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 what's true to us -- Helena

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Adriel Tucker
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Adriel Tucker
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résumé du personnage
Né à New York en 1989 • Mère juive, avocate • Père chrétien, pâtissier • Petite soeur née quelques années après lui • Divorce des parents en 1999 • Vit à NY avec sa mère et sa soeur • Visite son père à NOLA tous les étés et pour Noël • Cousins des Lewis, vivant à NOLA également • Passionné par la musique, les films et le théâtre • Etudiant à Juilliard • Rencontre Helena à l'université • En couple quelques temps, puis séparation • Expérimente avec des hommes • Retrouve Helena, se remet avec elle • Mariage en 2017 • Décès de son père en 2019 • Déménagement à NOLA.

messages : 1846
rps : 101
name : Undecided. (Sophie)
faceclaim : Oliver Jackson-Cohen ; jojo (avatar) ; vvitchresources (gif) ; siren charms (code signature) ; crackshipandcrap (crackship signature)
multinicks : Isaac, Pandora, Mabel, Lucius, Bee, Laurie, Gina.
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : adultère, décès d'un être proche, deuil, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide).
trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
gif : what's true to us -- Helena D0741399fb15ec644ca16a1e882d02937df585ff
âge : Trente-quatre ans (25 avril 1989).
statut civil : Marié depuis presque cinq ans, amoureux de sa femme, le regard qui se perd sur des corps masculins.
occupation : Compositeur de musiques de films, métier de l'ombre, métier de l'âme.
habitation : #639 Garden District
disponibilité : libre
code couleur : #6DAF18
mes trophées : what's true to us -- Helena FVnGzugV_o


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[ what’s true to us ]
@Helena Tucker
Les questions tournent encore et encore, s'emmêlent, se collectionnent et s'alourdissent. Elles ont remplacé toutes les autres pensées, illustrent les émotions, nourrissent les doutes, sans qu'il ne puisse s'en dépêtrer. Adriel s'est endormi seul la nuit précédente. Étreint par des draps froids qui l'ont déprimé plus que nécessaire. Il ne se reconnaît plus dernièrement. Hésitant, distant, observateur, parfois froid. Jaloux. Ce n'est pas la première fois qu'il ressent cette émotion, mais il lui semble que jamais elle n'a eu une telle intensité. Jamais auparavant il ne l'avait laissé avoir un tel impact sur son état, ses pensées et son couple. Jusqu'ici il l'avait accueillie avec un certain amusement et de la nonchalance. Il savait que ce serait avec lui que rentrerait Helena, que c'était lui qu'elle aimait, lui qu'elle désirait. Il savait tout ça, n'en doutait pas parce qu'il ressentait exactement la même chose la concernant. Mais depuis quelques semaines, la jalousie a un goût bien plus amer. Parce que celle qui désire sa femme peut passer des soirées entière seule avec elle, des nuits parfois. À travailler, il est vrai, mais le travail de couturière ne nécessite pas t-il une proximité physique ? Depuis les mots prononcés par la chorégraphe, Adriel n'a plus confiance. Pire fléau qui pouvait s'abattre sur leur mariage, bien que ce n'est pas sa confiance en son épouse qu'il a perdu. C'est en tout le reste.

