés par le porno. S'il en regarde toujours aujourd'hui, évidemment, il fait cependant plus la différence qu'avant et ne s'imagine pas qu'il va se produire la même chose. « Mec, je te compare au cul de l’Amérique et tu trouves encore moyen d’avoir quelque chose à redire ? Sérieusement ? Je suis profondément choqué et déçu, je tiens à le dire. Pour la peine, t’es le plus nul des superhéros… Green Lantern ! » un rire lui échappe et il hausse les épaules "Je sais que ça va te surprendre venant de moi mais le cul ça fait pas tout et lui ben j'fais pas partit de ses fangirls donc ouais j'préfère même Green Lantern en fait, il est plus drôle" osef de son pouvoir, franchement la personnalité compte plus que les pouvoirs pour lui chez les super-héros. « Tu serais bonne en Black Widow though. Je ne me fais aucun souci sur tes compétences en arts martiaux. » il le pointe du doigt en haussant les sourcils "J'suis un vrai Ninja !" ou pas hein ! Mais bon, il sait se battre en revanche. Possiblement parce qu'il l'a fait bien trop souvent. « Une légende ne peut pas être réelle, par définition. J’imagine que les historiens et les fans d’occulte ne seront pas tout à fait d’accord avec moi, on pourrait lancer un débat là-dessus mais là n’est pas la question… » Hmm ben ça dépend ouais, parce que certains hommes ayant vraiment existé sont devenu des légendes mais pas des légendes urbaine c'est vrai. Ceci dit il n'a jamais précisé que sa bite était une légende urbaine. « Tu dis que je suis une chaudière, mais dude, tu n’arrêtes pas de m’inviter implicitement à venir palper hein, j’dis ça j’dis rien. Je vais finir par te prendre aux mots. On m’a appris à ne jamais dire non, par politesse tu vois… La charité, jusqu’au bout ! » Quoi lui il l'allume ? C'est faux archi faux il ne fait que se défendre fasse au provocation du pompier ! .. Non ? "C'est fou, j'crois que t'es un garçon encore plus facile que moi !" ben ouais parce qu'en étant bi son champ d'action est plus grand. Bon même si à sa façon de parler on aurait plutôt dit une pute à qui son maquereau a appris les bonnes manières ! Heureusement il se doute qu'Heath n'est pas réellement comme ça même s'il semble effectivement assez ouvert. « Tu ne seras pas le premier et tu sais pourquoi ? Parce que tu connais le meilleur pompier de la Nouvelle Orléans. Je suis parvenu à faire repartir plus de cœurs que ceux que tu ne pourras jamais briser tout au long de ta carrière de séducteur ! » ooooh il en a pas brisé tant que ça faut dire ! Son sourire s'étire "T'es mignon mon chaton, je peux t'appeler maman si tu veux" ouais une mère protectrice, c'est chou ! Non mais en vrai il apprécie, vraiment. Ceci dit il ne voit pas l'intérêt d'étendre le débat pour savoir qui a réellement plus de chance de mourir en premier, c'est pas vraiment un sujet super gai. « Pas besoin de mourir, si tu veux te mettre nu devant moi tu sais… Je peux prétendre que tu le fais véritablement pour la science, et pas pour d’autres raisons… Une performance digne des Oscars, tu seras bluffé ! » Oh il l'imagine bien oui, en train de faire son petit numéro, il est certain qu'il y mettrait beaucoup d’entrain "Ah mais tu sais j'ai besoin d'aucune excuse si j'ai envie de me foutre à poil" oui il a déjà failli se faire attraper pour exhibitionnisme après avoir un peu trop bu et oublier que ça se faisait, à la base, pas, ou en tout cas pas devant un public qu'a rien demandé. « Quoi ? T’as soudainement très peur de ce que je pourrais mettre en action pour te le prouver ? » Mais ? Il a rien dit ! Ses yeux roulent et il secoue la tête "Comme si j'pouvais avoir peur de toi" pourtant il faut bien l'avouer quand il se penche devant lui une lueur de panique passe dans ses yeux. Attend il fait quoi la ? « J’ai surestimé le contenu d’un pot, la moitié d’un deuxième sera nécessaire ! » well... il n'a même pas entendu ce qu'il viens de dire. Il se peut bien que sa vue dans cette position devant lui soit un