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 never say never (callum)

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Sybil Nowak
‹ the light of a real enemy ›
Sybil Nowak
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like a bird set free
liste des rps
whitney plouf.
theo happy endings.
callum never say never.
oscar pandemonium.
marvin encore loin de donatello.

miscellaneous
aime jardiner à l'abri des regards. + boit son thé sans sucre mais avec un nuage de lait, jamais de café ni d’alcool. + écrit des histories pour enfants qu'elle illustre elle-même mais n'a jamais montré ses dessins à quiconque. + se rend à l’église tous les dimanches. + a subi deux arrêts naturels de grossesse. + aime cuisiner et teste régulièrement de nouvelles recettes. + a fait de la danse classique pendant plus de dix ans quand elle était enfant. + n’a pas son permis. + a peur des chiens + possède quelques notions de français, malgré un accent à couper au couteau.
psyché
empathique + émotive + douce + attentiste + loyale + pudique + créative + méfiante

messages : 55
rps : 13
name : sarah
faceclaim : annabelle wallis + bambi eyes (avatar), keetica (gif), happy heidi (icons)
multinicks : magda (p. elsesser) | omer (d. illescas)
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : arrêts naturels de grossesse, deuil périnatal, infertilité, éducation conservatrice, religion
trigger : violence explicite, inceste, pédocriminalité
gif : never say never (callum) 975cececb9fc6932151af1490b15a42b7576a667
âge : trente-neuf ans pour quelques mois encore, la quarantaine qui approche et cette urgence de vivre qui grouille sous sa peau comme une colonie de fourmis. (24.06.1983)
statut civil : de leur couple, il ne reste que les papiers officiels et une colocation un peu malhabile, parce qu’il faut réapprendre à cohabiter après des années d’un mariage de convenance qui ne leur convenait pas plus à l’un qu’à l’autre. (en instance de divorce)
occupation : apprentie libraire, plus pour se trouver une occupation que pour sécuriser ses finances.
habitation : dans leur grande maison aux colonnes blanches, son endroit préféré c’est le potager situé à l’arrière, caché des regards (411 garden district)
disponibilité : (5/4) mais demande toujours, je dis rarement non


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[ never say never ]
@Callum Dunne & @Sybil Nowak
La principale différence que Sybil trouvait à fréquenter la librairie en tant qu’employée, plutôt que cliente, c’était que c’était désormais à elle de porter les lourds cartons de livres pour remplir les étagères. C’est ainsi qu’elle se retrouva, à remonter de la réserve, un carton plein de livres de poche du dernier roman policier qui faisait fureur. Elle sentait ses bras sur le point de tétaniser sous le poids de sa cargaison et ne put retenir le soupir de soulagement qui passa ses lèvres lorsqu’elle déposa le carton à ses pieds - en veillant à bien plier les genoux pour préserver son dos, comme le lui avait appris sa patronne. Lorsqu’elle releva enfin la tête et repoussa une mèche de cheveux rebelle qui lui tombait devant les yeux, Sybil se retrouva nez à nez avec un visage bien connu. “Callum ?” Callum était son neveu, le fils du frère de Sybil, et si on en croyait son expression de visage, il ne s’attendait pas à tomber sur sa tante, moite de sueur et réorganisant les rayonnages d’une librairie.

