âge : vingt-six ans et pas un souci en tête. vie de privilèges dont elle n'a aucune conscience, aucune reconnaissance (29.07.1996 ― leo)
statut civil : fiancée depuis six mois, les préparatifs avancent à petits pas, alors que le doute s'insinue également.
occupation : attachée de presse pour l'équipe de football de NOLA (Saints), un poste qui l'a fait revenir au pays il y a quelques mois.
habitation : #804, downtown avec son fiancé
disponibilité : dispo
code couleur : #c27ba0
trigger warning : divorce, TDAH, pression parentale, dépression, usage de drogues, décès, deuil, infidélité, age gap.
ZILA FELDBERG TUCKERft. billie lourd
29 ANS | MARIÉE | SANS EMPLOI | SAD REALITY
PSEUDO, PRÉNOM › notjovovich GE, PAYS › 33 ans, Canada CRÉDITS › Merenwen, avengedinchains TYPE DE PERSONNAGE › pré-lien d’@Adriel Tucker COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? › ça fait un bon moment, j’me rappelle plus AUTRES, UNE DÉDICACE › à tou.te.s celleux qui ont AU MOINS trois idées de personnage en construction dans leur tête en permanence
âge, lieu de naissance › Rien de bien excitant ne s’est produit à l’échelle planétaire le 8 novembre 1992, mais pour les Tucker, il s’agit d’une journée bien spéciale : celle où est venue au monde leur fille. Déjà heureux d’avoir un fils comme Adriel, ils étaient maintenant comblés par l’arrivée de cette petite perle. C’est au Mount Sinai Hospital de Brooklyn que Zila a émis ses premiers gazouillis. origines, nationalité › (juives Ashkénaze, anglaises, écossaises, irlandaises, galloises, allemandes et cajun.) Élevée selon les traditions juives transmises par sa mère, Zila n’a tôt fait que de laisser derrière cette éducation à laquelle elle n’a jamais réellement adhéré, même s’il s’agissait de sa version modernisée. Les coutumes américaines de son père, ce dernier issu d’une famille aux origines anglaises, lui ont toujours plu davantage, bien qu’au final, elle n’en a toujours fait qu’à sa tête sans suivre le mode de vie de l’un ou l’autre de ses parents. New-Yorkaise de naissance, elle a pourtant une attache particulière à la Nouvelle-Orléans, où elle a passé tous ses étés. Même si sa lignée ne laisse rien présager de tel, Zila aime croire que les Tucker puissent avoir des origines cajun puisqu'elle se sent tellement plus dans son élément dans l'imperturbabilité de la Louisiane que dans l'effervescence de la Grosse Pomme. statut civil, orientation › Zila n’a jamais ressenti d’attirance pour le genre féminin. Ses histoires d’amour ont toutes été avec des hommes, elle n’a jamais eu de doute sur son hétérosexualité. Ce sur quoi elle a douté constamment, c’est sa capacité à être en couple, à aimer quelqu’un à long terme. Ses relations sont rapidement vouées à l’échec, même sa plus récente, alors qu’elle croyait enfin avoir trouvé l’homme qui serait l’exception à la règle. job, statut financier › Vie plutôt privilégiée, Zila n’a pas vraiment connu grand-chose d’autre que l’élite dans lequel elle a toujours trempé. Bien que la sienne soit loin de faire partie des familles les plus riches de Manhattan, la famille de Zila - du moins du côté des Feldberg - a un revenu bien au-delà de la moyenne. Cela leur a permis, à Adriel et elle, de fréquenter des écoles de renom. La jeune femme a étudié à Harvard pendant plusieurs années, puis Columbia lors d’un changement de parcours. Diplômée à plusieurs reprises de ces deux universités de l’Ivy League, elle se retrouve malgré tout sans emploi, ayant quitté sur un coup de tête le poste d’assistante-enseignante qu’elle tenait depuis plusieurs années. statut familial › Si la relation entre Zila et sa mère a longtemps semblé profonde, il s’agissait là d’une parfaite illusion. En réalité, mère et fille n’ont rien en commun et ne peuvent être en présence l’une de l’autre sans qu’une querelle n’éclate. Elles ont longtemps joué le jeu pour préserver les apparences, mais Zila a poussé les limites de ce que la matriarche pouvait endurer. Si son père était encore de ce monde, la jeune femme sait qu’elle recevrait tout le réconfort nécessaire auprès de lui puisqu’il a toujours été le seul à la comprendre entièrement, suivi de près par son grand frère Adriel. Mais la mort de leur paternel, alors que rien ne les y préparait, a eu un effet destructeur sur la cadette Tucker, qui n’accepte toujours pas entièrement le départ de son cher papa. à la nouvelle orléans depuis › Zila s’apprête à débarquer chez son aîné sans prévenir. Elle connaît cependant l'endroit par cœur pour avoir semé la pagaille dans les rues de Crescent City lorsqu’elle était jeune. Elle n’y avait cependant pas mis les pieds depuis le décès soudain de leur père en 2019. Un tas de souvenirs, autrefois si joyeux, refait maintenant surface et lui rappelle sans cesse cette absence.