chouilla, mais alors vraiment un chouilla perturbante. Ben oui il est quand même à genoux devant lui, la gueule face à sa bite. Mais il se redresse et le brun chasse bien vite tout ça de son esprit. C'est rien, rien du tout, pas de quoi en faire une histoire. « Le threesome figure parmi les fantasmes que je veux réaliser avant de mourir. Je saurais te le rappeler si j’en ai l’opportunité ! » le sourire lui revient "Et toi faudra te rappeler à toi que ça veut pas dire pour autant que tu pourras me tripoter" qu'il sache à quoi s'attendre. Ils peuvent se taper la même gonzesse mais il ne compte pas avoir le moindre rapport sexuel avec un homme, même préliminaire. « Je retiens… Je t’ai sauvé la vie mais toi tu refuses de partager un secret de fabrication, quelques phrases pour arriver à séduire correctement quelqu’un… Je retiens… Not cool, dude ! » mais quel con. Un éclat de rire lui échappe de la gorge "J'savais pas que t'avais besoin de cours particulier, je pensais que t'étais au moins un peu doué pour te démerder seul" monsieur j'ai le feu au derche la ! Il est où le séducteur ? Lui qui lui lance des perches et des taquineries sexuelles à longueur de temps il doit suffisamment savoir comment accrocher quelqu'un, qu'il ne se foute pas de lui la ! « Tu risquerais de le ramener à cette période de sa vie qui, malgré tout, a dû être compliquée pour lui. Je ne connais personne qui a trouvé son bonheur en orphelinat même si son quotidien m’avait l’air bien assez cauchemardesque avant l’incendie. » un léger soupire s’extirpe de ses narines "Ouais, la dessus on est d'accord, donc je fais bien de rester en dehors de sa vie" même s'il aimerait bien au moins savoir s'il va bien. Lui et sa sœur. Les deux qui se sont retrouvé dans la même situation. Ça a été une torture pour l'un comme pour l'autre. Mais au moins pour le petit Andrej ça avait été une libération de tout ces coups qu'il subissait au quotidien. Sans parler des humiliations.

Finalement arrivés chez lui pour une détente bien méritée après l'effort ! Parce que mine de rien même s'ils ont beaucoup fait les cons et causés ils ont bien bossés ! « Jacuzzi, excellente idée ! Je vais aller nous chercher des bières, j’te laisse rejoindre le jardin ? » aaah le match parfait ça ! Bière plus jacuzzi ! Manquerait plus qu'un petit oinj, ou au moins une clope ? Mais c'est finalement ni l'un ni l'autre qu'il lui fout dans la main mais son boxer. Ah ben, après une ultime provocation il fallait peut-être s'y attendre. Maintenant qu'il n'y a plus de petite vieille pouvant potentiellement être choquée dans le coin. « Heureux de ? » "De voir une partie de ton fantasme réalisé, toi qui réclame sans cesse de voir ma teub" à deux reprises il lui tapote la joue. Ah ben au bout d'un moment faut assumer. Comme le dit une citation "Fait attention à ce que tu veux, parce que ça pourrait arriver" ou un truc comme ça, il n'est plus bien sûr. Enfin bon on comprend l'intention. « J’ai toujours entendu dire qu’on n’était jamais mieux servi que par soi-même. Viens me l’enlever de toi-même ! » ah ben putain, ben non il s'arrête jamais. Ou bien il a pas les couilles de le faire et il pense que lui non plus ? Et que du coup il pourra garder son froc en prétendant que c'est juste parce que lui il a pas osé le toucher ? Alors la hors de question qu'il s'en sorte si facilement ! « Ah mais non… Suis-je bête… Tu pourrais avoir peur que j’en profite pour te sauter dessus ! » pour toute réponse il plisse les yeux. Il le sait très bien que c'est de la provoc et que c'est simplement une façon de lui faire faire un truc qu'il a pas forcément envie de faire, juste pour prouver qu'il a pas peur. La provoc est probablement le meilleur moyen de manipuler ceux qui ont une bonne fierté. Et Ash il fait partis de ces hommes qui ne veulent pas paraître faibles. Pour autant il a tout de même ses limites. Menton levé il se rapproche un peu plus de lui et attrape son boxer pour le descendre sous