Dans la famille Dunne, on prenait rarement des nouvelles de Sybil. Elle n’était pas d’un naturel à s’épancher longuement sur ses états d’âmes, et on avait vite compris qu’il se passait rarement dans sa vie des événements dignes d’être racontés lors d’un quelconque repas de famille. Elle était la femme calme et douce qu’on lui avait appris à être, au point qu’elle paraissait même ennuyeuse aux yeux de certains. Cet état de fait n’avait jamais vraiment dérangé Sybil. Au contraire. Elle avait ainsi la sensation que cela lui offrait la possibilité d’être plus libre de vivre sa vie sans avoir de comptes à rendre à sa famille. Et s’il ne l’avait jamais dérangé, il s’était même révélé particulièrement utile ces dernières semaines. Personne ne s’inquiétait de savoir si leur couple, à Theo et elle, se portait bien - les questions sur l’arrivée prochaine d’un enfant avaient même cessé quelques années auparavant, après que Sybil soit sortie de table les larmes aux yeux. Personne ne s’intéressait à la manière dont elle occupait ses journées - tout le monde partait du principe que si elle ne s’occupait pas de son intérieur, elle était certainement à la paroisse ou dans une association du quartier. Alors Sybil ne s’était pas non plus donné la peine de les informer de son futur divorce, ou du fait qu’elle perçoive un salaire, pour la première fois de sa vie. Ceci expliquait peut-être en partie la surprise de son neveu.

N’étant pas bien sûre de la posture la plus adéquate à adopter dans ce genre de situation, Sybil opta finalement pour un mal-assuré “Je peux faire quelque chose pour toi ?”

/ awards session
(#) never say never (callum)    Mer 1 Mar - 17:21
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Callum Dunne
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Callum Dunne
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a story was a form of telepathy. by means of inking symbols onto a page.
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messages : 85
rps : 9
name : alice | monocle.
faceclaim : bassett | magma. @vava
multinicks : billy (z.kravitz) | mica (t.chalamet) | sélia (g.chan) | mav (m.huisman) | lasz (stan)
intervention fortuna : peu importe
trigger warning : warning : les sujets évoqués sont surtout liés aux parents de Callum, mais il se peut que lui-même en fasse les frais puisque c'est l'éducation qu'il a reçu. homophobie, racisme, élitisme, pensées conservatrices, white power, religion, bullying. Tous les sujets sensibles seront mis sous balise tw.
trigger : pédocriminalité, inceste
gif : never say never (callum) 246240f27081319495a6966008e70941464b059c
âge : 18 ans | 30.07.04
statut civil : cœur libre, battement qui ne trouve pas son osmose. il se perd dans les courbes de l'âge, de l'expérience. sous le regard de ses parents, il est puceau, bague de virginité qui orne son doigt. mensonge. tromperie. figure pour simplement qu'on ne lui pose aucune question.
occupation : le lycée derrière lui, il affronte maintenant l'âge adulte, la construction de soit pour subvenir à ses besoins. passion mis de l'avant avec des études liées à la politique.
habitation : sur le campus universitaire


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never say never  / @Sybil Nowak TW : élitisme, pensé conservatrice et archaïque
Comment vaincre son attirance pour son ennemi, volume un pour les nuls… C’était presque dans cet unique espoir que Callum avait pris le chemin de la librairie. En réalité, il avait un autre ouvrage à acheter pour un cours, mais rien ne l’empêchait de se renseigner au passage sur cette information qui le taraudait. Relire Roméo et Juliette ne l’aiderait en rien, à part quelques proses, le couple finissait tout de même à l’agonie de leur amour. Rien qui n’enchantait le jeune Dunne. Même parler de couple le faisait frissonner. Hors de question que ça aille jusque-là ! s’il savait Il s’accrochait à la folle idée que tout ceci ne soit qu’un fantasme et rien de plus… Oui, simplement un fantasme, le désir de passer outre les règles de sa famille. Puisqu’un homme ayant une relation avec un autre était condamnable. Grignotant un gummy bear à l’ananas, il franchissait la porte teintante de la librairie. Dans un monde moderne où il faisait parti des milléniums, Callum aurait pu prendre une version numérique du livre, voir l’acheter par internet comme tout bon jeune de son âge l’aurait fait. Non, lui, il se retrouvait dans cet endroit au parfum d’encre et de colle, où les livres vivaient leur propre vie en étant adopter par ceux qui aimaient encore toucher et ressentir un ouvrage. Un second gummy se glissait entre ses lèvres, vert cette fois. Un léger goût de pomme. Alors qu’il se dirigeait vers le fond où il trouverait sans doute son livre pour l’université. Au lieu de cela, il tomba sur un tableau étonnant. La blonde devant lui relevait la tête, alors qu’il perdait ce troisième ourson en gélatine, glissant de ses doigts pour s’écraser avec silence sur le sol. Moment dramatique de cette rencontre ! Sybil.