(one) Jusqu'à ses six ans, Zila grandit à Williamsburg, encerclée par le traditionalisme extrême des Juifs hassidiques et l’apparition de la culture hipster À l’époque, la petite Tucker n’est pas en mesure de comprendre pourquoi elle ne peut pas jouer avec les petites filles vêtues de jupes en bas du genou peu pratiques pour jouer au ballon. Et pourquoi les garçons l'évitent tout simplement, comme si elle était invisible, lorsqu'ils se croisent sur les trottoirs. Cette proximité avec la communauté Satmar a été une période bien courte, mais marquante. Il a fallu lui expliquer à plusieurs reprises que, selon certaines croyances, tous les Juifs ne sont pas égaux. Déjà à cet âge, Zila trouve sa religion bien complexe, et bien qu’elle suive les traditions imposées par sa mère, le cœur n’y est pas du tout. Arrive le divorce, et tout change. Sa mère décide de rejoindre les beaux quartiers de New York en emménageant à Uptown, Manhattan, un coin beaucoup plus représentatif de Leah Feldberg, femme de carrière, avocate sérieuse et ambitieuse, alors que Harrison Tucker décide de retrouver sa Nouvelle-Orléans natale, une ville qui correspond beaucoup plus à son caractère décontracté et rêveur de toute façon. Les deux enfants resteront avec leur mère, malgré les crises de Zila qui souhaite partir au sud des États-Unis avec son père. (two) La petite Zila n’a donc que six ans lorsque ses parents annoncent qu’ils se séparent. Si la situation n’affecte pas trop Adriel, il en est tout autre pour la fillette. D’ordinaire docile et calme, elle se met à faire le singe en plein milieu des exposés de ses professeurs, à refuser de faire ses travaux et à se plaindre constamment que l’école, c’est ennuyant. Comme ses notes commencent à dégringoler et que son attitude ne s’améliore toujours pas, sa mère décide de consulter un psychologue, persuadée que le divorce est la cause de ce changement subit chez sa fille. Les résultats sont étonnants : on constate que Zila est en fait un petit génie au QI plus élevé que la normale, raison pour laquelle elle n’est pas intéressée par ses leçons et qu’elle ne veut plus apprendre : c’est trop facile. On la fait alors sauter une classe, puis une deuxième, avant qu’elle trouve enfin un rythme qui convienne à son jeune esprit prêt à tout absorber tel une éponge. Ce que sa mère tait souvent, cependant, c’est que Zila a aussi un trouble déficitaire de l’attention qui vient avec une surdose d’énergie chez la fillette. On commence d’ailleurs une médication pour l’aider à rester concentrée, ce qui l’aide beaucoup en surface, mais ne lui permet pas d’être elle-même. Ce traitement lui est imposé jusqu’à la fin de l’adolescence, période où les symptômes s’atténuent. (three) Depuis qu’elle est toute petite, Zila démontre une grande curiosité pour un tas de sujets. Cela devient même un problème parce qu’elle débute toutes sortes d’activités, mais s’en lasse rapidement. Les seules qui deviennent une constance sont son amour pour la lecture, les sciences et la pâtisserie, trois intérêts qu’elle partage avec son père. Zila prend toujours plaisir à décortiquer une recette, et plus le niveau de complexité est élevé, plus elle est motivée. Même si on observe que, traditionnellement, ce soit la matriarche qui en prenne soin, la jeune Tucker n’a jamais mangé de challah meilleure que celle de son père. Peut-être parce qu’il y ajoutait un ingrédient secret, rarement utilisé dans la préparation de ce pain sacré, ou peut-être que c’était simplement parce qu’il y mettait tellement d’amour qu’il semblait plus moelleux, plus goûteux que les autres challah qu’elle ait pu manger. Ou peut-être était-ce simplement parce que, pour Zila, il n’y avait pas meilleur que son papa pour faire à manger, un talent qu’elle cherche toujours inconsciemment chez un partenaire d’ailleurs, peut-être pour faire revivre les émotions qu’elle vivait lorsque son père et elle partageaient la cuisine. (four) Si elle l'avait désiré, Zila aurait probablement pu suivre les traces de son père, d'ailleurs. Malgré son talent indiscutable pour la préparation de pâtisseries en tout genre, elle s'est plutôt tournée vers les sciences, ce qui a soulagé sa mère qui n'a jamais compris l'intérêt de son ex-mari pour les sucreries. Cette décision a été bien réfléchi, contrairement à ce qu’on pourrait attendre de Zila et de son impulsivité. Devant l’insistance subtile de sa maman, la jeune fille a choisi une vocation scientifique pour lui faire plaisir en premier lieu. Le sujet la passionne, évidemment, mais si elle avait eu le choix, elle se serait probablement tourné vers un domaine moins strict. Durant l’adolescence, elle participe à plusieurs concours