son cul et libérer sa bite. Par contre qu'il se brosse pour qu'il lui retire en entier, hors de question qu'il se baisse devant lui comme lui l'a fait un peu plus tôt dans la journée. Il a très bien vu de quoi ça a l'air et puis il a pas envie d'avoir son sexe libre sous le nez clairement. "Allez ma couille" une petite claque sur les fesses du pompier "Bouge ton cul tu m'as donné soif à parler de bières !" ouais c'était très beauf comme attitude mais on s'en fout entre pote c'est toujours ce style de déconne nan ? En attendant lui il va sur la terrasse et s'étire "Il est quand même bien posé la le salaud !" franchement entre la baraque et l'extérieur ça en jette ! Faut dire que s'il doit le comparer à son appart ça fait forcément une grosse différence. Pourtant son appart est pas trop pourris quand même ! Maintenant que ça fait plusieurs années qu'il gagne un salaire raisonnable il a un appart qui lui aussi est assez raisonnable. Pas luxueux non mais dans la moyenne quoi. Pas le vieux trucs genre boite à chaussures pour les pauvres étudiants qu'ont pas de tunes. En l'entendant revenir il se tourne vers lui "Bon par contre faut que tu m'expliques comment ça marche ton jacuzzi" ouais c'est une première pour lui. Piscine oui il en a visité plein mais alors des jacuzzis ça en revanche "C'est un truc vibrant nan un délire du genre ? J'suis sûr que t'as déjà fait des cochonneries dedans !"

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(#) Re: [terminé] Kidding me ? | Heaton    Lun 25 Mai - 1:36
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[ Kidding me ]
ft @Ashton Saltzman
L’échange est savoureux, comme toujours avec lui. Il ne cesse d’évoluer, de nous emmener vers des directions plus ou moins surprenantes. Chacun, à sa manière, parvient à pousser l’autre dans ses retranchements. Les perches tendues sont nombreuses parce qu’il est finalement aussi décomplexé, si ce n’est encore plus, que moi. Aucun doute à avoir là-dessus, il est nettement plus déluré, pas le moins du monde gêné par quoique ce soit, même lorsque je tente de le mettre dos au mur en invoquant la carte récurrente de sa bisexualité. Lui, il me perçoit comme cet homosexuel en chaleur, constamment partagé, mi-figue, mi-raisin, sur mes véritables intentions. Plaisanterie ? Véritable désir d’arriver à mes fins pour le mettre dans mon lit ? J’accepte avec un plaisir non dissimulé de jouer avec cette incertitude, de l’alimenter à l’excès pour qu’il soit incapable de se faire une idée précise de ce que je veux réellement. Et que veux-tu, Heath ? Tu n’en sais rien toi-même. Tu ne vois pas pourquoi tu te poserais la question alors que tout ceci ne part que d’une volonté de lui casser les pieds. Au départ, tu voulais lui foutre la honte et tu es plutôt bien parvenu à le faire. Il a été surpris, peut-être même choqué, lorsque tu l’as affiché devant tous ses potes au bar avec tes insinuations sur sa sexualité… Depuis, tu n’as eu de cesse d’emprunter ce même chemin par esprit de contradiction, pas vraiment persuadé de ce que tu avançais, pas du tout certain qu’il soit bisexuel et pourtant… Pourtant toi-même tu ignores ce que tu aimerais être capable de lui faire dire, quel acte tu attends qu’il commette pour prouver que tu as raison. Je me laisse porter dans cette relation, comme j’ai l’habitude de le faire quotidiennement, sans me prendre la tête. Pourquoi diable voudrais-je cogiter pendant des heures au sujet de notre amitié quand je prends autant de plaisir à lui casser les couilles avec mes très nombreuses provocations. Elles me paraissent tellement éloignées de ce que je suis que je n’y prête même pas attention. Je suis loin d’être facile, comme mes propos peuvent le laisser sous-entendre. L’exemple invoqué pour le prouver est efficace, mais douloureux également. Plusieurs mois se sont écoulés depuis la dernière fois qu’une femme a posé ses mains sur moi. Je ne suis pas mort de faim, je n’ai jamais été du genre à me