Tante. Figure douce qui avait toujours été rassurante pour le jeune Dunne. Enfant quelque peu à l’écart du reste de la fratrie. Un peu plus doux, un peu plus libre de ses propres pensés et pourtant confiner à les garder pour lui. Parce qu’être Dunne ce n’est pas être soi-même, c’est être celui qu’on attend de nous. Deux âmes distordues dans un moule préfabriquer d’une famille idéaliste – idéaliste dans leur propre idéaux – et conservatrice à souhait. Si Sybil était comme sa mère, une femme prenant la place qu’on lui donne, soit pas grand-chose pour les hommes Dunne, Callum avait toujours été plus proche d’elle que de ses propres parents. Aux réunions de famille c’était près d’elle qu’il passait son temps, lorsqu’il n’était pas lui-même avec sa sœur ou elle avec son mari. Ce fut pourtant à ce moment qu’il réalisait le fossé entre eux. Aujourd’hui, il n’avait plus le temps d’écouter ses histoires, être là, parce qu’il était ce jeune adulte qui cherchait à devenir quelqu’un. Ne plus être ce môme différent de ses frères aînés. Pourtant, la différence existait bel et bien, mais le cadet étouffait tout ce ressenti sous une couche de mépris que les Dunne affectionnaient avec plaisir. « Pourquoi tu transporte ce carton ? » glissait-il après avoir laisser planer un silence oppressant entre eux. Après avoir compris que quelque chose n’allait pas, que cette situation, il n’aurait pas dû la voir. Voilà qu’un nouveau secret l’enveloppait de sa toile ombrageuse.
/ awards session
(#) Re: never say never (callum)    Mer 1 Mar - 20:24
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Sybil Nowak
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liste des rps
whitney plouf.
theo happy endings.
callum never say never.
oscar pandemonium.
marvin encore loin de donatello.

miscellaneous
aime jardiner à l'abri des regards. + boit son thé sans sucre mais avec un nuage de lait, jamais de café ni d’alcool. + écrit des histories pour enfants qu'elle illustre elle-même mais n'a jamais montré ses dessins à quiconque. + se rend à l’église tous les dimanches. + a subi deux arrêts naturels de grossesse. + aime cuisiner et teste régulièrement de nouvelles recettes. + a fait de la danse classique pendant plus de dix ans quand elle était enfant. + n’a pas son permis. + a peur des chiens + possède quelques notions de français, malgré un accent à couper au couteau.
psyché
empathique + émotive + douce + attentiste + loyale + pudique + créative + méfiante

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multinicks : magda (p. elsesser) | omer (d. illescas)
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âge : trente-neuf ans pour quelques mois encore, la quarantaine qui approche et cette urgence de vivre qui grouille sous sa peau comme une colonie de fourmis. (24.06.1983)
statut civil : de leur couple, il ne reste que les papiers officiels et une colocation un peu malhabile, parce qu’il faut réapprendre à cohabiter après des années d’un mariage de convenance qui ne leur convenait pas plus à l’un qu’à l’autre. (en instance de divorce)
occupation : apprentie libraire, plus pour se trouver une occupation que pour sécuriser ses finances.
habitation : dans leur grande maison aux colonnes blanches, son endroit préféré c’est le potager situé à l’arrière, caché des regards (411 garden district)
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[ never say never ]
@Callum Dunne & @Sybil Nowak
La scène aurait eu sa place dans un film. Les deux protagonistes face à face, figés dans leurs mouvements, l’incompréhension claire comme de l’eau de roche sur leurs visages. Même la chute du petit bonbon en gélatine qui s’écrase sur le sol avait un potentiel cinématographique non négligeable. Sybil se dit qu’une biche coincée par les phares d’une voiture ne se sentirait pas moins à l’aise qu’elle à cet instant. Elle se reprend immédiatement, agacée de gâcher des secondes de réaction essentielles en comparaisons idiotes. Ce n’est pas en se comparant à une biche qu’elle allait trouver quoi répondre à son neveu.