organisés par son école et se fait vite remarquer auprès de professeurs d’universités qui aimeraient l’avoir dans leur programme. À 15 ans, sous le regard fier de sa mère, elle obtient des entretiens avec le directeur du département de sciences de plusieurs écoles renommées : Yale, MIT, Princeton et Harvard. C’est finalement cette dernière institution qui retient son attention, autant pour son prestige que pour l’ambiance sur le campus. Zila a toujours rêvé de s’éclipser de New York et de s'entourer d'un peu plus de calme. Vivre à Cambridge, loin des paillettes et de la bourgeoisie new yorkaise, a tout pour plaire, d’autant plus qu’elle n’aura pas sa mère perchée sur son épaule qui surveille ses moindres faits et gestes. Leah impose un agenda rigide à sa fille quant à ses études, ce qui fait en sorte que Zila passe tout son temps à réviser. La pression pour obtenir des A et A+ dans toutes les matières est intense, même si elle a toutes les capacités pour y arriver. Lors du passage des SATs, elle étudie nuit et jour pendant des semaines interminables pour recevoir la note de 1560/1600. Malgré l’immense fierté de sa parents, Zila n'a jamais été autant misérable que durant ces derniers mois. Trop occupée à remplir les attentes de sa mère, elle n'a que très peu de contact avec ses camarades de classe, donc aucune amitié sincère. D'un autre côté, elle n'a pas réellement envie de se lier avec la majorité d'entre eux. Ces gosses de riches qui ne jurent que par les apparences et leur compte en banque ne l'intéressent pas du tout. Elle aimerait quand même avoir quelqu'un à qui se confier en dehors de son grand frère, quelqu'un d'externe à sa famille. Durant un cours de chimie, elle fait la rencontre de Grace, sa partenaire de labo. Alors que Zila pense s’être enfin faite une amie, elle réalise que la seule raison qui a suscité de l’intérêt chez sa camarade est son habileté avec les compositions chimiques, lorsque Grace évoque l’idée de devenir des Walter White et Jesse Pinkman en herbe. Créer de la drogue pour la revendre dans les soirées mondaines de jeunes friqués, quelle idée sordide! Zila, au départ intimidée, réussit à lui tenir tête et refuse de faire partie de ce plan ridicule. Sa seule amie s’avère n’être qu’une profiteuse, elle se sent donc bien seule. (five) L’été avant d’entrer à Harvard, Zila le passe à la Nouvelle-Orléans, comme tous les autres étés depuis le divorce de ses parents. Pourtant, elle est encore plus chamboulée qu’à l’habitude lorsque vient le moment de quitter son père. Peut-être est-ce parce qu’elle a vécu une année scolaire éprouvante et qu’elle a besoin d’encore un peu de réconfort paternel, ou bien parce qu’elle retrouve des copains d’enfance, avec lesquels elle a su tisser des liens toutes ces années, bien que temporaires pour la plupart. Elle se rend malgré tout à Cambridge à la rentrée et fait la rencontre de Julianne, sa colocataire pour les prochains mois. Au départ, Zila ne l’aime pas particulièrement : elle ressemble à toutes les héritières de Manhattan qu’elle a rencontrées dans sa vie, à l’exception que Julianne est native de Californie. Elle a cependant un côté plus décontracté que la jeune Tucker apprend à aimer avec le temps, mais durant la première partie du trimestre, Zila fait tout pour l’éviter et passe la majeure partie de son temps dans une des bibliothèques du campus. Elle n’a envie de rien, surtout pas de se mêler aux autres, et s’enferme dans une sorte de mutisme, la tête penchée dans ses manuels scolaires qu’elle lit sans vraiment analyser les phrases qu’elle a sous les yeux. Sa mère l’appelle tous les trois jours sous prétexte de savoir comment elle va, mais la jeune fille sait très bien que ce n’est que pour lui rappeler à quel point ses études sont primordiales et de ne pas se laisser influencer par les étudiants fêtards. Ce besoin de contrôle l’énerve au point où Zila ne répond qu’une fois sur deux, ce qui finit par inquiéter sa mère et, au final, empire encore plus leur relation déjà tendue. Cette première session à Harvard n’est pas des plus gaies, alors que la brunette baigne dans une dépression latente. Ses études en chimie ne l’intéressent plus. En fait, elle se demande si elle a déjà eu une vraie passion pour le sujet, ou si ce n’est, encore une fois, que la pression de sa mère qu’elle s’est imposée ce chemin. (six) C’est durant le deuxième trimestre que Zila apprend à connaître sa colocataire : malgré ses préjugés initiaux, elles deviennent rapidement amies et Zila intègre même le cercle social de Julianne. Ainsi, elle fait la connaissance d’étudiants qui semblent parler un tout autre langage qu'elle : celui de la culture, des arts, du