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| [ théodore "teddy" de bellair ] 32 ans | fiancé | directeur de la publication | sad realityâge, lieu de naissance › il est né ici-même, en Nouvelle-Orléans, le 21 juillet 1987. Il a donc trente-deux ans origines, nationalité › sa mère a des origines françaises, une culture qu'ils entretiennent encore dans la famille. Son père, quant à lui, est américain, un beau petit mélange qui lui donne diverses origines. Lui, tout comme sa soeur, est de nationalité américaine. statut civil, orientation › il est officiellement fiancé avec sa meilleure amie, qui se trouve être également son ex, celle qui rend toute chose exaltante, mais ce n'est qu'un accord. En soi, il pourrait se considérer célibataire. Il n'a jamais eu aucune attirance pour les hommes, même s'il ne dira jamais que ça ne peut pas arriver. Sauf preuve du contraire, il se considère comme hétérosexuel. job, statut financier › Par obligation envers sa famille, il est directeur de la publication au Times-Picayune, le journal que gère son père. Titre bien trop grand pour son âge, qui fait des jaloux, et qu'il n'apprécie même pas vraiment. En tout cas, il n'a aucun souci financier. statut familial › premier enfant d'une famille très bourgeoise, à la limite de l'aristocratie. Grand frère d'une soeur tout aussi mal à l'aise dans ce milieu que lui , et d'un frère mort il y a bien longtemps. Fils héritier de parents stricts et absents. à la nouvelle orléans depuis › toujours. Il n'a quitté la ville qu'à travers des voyages, des petits séjours en Angleterre, dans la famille de sa mère, et dans d'autres pays pour les vacances. (trop) sérieux | altruiste | réservé | sage | (trop) mature | humble | ordonné | responsable | rebelle enfoui | peu confiant | impulsif contrôlé | quelque peu torturéEven if I'm not here to stay.(one) famille en carton. la famille des belles apparences, les sourires faussés, les bijoux bien en évidence, ils paraissent presque parfaits de l'extérieur, tous les quatre. Sous les jolis semblants, des enfants qui vouvoient leurs parents, un respect forcé par le caractère strict d'un père qui serait prêt à tout pour que son héritage revienne à quelqu'un 'comme lui', une mère critique de tous les faits et gestes de ses enfants, de la petite rondeur de sa fille, de la sensibilité facile de son fils. Teddy, il s'est toujours perdu là-dedans, à réclamer une attention qu'il n'aura jamais, à demander à développer son art sans qu'on l'y autorise, à vouloir d'une vie simple qu'on lui complique sans arrêt. Il fait de son mieux pour répondre aux exigences de son père, de son héritage, de son nom, quitte à s'oublier lui-même au passage. (two) la cabane en bois. La bibliothèque enchantée. L'espace presque caché du manoir familial. Son repaire de pirate, décor principal de ses aventures littéraires, puis cachette à dessins. Spectateur de ses idées les plus folles, c'est dans cette pièce qu'il se met à rêver, imaginant un avenir dans lequel il n'aurait pas ce nom-là, dans lequel il n'aurait aucune obligation familiale. Ici, il commence à y écrire un livre, à dix-sept ans à peine, fort de sa culture littéraire, qui sera réduit en miettes par son père, signant la fin de ses idées folles. (three) le garçon perdu. Petit frère laissé derrière. Il avait trois ans lorsque Léon est né, petit garçon ensoleillé, blondinet barbouillé, il courait déjà avant même de savoir marcher. Gamin plein de vie, s'extirpant toujours des bras des adultes, ils voyaient déjà les prémisses d'une adolescence difficile, qu'il ne vivra pourtant jamais. Cinq ans à peine, et la maladie qui le frappe et le foudroie sur place. La méningite l'emporte et Teddy perd un frère, un futur confident, un futur allié. Ils le pleurent tous, ce jolie petit blondinet, ce petit prince emporté, puis ils n'en parlent plus jamais. Secret, tabou, sujet de discorde, Léon est presque effacé, oublié. Et vient ensuite Stella, comme une gomme pour effacer un mauvais coup de crayon. (four) soeur-coup de coeur. Âgé d'une dizaine d'années, il tient pour la première fois sa petite soeur dans ses bras. Une petite poupée qui lui ressemble, et qui, en une seconde, lui décroche un sourire. L'émotion prend place et il se jure intérieurement qu'elle sera heureuse. Elle grandit et devient sa complice, son alliée dans sa rébellion silencieuse, avant que tout ne s'arrête lorsqu'il quitte le manoir familial pour suivre la voie paternelle. Le téléphone entretient leur relation, mais ils se voient moins qu'avant. L'enfant plein d'espoir qu'il était s'est transformé en enfant sage, qui se cache derrière ses sourires pour la convaincre qu'il est heureux, finalement. (five) le chant de la sirène. Elle est rayonnante. Elle pétille comme les feux d'artifices, et il se retrouve ébloui face à elle, cette femme tellement différente de lui. C'est une explosion qui vient le toucher en plein coeur, qui l'anime pour la première fois, lui qui n'y a jamais cru, aux banales histoires d'amour qu'il a parfois lu dans