La journée est passée sans qu'il ne puisse se concentrer. Helena était là à son réveil, endormie près de lui dans le lit conjugal, ça l'avait rassuré et il n'avait pas voulu la réveiller. Mais au fil des heures les doutes étaient revenus et, maintenant que la soirée descend sur la ville, Adriel pense encore à tout cela. Assis dans le canapé du salon, un livre dans les mains, il n'arrive pas à se concentrer sur les lignes du roman. Il continue de n'avoir en tête que le reste, imagine des scénarios, s'inquiète, s'entête. Jusqu'à qu'Helena elle-même entre dans la pièce et attire son attention, sans même le chercher. Aussi envoûtante que toujours, il la suit du regard quelques instants. « Lena… » Les mots commencent mais aucune phrase ne se termine, à l'image des derniers jours. Chaque fois qu'il pense trouver le courage d'aborder le sujet, ses lèvres esquivent en parlant d'autre chose, du repas pour le dîner ou du prochain film qu'ils regarderont. Des sujets plats, sans la moindre importance face aux questions qui se maintiennent. Il sait surtout qu'il n'a rien à demander, que ce n'est pas sa place d'avoir des doutes et des soupçons quand lui-même vit avec la culpabilité de ses actes. « Tout s'est bien passé hier soir ? » demande-t-il finalement dans un sourire. Mince, fébrile. Il se sent faible de baisser à nouveau les bras, mais il ne sait pas comment formuler autrement ses paroles. Au moins cette fois le sujet est tout de même abordé de loin. « Je ne t'ai pas entendu rentrer, toujours aussi discrète ma petite souris. » Il s'approche, passe derrière elle en laissant sa main languir sur sa hanche, avant de se pencher pour poser un baiser dans le creux de son cou. Sa manière de montrer qu'il est là sans doute, mais aujourd'hui le cœur n'y est pas entièrement. Sur le visage d'Adriel les traits sont tirés et sombres, ses yeux baissés, ayant perdus de cette lueur qui les caractérisent d'ordinaire. Un léger soupir lui échappe tandis qu'il s'éloigne pour aller se verser un café dans la cuisine. Avec un peu de chance il réussira à composer ce soir, au lieu de penser à sa femme dans les bras d'une autre. « Lenny ? » Deuxième surnom prononcé sur la même interrogation, tandis qu'il passe sa tête par la porte ouverte. Mais rien ne sort à nouveau, seulement un sourire, un baiser envoyé dans l'air et des questions qui mitraillent à nouveau son esprit.
/ awards session
(#) what's true to us -- Helena    Lun 17 Oct - 9:26
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Helena Tucker
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Helena Tucker
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what's true to us -- Helena Jfnq what's true to us -- Helena 9hoa
a story was a form of telepathy. by means of inking symbols onto a page.
liste des rps
Adriel <3 you who opened suns in my heart
Leola Rp d'intégration
Bram To be young again
Adriel Late in love
Olimpia les constellations labyrinthes
Calhoun Simple day

résumé du personnage
Ses yeux semblaient avoir perdu leur pouvoir hypnotique. Ne restait qu’un regard de petite fille qui s’était assise sur le bouton « tremblement de terre ».

messages : 488
rps : 27
name : kerberos | Hitirere
faceclaim : Jenna Louise Coleman + boneecho
multinicks : Efraim (i.cruz cordova |
Iris (g.elizabeth) | Seoirse Cosgrave (c.bale) |
intervention fortuna : oui
trigger warning : warning : Maladie ; agression ; addiction ; alcoolisme ; négligence maternelle ;
trigger : je préfère voir avec maon partenaire directement selon contexte et situation rp.
gif : what's true to us -- Helena Tumblr_inline_nncqu9NkNo1s2djns_250
âge : 31 années à essayer d'éclore dans des hivers constants.
statut civil : Floraison dans les sentiments intenses, cristallisés dans un mariage. Jeune certes mais qui lui offre tout ce dont elle aurait pu rêver. Des battements de coeur qui portent son nom. Adriel. Adriel.
occupation : Designer de robe de mariée pour son propre compte quand elle ne revêt pas la casquette de costumière pour la compagnie de ballet
habitation : #639 Garden District
disponibilité : 0/4 dispo