comporter comme un chien parce que j’ai les couilles pleines, mais l’envie est présente malgré tout. Comme n’importe quel être humain. « Il n’y a aucun mal à être facile, n’est-ce pas ? La vie est déjà bien trop compliquée pour se prendre la tête avec tout ce qui peut être simplifié à outrance ! » J’hausse les épaules le plus innocemment du monde, pas certain qu’il puisse aller contre une telle affirmation avec laquelle il doit surement être en accord. La partie ne fait que commencer, elle devient encore plus savoureuse lorsque je me joue de ses attentes, de la situation et des gestes qui, généralement, ne trahissent pas les intentions d’une personne. Je suis tellement proche de lui qu’il doit sentir mon souffle l’espace d’une seconde, puis je me penche, à genoux face à lui. Un simple geste de la main me permettrait de réaliser son pire cauchemar – ou fantasme inavoué – en lui dézippant le jean pour libérer son entrejambe et la gratifier d’une fellation digne de ce nom, qui resterait dans les annales. J’ai toujours entendu dire qu’un mec était plus à même de délivrer ce genre de petites gâteries, tout comme les femmes étaient plus douées pour les cunnilingus. Pourquoi ? Pour quelle raison fumeuse encore ? Parce qu’on connait mieux que personne ce qui nous fait perdre les pédales. Malgré la maladresse liée à une première expérience, je n’aurais qu’à songer à ce que j’aime voir mes partenaires féminines s’appliquer à me faire sur cette zone pour lui faire prendre son pied. Je m’amuse très largement de la situation, du flottement qui plane dans l’air et le pousse au silence. Il est en panique, il pourra bien prétendre le contraire autant qu’il le souhaite, son regard ne trompe pas. Aurais-je le cran, pour commettre une telle action ? Pour porter le premier coup de canif à notre amitié sans pouvoir complètement anticiper sur sa réaction ? Je ne crois pas. Pas comme ça, pas sans une immense dose de challenge pour me faire déborder et animer le moindre de mes mouvements. La tension est palpable, comme toujours, mais elle n’est pas encore sexuelle. Pas encore. Je n’ai jamais été plus loin qu’un smack ou deux avec des garçons, souvent dans le cadre de soirées avec de stupides jeux de la bouteille, d’actions et de vérités. Tout serait aussi nouveau pour moi que pour lui. N’est-ce pas justement ce qui pourrait t’exciter là-dedans ? Découvrir un nouveau pan de votre sexualité ensemble, apprendre à brûler de désir l’un pour l’autre sans avoir à vous retenir, à vous censurer. Imagines-tu le plaisir que vous prendriez tous les deux à vous adonner à de tels actes ? J’attrape le pot de peinture à côté de lui et me redresse, non sans cette lueur de défi dans le regard, ce soupir motivé par un sentiment de victoire. Il est déstabilisé, je suis parvenu à m’immiscer dans sa tête l’espace d’une seconde. Le loup est entré dans la bergerie. Un plan à trois, je saurais me souvenir qu’il est partant le jour où une conquête me donne envie de partager une partie de jambes en l’air très différente, moins intime, plus sulfureuse, avec une personne extérieure. « D’ici à ce qu’un tel scénario se produise, tu me supplieras de te peloter, mon lapin ! » Je ponctue mes mots d’un clin d’œil assuré alors, qu’au fond, il n’en est rien. Je ne crois pas me retrouver dans une telle situation un jour, le threesome devrait rester un fantasme de ceux qu’il est préférable de ne pas réaliser pour éviter la déception. Il a raison, je n’ai pas besoin de cours particuliers pour m’aider à séduire les autres. Le problème, s’il devait y en avoir un, serait ailleurs… Je suis mon propre handicap, mon propre Némésis. Le blocage vient généralement de moi, pas des autres. Leur regard a changé depuis que j’ai perdu l’équivalent de la moitié de mon poids – ou presque – c’est le mien, qui continue de m’inspirer le dégoût lorsque je me regarde dans la glace. Rien ne pourra jamais m’aider à dépasser cela, il est parfois nécessaire de se l’avouer.