ses romans. Elle débarque dans sa vie et la sauve. Elle lui donne une raison, un combat, une envie qu'il n'avait plus. Ils s'installent ensemble, ils s'aiment, puis son coeur s'écrase et se brise lorsqu'elle l'abandonne. Elle brille et s'éloigne, et le monde tout autour de lui redevient sombre et sinistre. (six) employé gêné. Enfant sage et obéissant qui a suivi la voie indiquée par ses parents, cette voie toute tracée qu'il a eu peur de rejeter, et qui l'a amené à des études de journalisme et de management, jusqu'à ce qu'il arrive, par la voie rapide, la voie facile, à sa position de directeur de la publication, dans le journal de son père, grand journal associé au Times, qui donne à leur nom une carrure supplémentaire. Il voit les regards des vieux employés le fusiller, et il baisse la tête, enfant de l'influence de son père, dans ce travail qui ne lui plaît pas, qu'il exécute bêtement, rêvant encore à publier son livre, sans jamais franchir le pas. Une grand comble pour le directeur de la publication. (seven) mariage en papiers. Enea est toujours là, pas vraiment dans sa vie, mais dans celle de ses amis. Ils se voient, parfois, échangent, et mettent un temps à se retrouver, eux, les bons amis, les complices. Quelques années, et elle est de retour, elle, sa meilleure amie. Ils se connaissent par coeur. Puis le coup de massue. Son visa va expirer, elle doit partir. Il se voit mal sans elle, son coeur se serre et ils parlent mariage, subitement. Un mariage pour de faux, une prison dorée de trois ans, qu'il accepte grassement. Son coeur vibre de la voir tout en blanc, mais il ne dit rien de tout ça. C'est un coup qui l'arrange, des papiers de délivrance, un contrat sans sentiments. Dans quelques mois, ils seront mariés. (eight) vivons cachés. Coup de bluff réussi. Tous leurs anciens amis n'y ont vu que du feu. Leur mariage apparaît comme une évidence pour bon nombre d'entre eux, qui se réjouissent déjà de les voir reformer un couple solide. Il n'a en revanche pas prévenu ses parents, et ne peut qu'imaginer leur déception à l'idée de le voir épouser une femme qu'il n'ont jamais acceptée. Elle n'a pas encore la bague au doigt, prétextant une demande spontanée, aucunement préparée, comme il aurait parfaitement pu le faire. Il y réfléchi bien plus qu'il ne le devrait, et s'applique à lui trouver une bague digne d'elle, et prétexte un besoin de réalisme plutôt que sa véritable envie de finir sa vie avec elle. (nine) les mots sur le papier. Il griffonne le papier depuis qu'il a appris à écrire. Sa passion, son oxygène, sa manière bien à lui de s'exprimer, c'est d'écrire. De coucher ses maux sur le papier. Il n'a plus l'espoir de devenir écrivain, pas plus qu'il n'espère avoir le moindre talent, mais il écrit, malgré tout. Il écrit tellement qu'il a pratiquement terminé un roman qu'il ne montrera à personne. Caché dans une boîte, au fond du tiroir, son manuscrit réside, dans le plus grand secret, à l'abri des regards indiscrets. Il n'en parle à personne, n'en fait rien, il n'a fait que l'écrire. (ten) la bousculade. Enea a emménagé dans son appartement, bien propre, bien rangé, et a tout déréglé. Il rentre dans un chantier, et n'est pas tellement prêt pour s'y attaquer. Et pour la première fois depuis des années, le plus étrangement du monde, il a l'impression de rentrer chez lui. Elle le bouscule et lui donne le mal de mer, mais le voyage n'en est que plus spectaculaire. Et plus il perd pied, plus il sent qu'il redevient lui-même, sous cette apparence de fils exemplaire, il revit, lui.one day, maybe we'll meet again.- pseudo, prénom › plùm , caro - âge, pays › vingt-quatre ans, en france - avatar, crédits › andrew garfield (tumblr) - type de personnage › inventé - comment as-tu connu le forum ? › par Enea - autres, une dédicace › - Spoiler:
Un lien avec un membre@enea brewster (fiancée) Sa meilleure amie, peut-être bien l'amour de sa vie, mais ça a raté. Ils se retrouvent fiancés par nécessité, pour qu'elle reste dans ce pays, qu'ils puissent encore se voir. @Stella de Bellair (soeur) Leurs dix années d'écart ne les empêchent pas d'être proches. Il est le grand frère protecteur, qui assume ses responsabilités pour que sa soeur puisse être aussi tranquille que possible, même, dans la famille, la tranquillité n'est pas ce qui prime. Deux recherches de liens(♂ ou ♀ / la bande de potes) Ils peuvent se connaître de l'université, du lycée, ou d'avant. Toujours est-il qu'ils sont toujours là, les uns pour les autres. Seulement, aucun de ces amis ne sait que les fiançailles de Teddy et Enea ne sont que du vent. Qui sait qui restera après tout ça. (♂ ou ♀ / famille) Une soeur, un cousin, une cousine, de la famille assez proche, dans ce même cercle bourgeois, avec les obligations, la pression, les dîners pompeux, etc. Quelqu'un qui vient de son monde, et qui le soutient, ou qui, au contraire, ne le comprend pas.
/ awards session | (#) (teddy) How long will I love you ? Sam 12 Oct - 14:22 |
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