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[ and the story begins ]
@Adriel Tucker & Helena Tucker
« Non ! » Il avait résonné bien trop fort malgré elle, emplissant l’atelier et les séparant brusquement. Il résonnait encore alors qu’Helena dévalait les escaliers du théâtre. Encore et encore alors qu’elle s’engouffrait dans le taxi qui la ramenait chez elle, l’aube incertaine cajolant l’horizon. Il continuait de résonner en elle et sur chaque parcelle de sa peau. Non. Non. Autant de négation face à l’audace d’Hannah. « Je suis mariée, tu ne peux pas ! » Avait été la seule phrase abandonnée derrière elle avant de prendre la fuite sans se retourner. Pourtant, Helena ne l’avait pas embrassé, avait arrêté son ex petite amie avant le fatidique mais son coeur battait à la chamade. La peur mêlée à la foudre de l’adrénaline tendaient son corps, son coeur aussi. Il lui fallait se temporiser, se calmer pour son bien. Ce n’était pas la première fois qu’une personne lui faisait des avances, certes mais c’était la première fois que ça la mettait dans un tel état. Peut-être parce qu’Hannah venait avec un passé passionnel. Peut-être parce qu’Hannah avait tant comptée fût un temps. Peut-être parce que le passé avait quelque impact sur le présent. Peut-être parce que le temps de quelque secondes, la tentation l’avait saisi jusqu’au refus brutal et incisif. Helena avait choisi, pas qu’aujourd’hui. Il y’a des années de cela, quand elle a choisit de se remettre en couple avec Adriel et de ne jamais renouer avec Hannah jusqu’à aujourd’hui. Elle avait choisi, oui. Adriel, c’était. Adriel, ça le sera toujours.

La costumière conjugue tous les non, inverse les maudits de toutes les négations dans l’odeur qu’elle retrouve. Dans la peau contre laquelle elle se love, le nez enfoncé dans la nuque de son mari encore endormi. Se presse contre lui et dans son être, ne résonne plus le non crié tantôt mais un oui. Le oui qu’elle lui a murmuré alors qu'il avait un genou à terre. Le oui qu'elle lui a offert, vêtue de blanc et d’espoir pour un avenir radieux où iels seraient ensemble. Ensemble jusqu’à que la mort les sépare. La peur se calme contre son époux, la fatigue l’emporte jusqu’à que le soleil la happe, rapporte sur ses épaules l’étau et le fardeau de la culpabilité. La brune tente de rester normale, de suivre le cours de ses habitudes mais finit malgré tout par s’isoler dans son bureau. Pas de passage à l’atelier pour aujourd’hui, pas non plus de réponse aux sms d’excuse confuses d’Hannah. Plus qu’à elle-même d’avoir permis qu’une situation de la sorte arrive, Helena lui en voulait d’avoir essayer et à la fois  ne faisait qu’accroire sa propre culpabilité. Si Hannah avait cru bon de faire un mouvement vers elle, c’est qu’elle avait dû envoyé des signaux erronés, faire croire qu’il y avait une possibilité. Le fusain claque contre le bureau, lancé par une Helena excédée. Rien n’a pu sortir de tous ses essais de travailler alors la jeune femme se redresse, attache ses cheveux dans un chignon lâcher, aussi lâche qu’elle et se dirige vers le salon, perdue dans ses pensées.