cinéma, de la littérature. Cela lui permet de s’ouvrir sur des sujets autres que la science et lui rappelle les conversations entre son père et son frère. À l’instar de ce dernier qui adule les compositeurs juifs de Broadway, Zila se découvre une passion pour le travail de cinéastes de même descendance tels que Spielberg, Kubrick, Allen, ou encore d’auteurs comme Philip Roth, Saul Bellow et Mordecai Richler. Elle est fascinée par Gloria Steinem et Susan Sontag, qui deviennent rapidement des icônes auxquelles elle s’identifie. On l’introduit également aux soirées étudiantes, où alcool et drogues se côtoient sans trop de restrictions. Ces nouvelles activités et cette vie sociale plus épanouie lui font le plus grand bien. La tentation de suivre ses amis dans leurs expériences se fait de plus en plus attrayante, et dans le secret, Zila abandonne les sciences pour se tourner vers le cinéma. Elle confiera éventuellement à son père son changement de cursus, une nouvelle qui finira par atteindre les oreilles de sa mère et ne fera qu’agrandir le gouffre entre mère et fille, dont la relation s’effrite plus les semestres s’additionnent. (seven) On dit souvent de Zila qu’elle est une vieille âme. Elle répète sans cesse qu’elle n’est pas née à la bonne époque, qu’elle aurait voulu vivre la révolution des années 60 et assister à l’explosion de la culture des années 70. De nature bohème, elle a une réelle personnalité d’artiste sans exercer un art en soi. C’est après une discussion avec Julianne sous les effets relaxants du cannabis qu’elle décide qu’elle retournera à New York après ses études à Harvard. Cependant, pour faire plaisir à sa mère et s’assurer le confort d’avoir un toit sous lequel vivre, elle lui fait croire qu’elle reprendra ses études en sciences, que Harvard n’a pas été une bonne expérience au final, même si elle a obtenu son diplôme. Elle postule pour devenir assistante-enseignante auprès d’un brillant professeur, un emploi qu’elle obtient sans trop d’efforts vu les multiples recommandations reçues d’anciens tuteurs. C’est d’ailleurs lors d'une rencontre entre assistants qu’elle fait la rencontre de celui qui deviendra éventuellement son fiancé. Sans être le premier homme de qui elle tombe amoureuse, il est le premier à la mettre sur un piédestal. Loin d’être vaniteuse, Zila ne déteste pas cette adoration. Cela lui permet aussi de laisser libre cours à sa personnalité, ses bons et ses mauvais côtés, chose à laquelle elle n’a jamais été habituée, trop occupée toutes ces années à tenter de plaire à sa mère, en plus d’avoir été sous médication pendant une période charnière de son développement. Avec son copain, Zila découvre également New York sous un autre angle : elle connaît maintenant Warhol et sa factory, l'histoire du Chelsea Hotel et des musiciens qui y ont habité, les déboires des arts de la scène qui ont donné à la métropole son caractère éclectique et intemporel. Bien qu’en apparences, elle donne l’impression que la science est son avenir, elle suit des cours du soir de toutes sortes : cinéma, histoire de l’art, sculpture. Elle n’a pas trop d’aptitudes en ce qui concerne les arts plastiques, mais elle se sent interpellée par la puissance des mots. Zila passe ses moments libres à fouiner dans les vieilles librairies, à écouter de vieux films rétro et à s'imprégner de la richesse des dernières années en matière de culture qui lui sont passées sous le nez à force de ne penser qu'à ses notes puis à cacher ses réelles ambitions aux yeux de sa mère. Lorsqu'elle se met à s'imaginer scénariste ou auteure célèbre, cette dernière la rappelle à l'ordre en lui demandant comment se passent ses cours en chimie et ce qu’elle fera à la suite de son travail d'assistante-enseignante. Zila répond vaguement qu’elle n’en a aucune idée, ce qui devient source de dispute continue entre les deux femmes. (eight) Malgré ses efforts et son grand intérêt pour la chose, Zila n'est pas si douée pour écrire de la prose qu'elle le souhaiterait. Son QI plus élevé que la moyenne ne peut pas l'aider à devenir plus créative, à manier les mots de façon plus fluide. Elle ne baisse pas les bras pour autant. Pour s’assurer un meilleur succès dans le domaine, elle décide de signer Zila Feldberg, le nom de sa mère, sur tous ses écrits. Comme si le fait de brandir ses origines allait lui ouvrir les portes d’Hollywood ou de maisons d’édition, puisque beaucoup de gens influents dans le domaine sont de même descendance qu'elle. Bien qu’elle n’ait jamais eu d’intérêt pour la religion dans sa vie, Zila voit là un lien potentiel qui pourrait l’aider à changer sa trajectoire professionnelle. Elle sait très bien que pour une fois, elle