Expliquer sa présence dans la librairie n’était pas compliqué. Sybil était connue pour être le petit rat de bibliothèque de la famille. Toujours le nez fourré dans ses livres, au point de perdre parfois le fil de la réalité. Ce n’était donc certainement pas l’endroit en tant que tel qui expliquait le silence pesant qui s’était installé entre elle et Callum. Non, ce qui clochait, dans ce tableau, c’était le carton qu’elle venait de poser à ses pieds, la pellicule de sueur qui faisait briller son front et le rouge de ses joues, qui trahissait l’effort physique qu’elle venait de produire. Ce qui clochait, dans ce tableau, c’était que Sybil avait l’air de travailler dans la librairie, et pas simplement de flâner ou de feuilleter les derniers romans installés dans les rayonnages. Or, les femmes de sa génération, dans la famille Dunne, n’étaient pas connues pour être le genre à jouer les employées modèles. Surtout pas à un poste qui demandait de transporter des cartons, encaisser des clients ou dépoussiérer des étagères. Des tâches bien éloignées de ce qu’on avait toujours attendu de Sybil : lire des livres et faire des études de littérature, d’accord, tant qu’elle n’oubliait pas de préparer le repas, nettoyer la maison et sourire poliment lors des soirées mondaines. Elle savait que les choses étaient un peu différentes pour la génération suivante, que devenir femme au foyer n’était plus la seule issue envisageable. Elle savait aussi, que si elle s’était davantage fait entendre, elle aurait pu prétendre à un autre destin, elle aussi. Et ce n’était certainement pas Theo qui s’y serait opposé. Seulement elle s’était toujours contentée de suivre la voie qu’on avait tracé pour elle, et elle se retrouvait maintenant, à presque quarante ans, à ne pas vraiment savoir de quoi elle avait vraiment envie. Alors elle faisait des tests, serrant les dents en craignant les échecs, et se retrouvait en période d’essai comme apprentie libraire.

Comment expliquer tout ça à Callum ? Lui qui avait si longtemps recherché sa présence lors des repas de famille, mais dont elle s’était progressivement éloignée, au fil des mois, alors qu’il devenait ce jeune adulte ambitieux face à qui elle se trouvait maintenant. L’espace d’un instant, Sybil hésite à lui mentir. Inventer une excuse, détourner la conversation. Il n’y croirait sûrement pas, mais peut-être qu’il laisserait tomber le sujet et la laisserait se dépatouiller avec ses expériences, ses angoisses et ses rêves refoulés. C’était la solution facile. Sauf que Sybil s’était promis d’arrêter de choisir systématiquement la facilité puisque c’était justement cette attitude qui l’avait menée là où elle se trouvait aujourd’hui. Alors elle prend une respiration un peu plus profonde que d’habitude, et son sourire se décrispe un peu. “Je travaille ici.” Tant de tergiversations pour trois mots si simples. “C’est récent, je n’ai pas encore eu l’occasion de prévenir tout le monde.” C’est faux, elle n’en avait aucune intention. Pas tout de suite en tout cas. “Je suppose que si tu es ici, toi, c’est que tu cherches un livre. Tu veux que je t’aide à le trouver ? Je connaissais déjà le classement avant, mais là je suis devenue imbattable.” Tentative d’humour pour dissiper le malaise, Sybil n’est pas certaine que ça suffira, mais au moins elle aura essayé.

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(#) Re: never say never (callum)    Mar 7 Mar - 18:08
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