Un tressaillement saisit son corps et fige son esprit quand s’élève la voix d’Adriel dans son dos. Son coeur perd un battement lorsque la question se dépose sur sa conscience alors que le volte-face la révèle enfin à la vue de son mari. Le regard défaille, dérive sur la droite tant les interrogations la pèsent. L’a-t-il senti ? L’a-t-il appris ? Hannah lui en aurait-elle parlé ? Les épaules se haussent, le sourire se façonne, secret de fabrique des Braithwaite qui savent tout mimer à la perfection – Merci Astrid – « Oui, dans l’ensemble, oui, ça a été » A moitié une vérité. A moitié un mensonge. « J’ai essayé de faire le moins de bruit possible. C’était mission réussie visiblement » L’air dans la pièce semble avoir changé. Avoir tourné et Helena ne saurait dire si cela tient de son imagination ou des faits. La main de son mari se pose contre sa hanche, comme taillée pour la recevoir alors que le baiser fait courir des frissons contre sa nuque. Helena penche la tête, effleure son visage du sien avant qu’Adriel s’échappe, la mine plus assombrie et inquiète. Quelque chose ne va pas et la peur déjà, gronde en elle. « Oui ? » Quelque pas rapides, le rejoindre dans la cuisine, d’abord appuyée contre l’encadrement de la porte. « Qu’est-ce qu’il y a, chéri ? » Vaincre la distance, l’abattre de sa main qui se pose contre sa joue, l’autre fait glisser ses doigts autour de son oreille avant de se perdre dans ses cheveux courts. « Dis-moi » Le regard est inquiet et voudrait flancher mais pourtant trouve le sien. « Y’a quelque chose qui ne va pas » Une constatation. Un aveu. Un peu tout cela à la fois. Car oui quelque chose ne va pas. La communication, même si parfois elle n’est pas facile, a toujours été une clé de leur mariage. Peut-être qu’il faut parler de tout cela. D’Hannah et cette tentative de baiser. D’Hannah et de leur histoire.
/ awards session
(#) Re: what's true to us -- Helena    Lun 31 Oct - 11:18
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Adriel Tucker
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[ what’s true to us ]
@Helena Tucker
Toute la journée il a attendu, pendant des heures il s’est inquiété. La tourmente d’Adriel ne s’arrête pas, même lorsqu’il sait qu’Helena est quelque part dans la maison. Il ne peut s’empêcher d’imaginer ce qu’il s’est passé pour qu’elle rentre aussi tard la veille, si tard qu’il n’avait pas réussi à l’attendre éveillé. Peut-être qu’il ne se serait pas inquiété autant si elle n’avait pas vécu des mésaventures avec l’un de ses frères à New York, mais au fond il sait très bien que cette fois les peurs ne viennent pas de là. Elles viennent d’Hannah. Collègue de travail avec laquelle ils sont tous les deux en lien, toutefois elle lui a bien fait comprendre que la relation qu’iels entretiennent tous les deux n’a rien à voir avec celle des deux femmes. Hannah en veut plus, Hannah désire des choses qu’elle n’a pourtant pas le droit de demander. Et Adriel ne comprend pas, il ne sait pas d’où ça vient, il ne connaît pas cette partie du passé de son épouse. Pas qu’il la jugerait, lui aussi a eu des expériences avec le même genre et il les a grandement appréciées - au point de fauter une fois les vœux prononcés. Et le voilà dans la position de l’homme macho, celui qui refuse que quelqu’un d’autre touche à sa femme. Parce qu’il l’aime Helena, plus qu’il ne pourrait le décrire avec des mots. Accablé par les questionnements, il attend de se retrouver seul avec elle pour enfin prendre son courage à deux mains et lui parler. Mais une fois dans la même pièce, il hésite. Comment lui parler de ses doutes sans aller trop loin ? Adriel ne veut pas d’une dispute, il cherche simplement des réponses. Et le sourire que son épouse lui offre, bien que toujours beau, n’a pas l’air aussi naturel que celui qui le fait fondre depuis des années. « Tu aurais pu me réveiller tu sais. Mais c’est gentil de penser à mon sommeil, et je suis content si ta soirée s’est bien passée. » Son discours serait bien différent s’il savait les émotions qu’avait traversées Helena, mais il n’a aucune idée de ce qu’elle a enduré. Peut-être qu’il le sent un peu, parce qu’en s’approchant d’elle et en posant sa main sur sa hanche, en posant ses lèvres dans son cou, tout a une saveur légèrement différente. Mais peut-être que ça vient de lui, tout simplement. Finalement il s’éloigne, rassuré en rien, pour aller se réfugier dans la cuisine. La distance le blesse, mais il ne sait pas comment lui parler, comment faire autrement. Un second essai, qui s’achève en défaite de sa part. Helena n’est pas dupe cependant et elle vient à la rescousse. Provoque la conversation, pose les questions qu’il n’ose pas dire. Sa main sur sa joue, puis dans ses cheveux, rassure Adriel qui répond au geste, appuie sa propre joue dans le creux des doigts. Elle a raison, quelque chose ne va pas et s’il a du mal à maintenir son regard dans le sien, il se force tout de même. D’un geste sa main retrouve la hanche perdue il y a peu, il l’attire un peu à elle, en trouvant la force de parler dans ce contact. « Je suis désolé. » C’est d’abord une excuse qui sort, parce que la culpabilité est finalement plus grande encore que la peur qu’il ressent. La culpabilité liée au doute, au fait qu’il n’a aucune idée de ce qu’il s’est réellement passé, mais qu’il s’apprête tout de même à porter une accusation. Et celle qui le ronge depuis longtemps maintenant, celle qu’il a réussi à ensommeiller la plupart du temps, mais qui revient tout de même parfois comme le plus traître des ennemis. « J’ai toute la confiance du monde en toi, mais il faut que je pose la question. Parce que depuis qu’elle m’en a parlé, je… je me fais des films et je sens que ça m’éloigne de toi et je déteste ça. » L’idée de perdre leur confiance en l’autre et cette complicité qui les définit est sans doute la pire des punitions pour lui. « Qui est Hannah ? » Question large, trop floue, trop basique pour qu’elle puisse savoir ce qu’il veut dire. Il s’en rend compte Adriel, et avec un léger soupir il secoue la tête avant de reprendre calmement. « Pour toi, je veux dire. Ca fait quelques fois qu’elle sous-entend des choses pendant nos rendez-vous, qu’elle parle de toi de manière… presque intime. Vous vous connaissiez d’avant, c’est ça ? Je crois… je crois qu’elle ne t’a pas oublié. » Et ça me fait vraiment peur. Il aimerait le rajouter, préciser ça en plus pour qu’elle comprenne d’où toutes les questions viennent, mais il n’en dit rien. Parce qu’au fond qui est-il pour juger ? S’il a bien deviné ce qu’il se passait, il ne peut en rien blâmer Hannah. Il comprend parfaitement pourquoi elle a des sentiments pour Helena. Et dans l’éventualité où ce serait encore réciproque… il préfère ne pas penser à cette hypothèse. Mais qui serait-il pour s’opposer à ça ? Son cœur se tord à cette idée et lorsqu’il plonge son regard dans celui d’Helena, il ne peut masquer la tristesse et l’inquiétude qui s’y logent.
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(#) Re: what's true to us -- Helena    Jeu 22 Déc - 23:56
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@Adriel Tucker & Helena Tucker
La bienveillance de son mari présente, toujours. Pourtant quelque chose sonne différemment, quelque chose qui éveille ses inquiétudes car les pistes sont nombreuses et l’épouse Tucker ne sait pas réellement laquelle emprunter. Elle aurait pu se contenter de cela et faire demi-tour, retourner s’isoler dans son atelier pour ne pas parler, pour ne pas communiquer car si elle sait que cela est nécessité, de par son éducation la communication est difficile pour elle et parfois elle l’évite tant elle est faite de maladresse, d’incertitude. Astrid n’a jamais prêté attention à ce que sa fille pouvait penser ou ressentir, n’a jamais voulu l’entendre ni lui a laissé cette liberté alors comment communiquer quand on a grandit sans ça ? Malgré tout, malgré ses lacunes,  Helena le suit, tente de un mouvement pour que la parole se libère. « Pourquoi tu t’excuses ? » Se laisse faire la brune quand il l’attire à lui, pose une main sur son torse, le fixant la tête penchée. De quoi s’excuserait-il ? La réponse ne tarde pas à venir, la tend quand le pronom « elle » sort. Est-ce Hannah qui lui parlé de quelque chose ? Et la confirmation ne tarde pas à tomber et avec elle, un soupir qu’elle lâche avant de hocher la tête. Il était venu le temps de parler d’Hannah et de ce passé qu’elles partageaient.