devra travailler d’arrache-pied pour se tailler une place dans cet univers, contrairement à tout ce qu’elle a entrepris par le passé. Elle fait aussi la rencontre d’un professeur qui perçoit son potentiel, mais aussi sa difficulté à s’exprimer, autant sur papier qu’à l’oral. Car Zila n’est pas en manque d’idées : elles se bousculent dans sa tête, parfois sans avoir de sens, mais on distingue bien dans son charabia que la base est bonne, qu’elle demande simplement de travail et de raffinement. Cela a le don de la mettre en colère, et elle passe proche de l’abandon à plusieurs reprises. Son petit ami ainsi que ce même professeur l’encouragent à ne pas baisser les bras, même si cela semble difficile, que c’est ainsi qu’elle atteindra son but. (nine) Lorsque son copain lui fait la grande demande, Zila accepte avec enthousiasme. Leur relation, bien qu’un peu moins excitante qu’à ses débuts, lui offre beaucoup sur le plan émotionnel, surtout en ce qui concerne son lien avec sa mère. Puisque le jeune homme aspire à une belle carrière - et qu’il vient d’une bonne famille juive - Leah est enchantée par cette union et encourage sa fille à prendre exemple sur son fiancé quant au sujet de sa carrière. Elle rêve de voir Zila suivre ses propres traces et ne l’imagine pas mère au foyer. Elle est persuadée que sa fille raterait sa vie si elle n’avait pas un tracé professionnel à l’image du sien. De son côté, Zila ne se voit pas non plus passer ses journées à s’occuper d’une marmaille. Elle déclare même à son fiancé ne pas vouloir d’enfants, ce qui cause de la surprise et fait naître des tensions entre eux, situation qui ne fait que s’envenimer lorsque le décès d’Harrison survient. Perdre son père représente pour Zila la disparition d’une partie d’elle. Pour atténuer sa peine, elle recommence à consommer quelques drogues : douces au départ, puis s’ajoutent les amphétamines et la cocaïne. Elle adopte un comportement bizarre, influencée par son obsession pour ce même professeur qui l’encourage depuis le départ à continuer à écrire. Elle sent que l’attirance est réciproque, alors plutôt que d’être rationnelle et d’écouter sa tête, elle s’abandonne à lui, sans aucune pensée pour son fiancé. Leurs interactions étant devenues de plus en plus désagréables suite à son nouveau mode de vie, Zila n’a qu’une envie : oublier la pression de sa mère, maintenant celles de son futur mari. Dans les bras de son amant, elle est heureuse, elle est devenue muse. Mais lorsque son fiancé découvre cette déloyauté, que Leah est mise au courant des déboires de sa fille, tout s’écroule autour de la jeune Tucker. Sur un coup de tête, elle démissionne de son emploi et quitte New York sans regarder derrière. Elle prend la route, inspirée par le roman préféré de son professeur : On the Road, par Jack Kerouac, qui est devenu, par le fait même, une de ses œuvres favorites. Honteuse de sa vie qui s’écroule soudainement, elle ne lui laisse qu’un message disant qu’elle quitte la ville et qu’elle n’oubliera jamais le temps qu’ils ont partagé. (ten) Quelques jours après son départ, Zila fait une rencontre digne d’un film. Croisé dans un petit resto de bord d’autoroute, il lui raconte toutes sortes d’histoires sur son passé et ce qui l’amène, à son tour, à quitter sa vie actuelle et à vivre de nouvelles aventures. La jeune femme voit cela comme un signe, qu’ils sont faits pour être dans la vie de l’autre, sans imaginer où cela les mènera. Ils roulent à travers les États-Unis, s’arrêtant ici et là pour découvrir un coin d’intérêt avec une histoire mémorable. Ainsi, ils se retrouvent après plusieurs semaines à Las Vegas. Il se trouve que cet homme a, lui aussi, un problème de consommation, et lors d’une soirée où les mélanges se font à outrance, les deux êtres éméchés décident de se marier, sans penser au lendemain ni aux conséquences d’un tel acte. Au moment même, cela ne leur paraît qu’une grosse blague, une façon de rendre leur soirée encore plus amusante. Mais au réveil, Zila ne rigole plus. Au milieu de bouteilles d’alcool et de sachets de substances illicites vides, de vêtements éparpillés un peu partout, elle réalise que la nuit dernière est une terrible idée, que sa situation fait pitié et qu’elle doit remettre de l’ordre dans sa tête. Elle se remémore le conseil que son ancien professeur et amant lui a dit un jour : écris sur ce que tu connais, l'inspiration suivra. Elle quitte alors sans dire au revoir l’homme nu qui dort encore à ses côtés et s’empresse de reprendre la route, cette fois avec une destination précise en tête : la Nouvelle-Orléans, où elle espère réussir à écrire le manuscrit ou le scénario qui changera le cours de sa vie.