Nous arrivons finalement au manoir après une petite quinzaine de minutes en voiture. Le moment de croiser une voisine, les prunelles dissimulées derrière une épaisse paire de lunettes de soleil mais dont les expressions faciales ont été suffisamment exagérées malgré elle pour trahir chacune de ses émotions. La surprise, bien entendu, puis l’incompréhension teintée d’un jugement à une dose tellement forte qu’elle lorgne du côté de l’overdose. Je me demande comment elle réagirait si elle était encore là à cet instant, lorsqu’il me met son boxer dans la main et s’expose fièrement, dans sa nudité la plus complète, à moi. Mes yeux ont du mal à rester en place, j’ignore pourquoi ils sont si tentés d’entamer une longue et douloureuse chute vers son nombril, et plus encore. Tu fais le con depuis des semaines et des semaines, à le taquiner. Tu te doutais qu’il avait le cran de faire une telle chose mais tu ne pensais pas que cela arriverait un jour. Tu ne t’étais pas préparé à cela. L’amusement est bel et bien présent, parce qu’il est toujours au rendez-vous… Seulement n’y a-t-il que cela ? Je n’ose pas véritablement me poser la question. Les mystères du déni peuvent parfois avoir du bon. « Mec, tu fais la sainte nitouche de la bisexualité et tu insistes pour que je te reluque maintenant ? Tu sais que mes yeux ne se sont pas aventurés là-dessous encore… Veux-tu vraiment prendre le risque ? » Il me met au défi, bien entendu, et puisqu’il veut jouer, je lui balance une patate très chaude entre les doigts. Loin de reculer, étrangement très peu effrayé à l’idée de me foutre à poil devant lui mais pas non plus d’humeur à lui faciliter la tâche. S’il veut me voir dans mon plus simple appareil, il devra s’en charger lui-même. Fera, ne fera pas. La réponse pourrait se cantonner à un à moitié. Il me baisse le boxer jusqu’à la naissance de mes lobes fessiers, de sorte à ce que je sois plus ou moins nu, avec ce morceau de tissu sur les cuisses. « C’est tout ? T’as peur de te mettre à genoux ? D’être tenté de te jeter sur ce délicieux morceau de viande ? » Quitte à provoquer, autant aller jusqu’au bout parce qu’à la base, c’est lui que j’accuse d’aimer la bite, pas moi. Mes yeux se portent enfin sur lui, très brièvement, pas volontairement d’ailleurs. Mes prunelles effleurent sa masculinité et la comparaison parait inévitable. Elle est brève, d’une rapidité extrême parce qu’on sait tous que le calibre ne fait aucunement l’homme, ni la performance d’ailleurs. Reste qu’à ce petit jeu… Il semblerait que je sois plus généreux que lui. Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres, mes yeux sont déjà loin, pour ne pas trahir mes pensées. Une fessée sur ce boule qui chamboule et des bières que je vais chercher une fois débarrassé de mon boxer, pas le moins du monde embêté de déambuler à poil de la sorte. Je le retrouve à l’extérieur, près de la piscine et du jacuzzi. « Tu vas voir que c’est extrêmement simple, tu as une console avec des options, la possibilité de changer la vitesse, la couleur, l’intensité… » Je me penche pour pouvoir démarrer le jacuzzi et le régler comme il se doit. « Je n’ai jamais rien fait dans le jacuzzi. J’ai été traumatisé par l’épisode du jacuzzi dans Glee ! » Oui, bien-sûr, je sais qu’on ne peut pas tomber enceinte après une éjaculation dans le jacuzzi, les bulles ne font rien là-dedans. Il demeure que du point de vue de l’hygiène on est limite-limite. Alors oui, avec le traitement de l’eau, le nombre de produits qu’on met là-dedans pour l’entretenir il n’y a aucun souci mais bon… Je n’ai surtout jamais été pris par une envie pressante de faire l’amour ici, c’est tout. « Tiens, une despé pour monsieur ! » Je lui tends la bouteille et me glisse dans le jacuzzi, non sans laisser échapper un gémissement. « Après une telle journée, il n’y a rien de mieux franchement ! »  



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