Helena l’écoute sans l’interrompre et au fond d’elle, gonfle l’agacement contre Hannah. Elle avait fait exprès, elle avait voulu mettre la zizanie dans l’esprit de son mari. Serait-ce un plan tout cela pour la récupérer ? A cet instant précis, la colère l’emporte et elle lui en veut d’avoir ne serait-ce qu’oser vouloir mettre à mal son mariage et inquiéter de la sorte Adriel. « Je vois … et ça te fait peur, c’est ça ? » Rajoute-t-elle, le lisant dans son regard, dans le silence des mots qu’il ne prononce pas. « Ne sois désolé de rien … je vais tout te dire. Je n’ai pas envie que tu t’éloignes de moi, ni que tu te fasses de film qui ne doivent pas te faire du bien » Lentement, l’épouse Tucker se défait de son mari, saisit sa main dans la sienne et l’entraîne hors de la cuisine, vers le salon où elle le fait s’asseoir sur le canapé, elle, prend place en face de lui, sur la table basse. La tristesse qui se lit dans le regard d’Adriel lui tord le coeur et pousse Helena à prendre la parole dans l’espoir de la dissiper mais à la fois, elle rencontre la difficulté de se cogner aux boîtes closes du passé. Sa main toujours enveloppée autour de celle de son mari, elle prend une grande inspiration avant de se lancer à l’eau. « Hannah est une ancienne partenaire de danse, ça, tu le sais, je te l’ai dit. C’était pendant la période entre notre rupture et nos retrouvailles et … on s’est rapprochée … beaucoup. C’était instable, parsemé de ruptures, de retrouvailles, de disputes, de cris. C’était aussi intense que douloureux, c’était surtout toxique » Helena tente de trouver les mots, ceux qui ne mentent pas mais qui ne font pas du mal non plus à son mari. « Ca n’a jamais rien été d’officiel et quand on s’est retrouvé toi et moi, ça ne lui a pas plu bien entendu. Même si nous n'étions qu'ami·es ou du moins toi et moi disions l'être, Hannah m'en voulait, on se disputait constamment. Puis j’ai décidé de ne plus la voir, de couper les ponts car je t’ai choisi, Adriel. Et je continuerai toujours de te choisir »