FOUGUEUSE
OPPORTUNISTE
CULTIVÉE
BAVARDE
MALADROITE
TÊTUE
AMBITIEUSE
NERVEUSE
Un lien avec un membre @adriel tucker(grand frère) Toute sa vie, Zila n'a pas eu beaucoup d'attaches, d'amis proches et sincères, de phare dans la nuit. Heureusement, il y a toujours eu Adriel pas trop loin pour veiller sur elle et lui offrir du support lorsqu'elle ose en demander. Il sait généralement quoi dire, ou ne pas dire, lorsque tout semble s’écrouler autour d’elle. Le frère et la sœur n’ont pas ce que l’on pourrait qualifier de relation fusionnelle, mais la chimie entre eux réside dans les non-dits, les regards entendus, les silences qui en disent longs. Évidemment, Zila lui en fait parfois voir de toutes les couleurs, mais il n'est jamais la cible ou la cause de ses humeurs changeantes. Il est plutôt le baume qui sait l'apaiser à tout coup.
Deux recherches de liens (m/f/nb | natif.ve.s de NOLA) Ils se sont côtoyés durant leur enfance quand les Tucker venaient rendre visite à leur père pendant les vacances estivales. Certains ont quitté la ville pendant un moment, d'autres y sont toujours restés. Le lien qui les unit à Zila peut avoir fluctué avec les aléas de la vie : soit ils ont toujours gardé contact, soit ils renouent après plusieurs années sans s'être adressés la parole. (m | pâtissier) Il travaille à la pâtisserie du père de Zila depuis plusieurs années. Ils se sont croisés à plusieurs reprises sans vraiment apprendre plus que le prénom de l’autre. Maintenant que le propriétaire de la pâtisserie n’est plus, c’est un peu ce jeune homme, à l’aide d’Adriel, qui a repris les rênes de l’entreprise. De son côté, Zila met son nez dans leurs affaires puisqu’elle en est l’héritière au même titre qu’Adriel. Elle est réticente à l’idée de voir ce que son père a bâti entre les mains de quelqu’un d’autre, surtout qu’elle ne peut pas le berner, et ce pour aucune raison apparente.
/ awards session
(#)ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Jeu 25 Aoû - 3:31
Aoden Lynch
‹ the light of a real enemy ›
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Les petits info' sur Aoden :
40 ans ● Origines Irlandaises et Anglaises ● Né en République d'Irlande ● A un frère dans la nature ● A grandit chez les nonnes. S'est fait virer en couchant avec l'une d'entre elle ● Bisexuel mais ne le crie pas trop fort pour sa réputation ● Vit dans un manoir avec Isaac ● Est le cousin des Thompsons ● Est à NO depuis 2015 ● Est propriétaire du Masquerade Club et Chef de gang de la ville depuis Avril 2021 ● S'est prostitué de ses 15 ans jusqu'à ses 21 ans, enchainant drogues et alcools ● A vécu à Londres de ses 21 ans jusqu'à ses 33 ans ● C'est son cousin qui lui a permis d'entrer aux states ● Est gourmand. A toujours des bonbons avec lui ● Joue de l'harmonica ● Fait du tricot mais c'est un secret ● Pratique les arts martiaux ● A un chien nommé Neige et un chat nommé Whisky.
La recherche de liens :
● Des membres du gang / voulant rejoindre
● Des associé.e.s, employé.e.s, ami.e.s, victimes, ennemi.e.s,
● Son meilleur ami
● Ses potes
● Son protégé et/ou sa protégée
● Ses voisin.e.s
● Pote de musique, de sport, d'animaux, etc.
trigger warning : warning : abandon parentale, religion imposée, prostitution, drogue, violence, gang (et les joyeusetés affiliées)
trigger : Je ne veux pas lire ni participer aux rps contenant des agressions physiques, mentales et sexuelles sur mineur.es, des agressions sexuelles sur les autres personnages ; des rps contenant les reptiles, la mention des pieds, l'inceste, le racisme, tout acte finissant en -phobe et le fétichisme. Je ne veux pas être impliquée dans les relations infidèles et ambiguë quand un couple est connu de toutes les parties concernées. En cas de doute, on peut en parler sans problèmes.