Ses doigts se pressent contre le dos de sa main comme pour lui prouver sa sincérité, qu’elle pense chaque mots prononcés. « Je pensais qu’elle était passée à autre chose, je suis mariée, elle voyait qui tu étais, ça date maintenant mais je me suis trompée … J’aurais dû me méfier et me douter que ça ne serait pas bon de mêler tout cela. J’ai pris la décision d’arrêter notre collaboration » Avant qu’il ne lui réponde, qu’il s’interpose dans cette décision, la brune reprend vite la parole. « C’est la meilleure chose à faire et ça me va, Adriel. Ca n’est pas un sacrifice pour moi… » Déglutit difficilement mais se lance tout de même, par envie d’honnêteté et de transparence. « Hannah a essayé de m’embrasser hier soir » Voilà le réel argument pour qu’elle quitte sa collaboration avec la troupe de danse. « Je l’ai repoussé et je suis rentrée directement en état de choc, je t’assure qu’il ne s’est rien passé et au vu de cela, et de ce que tu me dis, il est mieux que je m’en éloigne. Tu m’en veux, Adriel ? » Son regard reste fixé sur leurs mains encore enlacée, n’ose pas relever le regard et lire la réponse à sa question qui doit être sur ses traits, dans ses yeux.
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(#) Re: what's true to us -- Helena    Lun 27 Fév - 9:53
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