Accepte de jouer : la violence entre adultes (bagarre, meurtre, torture, etc), rp erotique/sexuel (décrit ou non, possibilité d'ellipse) après discussion en amont
gif :
âge : 40 ans, toutes mes dents. La Vie d'un brigand qui le vit suffisamment bien pour ne pas cesser ses méfaits.
statut civil : Isaacsexuel, dans le déni parfois.
occupation : Je m'assure que tout roule sans accroc. Que tu puisses te saouler, choper un corps, repartir en sécurité et vider tes poches au comptoir. (Propriétaire d'un night-club). Mais la rumeur dit que je peux aussi baliser une livraison d'armes, recadrer des prostitués et tremper mon index dans des des substances illicites. (Chef du gangster squad). Je te laisse choisir la version que tu préfère.
habitation : Se fondre dans le paysage, vivant dans un duplex dans le vieux carré (quartier français).
disponibilité : Aléatoire.
mes trophées :
Bienvenue parmi nous avec baby Tucker ! Une grande demoiselle avec un sacré tempérament ! Pluie d’inspirations pour finir ta fiche.
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Jeu 25 Aoû - 7:45
Lily Andrews
‹ the light of a real enemy ›
champ sous l'avatar :
curiculum vitae caractère énergique, indécise, rêveuse, impulsive, passionnée, bordélique, créative et lunatique (bref. c'est le bordel)
6 février 1996 naissance à la Nouvelle Orléans 2004 divorce de ses parents 2011 part vivre chez sa mère, à Paris juin. 2020 diplômée d’École d'Architecture de Paris-Belleville nov. 2020 retour à la Nouvelle Orléans
trigger warning : warning : conflits familiaux, addiction, dépression, sexisme trigger : pas de sujet particulier en tête mais n'hésitons pas à en parler!
gif :
âge : 26 ans
statut civil : (célibataire) amoureuse des plannings bien chargés et des soirées entre amis arrosées
occupation : (architecte junior) chez matthew architects, une agence renommée, tout en s'emmerdant derrière son écran à se demander si ce métier est vraiment fait pour elle
habitation : (213) en colocation avec Billy et Reid dans un petit appartement dans le quartier du vieux carré
disponibilité : complet négociant
mes trophées :
Mais quel excellent pré-lien pour un autre personnage ! Bon courage pour la suite de cette jolie fiche J'espère que tu vas t'éclater avec elle en tout cas. J'ai hâte de la voir en action.
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Jeu 25 Aoû - 8:48
Invité
‹ Invité ›
Bienvenue ! Intéressante la demoiselle, hâte d'en découvrir encore !
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Jeu 25 Aoû - 9:02
Wilma Azarov
‹ the light of a real enemy ›
champ sous l'avatar :
a story was a form of telepathy. by means of inking symbols onto a page.
liste des rps Décembre 2020Jessilma#1. 2 Mai 2021Loulma. 7 Mai 2021Lolma. 16 Mai 2021BBQ Flamingos.
résumé du personnage
La noirceur dans ton âme, l'âme noircie par cette mort violente, ce déclencheur de ta folie furieuse.
âge : vingt-six ans et pas un souci en tête. vie de privilèges dont elle n'a aucune conscience, aucune reconnaissance (29.07.1996 ― leo)
statut civil : fiancée depuis six mois, les préparatifs avancent à petits pas, alors que le doute s'insinue également.
occupation : attachée de presse pour l'équipe de football de NOLA (Saints), un poste qui l'a fait revenir au pays il y a quelques mois.
habitation : #804, downtown avec son fiancé
disponibilité : dispo
code couleur : #c27ba0
Merci à tous! J'ai bien hâte de mettre en jeu cette tornade.
@Rain Aspen Ce sera avec plaisir, d'autant plus que Zila est fan de cinéma. Elle sera probablement la meilleure cliente de Rain au vidéoclub, surtout qu'elle n'a pas de job en ce moment.
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Mer 31 Aoû - 20:18
Mabel König
‹ staff ›
champ sous l'avatar :
live life from dream to dream
résumé du personnage
Naissance à NOLA le 3 janvier 1994 • parents allemands et coréens qui ne s'aimaient plus mais restaient ensemble pour elle • décès de ses parents en 2005 à cause de l'ouragan Katrina • placée en famille d'accueil à 11 ans • arrivée chez les Weaver à 12 ans • transition difficile, fermée, solitaire • retrouve finalement le goût de vivre et d'échanger avec les autres pendant l'adolescence • s'engage dans des associations pour reconstruire la ville et aider les personnes dans le besoin • passion pour l'humanitaire • fait des études courtes puis se lance de manière professionnelle • allers-retours constants à NOLA, elle fait des missions de plusieurs mois parfois à l'autre bout du monde, mais revient toujours dans ce port d'attache
altruiste | têtue | vive | franche | volontaire | pas du matin | organisée | rusée
trigger warning : warning : deuil, catastrophe naturelle, potentielles scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide). trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
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âge : vingt-neuf ans - 03.01.1994
statut civil : ne reste pas assez en place pour garder une relation, célibataire par choix, effleure les corps par envie.
occupation : coordinatrice humanitaire, elle enchaîne les contrats auprès de diverses associations, tantôt pour reconstruire une ville, nettoyer les océans ou distribuer des médicaments.
habitation : #394 Vieux Carré, dans une colocation où elle ne vit que par intermittence.
mes trophées :
attention, tu es en danger ! Coucou toi !
Comme l'indique le règlement de What Lies Ahead, nous laissons sept jours pour compléter les fiches de présentation. Cependant, ton délai est passé, ta fiche est donc déplacée dans celles en danger.
À partir de maintenant, tu as deux jours pour te manifester au risque de voir ton compte supprimé. Si tu as besoin d'un délai, n'hésite pas à nous en avertir. Cependant, tu perds quand même ta réservation d'avatar qui elle, n'est pas renouvelable.
Nous espérons te revoir vite parmi nous,
Le staff.
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Ven 2 Sep - 9:32
Ses yeux semblaient avoir perdu leur pouvoir hypnotique. Ne restait qu’un regard de petite fille qui s’était assise sur le bouton « tremblement de terre ».
trigger warning : warning : Maladie ; agression ; addiction ; alcoolisme ; négligence maternelle ; trigger : je préfère voir avec maon partenaire directement selon contexte et situation rp.
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âge : 31 années à essayer d'éclore dans des hivers constants.
statut civil : Floraison dans les sentiments intenses, cristallisés dans un mariage. Jeune certes mais qui lui offre tout ce dont elle aurait pu rêver. Des battements de coeur qui portent son nom. Adriel. Adriel.
occupation : Designer de robe de mariée pour son propre compte quand elle ne revêt pas la casquette de costumière pour la compagnie de ballet
habitation : #639 Garden District
disponibilité : 0/4 dispo
@Zila Tucker Pas de soucis. Tu as jusqu'à Jeudi Hésite pas si tu as besoin de plus
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Dim 4 Sep - 6:03
Invité
‹ Invité ›
Re-bienvenue
/ awards session
(#)Re: ZILA › la vie bohème (DELAI JUSQU'AU 16/09) Lun 12 Sep - 16:53
Né à New York en 1989 • Mère juive, avocate • Père chrétien, pâtissier • Petite soeur née quelques années après lui • Divorce des parents en 1999 • Vit à NY avec sa mère et sa soeur • Visite son père à NOLA tous les étés et pour Noël • Cousins des Lewis, vivant à NOLA également • Passionné par la musique, les films et le théâtre • Etudiant à Juilliard • Rencontre Helena à l'université • En couple quelques temps, puis séparation • Expérimente avec des hommes • Retrouve Helena, se remet avec elle • Mariage en 2017 • Décès de son père en 2019 • Déménagement à NOLA.
trigger warning : warning : adultère, décès d'un être proche, deuil, scènes intimes/sexuelles explicites (sous hide). trigger : pas de sujet particulièrement sensible tant qu'on peut en discuter.
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âge : Trente-quatre ans (25 avril 1989).
statut civil : Marié depuis presque cinq ans, amoureux de sa femme, le regard qui se perd sur des corps masculins.
occupation : Compositeur de musiques de films, métier de l'ombre, métier de l'âme.
habitation : #639 Garden District
disponibilité : libre
code couleur : #6DAF18
mes trophées :
[ félicitation, tu es validé(e) ! ]
bienvenue officiellement parmi nous.
Je t'ai déjà tout dit, Zila est absolument merveilleuse J'ai trouvé son histoire vraiment touchante, sa personnalité adorable et en même temps on sent que c'est bordélique dans sa vie, entre le prof, l'ex-fiancé, le mari... et on sait déjà que la réaction de maman face au mariage va faire mal Adriel va en tout cas l'adorer et prendre soin d'elle comme le meilleur grand frère du monde (il accepte d'ailleurs médailles, rubans et trophées, si elle se pose la question ). Bref, j'arrête mes bêtises, merci à toi d'avoir pris ce pré-lien et de donner vie à Zila
[ TON STAFFIEN RÉFÉRENT EST @Sacha Lewis ] pour plus d'explication, passe voir ce sujet !
Bienvenue officiellement en tant que membre de what lies ahead ! Félicitation, le plus dur est passé. Tu peux enfin vaquer à tes occupations et surtout commencer à rp.
L'équipe administrative est composée de Yaël Weisel(monocle.), Sacha Lewis(Tik Tok), Isaac Evans(Undecided.), Helena Tucker(kerberos) et Charlotte Deckard(dday). Vous pourrez les retrouver à tout moment grâce à la pa ou bien, grâce à la petite couronne devant leur pseudo dans le qeel. N'hésitez surtout pas à nous contacter en cas de besoin, nous sommes à votre écoute !